Les génies sont plus vulnérables aux maladies mentales. C’est la combinaison de cette vulnérabilité et de capacités cognitives hors du commun qui favorise la créativité.

Ombre : Dans la théorie de C. G. Jung (1875 – 1961), la part obscure de la personnalité, constituée des angoisses et des émotions négatives, qui, rejetée par le moi ou la persona dont l’individu est conscient, subsiste dans l’inconscient.

Enfant, Gilles Hayparbal était très renfermé, mais par moments… MÔMAAAAAAAANNNNNNNN ! … il parlait avec tant d’assurance (« tous risques ! ») que les gens croyaient déjà qu’il était vraiment « possédé »… par quelqu’un d’autre, « l’apôtre »… du « mâle ». Et sa mère, qui était très pieuse, priait nuit et jour pour que « le p’tit Gilou » trouve sa voie… CASSER LA « VOIIIIIIIIIIIE ! »… Malgré un comportement pour le moins mutique hic hic hic…, notamment auprès de ses petits « camarades », le p’tit Gilou forçait le respect. Et même plus tard auprès de toute congrégation, poil au fion. À vrai (« maux »)dire, Gilles Hayparbal n’était pas très grand, mais sa « traits » forte personnalité compensait sa taille moyenne. D’aucuns pensaient qu’il était dans « La Lumière de Dieu »… Mais d’autres, du DIABLE !

Ce qui « frappait »… le plus chez le p’tit Gilou dans un premier « temps » (n’existe pas !), c’était la beauté « angélique » de son visage (de mage), mais aussi, la « seconde » (n’existe pas !), une certaine malice (non sans vices !) fulgurante qui gênait, blessait ; à l’é… À L’AIIIIIIIIIIIIIIIIIIDE ! … vidence, cet enfant était habité par des forces… MALÉFIQUE ! hic hic hic… C’est ainsi (« soit-il ! ») « con » pût (grave du cul !) formuler les choses, Zardoz, sur le moment… MÔMAAAAAAAANNNNNNNN ! … « On » se trouvait en présence d’un petit ange… du « mâle »… lorsque (tré)passait dans ses yeux sombres de chez sombre un éclair (pas au chocolat du tout !), une onde véloce, pôv gosse, de malice non « sang » vices ! Une onde de mauvaiseté, non pas de « sainteté », mais plutôt en mode « saleté ! », l’enculé, qui altérait grave son visage au « pas sage », mettait une ombre sur ses joues, vomissait… euh… rendait presque douloureux les plis reliant les ailes (en mode Pazuzu !) du nez aux coins des lèvres, une onde véloce de mauvaiseté, l’enculé, dont le monde en mode « immonde » subissait lui-même les « et fées » aux alentours, Abdelghafour, comme crispé par une imperceptible grimace, ma chiasse. Telle « fuse » la toute première impression, poil au fion, que le p’tit Gilou donnait. C’était un enfant « grave »… T’ES GRAVE ! …, grave sombre, mon « Ombre », qui souriait peu, tête de noeud, riait « trait » peu, mes « AÏE ! euh », et dont « par foi » le regard mettait « mâle » à l’aise, Blaise.

« Ça » dépend de Makassa… Il est toujours judicieux de demander l’avis d’une tierce personne avant de « prendre la bonne »… décision (pas Conchita !) vis-à-vis des exigences que la vie nous impose, Zardoz. C’est du moins de cette manière que fonctionnait Gilles Hayparbal depuis l’âge où l’acné juvénile avait pris le pouvoir sur son visage encore juvénile. Et ce comportement n’était pas du domaine de l’acquis mais bel et bien de l’inné, dans la mesure où personne, pas même ses parents, ne lui avait inculqué (Pas encore inculpé !) cette façon d’envisager les choses, Zardoz. Et dans la plupart des cas, sauf à de très rares exceptions, cette attitude fonctionnait plutôt bien, poil au chien…, surtout dans le domaine de la destruction, poil au fion. Bien que Gilles Hayparbal ne brillât pas par ses bonnes notes à l’école, il n’en était pas moins très intelligent et très doué dans toute thématique artistique tic tic tic…, et ce, dans l’ultime dessein de déceler les bonnes opportunités « à faim » de mener à bien son existence, Hortense. Notamment Grâce à une perspicacité et une intuition hors du commun… des « mortels ». À l’évidence, il « possédait » cette inestimable faculté de sentir (grave des yeps !) d’où venait le vent (PROUUUUUUUUUUUUT !) et de l’utiliser à bon escient, les enfants. Pour Bouddha, l’intuition n’est autre que la source de la vérité ultime, tête de pine… Mais pour Pazuzu ? … À n’en pas (re)douter, quand bien même ses petits « camarades » ne les voyaient pas, « le p’tit Gilou » était doté d’antennes lui permettant de s’ouvrir à un monde où la dimension par trop cartésienne n’était pas son leitmotiv principal, l’animal… ; où comprendre (et non « con prendre ! ») n’était pas forcément raisonner, poil au nez. Ce n’est un secret pour personne qu’un enfant « possède » d’extraordinaires facultés d’intuition, de télépathie et de prémonition, poil au fion… Elles sont naturelles, Annabelle. Mais lorsqu’il commence à exprimer ses perceptions du monde, Raymonde, il comprend très vite que toutes celles qui n’entrent pas dans l’ordre « normopathique » tic tic tic… de la dynamique (Pour ne pas dire « dynamite ! ») sociétale de chez blaireau, ne sont pas les bienvenues, poil au cul. C’est ainsi que Gilles Hayparbal « con pris » très tôt, mon toto, qu’à l’âge où il jouait encore aux billes, qu’à force d’interdits et de tabous plus ou moins clairement exprimés, son cerveau s’empêcherait lui-même de décoder les perceptions de cette zone frontière de la pensée. Il avait demandé l’avis de Makassa qui l’avait prévenu qu’une « foi » adulte ses désirs et ses peurs l’empêcheront de voir ces choses-là tralala… Qu’un bruit mental permanent viendra faire barrage à ses facultés de télépathie mon kiki, ainsi que de clairvoyance, de prémonition et d’intuition mon couillon, qui sont des impressions rapides et flottantes. Gilles Hayparbal faisant en sorte d’entretenir cette relation autant « mystérieuse » que privilégiée qu’il avait avec Makassa… Ça dépend de Makassa… Chaque « foi » qu’il était sollicité par quiconque demandait son avis sur tel ou tel sujet, la réponse restait invariablement la même pour tous : « Ça dépend de Makassa. » Bien entendu, quand « on » ne connaissait pas « le p’tit Gilou », la toute première réaction de l’interlocuteur lambda « demeuré » toujours la même : Il le regardait dubitativement comme s’il était un E.T. de chez « Élément Timbré ! » venu d’une autre planète, Bernadette. Mais pour les autres qui le connaissaient un peu mieux, ils savaient très bien que lorsque le p’tit Gilou prononçait son mantra préféré, mieux valait ne pas y revenir à deux « foi », purée d’pois… La messe était dite, tête de bite… Tout était dit mon kiki. Un grand nombre de collégiens l’avait « étiqueté » du sobriquet « Le Danny Torrance du quartier », par rapport au petit garçon de Shining des deux S.K. (Stephen King pour le roman, puis plus tard, Stanley Kubrick pour le film éponyme)… D’autres l’avaient surnommé « Capitaine Howdy » (Personnage « fictif » avec qui Reagan converse dans The Exorcist, poil au kyste). Ce (mâle « )faisan », une grande majorité de son entourage avait très tôt décelé « l’extraordinaire » potentiel destruct… euh… créatif « don » le p’tit Gilou exploiterait exponentiellement, maman… MÔMAAAAANNNNNNN ! … Ou comment son sixième (bon) sens fera son apparition, notamment dans les institutions, poil au fion. En tout état de cause, un certain nombre de blaire… euh… de personnes qui eût l’outrecuidance de contrarier Gilles Hayparbal, autant dans ses aspirations que ses initiatives, ne sont plus de ce (bas) monde pour témoigner, poil au nez. À l’é… À L’AIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIDE ! … À l’évidence, « le Danny Torrance » du quartier allait vite leur « démon »… trer que les temps étaient en train de changer et qu’il était la preuve (encore) « vivante » que, non seulement il existait une ou des dimensions supérieures, mais qu’en plus il était en contact permanent avec elles, Annabelle… Et ce n’était certainement pas Makassa qui dirait le contraire, poil au derrière.

Pour celles et ceux qui auraient quelques notions de psychologie, rappelons que l’hémisphère droit du cerveau assure, entre autres, la fonction émotive et créative. Or, les enfants, jusqu’à l’âge de « raison », fonctionnent plutôt avec leur cerveau droit ; c’est l’apprentissage sous toutes ses (dif)formes qui, peu à peu, les « faits » (et gestes) pencher du côté de la « raison », poil au couillon. Une chercheuse de l’université du Connecticut, Nancy Bush (d’égout), à ne pas confondre avec Nancy Reagan, et encore moins Laura Bush (dégoût), a enregistré l’activité cérébrale de plusieurs centaines d’enfants, en mesurant séparément leurs lobes temporaux droits et gauches. Les résultats sont très nets, Bernadette (Soubirous ?) : Jusqu’à onze ans, les enfants privilégient le fonctionnement de leur cerveau droit. Ensuite, le formatage sociétal amorce son entreprise… de démolition, poil au fio… Sauf pour Gilles Hayparbal, l’ani »mâle » qui, Grâce à Makassa, était toujours en lien avec ses fonctions imaginatives. Dès son entrée en primaire à l’âge de six ans, « le p’tit Gilou » avait commencé à inquiéter son entourage, principalement sa maman, car il manifestait un comportement troublant, voire déstabilisant. En « et fée », à chaque fois « con » lui demandait de faire quelque chose, Zardoz, ou « con » lui posait une question, il répondait systématiquement : « Ça dépend de Makassa ». Ses proches avaient beau lui demander : « Mais qui est donc Makassa à la fin ?! » ; alors il se renfrognait et tout le monde se retrouvait gros Jean (Foutre !) comme devant, comme des glands. Pour « le coup », c’était vraiment déstabilisant. Bien que sa maman n’aimait pas beaucoup « Ça », afin de se rassurer, elle se disait que son fils ayant « perdu » son papa très tôt, de chez « trétau », pôv toto, au moment… MÔMAAAAANNNNNNNN ! … au moment même où un enfant en AVÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉ ! … en avait le plus besoin, Saturnin, ce fameux Makassa devait servir « d’auxiliaire de vie » par procuration, poil au f…, dans son paysage imaginaire, poil au derrière, « à faim » de palier aux « poings » de repère affectif manquant que seul Le Père (Spirituel) peut donner, poil au nez. C’est un pléonasme de préciser que l’enfant avait aimé « profondément » son papa, et sa maman craignait fortement qu’il ne refoulât ses sentiments et que ceux-ci ne ressortissent brutalement un jour ou l’autre, l’apôtre… du mal !, sous une (dif)forme dangereuse. En fait, ce qui inquiétait le plus sa génitrice (non sans vices !) étant (« dû des dégâts » !) que son fils n’eût aucun copain, le clampin, et qu’il fût solitaire relevât du doux euphémisme. Il y a quelques années, pour le Noël de son fils, elle lui avait offert un hamster à peine sevré, et elle s’était fait la réflexion sur le fait que la chair de sa chair était incapable de trouver un nom à ce petit animal, alors que lorsqu’elle le surprenait en train de se masturber copieusement tout en matant le décolleté de sa speakerine préférée à la téloche, Totoche, dès l’âge de cinq ans, elle l’entendait marmotter en même temps (n’existe pas !) des « Elle est jolie, hein ? Makassa… Qu’est-ce que t’en penses ? »…, et ce, à « tout bout » d’champ Rantanplan. Quand bien même la pédiatre l’avait à demi-rassurée en lui disant qu’il n’y avait pas lieu de « s’inquéquetter », car si son fiston semblait un chouïa précoce aux yeux de sa maman, se tirer sur l’élastique ne vomiss… euh… ne rendait pas sourd pour autant… Bon d’accord, le docteur ne l’avait pas formulé exactement de cette manière, poil au derriè… Mais il n’en demeurât pas moins vrai « queue », même après de nombreuses années à se polir le chinois, Gilles Hayparbal ne portait toujours pas de sonotone, Simone… Mais demande toujours l’avis de Makassa avant d’entreprendre quoi que ce « fuse », ma buse… La « Reine-Mère » avait fini par conclure que son fils avait une relation symbiotique tic tic tic… avec ce fameux Makassa, et que finalement il n’était pas vraiment souhaitable de trop interférer dans leur(s) rapport(s), tant que ce n’était pas en mode « rat-porc », Hector. Lorsqu’il était petit, il arrivait parfois que sa mère l’entende alterner sanglots et malédictions à l’adresse de « monstres invisibles » derrière la porte de sa chambre. Mais elle sentait ( grave le soufre ! … douleur) intuitivement qu’il ne fallût pas qu’elle entre le consoler, qu’à l’instar d’une crise de somnambulisme aiguë, ce n’est jamais une très bonne idée de « violer » la ou les « dimensions » dans laquelle se trouvait la personne à l’instant T (« T » comme Transcendance !), et pourrait avoir des répercussions catastrophiques hic hic hic… sur la psyché de son p’tit Gilou adoré (le « mâle » barré !) Pour le moins (« con » puisse dire), il l’accuserait d’avoir tout gâché, qu’elle devait sortir de son Univers, poil au derriè… « Il faut toujours que tu combattes les monstres seul, toi, Gilles », lui asséna-t-elle plus tard, au lascar. Bien qu’ayant suivi les cours de catéchisme (« Sang » z’aller jusqu’à la communion, poil au f…), « par la force des choses », Zardoz, le p’tit Gilou avait déjà l’impression de se retrouver dans une sphère, poil au sphincter, et que l’église ne lui apporterait aucun réconfort, Hector. Et qu’elle serait même hostie… euh… hostile au calme « deux » la réflexion, poil au f… Plus tard, le même p’tit Gilou, devenu entre « temps » (… n’existe toujours pas !) Gilles Hayparbal, s’aperçut que le mode de désignation « arbitraire » des prêtres (… qui n’étaient pas responsables devant leurs ouailles, vieilles canailles !) leur con… « ferrés » un pouvoir insupportable sur la vie, ainsi « queue »le vit » et l’avis des blaire… euh… des gens, poil aux dents… Y compris sur leurs nuits cui cui cui… Et même sur leurs parties intimement génitales, poil au rectal. Tout cela au nom, non pas « de la rose », Zardoz, mais de l’existence tenue pour acquise, Denise… d’une déité omni(im)potente et de « l’avis » éternelle, les brêles. Une sphère ?! … Splendide… « ment » (s)féérique ! Hic hic hic…

La plus grande surprise fut le jour où les phrases s’étaient mises à couler de façon diarrhéique hic hic hic… (Jusqu’à l’âge de cinq ans environ, le p’tit Gilou ne brillait pas par sa loquacité) ; en effet, des phases de logorrhées intempestives avec des phrasés longs et sérieux, mes « AÎE ! … euh », pour ne pas dire rébarbatifs tif tif tif… faites de « maux » d’adultes, qui laissa sa maman pour le moins perplexe, Alex (Malcom McDowell… ça vous parle ?) Où son fils les avait-il appris ? Lorsqu’il avançait en âge, elle subodorait un moment… MÔMAAAAAANNNNNNNN ! … que cloîtré dans sa chambre il avait dû « décharger » (« Lape suce » révélateur)… euh… disons, télécharger des films comme The Exorcist et Shining & Consorts, et que ces derniers eussent une mauvaise influence sur sa santé mentale, Hannibal… Lecte(u)r… vidéo. En « et fée », qui ne se souvient pas, respectivement et rétrospectivement, de la petite Regan et du p’tit Danny qui, chacun à leur façon, communiquaient avec une entité virtuelle, Annabelle. Par la suite, lorsque Gilles Hayparbal se retrouvait dans des situations autant délicates qu’incongrues, Lustucru, il n’hésitait pas à entrer en relation avec Makassa. Et Makassa avait réponse à tout, les loulous. Pour « Lui » il n’y avait jamais de problèmes, Germaine, Il n’y avait que des solutions, poil au f… Quand bien même le dénouement n’était pas toujours des plus orthodoxes pour certains, Rintintin. Comme exemple, cette jeune femme cambodgienne aussi belle qu’une geisha qui, à plusieurs reprises, lui avait posé des lapins de « derrière » minute, petite pute. Pas cool, et t’as les boules… de geisha lui susurra subtilement Makassa. A cet instant T (« T » comme Tueur !), la solution se présenta d’elle-même à l’es… « pris » de Gilles Hayparbal. Bien en… « tendu », le tueur à gages qu’il engagea manu militari fut grassement rémunéré pour l’exécution pure et simple de Mà, « feu » la maman de celle qui lui avait manqué de respect plus souvent qu’à mon tour, Abdelghafour. Car si Makassa demeurait de très bon conseil, Gilles Hayparbal, lui, n’était pas en reste vis-à-vis de son statut de commanditaire, mon pépère… À l’é… ALLEEEEEEEEEEEEEZ ! … À l’évidence, étant blindé… de pognon jusqu’au trognon à plus savoir quoi en foutre, il était bien loin de se comporter comme un ingrat, et pouvait se montrer très généreux quand le travail était bien « exécuté », enculé. À contrario au comportement méprisable de cette pseudo-déesse, en manquant « à la pelle », Annabelle. En revanche, ce n’était pas une raison pour que sa génitrice en pâtisse, Alice… En d’autres « maux », rien de telle qu’une balle bien logée dans la tête de sa môman pour mettre fin aux terribles souffrances qu’une mèr(d)e peut endurer vis- à- vis de la « bonne éducation » de sa fifille préférée, l’arriérée. Cette stratégie n’était pas négligeable, poil au trou d’balle, dans la mesure où, à « des faux » d’être le boyfriend potentiel de cette cambodgienne (Mais pas « Boatpeople » pour deux sous) « suce… dites », Gilles Hayparbal pourrait quelque temps, et dans une moindre mesure devenir son con… solateur attitré, mais pas en mode « à tirer », Dédé, tout en évitant de s’enkyster dans une friendzone grave rédhibitoire, ma bonne poire. Aux yeux de cette enfant gâtée, il ne souhaitait au cu(l)… nement, paraître pour un « pékin » lambda tralala. Une autre « foi », ce fut lorsque la subrogée tutrice de « feu » la mère du p’tit Gilou s’en mettait plein les fouilles (merde), la fripouille ; euphémisme et pléonasme, quand « on » sait la réputation que s’trimballe les gérants de tutelle, les brêles », comme autant de casseroles, Anatole… Bien « mâle » lui en « apprit » à cette irresponsable d’avoir eu le culot d’escroquer sans aucun scrupule, Hercule, une partie du patrimoine familial. Désormais, cette incon… « chiante !  » tient compagnie aux silures & Consorts au fond de la Seine, Arsène… du crime, les pieds coulés dans du béton,tonton. Autrement, dans un autre registre, Gilles Hayparbal est un garçon charmant… quand on le prend du bon côté, l’enculé. Sinon c’est l’autre versant de sa personnalité, en l’occurrence Makassa, qui agira en « con séquences », Hortense. Il « faux » tout de même préciser que, doté d’un physique ingrat, sociétalement parlant, ça ne facilitait pas les choses, Zardoz. Déjà gamin c’était tout juste si ses petits camarades ne lui jetaient pas des pierres, et que la maîtresse de mes fesses ne lui accordait que le strict minimum syndical d’attention, poil au fio… Nul besoin de vous préciser qu’à l’âge adulte ça n’allait certainement pas s’arranger, Gégé. Finalement, entre attraction et répulsion la limite était vite franchie pour Gilles Hayparbal vis-à-vis de ses con… temporains, Rintintin. Et dans les situations critiques tic tic tic… c’était Makassa qui prenait les commandes, Fernande (quand le p’tit Gilou pense à Fernande…) D’ailleurs (et d’ici), parmi les rares personnes qu’il côtoyait, certaines étaient « croyantes », et lui avaient toutes dites, sans aucune exclusive, qu’il était « protégé », Gégé. De nature pourtant cartésienne, Annabelle, il était allé… ALLEEEEEEEEEEEEEEZ ! … voir une voyante autant par curiosité, l’éveillé. Et elle lui AVÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉ ! … lui avait confirmé qu’il l’était… « protégé ». Mais protégé par qui ? … Ou par quoi ? … voulut savoir son con… « Sultan ». Là-dessus elle le toisa d’un regard rempli de sous-entendu poil au c… qui en disait long mon con. Il n’eut jamais la réponse, Alphonse… Simplement, en repartant de sa con… sultation, il ressentit comme un malaise, Blaise, et « queue » cette protection ne venait certainement pas de le Vierge Marie, Riri ; ou, dans le meilleur des cas, de Sainte Thérèse de Lisieux… pour pleurer, pôv bébé. À partir de ce jour Abdelghafour, il eut la certitude que « le p’tit Gilou » n’aVÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉ ! … n’avait jamais été tout seul dans sa tête, Bernadette (« sans biroute !). Ce malfaisant, de chez mâle « faisan », son « meilleur ami », sera (tendance « ce rat ! ») toujours à ses côtés pour veiller sur lui cui cui cui…

Chaque « foi » que Gilles Hayparbal était surpris en train de parler tout seul, ma gueule, il répondait invariablement que c’était la meilleure tactique tic tic tic… pour bien assimiler ses textes théâtraux, mon toto, car, vous l’aurez compris, déjà moutard(e me monte au nez !), le p’tit Gilou avait des prédispositions pour l’expression orale, poil au rectal. La médiocrité de son intelligence logico-mathématique tic tic tic… était largement contrebalancée par ses dons autisti… euh… artistiques, le loustic. Pour le dire autrement, sa faculté à ressentir les choses, Zardoz, et surtout les blaire… euh… les gens, était inversement proportionnelle à ses carences « cartésiennes », Annabelle. À n’en pas (re)douter, à le voir parler tout seul en extérieur, on pût (grave du cul !) le (mé)prendre pour un doux dingue, limite schizo, le zozo. L’absence d’oreillette qui pût justifier son comportement validait toute l’ambiguïté de son attitude, Gertrude. Mais Gilles Hayparbal n’en avait cure du jugement « d’autres truies », car Makassa serait toujours là… LALALÈÈÈÈÈÈRE ! … pour le protéger de la malveillance des blaireaux nuisibles… pour ne pas péter… un fusible. En fait, la stratégie idoine pour ne pas se sentir sous la tutelle de Makassa (quand bien même cela ne lui posait pas de problème particulier d’être en permanence directe avec « son ami ») était d’adopter une attitude autant insouciante que légère, poil au derri… L’équanimité face aux aléas et aux turpitudes de la vie n’était-elle pas finalement la solution, poil au fio… ? Certes, la bêtise omniprésente, omnisciente, et surtout omni(im)potente en ce bas (im)monde n’allait pas vraiment dans l’bon sens, « Hors danse »… Mais après tout (c’bordel !), comme l’a très bien dit ce brave Paulo, saint-Paul, pas Paulo Coelho (qui en Portugais veut dire « poil de cul ! ») : Où le péché abonde, la grâce surabonde (Saint Paul, 1er siècle, Epître aux Romains). Cela étant (dû des dégâts !), Gilles Hayparbal avait l’ultime conviction que sa collaboration avec Makassa serait de plus en plus prometteuse… d’emmerdes ! … Mais bon, l’essentiel étant de tomber… d’accord sur le principal, poil à l’a… ALLAAAAAAAAAAAAAH ! … poil à l’anal. Et partant de ce postulat, papa, il n’y avait aucune raison pour que « le p’tit Gilou » eût à le regretter, Maïté. Il s’était souvent posé la question si finalement Makassa ne remplaçait pas le frère (plus que le père) qu’il n’avait pas eu, mon glandu. Par con… séquent, « conte » tenu d’un passif un chouïa dans l’rouge… sang (doux euphémisme au regard de la suite du récit mon kiki), cette relation par procuration pût (grave du c… !) lui servir de soupape, mon pape. Mais Gilles Hayparbal « possédait » des ressources insoupçonnées, poil au néné. D’ailleurs, agir en solitaire avec « son ami virtuel » n’était pas pour lui déplaire, poil au sphincter… Car après tout, c’était tous les deux qu’ils avaient tracé le chemin qui prenait ses racines si loin dans le passé… Ce passé entêtant, obsédant qui avait dévoré présent et avenir potentiel, Anna… « thème ». C’était ce tandem atypique pic pic pic… également qui s’était initié aux sciences oc(cul)tes dès le début de l’adolescence, Hortense… Car on ne sait jamais ce que le passé nous réserve !

Assis dans un coin de la BM (Non pas BMW, mais Bibliothèque Municipale)), « le p’tit Gilou » s’était plongé dans la lecture de tout ce qui lui tombait sous la main, Satur… « Malin » ; magie (noire) et sorcellerie étaient devenues les sources de toute son inspiration, poil au fi… Il étudiait méthodiquement les rituels, les cérémonies, notant avec précision tous les détails, ma canaille, nourrissant chaque jour sa « passion » (« Souffrance », etymologiquement parlant) avec plus d’exigence, Hortense… Un jour qu’il AVÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉ ! … qu’il avait encore fui la compagnie de ses petits « camarades », le p’tit Gilou explorait en vain le rayon ésotérisme de la bibliothèque, gueule de métèque. Alors qu’il s’apprêtait à renoncer, un ouvrage attira son attention poil au… « Si tu ne trouves pas d’ennemi, songe que ta mère en a mis un au monde. » Immanquablement ce titre fit écho aux nombreuses invectives dont il avait fait l’objet, notamment durant sa période préadolescente… Mais même encore maintenant… Le taxant entre autres de marginal, le chacal. Alors, le p’tit Gilou, déjà très éveillé, rétorquait avec vigueur que la marge, c’est ce qui permet de faire tenir les pages… À bon entendeur… « Ça » ne le dérangeait aucunement de se retrouver tout seul contre tous… les blaireaux de ce bas (im)monde, Raymonde. Puisque plus qu’une impression, il savait pertinemment qu’il n’était pas tout seul… « Queue » Makassa était là pour le protéger, l’enculé.

Il paraît que la nostalgie dépend d’une tendance naturelle à idéaliser le passé, les kékés. Les endroits, les ambiances, les sensations poil au… associés au souvenir, sont presque toujours magnifiés. Revisiter ces lieux, revivre ces moments peut alors délivrer de leur caractère idyllique hic hic hic… Seulement pour « lui », cette délivrance ne s’était pas produite, tête de bite… Bien au con… traire, pauvre p’tit père… Son paysage intérieur ne lui permettait pas d’accéder « au-delà » des récifs infranchissables dressés entre son inconscient et son néo-cortex… poil au sexe. La seule échappatoire, ou plutôt, la seule alternative, « résident » dans le fait de « pouvoir » négocier avec Makassa, « papa »… PAPAAAAAAAAAAAAAAA ! …. Gilles Hayparbal savait trop à quel point cette opportunité demeurait le « poing » d’orgue (de « barbarie ») d’un projet redoutable mûri depuis qu’il était petit… Gilou, le loulou. En attendant… le « déluge », Makassa savait trouver les « maux » pour apaiser ses sentiments d’enfant intérieur, pôv p’tit coeur. Ce qui n’était pas du luxe, Pollux. Et puis rien ne vaut l’insouciance de la jeunesse, ma fesse, car une « foi » adulte, quitte à paraître redondant, « on » ne sait jamais ce que le passé nous réserve, Erve. Malgré la « protection » de Makassa, Gilles Hayparbal sentait (grave le soufre ! … « douleur ») bien que l’issue était inévitable, Aimable (« Sang » son orchestre !) Lorsque la nuit tombait, le p’tit Gilou se retrouvait à nouveau seul, ma gueule, et avec elle s’annonçait tout son cortège de « démons » (« sang » merveilles)… de chez Nécronomicon, mon con. En fait, l’enfant intérieur de Gilles Hayparbal ressentait bien qu’il n’est pas dans la vie de plus grande menace que de se sentir (grave des yeps !) abandonné, poil au néné, de rester seul au (im)monde, Raymonde. Du reste (et bientôt « des restes ! »), la psychanalyse a appelé cette grande peur de l’homme « l’angoisse de séparation », poil au f… Et plus nous sommes jeunes, plus atroce est cette angoisse de se sentir (grave la chiasse !) abandonné, car le petit tou risque vraiment de perdre la vie, pôv kiki, lorsqu’il n’est pas con… venablement protégé et soigné (Je vous invite à consulter les travaux du neuropsychiatre et psychanalyste Boris Cyrulnik sur le sujet). Le plus grand réconfort du p’tit Gilou était donc de savoir qu’il ne serait jamais abandonné. Par con… séquent, avec Makassa, sa(le) protection était assurée pour l’Eternité, Maïté. Déjà dès sa plus « tendre enfance » on cataloguait le p’tit Gilou de « droll » de zèbre par les blaireaux qui rentraient par la force des choses en interaction, parfois même de manière vulgairement intrusive à tendance beaufitude, dans son Univers fantasmagorique hic hic hic… En « réalité », de nos jours, le zèbre est considéré (Et pas « con sidéré » cette fois-ci) comme HP ; à savoir Haut Potentiel, Annabelle, et pas Hôpital Psychiatrique trique trique trique… Et plus il avançait en âge, plus Gilles Hayparbal AVÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉ ! … avait une haute opinion de lui-même, Germaine. Aussi, il estimait, sans beaucoup s’tromper, que personne n’était assez bien pour lui cui cui cui… Seul Makassa pouvait répondre à ses attentes, ma tante, et ses convictions, poil au fio… « Par foi », avec un peu de recul sur lui-même, il se demandait si Makassa n’était pas « tout simplement » le symptôme d’un trouble de l’activité électrochimique de son cerveau, mon veau. « Grâce » à Inter(pas)net il avait fait feu… de tout bois dans ses recherches, poil au derche. Et il est vrai que par moments il se demandait s’il n’était pas atteint… de bipolarité, voire même de schizophrénie mon kiki.

La maman du p’tit Gilou craignait… « SA(LE) CRAINNNNNNNNNNNT ! … craignait que l'(E)sprit de son enfant puisse être saturé de fantasmes féeriques hic hic hic… au « poing » de ne plus pouvoir apprendre à faire face à la réalité, pôv bébé. Elle n’avait pas compris que c’est le contraire qui est vrai. Gilles Hayparbal avait analysé plus tard que si complexe qu’elle soit (Bourrée de con… flits, ambivalente, pleine de con… tradictions), la personnalité (in)humaine est indivisible. Et que toute expérience, quelle qu’elle soit, affecte toujours les divers aspects de la personnalité d’une façon globale, « Hannibal ». Et l’ensemble de la personnalité, pour pouvoir affronter les tâches (et bientôt les « taches », « sang » accent) de la vie, a besoin d’être soutenue, Manu, par une riche imagination , poil au f…, mêlée à un con… scient solide et à une compréhension claire de la « réalité », Maïté. Elle craignait fortement que la personnalité de « son » p’tit Gilou adoré, au moment le plus important de sa construction psychique hic hic hic…, ne se développât de façon défectueuse, la gueuse, dans la mesure où sa pédiatre attitrée (Et à grave tirer !, « con cernant » l’un des nombreux fantasmes du p’tit Gilou) l’AVÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉ ! … l’avait prévenue que dès que l’un des composants (Le ça, le moi ou le surmoi, le conscient ou l’inconscient) dominait l’un des autres et privait l’ensemble de la personnalité de ses ressources particulières, poil au derrière… Parce qu’il pût (grave du cul !) arriver qu’il se retirât du (im)monde, Raymonde, et passât la plus grande partie de son temps dans son royaume imaginaire, poil au sphincter. « On » a supposé à tort qu’une vie trop riche… en imagination, nous empêchait de venir à bout de la réalité, enculé. Mais c’est le contraire qui est vrai ; ceux qui vivent totalement dans leurs fantasmes sont en proie aux ruminations compulsives qui tournent éternellement autour de quelques thèmes étroits et stéréotypés, pépé. Loin d’avoir une vie imaginative riche, ces personnes sont emprisonnés et sont incapables de s’échapper de leurs rêves éveillés qui sont lourds d’angoisses et de désirs inassouvis, poil au zizii. Mais le fantasme qui flotte librement, qui contient sous une (dé)forme imaginaire une longue variété d’éléments qui existent dans la « réalité », fournit au moi un abondant matériel sur lequel il peut travailler, poil au pied. Freud disait « queue » la pensée est une exploration des possibilités qui nous évite tous les dangers attachés à une véritable expérimentation poil au f… La « pansée » ne demande qu’une faible dépense d’énergie, mon geek, si bien qu’il nous en reste pour agir dès que nos décisions sont prises, Denise, lorsque nous avons soupesé nos chances de succès et la meilleure façon de l’atteindre, sans geindre.

Lorsqu’il avait onze ans, le p’tit Gilou inquiéta fortement sa maman un jour où « Makassa » fut plus intrusif que d’ordinaire, le cerbère pépère. Quand bien même la période préadolescente est une étape pas toujours très facile à franchir, elle dut toute « foi » faire appel à SOS psychiatrie quand son fils dialoguait toutes les nuits dans sa chambre avec « son ami »… Et ce, pendant des heures entières, pôv p’tit père. Bien qu’un peu surpris, le p’tit Gilou n’opposa aucune résistance à accepter le dialogue avec le psychiatre en présence, Hortense.

« Bonsoir Gilles, comment vas-tu ? …

__ Bien… Et vous ?

__ Quel âge as-tu, Gilles ?

__ Onze ans.

__ Y a-t-il quelqu’un en toi ?

__ Des « foi ».

__ Quand ?

__ Ça dépend… de Makassa.

__ C’est une personne ?

__ Oui.

__ Qui ça ?

__ Je n’sais pas.

__ Makassa ?

__ …

__ Mais il est ici ?

__ Oui, des « foi ».

__ En ce moment ?

__ Je n’sais pas.

__ Si je lui demande, est-ce que tu lui permettras de me répondre ?

__ Non

__ Pourquoi ?

__ Parce que j’ai peur.

__ De quoi ?

__ Je n’sais pas.

__ S’il me parle à moi, Gilles, je « panse » qu’il te laissera tranquille après, qu’il sortira de toi. Veux-tu qu’il sorte de toi ?

__ Non.

__ Et pourquoi donc ?

__ C’est mon frèr… euh… mon ami. »

La médecine n’étant pas une science exacte, et encore moins la psychiatrie, ce fut à cet instant précis que le psy à deux balles commis la poubelle… euh… la plus belle boulette de sa(le) vie mon kiki.

« Je m’adresse maintenant à la personne qui est à l’intérieur de Gilles », dit fermement le psychiatre. « Makassa, si tu es là, je souhaiterais vivement que tu répondes à toutes mes questions, poil au fion… » Il fit une pause pour permettre à la suggestion de pénétrer en profondeur… Puis il la répéta : « Si tu es là, je serais enchanté de faire plus ample connaissance en répondant à toutes mes questions… Es-tu « las » ?

Silence. Et puis il se produisit quelque chose de curieux, mes « AÏE ! euh » : l’haleine du p’tit Gilou devint soudain fétide, Euclide. Épaisse, comme un courant, Rantanplan. Le psychiatre la sentit (grave la merde !) d’où il était, à presque un mètre, Électre (« au choc ! »)… La maman étouffa un hoquet de surprise, Denise. Les traits de son fils étaient con… vulsés en un masque malveillant, poils aux dents… Ses lèvres distendues s’étiraient en des directions opposées… Sa langue tuméfiée lui sortait de la bouche, pendante et pulsatile comme celle d’un loup… Garou.

 » Oh ! Mon Dieu ! » soupira sa daronne.

« Est-tu la personne qui est en Gilles ? » demanda le psychiatre.

L’enfant fit signe que oui.

« Qui es-tu ?

__ Makassa » répondit-il d’une voix gutturale.

« C’est ton nom ? »

Il acquiesça.

« Es-tu un homme ?

__ …

__ Parles-tu en une langue étrangère, poil au derrière ?

__ …

__ D’où viens-tu ?, poil au cul. »

Soudain, la maman du p’tit Gilou se vomi… euh… se rendit « conte », non sans frissonner, que la (mauvaise) réputation que se trimbale la psychiatrie avec tout son cortège de psychiatres se traînant des casseroles au cul, les farfelus, comme « couac » ils soient plus frappés et barrés que leurs patients, prenait finalement tout son (non)sens à l’instant T (« T » comme Trépané !). À l’é… ALLEEEEEEEEEEEEEEEZ ! … À l’évidence, les derniers propos de ce préposé s’occupant « normalement » de soigner les maladies mentales, poil au trou d’balle, semblaient pour le moins frôler l’incohérence pathologique « geek » geek » « geek »… hic hic hic… Malgré tout (c’bordel !), elle décida de garder bonne figure tant que, celui habilité à « panser les anomalies » psychique de son rejeton, ce con, ne partÎt pas trop en couille, mon andouille,… dans l’potage… à l’andouille. « Conte » tenu du regard appuyé qu’elle lui lança, le psychiatre réfléchit un instant, puis tenta une autre approche, Totoche.

« Maintenant, quand je te poserai des questions, Makassa, tu me répondras par un signe de tête Nardine bebek ! ; tu hocheras la tête pour oui et tu la secoueras pour non mon con. As-tu compris ? »

Le p’tit Gilou fit signe qu’il avait… « con pris ».

« Tes réponses avaient-elles un sens ? demanda-t-il. Oui.

__ Es-tu quelqu’un que Gilles a connu ? … Non.

__ Dont il a entendu parler ? Non.

__ Es-tu quelqu’un qu’il a inventé ? Non

__ Existes-tu vraiment ? Oui.

__ Une partie de Gilles ? Non.

__ N’as-tu jamais été une partie de Gilles ? Non.

__ Est-ce que tu le détestes ?

__ … »

Soudain, un ange (du démon !) passa, et dans ce silence oppressant l’haleine du p’tit Gilou empuantissait la pièce, poils aux fesses, paraissant s’exhaler d’intestins putrides en décomposition, poil au fion (C’est le « caca » de le dire !)… Ici. Et loin pourtant. Lointainement sinistre, poil au bistre. Les sons qu’émettait le p’tit Gilou AVÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉ ! … avaient nettement un rythme et un caractère plus guttural « queue » nasal, poil à l’a… ALLAAAAAAAAAAAAAAH ! …, poil à l’anal, à l’oreille des protagonistes en « présence », Hortense. Comme un dédoublement « deux » la personnalité, Dédé… Un accès… un excès « deux » schizophrénie, mon kiki. A n’en pas (re)douter, le p’tit Gilou attribuait un nom à son autre moitié yé yé yé… Il s’adressait à lui-même, et la fa(r)ce cachée tapie dans l’Ombre avait un nom : MAKASSA ! … La consultation prit fin lorsque le psychiatre fut saisi d’une… crise cardiaque foudroyante! … « La bonne nouvelle » étant, que d’après les préposés du « SAPU » (La dénomination n’étant pas du luxe, Pollux, compte tenu de l’odeur nauséabonde régnant dans la pièce, ma fesse), le sujet « navet » pas souffert, pôv pépère… Suite à cet « incident » fâcheux, tête de noeud, la maman du p’tit Gilou en déduisit que, tout « conte fée » (et gestes), mieux ne valût pas trop interférer entre son mouflet et son « meilleur ami » Makassa tralala…, sous peine de faire un caca nerveux, le morveux. « On » pût (« gras » du cul !) même « con sidéré » que ce brave psychiatre avait eu une fin d’vie plutôt clémente, le branque… au regard du sort… ilège des futures victimes de Makassa… Car le pire « né » jamais décevant ! les enfants.

Ce fut seulement à partir de sa période pré-pubère que le sobriquet « p’tit Gilou » se mua progressivement en Gilles Hayparbal, les « trous d’balles ». Toujours de nature aussi solitaire, le p’tit père… c’était donc tout seul également qu’il s’était initié aux sciences occultes… et au cul turlut(e)utu. Dans cet océan de solitude qu’était sa(le) vie (et son vit) depuis tant d’années, Gilles Hayparbal avait perdu l’habitude de « la bite rude », et de lier son existence à celle des autres… Si tant est qu’il y eût un lien, si ténu soit-il, Odile. Lorsqu’il était « possédé »… par le blues, il se disait que « le temps » (n’existe pas !) était peut-être venu de changer, Gégé. Mais il savait combien le fait d’avoir une ou plusieurs attaches pût grave du cul et être synonyme de faiblesse, ma fesse. De toute manière, il n’avait jamais pu(du « glandu ! ») supporter cette désagréable sensation de se sentir dominé par qui que ce fût, l’hurlurbelu. Seul Makassa était en droit de lui donner un semblant de directives… Et encore ! Intuitivement, Gilles Hayparbal « croyait » fermement en l’existence d’une autre dimension, poil au fion… Par con… séquent, qu’il avait un pied dans chacun de ces deux « mondes », Raymonde. Celui dont il était con… scient était le monde temporel, ma brêle. Mais, de « temps en temps », un drôle de phénomène du genre Makassa le rappelait à l’ordre. En ce sens, que leur relation était intemporelle, et donc en dehors du temps (n’existe toujours pas !) Rantanplan…, et que le futur et le présent n’y sont qu’une seule et même chose, Zardoz. C’est la raison pour laquelle que, quand Gilles Hayparbal sentait quelque chose dans cet autre pied, « Grâce » à Makassa il parvenait à voir le futur, Arthur… Mais bon, qui peut savoir vraiment ? Peut-être se trompait-il… Peut-être que tous les événements à venir n’étaient finalement que coïncidence, se morigéna-t-il par moments. Gilles Hayparbal était tellement sûr d’être « protégé », qu’en pleine période de pandémie, il ne s’embarrassait pas d’un masque chirurgical à deux (trous de) balles à la… ALLAAAAAAAAAAAH ! … à la mords-moi l’noeud, pour têtes de noeuds, qui ne servait strictement à rien, poil au chien, de son point de vue, poil au c…, sinon à camoufler un peu plus la sournoiserie déjà autant omniprésente qu’omni(in)potente chez tout à chacun, les coquins. Et malgré le décret obligatoire, pour ces (bonnes) poires, il bravait la loi en fixant droit dans les yeux toutes celles et ceux qui le dévisageaient avec désapprobation, poil au… Même la police n’osait pas le verbaliser, comme s’il dégageait de lui une aura sulfureuse… Pour ne pas dire sulfurique hic hic hic… Comme l’acide. À « croire » que Makassa transparaissait et transpirait à travers tous les « porcs » de la (pas de) peau de l’ex « p’tit Gilou » bouh ! bouh ! bouh ! … Il est arrivé une « foi » (Mais pas deux !) que Gilles Hayparbal se rebellât envers Makassa en le houspillant sur le fait (exprès) qu’il contrôlait un peu trop sa vie mon kiki… Bien mal lui en « apprit » ! … Il resta cloué… Non pas comme Le Christ… Mais au pilori dans son lit, malade comme un loup (Oui, il préfère cette appellation plutôt que chien, qui, à son sens, est totalement dévoyé dans la mesure où ce digitigrade « né » pas naturel, bande de brêles)… Garou, où le cycle de la pleine Lune eût « mâle » tourné », poils (de loup… garou !) au nez. En « et fée », une crise d’urticaire fou… droyante avait pris « possession » de tout son corps, Hector. Avec, pour valider l’ensemble, l’irruption soudaine de nombreuses cloques, pôv Shadok, sur tout le visage, ainsi que des gerçures sanguinolentes sur les lèvres… Malade comme un chien… galeux mes « AÏE ! euh ». À tel point qu’il envisagea sérieusement à appeler le « SAPU » (grave du cul !), tellement les effluves pestilentielles émanant de son corps de chez porc étaient épouvantablement nauséabondes, « Raie »monde… Et ce n’était rien « con »… paré à son haleine de phacochère, poil au… Mais bon, il savait pertinemment que, paradoxalement, c’était un signe de bonne santé, l’enculé, dans la mesure où en réalité toute maladie rappelle que le corps se défend, mes zenfants. Finalement, jaugeant que la situation était critique hic hic hic… mais pas désespérée, Gilles Hayparbal décida de faire profil bas… les « masques » (Sans jeu de « maux », à l’heure actuelle), et entama une longue série de prières improvisées à l’instant T (« T » comme Transcendance) à l’encontre de Makassa afin qu’il cesse de le torturer ainsi, Sissi. Pour autant, Gilles Hayparbal n’échappa pas à l’emprise qu’exerçait Makassa sur sa personne, ma trogne… Mais de manière plus sournoise, Françoise. Dans les moments de fortes « à tensions »… ATTENTIOOOONNNNNNN ! …, lâcher tout paraissait à Gilles Hayparbal la seule solution qui lui restait pour ne pas devenir fou, pôv loulou… Lorsqu’il se sentait (grave la chiasse !) oppressé et avait du « mâle » à respirer, les seuls plaisirs qui lui restaient à l’instant T (« T » comme Trauma !) étaient de « fuir » dans des sessions aussi sportives que créatives… en plus de la branlette, Bernadette. Ses ten… « fions » s’apaisaient alors momentanément, poil au gland… baveux, « tête de noeud ». Mais il restait « con vingt culs » que rien ni personne ne pouvait l’aider, Dédé. Il se sentait (grave l’étron !) prisonnier en quelque sorte. Il passait par « foi » des heures à rouler la nuit à moto mon toto, chevauchant sa FAZER (La moto… Pas le vaccin !) avec l’énergie du désespoir, ma pôv poire, fuyant dans ses fantasmes plein de miasmes, tout en essayant de se reprendre, Alexandre. Et si cette virée ne suffisait pas à calmer ses ardeurs, pôv p’tit coeur, il astiquait à nouveau son engin… reproducteur (qui ne « reproduisait » finalement que le mouvement aussi frénétique que compulsif du va et vient de sa main, « Saturmain ») devant des films « de charme » asia…TRIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIQUE ! … Résultat des bourses… euh… des courses, il s’apercevait qu’il « phallus » faire fonctionner correctement sa cervelle, Annabelle, à tout moment… MÔMAAAANNNNNNNNN ! … afin d’éviter à tout prix que Makassa, sournoisement, ne s’en emparât et ne la malaxât jusqu’à la manipulation, poil au fio… la plus totalitaire, poil au derr… à ses « propres faims », Satur… « Malin ». « Par foi », le simple fait de mettre un peu d’ordre dans ses affaires le « recadrait » quelque peu mon n’veu. Mais à d’autres moments… MÔMAAAAAANNNNNNNNNN ! …, quand le malaise était par trop pugnace, Horace, et qu’un grand vide intérieur comparable à un trou d’balle (On dira pas trou noir, ça fait présomptueux, voire mégalo !) s’instaurait, il s’apercevait alors qu’en dehors du ménage… « ta monture ! », il n’y avait pas grand chose à faire, pôv pépère. Ce « faisan », ce fut en passant le plumeau(cul) que Gilles Hayparbal tomba… (et fit tomber) sur un ouvrage de papy Freud intitulé Métapsychologie, mon geek. Et comme « par hasard », Balthazar, le bouquin avait atterri à terre ouvert à la page où il AVÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉ ! … où il avait stabylobossé en jaune fluo ce passage (à tous les niveaux !) : On peut aller plus loin et avancer, pour étayer la thèse d’un état psychique inconscient, que la conscience ne comporte à chaque moment qu’un contenu minime si bien que, mis à part celui-ci, la plus grande partie de ce que nous nommons connaissance consciente se trouve nécessairement, pendant les plus longues périodes, en état de latence, donc dans un état d’inconscience psychique hic hic hic… fut l’onomatopée qu’hoqueta Gilles Hayparbal après avoir lu l’extrait, puis refermer le livre pour le ranger soigneusement dans sa bibliothèque déjà bien fourni, bibii. Partant du postulat que l’inconscient est la clé… de voûte, pour ne pas dire « voûté », de la psychanalyse, Denise, le « comparse » de Makassa se demandait par « foi » s’il ne serait pas judicieux qu’il entamât une psychothérapie ou autre analyse de la même crèmerie, Kiri… le « .clone ». Mais Makassa était tellement rusé qu’il trouverait bien le « moyeu » de piper… les dés, l’enculé. Par con… séquent, mener en bateau, et l’anal… ysant, et l’analysé, Alyzée. À savoir, Cruche et Cruchon, mon con. Quant à avoir recours à un exorciste, pour son « kyste », « faux »… drait déjà en dégoter un, mon marsouin… Si ça existe toujours au XXè siècle ! Le cinoche c’est bien, mais il « faux » tout d’même raison gardée, l’illuminé.

Oune « Poltergeist » qui révéni dou Portougaaaal… Lui revint alors le souvenir de cette chanson de variétoche, Totoche, à deux balles de Linda…, non pas Linda Blair, mais De Souza, à l’instant même où il alluma son ordinateur, tout en se penchant comme un vautour au-dessus de l’écran pour découvrir avec stupeur des images que seuls, David Lynch, Tobe Hooper, Mario Bava, George Romero, Dario Argento, sans oublier bien sûr William Friedking & Con… sorts… VITE D’ICI ! … eût pu « commettre »… en mode « spectres ». « Sang » même qu’il n’ eût besoin de pianoter sur son clavier, Gilles Hayparbal voyait défiler, et surtout « défier » devant ses yeux sur son écran 66,6 pouces des images, pour le moins « con » puisse dire, à connotation allégorique hic hic hic… Poltergeists je vous ai reconnu ! se surprit-il à « panser » à l’instant T (« T »Comme Terreur !)… Un medley des moments forts de son existence se déroulait en accéléré face à bibi, mon kiki. NOM DE DI… ABLE ! … C’est à se demander si, en lieu et place d’être connecté, il n’était pas lui-même… déconnecté, en mode déconné, pôv bébé. D’aucuns affirment que quand les gens évitent de regarder certaines photos et certains films de leur vie (tré)passée, cela signifie qu’ils ne sont pas guéris de leurs traumas, papa… PAPAAAAAAAAAAAAAAA ! … FUCK ! alors… Gilles Hayparbal osait, non plus espérer, mais pour « le coup » prier par tous les Démo… euh… Saints, qu’il n’était pas atteint de… Démonomanie, ma « granny ». Car « ceux » qu’il voyait sur (ou dans) l’écran étaient… bibi en personne, Yvonne… mais en plusieurs versions, poil au f… Et à plusieurs endroits différents mes zenfants ! … Ou peut-être, plusieurs « dimensions » poil au… Ce fut alors qu’il se remémora un bref souvenir remontant à sa crise d’adolescence, Hortense, où le peu d’entourage lui rappelant « au temps » (n’existe pas !) que faire ce peut qu’il n’était pas tout à fait seul, ma gueule… Doux euphémisme quand « on » savait, qu’effectivement, il n’était pas tout seul… dans sa(le) tête, Bernadette… « Sous biroute ». Qu’en l’occurrence ses proches le surprenaient plus souvent qu’à son tour à débiter d’interminables logorrhées haute et fort, et surtout haute en couleurs diverses et variées yé yé yé… tout en prenant des intonations de « voie » plus différentes les unes que les autres, « l’apôtre »… de MAKASSA ! Alors il leur répondait avec son petit rictus de naissance qu’ils ne devraient surtout pas s’inquiéter… Qu’ avant il était schizophrène, mais que maintenant « nous » allions beaucoup mieux… Makassa et moi.

Il y avait vraiment des moments… MÔMAAAAAANNNNNNNNNN ! … où Gilles Hayparbal AVÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉ ! … avait « réellement » l’impression que le, ou plutôt son (im)monde peuplé de chimères plus fantaisistes les unes que les autres se disloquait, et que des entités diaboliques, tendance colique, dont une plus particulièrement, émergeait à la surface de sa « con science » et flottait sur le lac dont les apparences trompeuses laissaient « entendre » qu’ apparemment tout était calme et « queue tout baignait ». Bref, un lac aussi serein que celui du Loch Ness, ma fesse. Selon la légende, un « monstre » crèverait « l’écran » à intervalles « traits » irréguliers, l’enculé. Du reste, Ernest, personne ne lui a jamais trouvé de nom à ce con… Sauf peut-être, Gilles Hayparbal qui avait par moments « la chance » de communiquer avec celui qui baignait en permanence dans le lac autant fangeux « queue » nauséabond de son inconscient de chez « un con chiant » les enfants. Et si ce « monstre » s’appelait en réalité MAKASSA ! … dont l’émergence incontrôlable, de temps à autre, lui envoyait des « messages » plus ou moins refoulés de longue date. C’était sans compter « queue » c’était ouvrir également, non pas la boîte à Pandore, Hector, mais la,ou les portes à la somatisation poil au… Et se mettre en danger mon bébé. Il fallait donc « la cueillir » cette petite bête, négocier, puis l’apprivoiser du mieux possible en y allant mollo mon coco. Et Gilles Hayparbal pressentait « queue » dans ces conditions, cela pouvait être, en lieu et place d’un « lac », dont la sérénité était inversement proportionnelle à sa dangerosité, une « source » d’évolution inépuisable. Mais cela devenait urgent que Gilles Hayparbal renoue avec le p’tit Gilou mon loulou. Retrouver cet enfant intérieur « Divin », Saturnin. Il avait l’irrépressible sensation que tout au long de l’existence, c’est ce qui lui permettrait d’être l’autis… euh… l’artiste de sa « propre » vie mon kiki. Pour autant… en emporte le gland, de chez boloss, devait-il véritablement accorder du crédit plus que « Ça » à sa part d’irrationnel, Annabelle, pour ne pas dire d’Ombre ? Makassa lui avait fait sentir… le soufre… Mais pas « queue »… du diablotin squattant en lui cui cui cui… Durant l’enfance du p’tit Gilou et aux alentours de la cinquantaine, quand la vieillesse s’annonce et qu’il « faux » bien envisager la mort, Hector. Quoi qu’il en « Soi », Gilles Hayparbal souhaitait de tout (haut de) coeur que si Makassa n’était pas réel, peut-être l’aiderait-il à mettre un peu d’ordre dans son monde intérieur, en personnifiant respectivement ses désirs les plus ardents, ses pulsions destructrices, ses peurs et les exigences de sa conscience, Hortense. Pour le moins, il osait espérer ne pas être captif de Makassa. Beaucoup de gens éprouvent le fait d’avoir une Âme, de lui parler et qu’elle leur parle. « Con cernant » Gilles Hayparbal, Makassa serait-il le patronyme métaphorique de son Âme ? … À la… ALLAAAAAAAAAAAAH ! … À la base, Gilles Hayparbal n’était pas quelqu’un qui « croyait », car « croire », c’est ne pas savoir, comme il aimait à « panser ». Or lui, intuitivement, il « savait » au plus profond de sa chair, le p’tit père, il ne pouvait nier ce qui lui était arrivé bien des années « au paravent »… Il ne pouvait l’effacer. En « réalité », c’était plus que de la foi qu’il ressentait, c’est indéniable. Désormais, il n’aVÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉ ! … il n’avait plus peur de la mort, Hector. Quoi qu’il en « Soi », Gilles Hayparbal était de plus en plus d’accord avec l’adage selon lequel on n’sait jamais ce que l’passé nous réserve. Quant bien même on met tout en oeuvre pour se voiler la face, Horace, il y aura toujours un « Makassa » pour nous rappeler à l’ordre tôt ou tard, Babar… Et bien souvent de manière sournoise, Françoise. Mais la fourberie, Gilles Hayparbal en connaissait un rayon mon con… Surtout dans les affaires, poil au sphincter. Pour « Ça », Makassa pouvait lui être fort utile, Odile. Mais paradoxalement, le « compagnon » de Makassa se vomi… euh, se rendait très souvent dans les églises, Denise. Il pouvait lui arriver d’y entrer trois « foi » par jour, Abdelghafour, à Sainte Eustache. Mais il pouvait prier aussi bien chez lui cui cui cui… les p’tits zozos… allongé sur son lit tout en écoutant la B.O. de The Exorcist, poil au kyste. D’une certaine manière, il avait compris le caractère con… « crée » de l’eucharistie dans la religion « cathodique » hic hic hic… Il croyait en la présence réelle du « Saigneur » à la téloche et au cinoche, Totoche… Cela pût (grave du cul !) paraître irrationnel, Annabelle… Mais pourquoi pas ?

Gilles Hayparbal s’efforçait constamment d’em »péchés » ses pensées négatives le « posséder », de prendre mauvaise tournure, en mode « ordure ! » Il se perdait, « par foi », dans leurs (en mode « leurre ») con… « fusions », poil au fion, de sorte que, au lieu de trouver les mots qu’il cherchait, les « maux » susceptibles d’expliquer à Makassa ce qu’il éprouvait, mon dadais, il se sentait (grave le vomi !) devenir incohérent de chez « un con errant ! », Rantanplan ; il commençait à étouffer (« à l’étouffée !)… grave de colère, poil au sphincter, et tout ce qu’il voulait, alors, était s’enfuir le plus loin (im)possible… « Sang »fuir de lui-même, et pas autre chose, Zardoz. Mais « couac » qu’ « Il » en fût, « Il » était inutile d’essayer d’analyser tout « Ça ». Sa(le) capacité de réflexion était anéantie par moment… MÔMAAAAAAAANNNNNNN ! … par des sentiments (très) puissants qui le stoppaient (pas) net « sang » peine, ma teigne, car ils étaient infiniment plus forts que lui cui cui « CUIT ! »… Ces « sang »timents se dressaient contre des « ancêtres », des rappels d’un passé, de chez « trépassés ! », dont il ne put (jamais du cul !) à « peine » se souvenir, Nadir… « AMOK ! »…, mais qu’il Lui « phallus » pourtant se rappeler, « à faim » de pouvoir reprendre le con… trôle (pas drôle !) de lui-même. C’étaient ces « sang »timents immenses, « Hors danse », et qui apparaissaient voilés en mode « violés », triomphants et laids, qu’il lui fallût affronter, avant « d’affronter »… MAKASSA ! … Il ne servait « strictement » à rien d’essayer de lui « parler », à c’t’enculé, si c’était pour se « maître » à bafouiller yé yé yé… Gilles Hayparbal ne savait pas par où… OULALA ! … par où commencer. À l’é… À L’AIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIDE ! … À l’évidence, par moment… MÔMAAAAAAAAANNNNNNNN ! …, il éprouvait de la haine pour lui-même, en mode Makassa ; et ce « sang »… timent empirait de jour en jour, Abdelghafour. Il sentait (grave le soufre ! … « douleur ») que « Ça » empirait parce qu’il parvenait, « par foi », à se souvenir des sentiments qu’il éprouvait jadis, Maken… « pisse »…, et ce qui lui paraissait si pénible alors, mon porc, n’était rien « con paré » à ce qu’il endurait aujourd’hui, car « on » ne sait jamais ce que le (tré)passé nous réserve ! Il lui fallut beaucoup de temps (n’existe pas !) pour ré… « fléchir ». Il lui fallut (se faire) avoir la possibilité de séparer l’image « grave » détestable, mon notable, qu’il avait de lui-même, en l’occurence (de chez « loque du rance ! ») MAKASSA !, ce « cancre las », de l’homme qu’il était « réellement », maman… MAMAAAAAAAANNNNNNNNNN ! …, « à faim » de prendre du recul, Hercule, et décider « couac » faire, poil au derriè…, car sa(le) vie était « bien » loin d’être insignifiante, et ce n’était pas le genre (et encore moins le « gendre idéal ! ») d’homme à se laisser diminuer, poil au nez ; à n’en pas (re)douter, ce n’était pas un mec ordinaire, le pépère. c’est pour « couac » il lui fallut du temps (n’existe pas !) pour réfléchir afin de se libérer… LIBÉREEEEEEEEEEEEEZ ! …, de se libérer, une bonne « foi » pour toutes, de cette (mauvaise) part d’Ombre (« sang » oublier pour autant que de l’Ombre naît la Lumière !, poil au sphincter), cette « grave » partie détestable de lui-même qui se « con portait » comme un pôv diable de chez… MAKASSA !

À partir du moment… MÔMAAAAAANNNNNNNNNNN ! … où Makassa a été autant capable « queue » (du Diable) coupable de « pénétrer » en moi, pourquoi ne serait-il pas vivant dans l’hostie, pour bibi, se morigénait régulièrement Gilles Hayparbal, poil à l’a… ALLAAAAAAAAAAAAAH ! … poil à l’anal. Aussi surprenant que cela pût (grave du cul !) (ap)paraître, sa « pansée » de Dieu était assez permanente, joyeuse même. Et il se battait contre tout « entristement » de la religion, poil au fion. Il sentait (grave le soufre !) bien que tout à chacun (pour « Soi ») d’entre nous était amené à (tré)passer de l’autre côté du miroir, ma pôv poire. En temps voulu, lorsqu’il prenait un peu de recul sur lui-même, en évitant de trop s’identifier à son Ego, alias Makassa, Gilles Hayparbal se vomi… euh… se rendait compte qu’il était en proie, pour ne pas (« maux »)dire la proie, d’une myriade de « sang… t’y mens » con… tradictoire, Charles-Édouard. Il y AVÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉ ! … Il y avait vraiment des « mômans » où il sentait (grave la merde !) comme « une chose », Zardoz, qui bougeait à l’intérieur de son (E)sprit, mon kiki… Quelque chose qui crevait… « d’en vie » d’émerger, tel un dragon hideux dans les profondeurs de ses entrailles, ma canaille. Dans ces cas-« las », il suffisait de respirer calmement quelques instants pour « queue »… du dragon, retourne dans sa tanière,mon cerbère ; et si cela ne suffisait pas, « queue » le monstre rugissait toujours dans l'(E)sprit de Gilles Hayparbal, alors il chaussait sans tarder ses pompes de Running dans l’ultime dessein de calmer un peu… Je dis bien « un peu », toute velléité d’agressivité de Makassa, papa.

Un homme ne pouvait cacher sa véritable personnalité des années « Durant », Guillaume. Tôt ou tard certaines pulsions pouvaient refaire surface « sang » crier gare, et sa(le) véritable nature, en mode « ordure », reprenait ses « droits » (dans l’mur !) ; chassez le naturel etc. Même s’il arrivait à maîtriser la présence de Makassa, qu’il parvenait tant bien que « mâle » à le « con tenir », Nadir… « AMOK ! », Gilles Hayparbal était un (in)humain extrêmement secret en mode « réserve »… Z’ALLEZ VOIR C’QUE J’VOUS « RÉSERVE ! »…, alors qu’il feignait (mais pas feignant !) d’être ouvert en mode aware, Jean-Claude. Mais sous ses dehors… DEHOOOOOOOORS ! …, sous ses dehors aimables et débonnaires, le p’tit père, c’était finalement quelqu’un de très… TRÈS DANGEREUX !, mes « AÏE ! … euh. » Qui n’a jamais entendu ce genre de réflexion : « Il n’est pire eau que l’eau qui dort. » ou : « Lorsque tu as agi ainsi, je ne t’ai pas reconnu… Ce n’était pas toi ! ». Tout est dit ! … Mon kiki… Pour ne pas dire « Mon Makassa ». Cela signifie tout simplement qu’une entité, aussi bien à part entière, que particulière, interagit, ou plutôt, intercède en notre (dé)faveur… Peut-on alors parler du fameux syndrome de l’imposteur, c’t’enculeur ? … Si « jeu » n’m’abuse… docteur Mabuse. Gilles Hayparbal se le demandait assez souvent, mes enfants. Car, s’il faisait tout son possible pour poser des limites, tête de bite, via son surmoi, alias « son gendarme intérieur », en revanche, Makassa pouvait sans aucun complexe… SANS AUCUN COMPLEXE, JE NE « VOEUX », AVOIR DE RÉFLEXES, MALHEUREUX… outrepasser ses droits… dans l’mur, l’ordure ! … Qui plus est, Gilles Hayparbal n’avait jamais eu besoin de nounou, poil au genou, et n’avait jamais eu recours à un doudou, « pour le coup »… foireux, et n’avait pas encore atteint l’âge pour recourir aux « sévices » d’une auxiliaire de vie, mon kiki. Par « foi », Gilles Hayparbal avait grave l’impression de retomber… en enfance, Hortense. Il redevenait le p’tit Gilou que les « adultes » avaient admiré mais qui s’étaient lassés et s’étaient détournés… BANDE D’ENCULÉS ! … pour parler d’autre chose, Zardoz… en l’oubliant, malgré toutes ses danses, « Hors danse », et ses sourires, ses poses et ses cris : REGARDEZ-MOI ! REGARD… »ÉMOOOOIIIIIIIIII ! » … Ils ne semblaient pas l’entendre ces blaireaux, et ils finissaient par s’exclamer : OH ! TAIS-TOI DONC ! VA JOUER ! … Ce « faisan », le p’tit Gilou s’en allait… À L’AIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIDE ! … « sang » allait donc, tout renfrogné, la tête rentrée dans les épaules, « s’amuser » d’un pas mal assuré… Makassa, quant à lui, interprétait ce genre de remontrance d’une autre oreille, Mireille.

Et ce ne fut seulement qu’à l’instant T (« T »comme Terrifiant !) que Gilles Hayparbal vit sa tronche improbable, pour ne pas dire atypique pic pic pic… placardée sur les devantures kiosquiers du quartier – ça fait chier ! – ainsi que les reportages télévisés, lorsqu’il se baladait à l’étage réservée aux multimédias de la FNAC (« Fuck Normopathes À Chier ! »), sur la pléthore (et non pécore !) d’écrans plasma en mode plasmatique tic tic tic…, compte tenu du rapport, de chez « rat porc », sanguin, Saturnin, associé à la thématique le « con… cernant », mes enfants. Manifestement, et surtout visiblement, il n’avait plus aucun con… trôle (Si tant est qu’il en eût !, poil au cul) sur Makassa, papa, au vu des dommages collatéraux ayant « éclaboussés » ses con… (dé)génères, poil au derrière… À l’é… ALLEEEEEEEEEEEEEEEZ ! … À l’évidence, en avançant en âge, Gilles Hayparbal AVÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉ ! … avait perdu la vitalité de jeune chiot du p’tit Gilou, pôv loulou, pour être définitivement remplacée par l’emprise omniprésente, omnisciente, et surtout omni… impotente de Makassa tralala… Lorsque les préposés à la vente et autres démons… (cas) tratrices (aux regards pleins de vices !) commencèrent à le dévisager grave sa race, l’acheteur potentiel prit la direction de l’escalator comme un Prédator, Hector, la tête rentrée dans les épaules docteur… Popaul… en arborant la même attitude, Gertrude, qu’à l’époque du p’tit Gilou, poupoupidou.

En règle générale, la loi stipule que tout occupant d’un logement doit souscrire « obligatoirement » une assurance « multirisque » habitation (MRH…, et pas en mode MDR !) ; doux euphémisme !, compte tenu de ce qui va suivre… Ce contrat permet de « protéger » (dans certaines limites !) l’environnement familial lorsque l’on est responsable ou (« grave ») victime d’un « sinistre » (c’est bien le « maux » qui convient !), notamment en mode DDE (Dégât Des Eaux)… Mais quid (de chez « COUIC ! ») d’un DDS (Dégât Du… SANG !). Pour sa(le) toute première acquisition en tant que primo-accédant, ce jeune couple « fraîchement émoulu » ne fut pas déçu du voyage… dans… L’HORREUR ! …, lorsqu’un « beau matin » en se réveillant (après avoir fait « mousser l’poisson » une grande « party » de la nuit cui cui cui…), le jeune homme put (grave du cul !), le premier, sentir (« gras » du zguègue !) une (dé)goutte lui tomber dans l’oeil, Montorgueil…, puis une deuxième, une troisième… Après s’être saisi d’un bout du drap (pas complètement taché des « traces corporelles » de la nuit) pour s’essuyer, il put (grave des roubignolles !) constater que c’était rouge ! … Rouge comme… DU SANG ! … « BON SANG ! », s’écria-t-il ; et lorsqu’il leva les yeux au plafond, à l’é… À L’AIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIDE ! …, à l’évidence, au travers d’une portion de celui-ci filtrait, ou plutôt suintait ce qui ressemblait « grave » à de l’hémoglobine, tête de pine…, du moins, si ce n’était pas du sang, « sa(le) » y ressemblait beaucoup, « pour le coup ! ».

LE CORPS D’UNE FEMME RETROUVÉ DANS SON APPARTEMENT TRANSPERCÉ DE 666 COUPS DE COUTEAU

… titrait en première page le journal du matin Le blaireausapiens. La police enquête sur les circonstances de sa(le) mort (par « un porc ! ») ; mais compte tenu de l’état de la victime, tout laisse à « panser » que le modus opérandi d’un tel massacre serait « propre » à un « grave » désiquilibré, mon timbré. Et dans cet article (« de la mort »), il y avait vraiment de « couac » se faire un « sang d’encre ! »

MAKASSA MAKASSA MAKASSA… tapissé partout dans tout le logement de la victime… écris… ET CRIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII ! … avec son propre sang… « BON SANG ! »… ne put (jamais du cul !) « sang péché » de lancer « l’enquêteur » dépêché sur place, Boniface.

Selon les tous premiers éléments obtenus via l’enquête de voisinage, madame Assakam était une femme « relativement » paisible qui, « manifestement », ne recevait jamais personne. Retraitée depuis peu, elle affectionnait de longues balades dans le bois de Vincennes, l’ancienne, et tout particulièrement autour du lac Daumesnil, la sénile. Malgré les efforts constants de toute l’équipe judiciaire pour demeurés… discret sur l’enquête en cours, Abdelghafour, tous les occupants de l’immeuble furent vite mis au courant de quelle horrible façon leur « gentille » voisine avait été massacrée, et « pour le coup », avaient de fait fait appel au service du serrurier du coin pour grave blinder leur apparetement, Rantanplan. Bien « en tendu », la crim s’était abstenu de leur signaler que plus de 80 % des homicides commis à domicile étaient généralement « exécutés » par un proche, Totoche, ou pour le moins par quelqu’un que la victime connaissait déjà un peu, mes « AÏE ! … euh ». Mais bon, comme « on » dit : le malheur des uns fait… le « malheur » des autres ! Monsieur Margou Lin se fit donc des couilles en or sur « ce coup-là », mon loufiat, car comme chacun sait, à l’instar de nombreux artisans, notamment les plombiers et des mécaniciens, les serruriers ne se mouchent pas avec les doigts, purée d’pois ! … et n’hésitent pas à grave gonfler (y sont gonflés quand même !) la facture, les ord… (Non, c’est un peu exagéré comme qualificatif)… disons qu’ils n’ont aucun scrupule ni aucun remord à grave encu… euh… arnaquer « leurre voisin », les margoulins. « Du coup », le jeune couple qui venait tout juste d’emménager en dessous de madame Assakam fut « grave refroidi » à leur tour, Abdelghafour, et décidèrent de déménager, et « sang aucune forme de procès », et ce, « sang » tarder, les traumatisés.

Ce fut ce courriel quelque peu incongru qui, bien « qu’en ayant vu d’autres », surprit pour le moins le principal enquêteur sur le dossier Assakam. En effet, tout juste trois jours après le crime affreux de cette d(r)ame, une personne « la connaissant » l’eût aperçue au Forum des Halles, ce trou d’balle.

Monsieur l’inspecteur,

Je prends la liberté de vous adresser cet e-mail qui pourra très certainement vous étonné dans un premier temps (n’existe pas !). En effet, lorsque je me suis rendu à ma FNAC préféré du Châtelet, trois jours après l’abobinable assassinat de madame Assakam, à ma grande surprise, j’ai pu (grave de la gueule !) l’apercevoir au rayon librairie, et notamment devant le présentoir proposant les ouvrages de psychologie et d’ésotérisme. J’ai donc fait tout mon possible pour demeurer discret tout en l’observant à distance raisonnable. Je suis sûr et certain (euphémisme) que c’était bien elle. Si j’ai pris l’initiative de prendre contact avec vous via messagerie électronique, c’est pour des raisons évidentes de discrétion qui me sont « propre ». En espérant que vous tiendrez compte de cette information, je vous souhaite le meilleur pour la (pour)suite de vos investigations.

PS : Madame Assakam n’avait pas de soeur jumelle.

Et ce fut tout. Sur le moment, l’inspecteur Jean Conviain ne put (jamais du cul !) s’empêcher de penser à un canular de plus, car entre les appels télépho… « nique ta race » bidons(ville) et les fausses déclarations, c’était monnaie courante dans sa(le) profession, mon con. Mais bon, rien n’étant jamais totalement anodin dans c’métier, l’inspecteur Jean Conviain allait prendre certaines mesures qu’il convenait justement d’appliquer dans ce (mauvais) genre de situation, poil au fion. (En cours de correction, du 16/03/24)

« Il » jouait au Columbo, mais « Il » savait très bien où « Il » était. Derrière des, ou plus précisément : Les barreaux d’une zonzon mon con. En « loque »urence, pas du (bon) côté où aurait pu se situer l’inspecteur… Columbo, le zozo… Mais de l’autre versant (Et versatile concernant « Il ») de la barrière… Poil au… En fait, en lieu et place d’un Columbo, « Il » squattait plutôt la couche (TOI PAS « LAAAAAAAAAAAAS » !) nuptiale intérieure de Gilles Hayparbal, l’Animal, lecteurs (Les plus érudits auront compris l’allusion cinématographique hic hic hic… « Hannibal Lecter »). Désormais, « Il » possédait totalement le, ou plutôt, les pleins pouvoirs… Ceux de Makassa… « Poing » barre… TOI D’LÀÀÀÀÀÀÀÀÀÀÀÀÀÀÀÀÀÀ ! éructa-t-« Il » à l’attention du maton de « sévices »… Poil à la… ALLAAAAAAAAAAAAAAH ! … poil à la malice.

« Calmez-vous monsieur.

__ SORTEZ-MOI D’LÀ IMMEDIATEMENT !

__ Cela ne sert à rien de s’énerver. Vous n’êtes pas prêt de sortir d’ici… Si vous en sortez un jour !

__ M’enfin, « Il » s’agite… euh… Il s’agit sûrement d’une erreur ! … De plus, j’ai des problèmes de santé assez sérieux… J’ai besoin de médicaments très importants… C’EST VITAL !

__ Là où vous allez vous retrouver, je ne « croix » pas que vos médocs serviront à kékchose mon p’tit vieux.

__ Qu’est-ce que vous entendez par là ?

__ Oh par là j’entends rien du tout, si ce n’est que le traitement que vous allez subir sera autrement plus radical et définitif tif tif tif… Croyez-moi ! »

Rappelons que « Il », en l’occurence Makassa, avait pris totalement « possession » de Gilles Hayparbal, et qu' »Il » portait plusieurs « casquettes » pour berner son monde, l’immonde… Et si la stratégie de « la victime » ne fonctionnâit pas, « Il » jouerait sur un autre registre en passant à la vitesse supérieure… c’t’enculeur.

« Envoyez-moi au moins un avocat.

__ Un peu de patience. La procédure administrative, vous savez ce que c’est… Mais ne vous inquiétez pas pour « Ça », on « sang » occupe, Belzhébuth. »

Soudain transperça… une lueur de lucidité au travers de la persona de Gilles Hayparbal, mais qui ne dura pas bien longtemps : Un Running… Impossible dans cette cellule… Et si je ne me dépense pas physiquement ipso facto, je sens que les ravages qu’a pût faire Makassa auparavant risquent de passer pour légèrement fantaisistes au regard de cet enculé !

« SIOUPLAÎT !

__ Qu’est-ce qu’il a encore ?

__ J’ai besoin d’aller à l’infirmerie.

__ Strictement interdit. Queski n’va pas ?

__ J’ai un besoin impératif de calmants.

__ Bon écoute mon toto, si tu veux t’calmer un peu takas t’tirer sur la tige… C’est le meilleur sédatif.

__ … TIF ! TIF ! TIF !

Là-dessus, un phénomène pour le moins inexplicable dépassant toutes les lois… de la physique se produisit : Ce qui peu de « temps » (n’existe pas !) auparavant s’apparentait à un corps (in)humain aux proportions somme toute respectables (Mais pas très respectées !) se transforma subitement en un gabarit comparable à un fil de fer, poil au derriè… Et ce qui restait de forme pour le moins improbable passa à travers les barreaux dans son sens le plus littéral, Hannibal… Et PAN ! … Dans l’rectal du maton…, poil à l’oignon… Makassa libéré, mais Gilles Hayparbal toujours « emprisonné », pôv bébé.

Lorsque les collègues du maton en question tombèrent… sur le corps, du moins ce qu’il en restait, ils crurent dans un premier temps à une plaisanterie, Riri. Du genre « con fée » à la fête d’Halloween, tête de pine, car c’était la période. Ce fut seulement au son des « flocks flocks » produits au sol par les semelles de leurs chaussures HS (Haute Sécurité), en mode « Horreur Sanglante ! », qu’ils comprirent que toutes plaisanteries avaient ses limites, petites bites. Ce qui aurait pu être un mannequin grimé pour l’occasion était en fait le résiduel de leur « camarade » de fonction, poil au fion… Mais en modèle « traits détachés » le kéké. A cette vision tout droit sortie d’un film d’horreur à la Dario Argento, en mode « sauce » (Ketchup) à la Lucio Fulci, l’un des protagonistes arrivé sur la scène… du crime fut atteint d’un collapsus cardio-vasculaire, pôv p’tit père.

De retour chez lui, Gilles Hayparbal n’eut aucun souvenir des événements précédents, poils aux dents. Il prépara son dîner comme à l’accoutumée et Makassa semblait s’être évaporé pour l’Eternité, l’enculé ! … Jusqu’au moment… MÔMAAAAAANNNNNNNNN ! … Jusqu’au moment où…

Lorsque les secours arrivèrent sur place, ce « con » aurait pu (grave la mort !) appeler à l’origine un pénitencier, s’avérait à présent un doux euphémisme, « conte » tenu de « les tas » dans lequel se retrouvait désormais « l’Establishment ». Le spectacle arboré était véritablement pitiatique tic tic tic… « Les tas » des corps jonchant le sol étaient véritablement… euh, comment (maux) dire… aussi peu « attrayant » que le résultat final d’un crash aérien, nom d’un chien !

Gilles Hayparbal se leva de « bon » matin, Saturnin, très inquiet. Non pas parce qu’il ne se sentait pas bien, poil au chien… mais justement parce « queue » (de La Bête) tout allait pour le mieux… Nom de D… ! Plus aucune nouvelle ni aucun signe de cette inquiétante étrangeté qu’était Makassa tralala… Pas itou du tout, pour « le coup » ! L’adage selon lequel « Pas de nouvelle, bonne nouvelle », en d’autres circonstances, aurait pu (grave la destruction !) s’appliquer… Mais pas là… MAMA MIAAAA ! … « Ça » cachait kékchose, Zardoz. Mais paradoxalement, Gilles Hayparbal ne s’était jamais senti (grave du zguègue !) aussi bien de sa putain d’vie mon kiki. Aussi serein qu’un serin, mon poussin. Pourtant, il n’allait pas faire semblant « deux » ne pas ressentir un certain malaise, Blaise. Ce « faisan », le moment idoine pour une petite séance de méditation était-il bien choisi, mon moisi ? … Après avoir positionné son pouf (A ne pas confondre avec pouffe !) méditatif tif tif tif… au milieu du salau… euh… salon, il se dirigea ipso facto vers sa chienn… euh… sa chaîne Hi-Fi 2.0, et choisit parmi ses innombrables CD, en mode « Chaos Déjanté ! », celui qui ferait l’affaire… Poil au derriè… À l’instant T (« T’Comme Taré !) où il tomba… sur Pink Floyd, et comme par un hasard heureux… ou pas… The Wall… Le déclic se déclencha automatiquement dans sa tête, Bernadette… « Le Mur »… de prison bien sûr ! … De sa « propre » prison, mon con, tant intérieure que personnelle, ma brêle. Soudain, une intuition foudroyante irradia en lui cui cui cui… Après avoir allumé… LE FEUUUUUUUUUUUUUUU ! … son amplificateur, il appuya sur le bouton du tuner, en l’occurence la radio, et tourna la molette jusqu’à atterrir sur une station d’informations, poil au fion. « La bonne nouvelle » étant que son 6è sens fonctionnât à merveille, Mireille… La mauvaise restant que, « conte » tenu des informations diffusées par le « radiologiste », il eût 666 « foi » préféré entamer… sa séance de méditation, poil au…

Le chiffre 666 serait celui du Diable… Considéré comme un nombre maudit, le 666 a depuis la nuit des temps enflammé les imaginations au point d’avoir inspiré de nombreux livres, films, musiques ou légendes. Mais pourquoi cette suite de 6 inquiète-t-elle autant de gens qui ont coutume de l’associer généralement au Diable ? Pour certains, l’inquiétude se change même en véritable peur : l’hexakosioihexekontahexaphobie, soit la phobie du nombre 666. Et cela vient du Livre de la Révélation au chapitre 13, versets 17 et 18 : « Et personne ne pouvait acheter ou vendre sans porter ce signe : soit le nom de La Bête, soit le nombre correspondant à son nom. C’est ici qu’il faut de la sagesse. Que celui qui a de l’intelligence déchiffre le nombre de la bête. Ce nombre représente le nom d’un homme, c’est : six cent soixante-six. » Voilà pourquoi dès lors, on associe naturellement le 666 à Satan ou à l’Antéchrist, celui-là même capable d’imposer une religion belliqueuse envers Dieu avant la fin des temps.

… S’ensuivit ensuite le descriptif détaillé de l’agression sans précédent dont avait « fée » l’objet la prison Fleurymonnanusse, pourtant réputée comme « indomptable », mon notable…, sauf par Gilles Hayparbal, alias Makassa... ne put (jamais du cul !) s’empêcher – de chez « sang péché », de penser ce redoutable névropathe cyclique clic clic clic… « grave » bipolarisé aux entournures… L’ORDURE ! Dans un sursaut de lucidité, Gilles Hayparbal éteignit le tuner pour allumer… LE FEUUUUUUUUU ! … cette « foi »-ci sa platine CD, en mode « Complètement Délirant ! », et ouvrit le compartiment de l’appareil pour y glisser en fait, à la place de The Wall initialement prévu, l’album Raw Power du sulfureux groupe, pas toujours très con… ventionnel, mais plutôt con… sensuel d’Iggy et ses « crétins », The Stooges. Et opta pour le morceau (C’est l’cas de l’dire concernant les « morceaux » de macchabées retrouvés sur place à la zonzon Fleurymonanusse) Search and Destroy pour sa petite séance de… « médite à fion »… sur ses prochaines victimes, tête de pine. « Pour le coup », dès les premières notes, comparables au son d’un aspirateur, le chaos sensoriel s’établit pour bibi. Et finalement, le tandem, de chez « tant d’haine ! », Gilles Hayparbal-Makassa trouva un terrain d’entente proche du « con… promi », car en définitive quand « on » a peur de tomber… sur des gens « con » n’a pas envie de voir, on préfère rester chez « Soi » à méditer sur… LA MÉDIOCRITÉ (IN)HUMAINE !, Germaine.

Le chiffre angélique 666 vous dit que c’est le moment de changer pour apporter un nouveau souffle dans votre existence. Vous avez des pensées déséquilibrées actuellement, et pour changer cela, vous devez reconsidérer tous les aspects de votre vie. Vous pourrez demander l’aide et le soutien de vos anges gardiens. Faites confiance à vos anges gardiens et à l’Univers pour la réalisation de vos désirs tout en restant concentré sur la réalisation de vos objectifs. Le nombre 666 vous dit que pour apporter du changement dans votre vie, vous pourrez vous tourner vers le bénévolat et l’humanitaire. Vos anges gardiens vous incitant à donner de l’argent à des oeuvres caritatives, à faire des actes de bienveillance et à servir vos semblables dans le besoin. Vous pouvez être sûr que l’Univers et vos anges gardiens vous récompenseront. N’oubliez pas que chiffre 666 fait référence au service, à la gratitude, à la responsabilité. A travers le chiffre 666, vos anges gardiens vous demandent de vous focaliser sur la spiritualité afin d’équilibrer et de traiter tous vos problèmes personnels. N’hésitez pas à évoquer vos inquiétudes à vos anges gardiens. Ils vous écoutent, et ils vous aident afin que vous connaissiez l’abondance et la prospérité. Mais restez ouvert pour recevoir leur aide, leur amour ainsi que leur soutien. Vos anges gardiens vous demandent à travers le chiffre 666 de ne pas trop vous focaliser sur les aspects matériels de votre existence. Les énergies de l’abondance et de la prospérité sont perturbées vu que l’anxiété et les inquiétudes empêchent l’équilibre, la réceptivité et l’harmonie. Donc, équilibrez vos pensées entre les aspects spirituels et matériels tout en gardant la foi et la confiance. Egalement, vos anges gardiens vous demandent de rester positif par rapport à tous les aspects de votre vie et d’élever votre vibration, c’est nécessaire afin que tout se passe suivant le plan Divin. Ils vous demandent de vous concentrer sur votre spiritualité, votre mission d’Âme et votre but de vie Divin. Le chiffre 666 apporte en vous harmonie, charité, sacrifice de soi, amour profond, profondeur émotionnelle, bonté, authenticité et fidélité.

Gilles Hayparbal n’en resta pas moins étonné de cette information, poil au… Car il savait pertinemment « queue » (de La Bête) 666 avait plutôt une connotation péjorative et non bienfaitrice, poil aux vices… de formes. Cela signifierait-il que tout n’était pas perdu turlututu chapeau pointu ? … Il y aurait d’un (bon) côté la face lumineuse, en l’occurence Gilles Hayparbal, puis d’un autre (mauvais) côté la face (de « bouc », dans son sens le plus méphistophélique hic hic hic…) délictueuse de Makassa en mode « Gizmo caca » (Pour les cinéphiles genrés en mode Gremlins). Tout n’était donc pas perdu ! Poil au cul. Il suffisait peut-être de faire un effort de volonté, poil au nez.

(Insérez à nouveau du texte « maléfique »)

Du plus loin que se souvenait Maka… euh… Gilles Hayparbal, il s’était toujours senti (grave du derche !) seul, ma gueule, un chouïa « étranger » au (im)monde, Raymonde, à son bruit (et pas en mode cui cui cui !), à sa(le) médiocrité qui vous « con(s) »ta… « miné » comme une maladie – le mal(in) a dit !- grave con… tagieuse, la gueuse. Le p’tit Gilou avait toujours senti (grave des yeps !) que viendrait un jour (« le plus long ! ») où il prendrait… sa(le) revanche, la tanche, sa revanche sur toutes les injustices (grave pleines de vices !) qu’il avait subies, bibi (‘fricote ! Hein ? »)… Même s’il faudrait encore bien des années (des siècles pour Makassa !) pour quela vapeur (en mode soufre de chez « souffre »… douleur !) se renverse, Ernest. Du p’tit Gilou jusqu’à Gilles Hayparbal, sa(le) vie, il s’en rendait compte aujourd’hui, avait depuis l’enfance été un perpétuel combat en vu de gagner quelque (QUELLE QUEUUUUUUUUUE !) chose, Zardoz… Lutte pour frayer sa route tout au long des années de collège, lutte pour bouffer, se dégoter un taf et un toit… TOIT TOIT MON TOOOOIIIIIIIIIIIIT ! (Comme tout l’monde me direz-vous). C’était devenu une seconde nature de Makassa… euh… ce perpétuel combat en vue de quelque chose à obtenir, Mounir. Et voilà qu’il comprenait à présent « queue »… jamais il ne se satisferait des trophées « con… qui ? » … Mon kiki… « queue » (de Makassa) l’existence pourrait lui apporter, le kéké. Toujours il y aurait en perspective une nouvelle bataille, ma canaille. Toujours une nouvelle colline au sommet de laquelle il lui faudrait grimper (Insérer la métaphore de la colline), car en réalité, pour reprendre la citation d’Aldous Huxley : « L’échelon de l’échelle n’a jamais été inventé pour qu’on s’y repose, mais seulement pour soutenir le pied d’un homme le temps nécessaire pour poser l’autre pied un peu plus haut. » Tout est dit mon kiki ! Déjà enfançon, le p’tit Gilou avait l’ambition (« mâle »)saine de réussir. Mais, au-dessus et (l’)au-delà d’elle, il désirait servir un idéal… LE CHACAL ! … Encore imparfaitement formulé, mais qu’il sentait au (très)f(i)ond de lui cui cui cui… En fait, il existait, le plus souvent de manière inconsciente, une réelle complicité entre Gilles Hayparbal et Makassa tralala… C’est pourquoi, « par foi », son état d'(E)sprit s’assombrissait. Puisque la solitude peu (dé)générer de temps à autre une sensibilité, voire, une sensiblerie exacerbée, autant s’y laisser aller, Dédé. Toujours à la… ALLAAAAAAAAAAAAAH ! … à la recherche d’une musique pour s’y vautrer, Patrice guillo… euh… Gilles Hayparbal tomba… sur le CD, en mode « Ça Décape ! » des Stooges : Raw Power (Pouvoir Brut »e »), et se laissa aussitôt entraîner par « l’amorçage » (C’est bien le qualificatif qui « con… vient ») du morceau… d’ouverture aux sonorités déchirantes. Il vérifia dans le petit livret s’il se rappelait bien la traduction… Poil au fio… Dire « queue » (de l’Iguane !) toute l’agressivité acérée du « morceau » était bien représentée relevait du truisme le plus rédhibitoire, Charles-Édouard. En effet, avec ces riffs tant obsessionnellement répétitifs que compulsifs, semblables au son produit par l’aspirateur de Con… chita, agrémentés de percussions quelque… QUELLE QUEEEEEEUUUUUUUUUUUUE ! (de l’iguane) … peu « énervées » (et inervées), ne laissaient aucune place à la torpeur… d’un Iggy Pop à la vocalise en mode « fayot », au tout début, pour se muer progressivement en un « Iguane » aussi con… trarié « queue » rebellé, l’enculé… Et FUCK !

Search & Destroy (Cherche et Détruit)

I’m a street walking cheetah with a heart full of napalm

Je suis un guépard parcourant les rues le coeur rempli de napalm

I’m a runaway son of the nuclear A-bomb

Je suis un enfant réchappé de la bombe nucléaire

I am a world’s forfotten boy

Je suis un garçon oublié du monde

The one who searches and destroys

Celui qui cherche et détruit

Honey gotta help me please

Chérie, tu dois m’aider s’il te plaît

Somebody gotta save my soul

Que quelqu’un sauve mon âme

Baby detonate for me

Bébé, détonne pour moi

Look out honey, ’cause I’m using technology

Regarde bien chérie, parce que j’utilise la technologie

Ain’t got time to make no apology

Pas le temps de faire d’excuses

Soul radiation in the dead of night

Radiation de l’âme au plus profond de la nuit

Love in the middle of a fire fight

L’amour au milieu d’un déluge de feu

Honey gotta strike me blind

Chérie, rends moi aveugle

Somebody gotta save my soul

Que quelqu’un sauve mon âme

Baby penetrate my mind

Bébé, pénètre mon âme

And I’m the world’s forgotten boy

Et je suis le garçon oublié du monde

The one who’s searchin, searchin to destroy

Celui qui cherche, cherche à détruire

And honey I’m the world’s forgotten boy

Et chérie, je suis le garçon oublié du monde

The one who’s searchin, searchin to destroy

Celui qui cherche, cherche à détruire

Forgotten boy, forgotten boy

Garçon oublié, garçon oublié

Forgotten boy said forgotten boy

Garçon oublié dit garçon oublié

C’est en écoutant le chanteur farouchement vivant que Gilles Hayparbal se vomi… euh… se rendit « conte » à quel « poing » il vivait dans un monde de zombies, mon bibi. Ce n’est un secret pour personne, et surtout pas pour les aficionados de la Pop culture « queue » (de) l’Iguane, à cette époque, ne fumait pas que des simples gauloises, Françoise. L’Univers des Seventies étant propice à toutes sortes d’expériences et de « produits » aussi « fous » les uns que les autres dans c’domaine, Germaine. Il n’y avait pas à déployer des mégatonnes d’effort pour pousser le p’tit Jimmy Osterberg à se muer en un redoutable Iggy Pop des plus débridé, Dédé. Encore une chance qu’il n’ait pas fini dans le club des 27 (Brian Jones, Jimi Hendrix, Janis Joplin, Jil Morrisson, Kurt Cobain, Amy Winehouse… A qui la suite, tête de bite ?), après avoir abusé de toutes sortes de « produits » psychédéliques hic hic hic… La seule drogue que s’autorisait Gilles Hayparbal demeurant le sport intensif, poil au calcif. Mais, quand bien même il se sentait plutôt bien à l’instant T (« T »… comme « Tu-perds-rien-pour-attendre » !), et surtout parce qu’il se sentait bien, il sentait bien tout au fond de lui que l’autre sournois de Makassa pouvait surgir d’un moment à l’autre, « l’apôtre »… du DIABLE !

L’interruption auditive « en marche » (tiens ! ça m’rappelle un « mouvement ») se fit subitement sans même que l’auditeur en question ne « sang » rende compte… C’est décidé ! Il fallait coûte que coûte, et à tout prix qu’ « Il » aille consulter avant… qu’il ne soit trop tard, Babar… Seulement voilà, compte tenu des dernières informations, comment sortir dans la rue « sang » se faire repérer par le premier blaireau venu turlututu… Et puis encore une « foi », quand bien même Gilles Hayparbal se sentait bien à l’instant T (« T » comme Travelo !), il n’y avait aucune raison pour « queue » Makassa ne reprenne pas du collier… FAIT CHIER ! … et ne remette le couvert, Albert. Mais à l’instar d’un Ange de Lumière lui dictant subtilement, pour ne pas dire sournoisement, comment il devait procéder, Gilles Hayparbal eut finalement la « bonne idée » de se travestir pour sortir dans la rue, poil au… Ce dernier… des « monstres »… eût tout intérêt d’y mettre le paquet… de maquillage sur la tronche, et de changer totalement sa « garde-robe », s’il souhaitait passer incognito le coco… rompu… aux exigences un chouïa inavouable de son « Directeur d’acteur »… « deux » ses moindres faits et gestes, en l’occurrence Makassa. Car désormais, maintenant c’était devenu un doux… euphémisme de renforcer l’idée qu’ « Il » était repéré par tous les supports médiatiques tic tic tic… hic hic hic… Gilles Hayparbal ALLAAAAAAAAAAAAAH ! … alla donc faire ses courses de premières nécessités à quelques – QUELLE QUEEEEEUUUUUUUE ! – encablures de son domicile, mais au delà – L’AUDE-LÀÀÀÀÀÀÀÀÀÀÀÀÀÀÀÀÀÀÀÀÀÀ ! – de sa zone périphérique habituelle, Annabelle. En tout « et tas deux causes », il était plutôt satisfait. – SATISFACTIEEEEEEEUUUUUUUN ! … HEY ! HEY ! HEY ! – de son travestissement androgynique nique nique nique… les normopathes. (in)Certains piétons qu’il croisait ne purent s’empêcher de laisser échapper un gloussement significatif, ou carrément des ricanements sous cape derrière son dos. Les gens devaient le prendre pour ce qu’il n’était pas : un transexuel en cours de métamorphose, zardoz. « Il » ne put (jamais du c… !) s’empêcher de penser qu’une gouine en mode hommasse en pantalon et grosses godasses genre pataugas les mettraient moins mal à l’aise, pôvs Blaise(s). Cela étant, « Ça » l’amusait plutôt de voir tous ces blaireaux s’écarter sur son « pas sage », et finalement, « Ça » ne lui déplaisait pas plus que « Ça » de déambuler (En attendant le déambulatoire !) parmi les normopathes, vêtu en mode ménagère 2.0… En d’autres « maux », normopathe au féminin, Saturnin, mais plus en « mode » fashion que vintage. D’une démarche à la sensualité « jaggerrienne », Gilles Haypar… euh… Makass… euh… « Elle » (à vous d’identifier « la forme », chers lecteurs passionnés d’imaginaire en mode Patrice Guilloton, car l’une des nombreuses fonctions du créateur demeurant avant tout d’amener peu à peu les blaire… euh… les gens à s’éveiller à leur Univers fantasmagorique hic hic hic… pour les sortir, ne fusse qu’un « temps », de leur routine journalière, poil au…) était ravie par l’attitude des commerçants à son encontre. Au rayon fruits et légumes du marché par exemple, lorsqu’ « elle » était Gilles Hayparpal, à aucun moment la populace eût autant d’égards pour « Elle », Annabelle. En gros (au sens « propre » « con cernant » la gauche-caviar), les commerçants lui vendaient « la marchandise » avec autant d’amabilité qu’un huissier de justice… plein de vices, Alice. Quant à « elle »… se surprit même à s’entendre converser des potins oiseux du moment… MÔMAAAAANNNNNNNNNNN ! … au tout venant, et notamment avec les clientes de proximité, l’enculé(e)… avec cette voix (voie ?) qui fut une découverte stupéfiante de par son timbre et sa sensualité en mode Delphine Seyrig. Finalement, la question « con » pourrait se poser : Gilles Hayparbal, Makassa, « Elle », Patrice Guilloton, existent-ils ? … Ou, ont-ils vraiment existé ? En tout cas les « fées » sont « las » ! Dans la conversation du jour, Abdelghafour, « on » ne parlait que de la tragédie qui s’était (tré)passée il y a peu à la prison Fleurymonanusse par la faute d’un détenu, Manu, plus proche d’un interné psychia… TRIIIIIIIIIIIIIIQUE ! … qu’autre chose, Zardoz, « conte » tenu de la sauvagerie sans appel, en mode « sang à la pelle ! », avec laquelle ce « fou » avait « exécuté » son méfait, de chez « mes fées », méphistophélique hic hic hic… « Elle » éprouvait une réelle jouissance à partir pisser… euh… à participer à cette causerie de bon matin, Saturnin, avec ces pipelettes jouissant également en se repaissant du malheur « d’autres truies » hi hi hi… Car dans l’fond… du fion… nous sommes tous, à divers degrés, un peu sadique dick dick dick (Voir « traducfion » en anglais) hic hic hic… « Elle » ressentit même un certain « plaisir » à dialoguer avec la gent masculine, tête de pine ! Et ce, d’une manière très sexuée « l’enculée »… Une en « vit » aussi soudaine que furieuse de crier… haut et fort QUEEEEEEUUUUUUUUUE ! … que l’hétérocentrisme était totalement has been de chez has pine !, tête de pine. Ce « faisan », telle « queue » prenait la tournure des événements, maman, « Elle » se demanda à l’instant T (« T » comme Transidentité) si « Elle » ne devait pas transgenrer, voire transexualliser l’opération en mode « opère à fion », poil au troufignon, pour ensuite aller… ALLEEEEEEEEZ ! … faire un p’tit tour du côté du bois d’Vincennes, Arsène… Ou encore mieux, du bois d’Boubou, pour son bout. En réalité, « la moralité et les bonnes mentalités » ne se trouvaient jamais là où l’on s’y attendaient le plus, ma puce. De plus, il est fort à parier qu’il y ait fort peu de chance que les autorités (in)compétentes viennent inspecter dans ces environs au sujet de l’affaire Fleurymonanusse, Gugusse… Sauf hors « sévices » pour se faire vidanger le gorgeon, mon con. Ce n’est un secret pour personne « queue » pléthore de grosses… « légumes », à savoir, des personnalités « importantes » du (sale) type hommes d’affaires, politique, showbizness de chez »chaud-bise-fesse », et tout le toutim, tête de pine média… « trique », viennent après (ou pendant) le taf s’encanailler un chouïa aux « entournures », Ben-Hur, en mode : « Ben (froc) dure ! » Ce sont des êtres (in)humains comme tout l’monde, Raymonde… « Couac con » en dise, Denise. Et partant du principe que cette sorte d’énergumènes ne « doigte » pas forcément se trouver dans la catégorie des « indécrottables »… radins de chez Grippe-sou… autant joindre l’utile à l’agréable. Alors, WHY NOT ?! … « Elle » se donna toute « foi » quelQUEEEEEUUUUUUUUUUUE ! … quelque temps de réflexion avant de contacter un organisme spécialisé dans le changement de sexe, Alex, et une fois ramenés ses courses à la « zonmé », troquer son futal moule-burnes de danseuse contre une jolie robe de chez Pierre Cardin, la zinzin, loin d’être cradingue, mon dingue… SOYONS FOU ! lança-t-« Elle » à la volée… le téléphone portable laissé sur l’étal destiné… C’EST TON DESTIN ! … aux oranges (rappelons que dans les trois opus de The Godfather de Francis Ford Coppola, le réalisateur met en évidence ce fruit annonciateur avant la mort ou une tentative de meurtre d’un personnage), disons « oublié », plutôt que « laissé », pour se donner bonne conscience, Hortense. « Il » s’était bien (très)passé de téléphone (Sauf le groupe Rock !) jusqu’à présent mes zenfants, mais comme « Il » avait changé radicalement de casquette, Bernadette, pour se transformer, de chez transgenrer, en « Elle »… Toutes les femmes adorant commu… niquer, cette petite merveile de technologie fera parfaitement l’affaire… SANS POILS AU DERRIERE !, beugla-t-« Elle » en « sang »… allant.

Gilles Hayparbal avait toujours eu le sentiment inconfortable que « les autres » savaient quelque chose, Zardoz, kekchose que tous connaissaient et considéraient comme allant de soi, mais que lui-même ignorait. Il avait espéré, « par foi », découvrir cette « chose » par hasard, Balthazar, cette chose connue de tous, comme une pierre de (pas) touche qui l’aurait (télé)guidé jusqu’au secret dont il pressentait l’existence, « Hors danse », que « les autres » possédaient et qui se refusait à lui, Malperthuis. En son « fort » intérieur, il s’était toujours (« maux »)dit : La vie ne peut pas se résumer à cela. Oh, vraiment, vraiment, non, la vie ne peut pas se résumer à… « ÇA ! », songeait-il, et alors, dans ces moments-« las », ces moments… MÔMAAAAAAAANNNNNNNNNNN ! …, ces moments d’incrédulité, Makass… euh… Gilles Hayparbal dévisageaient grave les passants qu’il croisait pour essayer, tant bien que « mâle », de déchiffrer sur leurs traits ce qu’ils devaient savoir, sur sa(le) poire, il en était con… « vaincu », poil au cul, et qui leur permettait de tenir bon pied bon oeil jour après jour, Abdelghafour ; car tout le (im)monde ne « possédait » pas sa(le) fortitude ; rares devaient être ceux, en fait (pas exprès !), qui auraient eu assez… ASSEEEEEEEEEEEEEEEEZ ! … assez de force d’Âme pour con… tinuer d’aller… À L’AIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIDE ! … d’aller de l’avant en étant plongé dans la con… « fusion » en mode « fission » qui était la sienne, Étienne… ÉTIENNE ÉTIENNE ÉTIENNE, OH ! TIENS LE BIEN ! … Il n’était pas possible que les blaire… euh… « les autres » puissent aller… ALLEEEEEEEEEEEEEEEEZ ! … puissent aller de l’avant comme il le faisait lui-même « sang » véritable raison, les cons, ou qu’ils puissent faire aussi bonne figure, les ordures, arborer cette façade « courageuse et respectable », les notables, qui ne di… « simulait » que le vide, gras du bide, et qui finalement n’était qu’une façade, les malades. Dans ces moments… MÔMAAAAAAAAANNNNNNNN ! … Dans ces moments-« las », lorsque Gilles Hayparbal « jugeait » devoir essayer encore une « foi »… POURQUOI N’ESSAIES-TU PAS ?! POURQUOI N’ESSAIES-TU PAS ?! SI TU NAISSAIS ENCORE UNE « FOI ! »…, essayer encore une « foi » de découvrir ce secret, il se retrouvait face à face à… MAKASSA !

Mener une existence parallèle peut être très excitant. Gilles Hayparbal voulut pousser le bouchon encore plus loin dans la transidentité du « péché mignon », poil au « con ». A savoir, une irresistible envie de connaître ce qu’on éprouve lorsqu’on est véritablement une femme digne de ce nom. Très vite, il a découvert combien il était « belle » avec du fond de teint, du rouge à lèvres, et que représentait l’artifice féminin. Il s’est mis à porter dès que possible des petites culottes sexy qu’il dérobait dans les supermarchés. Parfois, il se plantait… un tampon périodique « dick » « dick » « dick »… dans l’anus une journée entière… sans poils au derriè… De surcroît, il a investi dans divers sextoys et s’est aguerri aux joies de la « pénètre à fond », dans son trou… fignon. Puis il a pris de plus en plus de plaisir à se travestir, ne se supportant plus qu’habillé en femme lorsqu’il était seul(e). Son physique était d’ailleurs loin de le desservir. Et vinrent les soutiens-gorge ampliformes « Wonderbra ». L’envie « con » le remarque naquit en Gilles Hayparbal : Il fallait absolument « con » le désire. Rien n’est plus extraordinaire « queue » le regard « queue » les hommes portent sur une femme, madame. Succédèrent la drague, les effleurements furtifs, poil au soutif tif tif tif… C’est curieux, lorsqu’on est un homme, de se mettre… dans la (et les) peau(x) d’une femme et de sentir (la cyprine, tête de pine !) ) ce qu’elle éprouve. Mais, l’ex p’tit Gilou ne voulait pas prendre trop de risques, et s’installa dans un rituel simple. Lorsque Gilles Hayparbal quittait le domicile, il emmenait dans une malette de quoi se métamorphoser, le kéké. Il s’arrêtait en route et, « toute pimpante », il continuait son trajet en femme, l’ani… « mâle ». Il se promenait au vu et au su(ce) de tous dans quelQUEUUUUUUUUUUE ! … dans quelques villes « et tape » pour faire du shopping, manger dans une cafétéria, etc. Tout a basculé le jour où, sur une aire de « repos », « Elle » s’est fait chahuter par deux routiers (sont sympas ?!) dont l’insistance devint pesante. « Elle » avait déjà été con… fronté(e) à ce (trans)genre de problème mais « Elle sang » était toujours bien sorti(e)… pour son kiki… Quel « queue » … QUELLE QUEUUUUUUUUUUE ! … soit l’endroit. Là, le climax… euh… le climat était lourd, le lieu désert… Poil au… Les deux hommes (Et « zobs », par la même occasion), assez jeunes, étaient visiblement frustes et violents. Gilles Haypar… euh… Makassa… euh… « Elle » a « pas niqué ! » (Du moins pour le moment !). L’un souleva sa jupe, fils de pute, lui plaqua la main sur ses fesses et lui pinça l’entrejambe. L’autre essaya de l’embrasser sur la bouche. Son coeur battait à toute vitesse, ma fesse, « Elle » eut très peur et tenta de crier, mais la voix… CASSEEEER LA VOIIIIIIIIX ! … lui fit « des faux ». « Elle » leur avoua alors : « Non, arrêtez, je ne suis pas une vraie femme ! » Sans rien comprendre « Elle » se retrouva enfermé(e) dans les toilettes avec ces deux brutus, poil à l’an… qui la palpaient avec convoitise, Denise. Le premier sortit son énorme pénis (mon kiki) rouge, en érec… « fion », et prit sa tête entre ses mains, satur… « main ». Il enfonça son sexe boursouflé dans sa bouche de « Sainte Nitouche ». « Elle » se sentait comme une femelle traquée et humiliée, la futur enculé(e), mais… « QUEUUUUUUUUUUUUE ! » C’ETAIT BONNNNN ! (pour) « mon con ». Le second l’enserra pour qu’ « Elle » ne bouge pas. S’il avait su(ce) combien Makassa ne désirait plus s’enfuir… Au contraire ! Poil au d… C’est très goulûment qu’ « Elle » se livra à cette fella… « fion »… L’homme jouit très vite, tête de bite… Bien trop vite pour « Elle », Annabelle. Il y AVÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉ ! … Il y avait une grande quantité de sperme tiède qui se répandait. « AVALE TOUT ! » ordonna-t-il, plaquant son visage sur son sexe. « Elle » n’en perdit pas une seule goutte, la louloute. « Elle » se régala de ses violentes giclées chaudes, mon Claude. « Elle » garda ce sexe en bouche tant(ouze) qu’il lui (s)permit, « mon kiki ». Après quelQUEEEEEEEUUUUUUUUUUUUE ! … Après quelques soubresauts, il se dégagea, papa. « A toi de jouer », dit-il à son copain avant de quitter les toilettes, Bernadette. Il amena les fesses du p’tit Gilou… euh… de Gilles Haypar… euh… de Patrice Guilloton, euh, de Makassa… FUCK ! … d’ « Elle » vers son sexe, Alex, soulevant sa jupe et faisant descendre ses collants et son petit string à mi-cuisses, Ulysse. « Elle » se sentait femelle en rut, sa croupe s’offrant à lui cui cui cui… Il la saisit de ses mains puissantes et n’eut aucun « mâle » à la sodomiser, « l’enculée ! » … Ce qu’il fit, « Elle » devait bien le reconnaître, de façon très douce, contraste (d)étonnant avec la pression, de chez « pression », qu’il exerçait sur ses fesses, Inès. C’était mille fois plus jouissif qu’un sextoy !, mon boy. De plus, il proférait des mots orduriers comme « salope » ou « pute », qui résonnaient en « Elle » comme la con… sécra… « fion » d’une féminité reconnue, poil au c… « Elle » s’offrit entièrement à lui cui cui cui… Et elle accéléra le va-et-vient de ses reins, Satur… « main ». « Elle » hurla tandis qu’ « Elle » jouissait. « Elle » sentit (l’poisson pas très frais !) son sexe décharger en « Elle », Annabelle… Makassa était comblé(e)… « Elle » serra les fesses pour garder sa verge et son sperme en « Elle », la belle… « à faire ». Hélas ! Il la poussa violemment, et « Elle » tomba sur les toilettes, poil à la… ALLAAAAAAAAAAAAAAAH ! … poils à la craquette. Au moment… MÔMAAAAAANNNNNNNNN ! … Au moment où il allait partir, l’autre revint, Saturnin : « PUTAIN ! lança-t-il, j’ai encore envie ! »… « Magne-toi, dit l’autre, je t’attends ! » … Et « Elle » eut droit à une duxième sodomie magistrale… Poil à l’ana… Il rentra en « Elle » avec aisance, Hortense. Ses fesses trempées de sperme, l’anus dilaté, « l’enculé(e) », par le désir, il « La » lima tel un obsédé, mais jouit trop vite à son gré… ou d’force ! « Elle » ne les a même pas entendu partir, Nadir… emok ! . « Elle » était K.O., effondré(e) sur le sol, Anatole, dans un « et tas » hagard. « Elle » eut à peine la force de fermer le verrou, « pour le coup ». Combien de temps est-« Elle » resté(e) ainsi, mon kiki, tremblant(e), prostré(e), sali(e)… « Elle » l’ignore, Hector. Puis, « Elle » s’est rajusté(e), remaquillé(e) face au miroir du lavabo, mon toto, re »fée » une beauté, la pépé. « Elle » est rentré(e) « en femme » à son domicile. Comment pouvait-il en être autrement ? Sa culotte mouillée lui rentrait dans les fesses, et « Elle » gardait un goût de sperme dans la bouche. L’anus douloureux, « Elle » se sentait (la merde !) pourtant bien, poil au chien… errant, quoique abruti(e), ma titii. « Elle » éprouva un certain plaisir à marcher avec sa jupe légère, poil au derr… « Elle » prit son temps pour rentrer chez « Elle », Annabelle. Dans l’appartement, « elle » se fit couler un bain chaud. Un événement « boulversifiant » ALLEEEEEEEEEEEEEZ ! … allait se produire, Mounir. Il était tard, Babar… « Elle »… euh… Gilles Hayparbal s’est violemment masturbé, l’enculé(e), et une quantité incroyable de sperme gicla partout, mon loulou : sur son bureau, la moquette, ses mains, Satur… « main ». Il n’aVÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉ ! … Il n’avait pas souvenir de jets aussi intenses, Hortense.

L’une des nombreuses stratégies, aussi rusées « queue » perverses, du « Malin » Makassa, « résidait » (Au premier sens du verbe) dans le « fée » qu’Il « n’habitait » pas toujours dans la même enveloppe corporelle, Annabelle. Son kif étant de ne jamais s’identifier à « la forme »… Quelle qu’elle « Soi » ! … La déstabilisation chez « autres truies » demeurait l’un de Ses leitmotivs principal, l’animal. La faiblesse (peine) capitale du blaireau moyen (Pléonasme) étant d’avoir peur de l’inconnu, mon glandu. En jonglant, et surtout en jouant sur un panard… euh… un panel de (dé)formes(és) aussi diversifié « queue » (du diable) le p’tit Gilou, Gilles Hayparbal, Makassa, « Elle »… et tutti quanti, Lui permet petit à petit d’arriver à ses « faims », le coquin… de (mauvais) sort… ilège, Nadège. L’analogie entre « l’humain » et le singe est « frappante » (Singer quelqu’un d’autre)… D’où le principe d’analogie mon kiki, en « vertu » duquel certaines « formes » subissent l’influence d’autres (Ou « Un Autre ») « queue » l'(E)sprit leur associe (pour bibi)… C’est pour vous dire ! … ET VOUS « MAUX DIRE » ! … Makassa, une entité tordue ? … Autant « queue » son organe… postérieur long et flexible… Mais surtout fourchu ! (Comme sa langue)… Poil au c… Bien qu’ayant réussi à s’échapper de la maison… « d’arrêt… te tes conneries », Gilles Hayparbal ne « sang » sentait pas moins en prison… mental, l’animal… dont son geôlier ne serait autre « queue » Makassa… tralala. Et dans ses moments… MÔMAAAAAANNNNNNNNNNN ! … Dans ses moments de lucidité, de plus en plus rares au demeurant, il se demandait bien jusqu’où ce « Diable » allait-il allez trop loin dans sa manipulation, poil au fi… Après s’être fait ramoner la turpine… euh… la turbine à boyaux en mode « J’en-ai-pris-plein-l’cul-mais-j’ai-adoré ! », « Elle », euh, Gilles Hayparbal s’interrogeait, non « sang » une certaine appréhension, qu’elle serait sa prochaine expérience, Hortense, en « matière »… d’explora… « fion »… pour son « con ». Toute « foi », à l’impossible nul n’est tenu, poil au c… Mais il avait somme toute une petite idée du prochain champ quantique tic tic tic… trique trique trique… d’investigation, poil au f… À n’en pas douter, à peu de choses « prêt », Makassa orientera Gilles Hayparbal sur une expérience exclusivement basée sur la même théma… trique hic hic hic… Et « queue »… AQUEUE COUCOU ! … les pulfions… euh, pulsions freudiennes, déjà très tôt mises en vigueur et opérationnelles chez le p’tit Gilou, ALLEEEEEEEEEEEZ ! … allaient se développer et se déployer à vitesse Grand V (« V » comme Viol !), l’enculé(e)… « Sang » oublier qu’entre la phase « Le p’tit Gilou » et le déphasé « Gilles Hayparbal », il y eût l’entre deux… coups… dans l’oignon ! Poil au… Un souvenir tout particulièrement cherchait à refaire surface et butait contre les barrières de son inconscient ; quelQUEEEEEEEUUUUUUUUUUE ! … quelque chose qui cherchait à le protéger… Les pensées tournaient en boucle dans sa(le) tête à un rythme infernal, poil à l’anal :

Gilles Hayparbal était à l’époque jeune étudiant en philosophie, mon kiki, il avait dix-huit ans et, comme beaucoup d’étudiants à cette époque, il décida de partir vers le sud de la france à moindre frais, c’est-à-dire en stop et en camping. Un après-midi, alors qu’il lui restait environ trois cents kilomètres pour arriver à destination, il fut pris en stop par un homme d’environ trente-cinq ans. Cet homme était beau, il se dégageait de lui une impression de puissance, Hortense, et de sérénité, Dédé. Il était très cul… tivée, l’enculé, intelligent, séduisant, si bien que le trajet passa très vite et leur permit de confronter leurs idées sur la philosophie, la politique, l’art, le cinéma… Ils sympathisèrent donc et, comme ils arrivaient au lieu où il devait le léch… euh… le laisser, et qu’il était tard, babar, il lui proposa de l’héberger pour la nuit cui cui cui… en lui promettant « queue », le lendemain matin, il le déposerait sur la route de la ville côtière, poil au derrière, où il avait prévu de passer ses vacances, Hortense. Gilles Hayparbal accepta volontiers car, étant l’étroitesse de son anu… euh… de son budget, toute offre de cette nature arrangerait ses affaires, poil au… Il le conduisit dans une maison ancienne, Etienne, très pittoresque, en pleine campagne. Après un cocktail très fruité en guise d’apéritif tif tif tif… et un repas exotique tic tic tic… très pimenté, accompagné de vins délicieux, ils s’installèrent sur le canapé en con… tinuant de deviser, un digestif à la main, « Saturmain ». Progressivement, l’hôte de Gilles Hayparbal se rapprochait de lui cui cui cui… Il lui mit une main… sur le… genou poupoupidou… puis sur les… cuisses, Ulysse. A sa grande « sur prise », il le lècha… euh… (« Lape suce ») le laissa faire, poil au… Ce qui l’encouragea à se montrer plus entreprenant. Il lui caressa plus franchement les cuisses avant de « s’attaquer » à son bas-ventre. Sentant son émotion (Il ne pouvait contrôler une érection de plus en plus violente !), il l’embrassa à pleine bouche et sa langue acheva de lui faire comprendre qu’il pouvait continuer son assault… MON SALAUD ! … Ainsi encouragé, il entreprit de le déshabiller, l’enculé, et il fut bientôt complètement nu sur le canapé. Il le caressa longuement, doucement, augmentant son excitation et son désir. Après s’être à son tour dévêtu, lui avoir révélé un corps très musclé et un sexe long et fin, Saturnin, il se dirigea vers une armoire d’où il sortit un tube de lubrifiant, mes enfants. Après s’en être enduit les doigts et l’avoir fait mettre… à quatre pattes sur le canapé, il prépara de ses doigts l’anus du p’tit Gil… euh… de Gilles Hayparbal à le recevoir, Edouard. Il enduisit son sexe du liquide onctueux, poil au « noeud », et, doucement, progressivement, pénétra sa boîte à caca. Sa verge chaude lui provoqua une sensa… « fion » fulgurante ! Il se sentait (la merde !) con… euh, complètement « possédé » (par Makassa ?) « l’enculé », complètement à lui cui cui cui… Il le sodomisait doucement mais fermement, tout en lui caressant le dos d’une main, Satur… « main », et en le masturbant de l’autre, l’apôtre… de « Satan… la bite ! » Soudain, aux contractions de sa verge, à ses cris, Gilles Hayparbal comprit qu’il éjaculait, ce qui accéléra son excitation, poil au fio… et le fit jouir comme jamais il n’avait joui oui oui oui… Après quelques… QUELLE QUEEEEEUUUUUUUUE ! ... minutes, pour leur « spermêtre » de reprendre leurs (E)sprits, il lui demanda de le sucer, l’empaffé. D’abord un peu réticent, Gilles Hayparbal finit par céder et entre… prit une fellation, poils aux… roustons. Son sexe avait un goût fort, Hector, mélange de sueur et de sperme, de pommade et de déjec… fion. Bien « queue » novice (plein de vices !), il fit du mieux qu’il put (du cul !), lui caressant les testicules, Hercule, comme il le lui demandait. Cela dut lui plaire, poil au derriè… car il lui déchargea dans la bouche, l’obligeant à courir jusqu’à l’évier pour dégobil… euh… pour recracher sa semence, Hortense. Ils allèrent ensuite se coucher et, ayant repris ses caresses, il réveilla Gilles Hayparbal le désir… à jouir ! Cette fois, assis sur le bord du lit, il lui demanda de s’asseoir sur lui cui cui cui… face à lui oui oui oui… Son sexe dur en Gilles Hayparbal lui fit à nouveau perdre la tête, alouette, et il l’embrassa avec fougue tout en allant et venant sur son phallus, Rufus, pendant que lui le gratifiait de ses savantes caresses, poil aux fesses. Après un orgasme violent, ils se sont endormis enfin, Saturnin. Le lendemain, comme prévu, il déposa gilles Hayparbal sur la route des vacances, hortense. Cet homme, avec sa douceur, son expérience, a révélé la part féminine de la personnalité du p’tit Gilou, bien « queue » ne l’ayant jamais revu, Gilles Hayparbal en conserve une grande gratitude, Gertrude.

Comme (« maux »)dirait l’autre : on ne sait jamais ce que le passé nous réserve ! Sur ces « entre-fesses », Patrice Guillot… euh… Gilles Hayparbal redoutait comme la peste – euh, disons virus, c’est plus tendance – la suite des événements, « sang » vraiment savoir pour »couac »… Une petite voix intérieure (Peut-être « la voie » du p’tit Gilou) lui intimait qu’il avait à faire quelque chose qui lui ferait horreur. Cependant, il le phallus… euh… le fallait, s’il voulait « queue » Makassa cesse ses conneries mon kiki. Makassa savait quelQUEE… quelque chose sur le p’tit Gilou & Con… sort(s)… LA BIIIIIIIIIIIIITE ! … Et il était « temps » (n’existe pas) que Gilles Hayparbal découvre ce « queue » c’était. Manifestement, il était le pivot, Bernard… Il y avait un lien commun à ses aventures, Arthur. Certes, mais lequel Annabelle ? « Queue » savait Makassa, mes « cancres las » ? Quel était le secret ? Jusqu’où devrait-il remonter ? Bien plus loin « queue » l’historique du p’tit Gilou sans doute… C’était cela qui l’effrayait ! Il ignorait pourquoi, mais c’étaient bien « ceux-las » qui le retenaient, obscurcissait son jugement… Jusqu’où fallait-il remonter ? Patrice Guilloton alla… ALLAAAAAAAAAAAH ! … alla à son ordinateur, ouvrit le fichier… FI-CHIER ! … sur Makassa.

Patrice Guilloton était pareil à une cellule… nerveuse à vif dans un monde d’impressions sensorielles, Annabelle. Il prenait tout à coeur, « déconnait » et riait facilement… et pleurait encore plus facilement… Comme un éternel enfant, maman. Sa sexualité, tant omniprésente qu’omnipénétrante le terrifiait autant qu’elle l’excitait ! Et finalement il trouvait ce mélange particulièrement grisant. En outre, c’était quelqu’un d’intelligent et curieux de tout. Il était doué pour toutes sortes de passe-« temps » atypiquement complexes qui laissaient le peu d’entourage qu’il avait, « mystifié », l’enculé. L’une de ses nombreuses ambitions était de devenir écrivain, Saturnin. Ce qui inquiétaient un peu ses proches, Totoche… « conte » tenu du personnage pour le moins atypique pic pic pic… hic hic hic… Monique nique nique nique… ce « con » peut… Ce faisant, « on » pourrait dire que son style était « par foi » épicé d’extravagances, Hortense, avec une certaine prépondérance pour les « Je de maux », mon toto. Il se bourrait… le crâne d’informations, à faire travailler son intelligence, à lire et à écrire quand il n’était pas occupé à s’tirer sur la tige, Edwige. Mais à l’instant T (« T » comme « Transgrefion ») il était « kéblo » devant son ordinateur, « méditant » sur sa con… dition d’écrivant, mes enfants. Ce « faisan », une petite séance (tenante) de branlette salvatrice, poil au calcif, s’imposait manu militari, pour ne pas dire « main nue sur mon kiki », afin de décompresser un p’tit peu… « son noeud », mes « AÏE ! … euh ». Et cette branlette sera bien loin d’être intellectuelle, Annabelle… miches !

Tout bien considéré, pour Patrice Guillo… « thon », le plaisir de l’écriture, c’est cette impression de toucher… à quelQUEE… à quelque chose de vrai, à un temps vivant qu’il a créé avec des « maux »… C’est quand même un p’tit peu « fou » !, quand on y « panse »… Il embrasse le réel dans ses p’tits bras musclés. C’est quelque chose de commotionnant au fond… du fion ! L’écriture c’est vraiment quel »queue »… QUELLE QUEEEEEEUUUUUUUUE ! … chose qui doit « sexprimer » de manière naturelle, Annabelle, comme un mouvement qui est vraiment relié au corps, Hector. Il « faux » oublier tous les mythes qui sont autour (comme des vautours !) du « grand écrivain », du « grand livre », et tout simplement s’asseoir… C’est très libérateur et source d’un plaisir indéfectible. C’est très important pour dérouler les événements (Et ils sont nombreux !) d’une vie, mon kiki… Et aller… ALLEEEEEEEEEEZ ! … plus loin dans la sensation, dans le rapport au monde, Raymonde, et aussi dans le « rat porc ! » à sa propre histoire, Charles-Édouard. Quand il est dans la pratique sincère, poil au derriè… tout simplement, il atteint véritablement une forme de sincérité universelle, Annabelle, par rapport à l’appréhension de l’instant T (« T » comme Transcendance, Hortense), par rapport à l’intensité de vie aussi, mon kiki… Il se vomi… euh, se rend compte « con » peut se réaliser à travers les mots des maux, mon coco. Trouver un rapport à sa « propre » vie, trouver un « rat-porc » au monde, Cuniling… euh… Cunégonde. C’est un chemin de réalisafion qui a une dimension d’accomplissement Spirituelle, Annabelle. C’est un dépouillement, une ouverture, Arthur. Le mythe, c’est : « Si j’écris c’est que je veux devenir écrivain, et il faut que je maîtrise la langue française parfaitement ! »… C’est pas du tout « Ça » ! papa. Ce n’est pas l’enjeu, tête de noeud, et encore moins le but du « Je ». Bien souvent, une écriture trop formelle sape la fraîcheur de la spontanéité roborative; Jean-Yves. Il ne faut surtout pas avoir peur d’écrire de « la merde » pour arriver à quelque chose, Zardoz. C’est une manière d’exercer le muscle de l’écriture, Arthur. Ce qui est important, c’est d’être sincère, poil au d… face à sa pratique, tête de « BIC ». Les choses se dessinent avec la pratique tic tic tic… Écrire tous les jours « des trucs » qui ne sont pas toujours d’une qualité (d)étonnante, mais quand même qui existent, « Ça » permet de faire son propre compost, d’aller fouiller dans ses expériences personnelles, Annabelle, de voir sa palette d’écriture, Arthur. Remuer le compost de « chié » la merde ! Ce qui est important étant de ne pas se projeter dans une image qui n’est pas « Soi », mais encore une « foi », c’est à travers de la pratique, de la patience, de la régularité, de se dire, mais où ça m’amène, Germaine, quel est mon élan, où est mon souffle. Ce qui est important dans un projet, c’est tous les matins quand on s’lève, être habité de manière lumineuse par ce projet. ÉCRIRE, CE N’EST PAS CE QUE VOUS CROYEZ ! … Tous les blocages tombent les uns après les autres, l’apôtre. Écrire aide à découvrir queue notre vie est importante, et non impotente, ma tante . C’est alchimique mic mic MICK… JAGGER ! C’est mystérieux, NOM DE DIEU ! On devient un observateur emphatique tic tic tic… Se fier à son (E)sprit mon kiki. On écrit à partir de sa complexion, poil au fion… C’est un peu comme un navire vers où les courants nous emmènent, Germaine. Il faut au fond se libérer… LIBÉREEEEEEEEEEEEZ ! … se libérer de ce « con » nous a appris à l’école, Nicole. L’écriture est pratique personnelle, Annabelle, qui peut nous rendre heureux… aux « anti… potes » de ce « con » a appris à l’école, Popol. La littérature a un peu trop été utilisée pour transmettre des règles. Il faut savoir se déprendre de cette éducation « con » a reçue, poil au c… Ne pas donner au « rédacteur en chef » trop vite, tête de bite. Oublier cette personne qui est en nous quand on écrit, mon kiki… C’est très important mes enfants. Même si on écrit des trucs nuls, cela a une nécessité, bande d’enculés, « Ça » a un sens, Hortense… Cela va peut-être déboucher sur quelque chose d’autre. Il « faux » sortir de l’idée « qu’il faut faire bien », NOM D’UN CHIEN ! Laisser aller… ALLEEEEEEEEZ ! … ses pulsions, poil aux f… Apprendre à observer autour de « Soi ». Rester dans la sensation, poil au f… On a de l’écriture l’image de quelque chose de très intellectuelle, Annabelle, ce n’est pas du tout ce qui « conte », c’est la manière dont l’imagination va être sollicitée, Dédé. Il y a une dimension cosmique mic mic MICK… JAGGEEEEEEEEER ! Par l’écriture, le réel nous rencontre pour de bon, mon con, c’est comme si on vivait moins à distance, Hortense, dans un certain flou ou dans une vie qui n’est pas vraiment la nôtre, l’apôtre. Beaucoup de gens ne se sentent pas vraiment eux-mêmes, prisonniers de plein d’injonctions, poil au… L’écriture nous permet tout à coup d’entrer dans sa « propre » vie mon kiki. Et ce qu’il faut noter, c’est que souvent on est surprit par « Ça », papa. À force de pratiquer on se retrouve face à face à cette sensation de notre « propre » authenticité, les kékés. Les épiphanies ne viennent pas tous les jours, Abdelghafour, mais mathématiquement, forcément, plus on prat(r)ique… C’est en forgeant… Même si on a l’impression de tourner un peu en rond, mon con, on arrive quand même a mettre ce que l’on a sur le coeur… Ce qu’on avait sur le coeur « con » sentait (grave la merde !) pas, sale… euh… « Ça » apparaît… C’est un soulagement, maman… MÔMAAAAAAAANNNNNNNNNNNN ! … C’est une manière de rester dans une sorte de dialogue avec soi-même, Germaine. Il faut que ça soit régulier sinon on perd le fil con… ducteur, docteur. Evidemment, pour écrire il faut aussi beaucoup lire, Mounir, s’alimenter d’écriture, Arthur. Arriver à démythifier l’écriture. C’est de l’ordre d’une sincérité relative à un présent qu’on capture par l’écriture. Ce sont des successions d’instants capturés mis en relation, tout comme une rela… « fion », et il y a une sorte de couture qui y est « fête ! », Bernadette. Écrire rejoint la méditation (et parfois médite… « à fion ! ») dans le travail de sincérité, Maïté. Et « on » a besoin au fond (et « au fion ! »), et peut-être plus aujourd’hui que jamais, de prat(r)iques qui nous aident à retrouver notre présent, les enfants, notre expérience, notre sincérité, Dédé… C’est véritablement un grand soulagement, maman… MÔMAAAAAAANNNNNNNNNNNN !

Après cette courte digression qui, à mon sens, me paraissait nécessaire, poil au derriè… Revenons au « sujet » principal, poil à la… ALLAAAAAAAAAAAAAAH ! … poil à l’anal. Tout « conte fée », Makassa endosserait davantage le costume du « Sauveur », du Messie (beaucoup !) « queue » de destruction, poil au fi…, via l’écriture, pour « l’ordure », nichée dans les tréfonds de l’Âme de Gilles Hayparbal, l’animal, de chez chacal ! Dans son cas, de « chié » caca !, Makassa adopte la fonction « d’exorciseur » dans toute sa splendeur… d’arnaqueur ! … Un succédané, en mode « succès damné », cathartique tic tic tic… Hic hic hic… « Sang » ce thérapeute virtuel, Annabelle, « on » ose même pas imaginer jusqu’où Patrice Guillo… euh… Gilles Hayparbal pourrait aller… ALLEEEEEEEEEEEEZ ! … trop loin tsoin tsoin… Partant du postulat « queue » d’une certaine manière tout est sexuel, et « queue » le contraire de l’amour n’est pas la haine (C’est pareil) mais LA PEUR ! … Autant s’la jouer franc-tireur en mode « enculeur »… de mouches OUCH ! OUCH ! OUCH ! … Le moment… MÔMAAAAAANNNNNNNNN ! … Le moment est donc velu… euh… venu de coucher… sur WordPress, un autre souvenir, Nadir… AMOK ! … pas piqué des vers (de terre !), pour lequel le qualificatif « croustillant » relève, une « foi » de plus, d’un euphémisme lénifiant, et pas du tout cucul la praline… Mais plutôt, « queue-cul-dans-la-praline »… d’Aline.

Ce jour-là, Aline était venue vomi… euh… rendre une petite visite de courtoisie à son p’tit cousin le p’tit Gilou, mon loulou. Précisons « queue » si ce marmouset était hormo(a)nalement précoce, mon gosse, il n’en « demeuré » pas moins timide avec les filles. Bien qu’étant sa cousine, tête de pine, Aline aurait bien voulu « queue » son p’tit cousin tente kékchose, Zardoz. Ce « fuse » donc dans l’une des petites « sales » obscures du quartier « lapin(e) » « queue » la p’tite cousine du p’tit Gilou prit le sex… euh… l’initiative de faire les premiers pas… avec la main, Satur… « main ». Tout en revoyant pour la énième fois le film de Stanley « Lubrick » hic hic hic : « Orange mécanique » nique nique nique… À force de lui sucer… la… langue, elle avait eu « en vît » d’autre chose, Zardoz. Sa culotte s’était mouillée, « l’enculée », sur son fauteuil, pendant la fameuse scène du viol… I’M SINNNNNGIIIIIIIING IN THE RAIN ! … C’était elle qui avait pris le poignet du p’tit Gilou pour amener sa main veule entre ses cuisses, Alice, car… ça glisse… aux pays des merveilles ! Elle avait aidé ses doigts gourds à soulever le bord de son slip… Hip hip hip… HOURRAAAAAAAAAAH ! … et la nature avait fait le reste, Ernest. Elle avait été « mise à l’index », Alex (Prénom du psychopathe du film en question joué par Malcolm McDowell). Ce « fuse », vous l’aurez compris bande de vicelards, de l’index du p’tit Gilou poupoupidou, dont il était « quesfion »… dans son « con ». Alors, tandis qu’il lui taquinait gauchement le clito, elle avait avancé sa « propre » main vers la braguette du jeune homme. Elle avait palpé la grosse… différence qu’il y avait entre un homme et une femme à cet endroit précis « mon kiki ». Elle avait réussi à ouvrir le pantalon et à extraire le morceau cylindrique ric ric ric… en pleine érec… « fion », aussitôt dissimulé sous un imperméable bienvenu, poil au c… La branlette avait répondu à la branlette, Bernadette. Elle lui avait joui sur les doigts, il s’était éclaté dans sa main ! … Satur… « main ». Ce sperme qui l’avait tant dégouté dans les films pornos (et « por les otres ! »), pour « X » raisons, elle l’avait aussitôt porté à sa bouche, la sainte « me touche ! », pour le goûter d’une langue aussi inversement proportionnellement timide « queue » copieusement « lubrick »… Stanley. Le reste s’était passé dans une chambre d’hôtel, Annabelle, bien qu’ils ne fussent pas majeur, poil au « beurre »… L’important étant qu’ils le parrussent, poil à l’anu… Aline avait aimé follement le sperme de ce jeune mâle timide qui déchargeait si fort là où elle le voulait. Elle kiffait grave sa race empoigner son gros dard à ce jeune lascar, Babar, et en diriger le bout vers sa poitrine, tête de pine… lorsqu’elle l’avait bien branlé pour qu’il jette des giclées sur ses seins tsoin tsoin… QuelQUEEEEEEEUUUUUUUUUUUUE ! … Quelque fois elle s’en faisait arroser la figure, Arthur, sortant balafrée d’une oreille jusqu’à l’autre, l’apôtre, de cette nouvelle aventure « cochonne », Yvonne. Elle l’avait même un jour masturbé avec ses pieds, l’enculé, pour qu’il lui envoie toute sa purée gluante dans les orteils, Mireille. « C’EST L’PIEEEEEEEEEED ! » avait-il beuglé au moment du climax, Max… Ce « chair » p’tit Gilou était d’ailleurs très bien fourni, mon (et côté) kiki. Dame Nature l’avait comblé pour pouvoir combler « le creux »… existentiel des filles de chez quilles à la vanille. QUELLE MERVEIIIIIIIIIIILLE ! … c’était de s’faire tringler par un membre pareil, Mireille. Toutes les muqueuses de sa vulve en folie parti piss… euh… participaient à la fête lors »queue » le p’tit Gilou glissait joliment sur Aline… ET J’AI CRIÉÉÉ, CRIÉÉÉÉÉÉÉÉ ! … ALINE ! … POUR QU’ELLE « VIENNE » ! … en aller et (non) retour passionnés, « enculée » ! De temps en temps, il la faisait rouler sur son ventre appuyant très fort, Hector, pour un massage très spécial du… rectal… (« sang » poil à l’anal !) Aline y « panse » en se caressant l’pubis… à l’anu… euh… à l’anis (qui sent grave la pisse !) Elle en dirigeait alors le bout vers sa crevasse, Stanislas, et s’ouvrait pour le happer jusqu’au tréfonds, en mode « très fion », de son cratère inondé par la joie de ses sens, Hortense. Il pénétrait doucement là-dedans, dans sa mouillure intime, tête de pine, comme elle le fait (et gestes !) elle-même avec ses quatre doigts de la main, Satur… « main », (plus très) droite, tandis « queue » le pouce lui titille le bouton, mon « con »… « AH ! OUUUUUIIIIIIII ! C’EST BOOOONNNNNNNNN ! BAISE-MOI ! MON GILOOOUUUUUU ! … » Maintenant, sa cousine parle toute seule en s’imaginant « queue » c’est lui qui la prend à l’instant T (« T » comme Tringler !), et son poignet commence à faire les mouvements qu’elle désire, pour lui donner l’illusion parfaite de coït mental… Poil à l’a… ALLAAAAAAAAAAAH ! … poil à l’anal… « BAISE-MOI FOOOOORT ! FAIS-MOI JOUUUUUUIIIIIR ! MON GRAND… PHALLUUUUUS ! … JE MOUILLE SUR TA GROSSE BIIIIIIIIIIITE ! … » Elle lui parlait comme « sa(le) », en jeune garce bien décidée à s’faire ce paf, Lagaffe, employant ces « exprès… fion » pour s’exciter davantage durant l’acte… « AAAAAH ! COMME C’EST BOOOOONNNN ! … DE S’FAIRE BAISER PAR UNE BELLE PIIIIIIINE ! … « QUEUE » L’ON AIME ! » … Tous ces mot-là lui reviennent, tandis qu’elle se masturbe frénétiquement, maman… MÔMAAAAANNNNNNNNNNNN ! … écartelée sur sa main, Satur… « main », qui pistonne ses organes de femelle avide… Elle a tout oublié de ses bonnes résolutions, « à faim » de privilégier les « raie »seaux aux fions ! Elle a trop « en vie » de jouir ! C’est des pines poilues, démesurées, monstrueuses, qui lui passent par la… tête, Bernadette, tandis qu’elle se tripote la motte en s’astiquant le bouton… Poil au « con »… tandis qu’elle se pince un nichon jusqu’à crier… « ET J’AI CRIIIIIEEEEEE ! … de douleur tant elle est stimulée, poil au néné… Tous ces organes virils se bousculent dans sa « teutê », ils voltigent tels des oiseaux de proie autour de son corps alangui, « mon kiki »… Il y en a plein sa chambre, ils vont tous la baiser, ces enculés ! … Ils vont tous lui jouir sur la peau, les zob… euh… les zozos. Elle va sentir le sperme jaillir, le foutre l’inonder, couler entre ses seins, Saturnin, lui barbouiller les joues, elle en aura plein la bouche, Ninouche, plein les fesses, Inès (de « la fesse d’ange »), cours de correc… plein le con… « mon con »… Aline est en plein délire « Lubrick »… Stanley. Une soif insensée s’est emparée de sa chatte dont le jus mouille sa main toute entière, poil au derriè… Maintenant, elle met des corps au-dessus de toutes ces queues imaginaires, poil au… Des corps et des têtes de gens qu’elle connait et même aussi des visages d’inconnus, poil au c… aperçus une fois dans la rue, et dont elle a regardé la braguette… Poil à la quéquet… Oui, Aline a « en vie » d’une grosse queue… NOM DE DIEU ! … Aline est folle ! … de sexe, Alex (« Héros » de « A Clockwork Orange »)… Le plaisir la submerge, poil à la verge… Elle gémit et râle sous l’orgasme qui monte… AAAAAAAH ! « queue » c’est bon quand ça vient, quand on sent tout son ventre envahi par cet intense « sensafion » qui précède l’orage final, poil à l’a… « JE VAIS JOUIR ! JE VAIS JOOOUUUUUIIIIIIIIIR ! » s’écria-t-elle sans se soucier un seul instant des gens qui pourraient l’entendre, Alexandre, sur le palier… Ah ! Si seulement quelqu’un sonnait à son huis, quel qu’il soit, pourvu qu’il ait une grosse bite, elle lui ferait tout de suite son affaire, poil au derr… Elle change même de « posifion » pour « queue » sa branlette devienne plus évocatrice, poil au vice… Aline se met… à quatre pattes pour se prendre… toute seule en levrette, Bernadette… « Sous-biroute »… La pine du p’tit Gilou allait très loin dans cette posture. C’était comme si elle s’était fait mettre… « ça » par une bête, Henriette. Elle remuait du cul sous ses coups de « QUEEEEEUUUUUUUE JE T’AIME, QUEUE JE T’AIME, QUEUE JE T’AIME… » comme elle remue maintenant ses jolies fesses, Inès, sous le pistonnage frénétique tic tic tic… de ses doigts réunis mon… euh… sur son kiki, en forme de phallus, poil à l’anu… ENFONNNNCE ! ALPHONSE… ENFONNNNNNNNNNNCE ! … DONNE-MOI TOOOOOOUUUUUUUUT ! … mon toutou… REPANDS TON FOUTRE DANS MA CHATTINE ! OUUUUIIIIIIIIIIII ! ENCOOOOOORE ! Nestor. La cousine en bave de plaisir, Mounir, mordant les coussins de soie (… dit en passant) du divan, mes enfants. Elle sent (le sexe à plein nez !) « queue » ça vient… NOM D’UN CHIEN ! … Mais elle veut se finir en beauté « l’enculée »… Quel est donc celui à qui elle va dédier ses cris de jouissance, Hortense ? Il lui faut un visage… Des traits précis mon kiki, mais elle « doigte »… se hâter de choisir, Nadir, parmi la myriade de mâles qu’elle vient de passer en revue « de presse » dans son délire éro… « trique » hic hic hic… Keanu Reeves ferait bien l’affaire, poil au… Mais elle ne le « sent pas assez » (On ne peut pas en dire autant de sa « crevette », Bernadette), Dédé… Le p’tit gilou elle en a trop épuisé le souvenir… Qui donc sera l’heureux élu, poil au… VIIIIIIIIITE ! VIIIIIIIIIIIIIIIIIITE ! ÇA VIIIIIEEEEEEEEENNNNNNNNNT ! … HAAAAAAAAAAAAAAAAAA ! … Eh ben tant pis, c’est justement Dédé, le boucher… Celui du coin… coin coin coin… de la rue voisine, Aline… Un vrai bonhomme, assez gros, l’air jovial de quelqu’un qui vous dirait : « Voulez-vous un morceau dans la culotte ? » … Tant pis, ce sera lui pour cette « foi ». Il est bien loin de se douter d’une chose pareille, Mireille. Cet « honnête commerçant », occupé pour l’instant à aplatir ses salop… euh… ses escalopes… S‘il savait « queue » la belle fille du troisième gauche est en train de se jouir sur les doigts en pensant à sa pomme, mon bonhomme, il en rougirait de con… tentement mes zenfants. C’est pourtant ce qu’elle fait cette « garce ». Elle a même assez de puissance d’évoca… « fion » pour l’imaginer tout nu turlut(e)tutu… bandant comme un cerf , en train de lui enfoncer son gros dard d’homme fort dans le vagin, Saturnin, en lui disant des phrases cochonnes, Yvonne : « PRENDS TOOOUUUUUUUUUUT ! … MON FOUTRE, GRANDE SALOPE ! REGALE-TOI BIEN AVEC LE JUS DE MES COOOOUUUUUUIIIIIIIILLES ! ... ANDOUILLE ! « (Pour un boucher, ça l’fait !)… C’est çà qu’il lui dirait, le gros boucher rougeaud en s’vidant de son sperme. Alors cette « foi » c’est fini, Aline… ALIIIINE ! C’EST FINIIIIIIIIII ! (On connaît la chanson). Aline se lèch… euh… se laisse partir… Elle en avait tellement « en vie », pour son kiki, qu’elle jouit comme si c’était la réalité, sur DEDEEEEEEEEEEEEE ! … Son joli « con » s’ouvre et se ferme, les jus de sa foufoune dégoulinent, Aline, sur ses doigts enfoncés jusqu’à la garde dans les profondeurs intimes, Jim. Aline de paye un pied royal ! … Poil à l’ana…

Quand vous aurez fini d’essuyer toute la bave dégoulinante (A l’instar d’un Alien en rut) sur le clavier de votre ordinateur (Et sur l’écran, pour les plus vigoureux !), mes p’tits « branleurs » de lecteurs adorés (Et lectrices pleines de vices ! … Y a pas d’raison.), après avoir lu ce témoignage avec « beaucul » d’atten… « fion », surtout de la part de votre main directive, dans toutes les « direcfions » avec force « applicafion », Patrice Guilloton ne pense pas… beaucoup s’tromper en rappelant à tout un chacun l’immense bonheur « con » éprouve le jour où l’on remet la main sur un objet « con » croyait perdu à jamais. Ce fut le cas pour Gilles Hayparbal qui retrouva « par hasard » ce récit écrit à l’arrache en matant sa cousine en pleine « acfion » derrière un cache (misère) con… fectionné par ses soins tsoin tsoin… En effet, le p’tit Gilou s’était beaucoup inspiré d’Albert Spagiarri. Pour les béotiens, voir le CV (Comprenez « Charmant Voleur ») de ce personnage hors du blaire… euh… du commun sur le (pas) Net. En l’occurence, le cousin avait mis un certain temps à fomenter son plan machiavélique hic hic hic… A savoir, perforer… plusieurs trous au « plafion » de la cave juste en dessous de la chambre de sa cousine Aline, tête de pine. On passera sur les détails du bricolage en mode « MacGyver », mais ce qu’il faut retenir étant que « Les égouts du paradis », version Albert Spaggiari, se mua en un « ris mec » pouvant s’intituler : « La cave du paradis », version Le p’tit Gilou, mon filou.

Après Eros, voici Thanatos… Et pour en revenir sur « un terrain » beaucoup plus prosaïque… LA FRANCE A PEUUUUR ! … comme dirait un certain journaliste des seventies, Denise. En effet, après l’anéantissement « pure et simple » de la structure pénitentiaire (poil au derriè…) Fleurymonanus, les gueux franchouillards avaient grave le traquezirre pour leur petite sécurité, les kékés. Pour preuve à l’appui, s’il ne restait pas grand chose des vestiges de cette zonzon, à l’origine « H.S. », comme Haute Sécurité, devenue subitement « H.S. », comme Hors Service (Mais non « Hors Sévices »), la libération par la force des choses, « sang » condition, d’internés (Le « maux » étant bien choisi pour certains) aussi charmants que peuvent l’être les résidents (Et résidus psychotiques tic tic tic…) squattant éternellement la « Death Row », à savoir, « Le couloir de la mort », Hector. Car la toute mignonnette chansonnette de Pierre Perret « Ouvrez ouvrez la cage aux oiseaux  » pouvait tout à fait (et gestes) s’appliquer à ces drôles … « d’oiseaux », justement, pour la plupart irrécupérable ! Une redoutable potentialité démoniaquement égrégorique hic hic hic… était donc sur le « poing » de sévir, Nadir. Mais malgré tout (c’bordel !), ce qui monopolisaient le plus l’attention (Et surtout l’intention) des diverses plateformes médiatiques tic tic tic… demeurait bien entendu le cas d’école Makass… euh… Gilles Hayparbal, l’animal, « deux » mauvaises compagnies (Le p’tit Gilou et Makassa) mon kiki. Si le pouvoir en (mauvaise) place ne prenait pas en main « les fantaisies » de ce redoutable cas d’école, les choses iraient « sang » nul doute de « mâles » en pis mon kiki. Afin de rassurer la populace… qui avait grave la chiasse ! … « con(s) cernant » la sécurité de leur médiocre existence étriquement « bien rangée », les chiennes de tél… euh… les chaînes de télé diffusaient en boucle toutes les mesures mises en place par le « gouverne ment » afin d’endiguer le ou les désastres potentiels à vomi… euh… à venir, Nadir (Braquages, pillages, viols et autres joyeusetés, enculés !) La phrase (J’-te-mène-en…) bateau du président de la république hic hic hic… demeuré… euh… demeurait : « N’ayez pas peur ! » … Sa mégalomanie légendaire allant jusqu’à se prendre pour Le Christ !

Gilles Hayparbal ne manquait jamais de ricaner quand un écrivain employait une phrase du genre : « Quelque chose se brisa en lui » en guise de préambule à une scène de violence, Hortense. La seule fois qu’il a senti quelque… QUELLE QUEEEEEEUUUUUUUE ! … chose se briser en lui, c’est ce jour où il avait décidé de quitter la prison, ce con… Comme si un élastique qui lui serrait le coeur venait soudain de se rompre, apportant au « p’tit Gilou » un soulagement instantané, l’enculé…. Jusqu’au moment où il aperçut tout ce sang… Quelque… QUELLE QU……………………….. ! … chose se mit à fondre en lui cui cui cui… Tel un mur… de prison s’effondrant pour devenir une averse, telle une plaque de glace se fracassant pour libérer… LIBEREEEEEEEEEEEEEEZ ! … les flots d’une rivière, poil au derri… Gilles Hayparbal avait l’impression d’avoir abrité ces dernières années deux personnalités distinctes, Hyacinthe, qui venaient brusquement de fusionner, poil au nez. Les « fées » qui en résultaient sur son cerveau lui rappelait un peu celui d’une enculade de malade… à sec, Alec. Il se plaqua les mains sur le visage et ferma les yeux… Je suis tellement « crevé »… et je « sang » que je n’achèverai jamais… mon livre… « ça » ne me dérange pas de regretter ce « queue » j’ai « fée ». Mais je ne supporte pas de regretter ce que je n’ai pas fait. J’ai une tâche importante à accomplir, et je ne souhaite pas (tré)passer le restant de mes jours à courir après une chimère, poil au… Durant ces six dernier « Moi », je me suis senti de plus en plus enragé et de plus en plus malade… du cerveau. J’ai parfois l’impression qu’il ne contient plus « queue » de la grenaille, vieille canaille, et du verre pilé, enculé. Je n’ai plus « en vie » de répandre la merde qui est en « Moi », Geoffroy. Il n’y a qu’une chose pour me vomi… euh… me rendre heureux, mes aïeux, et j’ai l’intention de faire tout ce qu’il « faux » pour le trouver, Zoé.

MOI : Tu préfèrerais que je me noie dans mon « propre » caca parce que ça sonne « foutrement » bien ?

MAKASSA : Tu te nourris de ta « propre » rage. Le responsable de tes émotions, c’est TOI !

Une partie de moi-même savait que c’était vrai. Une autre bouillait de rage, persuadé que ces émotions lui avaient été imposées par les circonstances… Hortense. Mais une telle idée était contraire au princ(e)ipe de libre arbitre qui l’aidait à conserver un faible espoir… Edouard. Il se demanda depuis quand il était devenu cette misérable épave qui s’apitoyait sur son sort… Hector. Mais bon, peut-être existait-il des Enfers plus atroce que le sien, poil au chien… GALEUX ! … CAR LE PIRE N’EST JAMAIS DECEVANT !

Période transitoire entre le p’tit Gilou et Gilles Hayparbal, quelques… QUELLES QUEUUUUUUUUUUES ! … années auparavant :

« Vous êtes étudiant ?

__ Thésard. Théorie des particules. (Et j’t’encule.) J’espère décrocher une bourse pour étudier les quarks.

__ Les quarks ?

__ Des particules élémentaires (poil au derrière) soumises à l’interacfion… euh… à l’interaction élémentaire (poil au…) forte. La plus forte des quatres forces dondamentales (Poil au rectal). Ils ont des caractéristiques telles que l’étrangeté, le charme, la vérité et la beauté. Il en existe de six parfums différents, avec trois couleurs pour chaque parfum (Saturnin) : rouge (comme le sang), vert (comme les glaires), et bleu (comme les yeux de Ted Bundy, mon kiki)… Comme une glace.

__ Hein ? Oh, oui, une glace à l’eau ! C’est ça ! Faudra que je replace ça en cours. Bref, vous savez ce que sont les atomes ? Eh bien, les atomes sont faits de protons, de neutrons et d’électrons, et ceux-ci sont constitués de quarks.

__ De quoi sont faits les quarks, alors ?

__ D’ondes.

__ D’ondes ? Mais les ondes ne sont pas « tangibles ». Ce ne sont que des « vibrations. »

__ Exactement ! L’Univers tout entier n’est fait que de vibrations.

Deux. Deux natures… Deux « personnes »… Ombre et Lumière. Peut-être, songea Gilles Hayparbal, que tout le monde est comme « Ça », psychanalytiquement parlant. Peut-être qu’il n’y a pas de différence entre Makassa et « Moi ». Nous sommes tous pareils, dotés d’un versant clair et d’un versant obscur. Ou peut-être ne suis-je que l’esclave des fantasmagories d’un « fou »… Ou pas.

Il y avait encore autre chose, Zardoz. Autre chose de bien pire que sa façon irrésistible de pousser Gilles Hayparbal à courir des risques imbéciles, Odile. Autre chose que l’héritage génétique tic tic tic… Makassa était le seul être (Ou ne pas être… « Vice » is the question… Poil au fion) qui fût toujours en (dé)mesure de l’infantiliser, l’Enculé ! De le faire régresser dans la peau du « p’tit Gilou », à savoir un gosse en « mâle » de protection, poil au fio… Un « sang-t’y-mens » que Gilles Hayparbal n’appréciait « guerre », poil au derrière. Makassa le mettait (bien profond !) dans des situations dont il perdrait tôt ou tard la maîtrise, Denise. Puis « son protecteur » volait… à son secours, et « le p’tit Gilou » n’avait d’autre ressource « queue » d’accepter sa patt… euh… sa main tendue, poil au cul. Il le forçait à s’incliner, l’Enculé, devant sa force et son intelligence supérieure… d’enculeur… à le suivre où lui seul avait patt… euh… pied, l’empaffé. « Ça » le vomiss… euh… rendait malade. La plus grosse crainte… ÇA CRAIIIIIIINNNNNNNNNT ! … du tandem (« Tant d’aime ») Le p’tit Gilou/Gilles Hayparbal était « queue » Makassa parvienne à « l’heur » faire finalement tout ce qu’il attendait de ses « petits protégés », l’Enculé. En d’autres termes, réussir à « sang »parer totalement de l’Âme de Gilles Hayparbal… Et alors, Makassa aurait achevé… son « entre prise » de démolition, poil au f… Il aurait triomphé jusqu’au bout du bout, pour « le coup »… Poupoupidou… Pour la première fois de sa vie, Gilles Hayparbal doutait véritablement… Mais de « couac » ? Sûrement pas de sa santé mentale, poil au rectal… Car il n’avait pas souvenir de s’être jamais « sang »ti aussi perspicace, Stanislas. En réalité, c’était plutôt que depuis sa plus « tendre » enfance, en l’occurence celle du p’tit Gilou, il ne s’était plus jamais senti enfant, mes enfants. Toutes ses dernières « distractions » ne l’avaient pas vomi… euh… rendu insouciant, mais seulement occupé, poil au nez… nez. Mentalement embrouillé par « l’autre »… Enculé. Mais alors, qu’était-il devenu, poil au cul ? Rien de plus qu’un « adolesang » tremblant, plus enflammé de désir qu’il ne l’eût cru… ellement humainement possible d’imaginer, le « zobsédé ». Entre le p’tit Gilou, Gilles Hayparbal, Aline la cousine et… Makassa, Patrice Guilloton ne savait plus trop où il en était… Ni même qui il était ! L’exploration (Et « l’explore à fion ») intérieure peut, « par foi », réserver quelques… QUELLES QUEEEEEUUUUUUUUES ! … « sur prises »… de risques, Astérix. Et pour « le coup », il sentait (le phacochère, poil au derriè…) bien « queue » la perversité de Makassa resterait… perverse à jamais, majorée d’une certaine variété de terreur, l’enculeur… de mouches (et de moches). Les profondeurs sexuelles seront encore plus insondables, Aimable. Au sens du « maux » Makassa évoquant non seulement leur distance cachée, mais aussi leur nature secrète et profonde, Cu… négonde. Cet écrivant sentait (la merde !) bien « queue » plus jamais il ne retrouverait totalement son sens des con… venances « morales », poil à l’anal… Mais pour le moins (Qui peut le moins peut le plus, poil à l’anus), au prix d’un effort, il pouvait toujours faire « sang blanc », pôv gland. Il faudra « sang » con.. tenté, Dédé.

Patrice Guilloton ne pouvait pas « sang »péché » de « panser » que s’il devenait complètement « fou », il se devait de prendre des notes (de « frais ») très précises pour pouvoir écrire un « Et manuel prat(r)ique » sur l’envers du miroir, Grégoire… A l’instar d’un Lewis Carroll, Nicole, « pygmalionnant » sa petite Alice (Pleine de vices !) au pays des « Démons et merveilles », Mireille. Il était intimement con… « vingt culs » que(ue) « Ça » lui rapporterait quelques… QUELLE QUEEEEEEUUUUUUUUES ! … milliers d’euros, mon coco, après la « public à fion » de cet opus… Poil à l’anus. Il souhaitait impérativement, et surtout par nécessité, ouvrir les yeux au(x) pay(s) d’Alice dans… sa chute, par laquelle un simple basculement de l’Univers n’était pas forcément le « poing » de départ de l’illusion d’optique tic tic tic… schizophrénique nique nique nique… la race des normopathes, Eckart (Quel) Tollé. Patrice Guilloton avait viscéralement « en vie » de rejeter tout ce qui était « adulte », Belzhébuth, et de plonger… à travers Le Miroir, Victoire… A l’instar d’Alice, et à La Star de Tommy (Pour les blaireaux digne de ce « non », rappelons que Tommy est un opéra-rock créé par le groupe The Who et mis en scène par Ken Russel pour 7 ème art), il voulait être emporté très loin de cette amertume déguisée en sagesse, poil aux fesses. Dieu savait… euh… Le Diable savait qui il était, et qu’il n’avait désormais plus grand-chose de valable comme vie « adulte », poil au cul… te… du calbute. Et il n’était pas seul ! Makassa était « las », omniprésent, omni(im)potent, omnipercutant, et aussi, « par foi »… OMNICHIANT ! … Il fallait bien le reconnaître, Electre. Si d’aventure il décidait de parler, l’énergie lui manquait pour agir à ce moment « las ». Une telle faiblesse dans les situations critiques, et face au « mâle », ne pouvait engendrer qu’un « sur croix » de tragédie mon kiki. Ce soir « las », Patric… euh… Gilles Haypar… euh, Makassa dîna frugalement dans sa chambre… d’hôpital, poil à l’anal, et rendi… euh… vomit tout, poupoupidou. Il eut droit à une nouvelle nuit d’insomnie mon kiki… « chaotrique » trick trick trick… Et secoué d’explo… « fions » de souvenirs dont les draps se souviennent, Lucienne.

Au fur à (dé)mesure de votre lecture, « amis » lecteur, je pense que tout le (im)monde aura compris que ce pôv Gilles Hayparbal souffrait d’une certaine façon du syndrome de « l’imposteur » en mode Makassa. Par conséquent, très difficile d’adapter un traitement ad hoc, « mon capitaine », pour libérer… LIBÉREEEEEEEEEEEEZ ! …, pour libérer son incon… « chiant ! » Il ne lui restait plus qu’à prier pour tenter de sauver son enfant intérieur, en « loque »urence, le p’tit Gilou, poupoupidou… Il « né » jamais trop tard mon canard. Gilles Hayparbal s’efforça de résister à une peur indicible, celle d’avoir peut-être ravivé, « sang » le faire exprès, un vieux con… flit, un système « deux » l’Ombre, lié à son enfance, Hortense. Il souffrait d’un « mâle » insurmontable, Aimable. Il « sang »tait de plus en plus « queue » son humeur tragique n’était pas prêt de s’améliorer, l’enculé. D’autant « queue » la peur se greffait dessus, poil au c… Souviens-toi, lui souffla une de « ses voix »… intérieures, reprenant une ligne de « pansée » qui exaspérait « autre foi » feu sa mère, poil au derrière… Souviens-toi de ceci, mon kiki ; L’Histoire a accouché de « DEUX »… Deux figures inoubliables : JESUS et HITLER… Poil au… Cette impression « queue » la Terre tourne de plus en plus vite sous ses pieds (et des mains !), et l’oblige à danser sous la musique d’un « autre »… MAKASSA ! … Sur un tempo tellement « endiablé » qu’il craint… ÇA CRAIIIIIIIIINNNNNNNNNNNT ! … »deux »… faire une chute mortelle, Annabelle.

Et voilà, Patrice Guilloton cède à nouveau à son don pour le mélodrame, madame.

Je ne suis pas ton ennemi, je n’ai pas la volonté de devenir un « étranger » pour « toit »… « Tué » profondément vulnérable, mais tu l’ignores. Tu affrontes, tant bien « queue mâle », le monde. Ton merveilleux mentor te conseille de ne pas te poser trop de questions, poil au fion, en soulignant le fait « queue » ceux qui ont le mieux survécu à toutes (dif)formes d’holocauste étaient ceux qui en savaient le moins, Saturnin… Evite les articles de presse, ma fesse, les émissions télévisées etc. Bref, tout ce qui « con… cerne » la tragédie mon kiki. Et apprends à te méfier de toutes sortes de cul… pabilité. Et prends bien garde à la nocivité toxique des relations « amoureuses » : trop de souffrance, Hortense, trop « deux »… danger de rouvrir des plaies dont tu ne soupçonnais même pas l’existence, Horten… Exactement ce qui t’arrive à l’instant « T » (T comme Transpercé !) Je sais « queue » tu ne le fais pas exprès, mais je sais aussi « queue » tu m’as trop souvent fermé la (ou « les ») porte de ton coeur…

Curieusement, malgré cette « inquiétante étrangeté » (Das Unheimliche ) freudienne, Patri… euh… Gilles Hayparbal se sentait paradoxalement en sécurité en la « présence » de « l’autre »… A savoir, Makassa. Mais ceci avait un prix à payer, car on ne fait pas d’omelette « sang » casser des oeufs (Tant « queue » ce ne sont pas ceux auxquels il « pansait » !) Gilles Hayparbal avait toujours eu l’intime conviction « queue » sa vie avait été marquée par le sceau (Sot ?) de la malédiction, poil au fi… Par des événements terribles, et pourtant, avant de « rencontrer » con… « sciemment » Makassa, il n’avait jamais réussi à les ramener à surface « deux » son (E)sprit con… scient. Il avait toujours su qu’ils avaient eu (non)lieu parce qu’il les ressentait au plus profond de sa (et ses…) chair à cause des désagréables « sens à fions » qu’il ressentait à intervalles (ir)réguliers, Enculé. Mais le « rat/porc » ambivalent en mode « répulsion/attraction » entre ces deux « las », c’était comme si Makassa lui disait : Je suis tout « prêt » de « toit », et tu « né » pas tout seul dans ta carapace. C’était comme si « quelqu’un » appliquait un baume apaisant et salvateur sur ses irritations psychiques hic hic hic… lui(s)permettant d’affronter les pires horreurs en toute sécurité… L’ENCULÉ ! … « On » n’échappe pas aux tentacules (Et « on » t’enculent !) « deux » Makassa d’un coup… « deux » b(r)aguette magique ! Hic hic hic… Et de « sur croix », lorsque ses tentacules s’étendent et « sa grippe » au passé… ENCULÉ ! … Selon Pat… euh… Gilles Hayparbal, « son hôte » ne pouvait pas stopper son « en prise » du jour au lendemain, « Satur… Malin », et encore moins les tortures de son imagination, poil au… Ses ignobles détails de ses actes (Non notariés !) lui étaient revenus au moins 666 « foi » en mémoire, Edouard… Leur récurrence avait fini par prendre l’odeur nauséabonde d’une « zobsefion ». Il n’avait jamais réussi à cerner Makassa afin d’obtenir une seule réponse aux 666 questions qui lui encombraient l'(E)sprit mon kiki. Il se pourrait même « queue » son malaise relationnel ait exacerbé sa pernicieuse « folie », tant diabolique « queue » méphitique tic tic tic… « Il » résolut de mépriser ceux qui avaient fait de lui un paria et prit bientôt l’habitude de mépriser aussi, par la même occasion, le reste (et les restes !) de ses « sang »blables, parce qu’il les « jugeait » trop proche de ses ennemis. « Il » finissait par jouir du dégoût que lui inspirait l’humanité. « Il » avait bâti à sa(le) haine une tour d’ivoire dans laquelle il s’enfermait pour con… templer dédaigneusement le monde entier. « Il » y trouvait l’altitude dont « Il » avait besoin pour respirer à l’aise,Blaise. Certes, par moment… MÔÔÔÔÔMAAAAAAAANNNNNNN ! … Certes, par moment il crevait la dalle, « Hannibal », mais comme les richesses matérielles avaient de ce la valeur aux yeux de ce (im)monde qu’ « Il » haissait, « Il » retirait de sa(le) pauvreté une jouissance supplémentaire, poil au derrière. « L’homme » qui adopte une pareille attitude ressemble malheureusement à l’enfant qui « possède » un fouet ; il lui suffit… ÇA SUFFIT ! … Il lui suffit de se camper fièrement au soleil pour bien faire voir à tout l’monde qu’il dispose d’une enviable supériorité, l’enculé, mais bientôt il devient absolument indispensable à son bonheur que le fouet siffle et claque ! « L’homme » a besoin d’autre chose, Zardoz, que d’un piédestal, poil à l’a… ALLAAAAAAAAAAAH ! … poil à l’anal : il lui « faux » (de « La Grande faucheuse ! ») tôt ou tard (tré)passer à l’action, poil au fion. Le dégoût que lui inspirait l’humanité se nourrissait si « bien » de sa(le) « propre » substance, Hortense, qu' »Il » finissait par n’être plus ni stupide ni mesquin, le coquin. Par moment… MÔÔÔÔÔÔMAAAAAAAAANNNNNNNN ! … Par moment « Il » se trouvait à court de moyens… d’expressions satisfaisants… I CAN’T GET NO ! … SATISFACTIEUUUUUUUUUUUN ! … Dans ce « caca-las », Il devenait de plus en plus amer, poil au derrièr… « Il » ne se blâmait jamais lui-même, mais se con… « sidéré » au con… traire comme une victime de « l'(in)humanité », une (in)humanité qu' »Il » estimait, en (dé)bloc et en détail, ma canaille… inférieure à « Lui » de sang… euh… de cent coudées, Dédé.

Le jour arriva où l’enquête « liée » à la pulvérisation de « l’establishement » pénitentiaire Fleurymonnanusse fut suspendue turlututu… Et c’est alors « queue » commencèrent vraiment pour Gilles Hayparbal les vrais ennuis « liés » à la souffrance « deux » la solitude, Gertrude. « Deux » toute façon, toute (dif)forme de partage authentique ne pouvait être (Ou ne pas ê…) pour lui qu’une source d’extrêmes difficulté, ENCULÉ ! … Les normopathes, en mode « blaireau », se demandaienMt s’il avait grandi « au sein »… d’une famille « normale », l’animal… MAKASSA ! … Ce boulversement lui paraissait emblématique du violent contraste entre la paix que le p’tit Gilou avait connue et ce que Gilles Hayparbal viendrait plus tard à considérer comme une cassure profonde via Makassa. L’équivalent mental d’une faille géologique hic hic hic… « Il » lui (s)permettait de justifier tous les dysfonctionnement qui avaient perturbé jusqu’ici sa vie, notamment amoureuse d’homme adulte, Belzhébuth ! Gilles Hayparbal commençait « toute foi » à se (maux)dire « queue » sa géologie affective défectueuse avait peut-être fourni un terrain propice (plein de vices !) à toutes les horreurs qui allaient suivre. Tout son comportement avait toujours été à double « tranchant », la sérénité et l’autojustifica… « fion » s’accompagnant régulièrement de culpabilité et de souffrance, Hortense : Les oiseaux de proie « possède » leur beauté « propre ». La frusta… « fion » traversa en un éclair son champ émotionnel, Annabelle, suivie comme toujours par son écho de cul… pabilité, provenaient du plus pro… « fion » de son psychisme, d’une grotte souterraine remplie de peurs anciennes et « deux » ressenti… « ment »s « queue » Gilles Hayparbal avait décidé, depuis longtemps, « deux » ne pas (ou plus) explorer, mon névrosé. Mais soudain, il se souvint, bien malgré « Lui » (Célèbre magazine pour hommes raffinés des seventies, Denise), « queue » Makassa avait lui aussi, à l’instar de Pazuzu, « la-bite-rude » de le tenir par le coude, Miloude… Pour ne pas (« maux »)dire par les couilles, l’andouille. S’il est vrai qu’il existe un gène de Dieu, peut-être qu’il existe également un gène du Diable ! Gilles Hayparbal était une personne intelligente, mais à moins « queue » le cerveau du p’tit Gilou soit capable de « voir » des « rats-porcs » qui lui échappaient, il y avait un trou énorme comblé par Makassa, « papa ».

Je tourne en rond, se dit-il. « Ça »… vie était une spirale qui l’entraînait vers le fond « deux » l’abîme, et le mouvement s’accélérait depuis quelque… QUELLE QUEEEEEEEEEUUUUUUUUE ! … temps. Physiquement, socialement, sur le plan émotionnel, il était isolé, mon psychosé. Ses amis et ses parents avaient tous renoncés, l’un après l’autre, mon apôtre, à briser cette cuirasse protectrice (pleine de vices !) qu’il avait bâtie autour de lui cui cui cui… Autrefois jovial et ouvert, il en était venu à préférer la solitude, Gertrude, car elle Lui « spermettait » de mieux se « con »centrer Le… Démon qui hantait ses cauchemars… MAKASSA ! A l’époque du « p’tit Gilou », tout le monde disait qu’il avait un gentil sourire. Malheureusement, désormais lorsque Gilles Hayparbal se regardait dans la glace tous les matins en pratiquant ses ablutions, ce putain de… tain du miroir se ternissait et ne lui vomiss… euh… lui rendai… lui renvoyait plus qu’une image distordue, mon glandu, comme celle des parcs d’attraction… Car MAKASSA n’avait pas l’air gentil en ce moment… Pas même amical, poil à l’anal. Gilles Hayparbal avait tenté à plusieurs reprises de fuir tout « Ça », pour découvrir finalement qu’il était toujours « en prison », ce con, et toujours « prisonnier » dans le ventre d’une bête, Bernadette… « Deux » La Bête qui ne recracherait jamais sa proie intacte. Et cette « Bête » s’appelait MAKASSA ! Et qu’à l’é… ALLEEEEEEEEEEEEEEZ ! … qu’à l’évidence, il « né » pire eau QUEEEEEEUUUUUE ! … que l’eau qui dort, Hector… Surtout si cette eau est « bénite », tête de bite !

Dans ces moments… MÔMAAAAAAANNNNNNNNNNN ! … Dans ces moments de grand solitude… intérieure, Gilles Hayparbal ressentait Makassa d’une façon encore plus prégnante que « d’ordinaire », poil au derrière. Comme une créature divine de chez déité éternelle, Annabelle. Si Gilles Hayparbal avait enfoui la poudre (« d’escampette ! »), de chez Makassa, la mèche n’en demeurait pas moins prête à tout MÔÔÔÔM… à tout moment : il suffisait de l’enflammer pour que l’explosion se produise, Denise. Comme pris de folie, Lily… Qu’il n’arrive pas à apaiser sa fébrilité et il en mourrait. Il n’avait jamais connu pulsions aussi impérieuses et destructrices ! … de toute sa(le) vie. Il craignait… ÇA CRAIIIIIIIIIIIINNNNNNNNNNT ! … Il craignait ve-gra que les épreuves de l’enfance auxquelles il avait été soumis ne vomi… euh… ne rendent « l’explosion » encore plus forte, mon cloporte. Mais à ce stade il ne pouvait plus maîtriser Makassa, mon cancre… « las ». Et ce qui devait « être » arrivera, « papa ». En quelque sorte Makassa était dans l’vrai, et seule sa(le) façon « d’être » « contait ». Mais savoir « Ça » ne suffisait plus, poil au cul. Le besoin taraudait à nouveau Gilles Hayparbal en mode « le p’tit Gilou », pour « le coup ». Beaucoup plus vite, tête de bite, qu’il ne s’y était attendu, poil au c… Au bout de quelques jours, et non plus de quelques semaines, l’emplissant de la nécessité d'(inter)agir, Nadir… AMOK ! Pourtant, malgré ce besoin irréfragable de se venger, le besoin de rédemption et de libération… LIBÉREEEEEEEEEEEEEEZ ! … il agissait avec une certaine prudence, Hortense. Il « demeuré » essentiel de faire le bon choix… des armes ! Il attendait un signe de Makassa, « papa »… PAPAAAAAAAAAAAAA ! … Un signe qui lui (« maux »)dirait que le moment… MÔMAAAAAAAANNNNNNNNNN ! … que le moment était « velu », poil au c… Car il y aVÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉ… il y avait toujours un signe. Un solitaire, c’était ce qu’il y aVÉÉ… de mieux, mes « AÏE ! … euh ». Cela, Gilles Hayparbal il le savait mieux que personne, Simone. Et « naturellement », des solitaires, ce n’était pas ce qui manquait le plus, poil à l’a… ALLAAAAAAAAAAAAAAH ! … poil à l’anus.

Tu te crois différent ? C’est « Ça », petit merdeux ? Bon Diable, il serait « temps » que t’apprennes ta leçon, mon p’tit… Gilou. Parce qu’être différent, bon Diable de merde, « Ça » s’mérite, tête de bite !

VA T’FAIRE FOUTRE !, Makassa… SORS DE CE CORPS !

De l’attention… ATTENTION ! … C’est « Ça » ? Tu veux de l’attention ? Montre-toi un peu plus, poil à l’a… ALLAAAAAAAAAAAAAAAH ! … poil à l’anus, et tu « aura » de l’attention, si c’est « Ça » que tu « voeux ».

Ce soir-« las », comme « Ça » lui arrivait parfois, Gilles Hayparbal était grave angoissé. Il ne put (jamais du cul !) trouver le sommeil. « On » lui avait souvent (« maux »)dit qu’il était trop sensible ; de fait (pas exprès !), il percevait de manière aiguë les changements d’humeur, non seulement de lui, mais de son entourage. Kékchose, Zardoz, quelque chose hors du commun (des « mortels ! ») le préoccupait ve-gra, et il sentait (grave les entrailles !) que cette fois c’ était (tré)pas anodin, le coquin. Il s’était grave cadenassé en lui-même, et une barrière virtuelle se dressait qui le tenait à distance, « Hors danse »; une ombre, de chez sa(le) part (en mode « salopard ! ») d’Ombre, le recouvrait comme un nuage noir (tré)passant sur l’eau (pas très) claire, poil au derrière, et l’enveloppait, le vomis »sang »… euh… le rendant encore plus inaccessible. Ces moments… MÔMAAAAAANNNNNNNNNN ! … Ces moments-« las » d’absence, « Hors danse », survenaient soudainement, de manière totalement imprévisible. À l’é… À L’AIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIDE ! … À l’évidence, Gilles Hayparbal avait parfois des pensées zarbi, pôv bibi, et il se demandait même si ce n’était pas une punition « divine », tête de pine ; « sang » doute « un héritage » (« pas sage ! ») atavique hic hic hic… Une sorte (en mode « sortilège ! ») de réflexe, un vestige des siècles (tré)passés qui remontait à la… ALLAAAAAAAAAAAAAAAH ! … qui remontait à la surface dans les moments… MÔMAAAAAAAAAANNNNNNNNN ! …, dans les moments de désarroi, « mon roi ». Il le découvrirait « sang » (re)doute en entamant… une psychanalyse, Denise. Puis doucement, Gilles Hayparbal se frappa le front du poing, Satur… « main », pressa l’air (de rien !) contre ses tympans… VROOOUUUUUUUUUM ! VROOOOOUUUUUUUUUUUUM ! … S’il n’y prenait pas (mé)garde, Makassa allait… ALLEEEEEEEEEEEEEEEZ ! … allait lui bouffer la cervelle, Annabelle. La nuit, dans son lit, le p’tit Gilou aVÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉ ! … avait tenté plus d’une « foi » de se boucher les oreilles (tout plein d’abeilles !), de se boucher tous ses orifices (pleines de vices !) pour (désem…)parer à l’invasion de Makassa, mon cancrelat. Du coton dans les oreilles et les narines, tête de pine, du sparadrap sur le trou d’balle, l’ani… « mâle », et au bout de sa(le) queue, mes « AÏE ! … euh ». Mais il « phallus » bien respirer et ce fut « las » qu’il échoua dans ses (dé)mesures prophylactiques tic tic tic… le loustic. À l’é… ALLEEEEEEEEEEEZ ! … À l’évidence, Gilles Hayparbal aVÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉ ! … avait « réellement » la sensation « queue » (… de « La Bête ! ») Makassa était entré avec l’air (de rien !) dont il emplissait ses poumons, ce con, il s’était insinué… QU’EST-CE « QUEUE » VOUS INSINUEZ ?! Qu’il s’était insinué dans son flux « sans gain ! », Le Malin, où il aVÉÉ… où il avait nagé comme un virus (c’est la mode !) mortel, Annabelle, jusqu’à son crâne, et « Ça » mâchait, « Ça » chuchotait et « sa(le) » mâchait ! Des ennemis parfaits, pensa-t-il, toi « émoi ! » Et qui l’aurait « cru » Lustucru, quand tout avait commencé ? … MAIS DEPUIS L’ÉPOQUE DU P’TIT GILOU !, bien sûr… de rien. Makassa choisissait de se repaître des faibles… d’ « Esprit », mon kiki. Mais lui, Gilles Hayparbal… Ah ! Il s’était choisi un « sacré » adversaire ! … poil au derriè…, digne de ce « non ! », mon con. Digne de sang… euh… de son combat (en mode « coup bas ! ») pour la suprématie, pour bibi. Parce que c’est « sa(le) » que tu imagines être en train de faire, petit connard ? À l’é… À L’AIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIDE ! … À l’évidence, Gilles Hayparbal s’était mis dans une situation terriblement difficile. Mais il ne regrettait rien… NOOONNNNNN, RIEN DE RIEN, NOOONNNNNN, JE NE REGRETTE RIEN !, etc. Et pour l’avenir, il continuerait à prendre des risques, car y faut saisir le flow quand il est (dé)favorable… ou perdre le vaisseau !

À l’é… À L’AIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIDE ! … À l’évidence, « Hors danse », Gilles Hayparbal était grave seul, ma gueule, et il avait toujours été un (« ver ») solitaire, à des degrés divers (et grave « avariés ! »), mais à l’instant T (« T » comme Travelo !), il l’était plus que jamais. « Couac » qu’il en soit, il était fier de sa(le) solitude un peu rude, et l’apprivoisait (pour ne pas (« maux »)dire « approvisionnait ! »), autant qu’il la comprenait. Il sentait (grave « le renfermé ! ») que c’était elle qui le distinguait des autres, « l’apôtre ». Il était con… « vaincu » que sa solit… « rude » de chez rude puisait sa(le) source dans les profondeurs aby… « sales » de son (in)humanité, l’enculé, et qu’elle le vomi… euh… rendait plus grave « sang »sible que d’autres, l’apôtre… du « mâle »… et parallèlement, plus fort, Hector ; une sorte de visionnaire ! Lorsque Gilles Hayparbal traversa la rue un chouïa grimé comme une mémé de chez rombière, c’était osé mais il se sentait (grave le soufre… au coeur !) prêt… à tout ! Et surtout déter… « miné » à prendre des risques inconsidérés, en mode « un con sidéré ! » Se « démon »trer en personne, Yvonne, c’était apposer le sceau, de chez « sot », de sa(le) prééminence, Hortense, sur un moment… MÔMAAAAAAAANNNNNNNNNN ! … sur un moment donné, poil au néné, et sur un lieu… BON DIABL… euh… BON DIEU ! … à l’instant T (« T » comme Terreur !). Et c’était « réellement » ce qu’il violai… euh… voulait : lancer le processus, poil à l’a… ALLAAAAAAAAAAAAH ! … poil à l’anus, le « procès suce » con… sistant à vampiriser « l’histoire » à sa(le) façon, mon con. Il « pénétra ». Il ne se mit même pas à la recherche de « son adversaire », poil au derriè… Ne tenta même pas la « sale » où il savait pouvoir le trouver. Il aurait pu (grave du cul !) s’y vomi… euh… s’y rendre directement, maman… MÔMAAAAAAANNNNNNNNNNN ! … s’il l’aVÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉ ! … s’il l’avait voulu, poil au c… Mais ce n’était pas le but du « Je », mes « AÏE ! … euh ». À cette heure où la nuit s’effritait dans le matin, Saturnin, il n’y aVÉÉ… il n’y avait que très peu de gens dans les couloirs, ma pôv poire, de l’hôpital, poil à l’a… ALLAAAAAAAAAAAAAH ! … poil à l’anal. Et ceux qui s’y trouvaient ne le virent même pas, papa. Ce qui lui fit « con prendre » qu’il était « réellement » invisible aux hommes de la même… AMEEEEEEENNNNNNNNN ! … de la même façon que « leurs dieux » leurs sont invisibles ! Le fait d’évoluer parmi les gens ordinaires en sachant qu’il pouvait les « destroy » à tout moment… MÔMAAAAAAANNNNNNNNN ! … lui prouva irréfutable… « ment » ce que le tandem, en mode tant d’haine , « Le p’tit Gilou/Makassa », était et serait toujours, Abdelgha… « four ». Gilles Hayparbal s’ef… « forçat » de penser au mépris qu’il savait (em)mettre dans un simple geste, un silence même, et avec (« in »)certain soulagement il retrouva sa(le) haine ; elle (re)surgissait intacte, en mode « don » acte, massive, en mode Massive Attack !, balayant tout sur son passage, en mode « pas sage ! », torrentielle au rythme du (« mauvais ») sang martelant ses artères, poil au sphincter ; elle le laissait tempes battantes, les muscles grave tendus à se rompre !, un voile rouge devant les yeux, mes « AÏ ! … euh ». Et pendant ces secondes-là, il sentait (grave le soufre ! … « douleur ») que « l’autre » devait mourir, Nadir… « AMOK ! » ; que cette mort était juste et nécessaire, poil au derriè… Gilles Hayparbal respira profondément tout en souriant. Le silence régnait sous son crâne… La suprématie, « Ça » s’mérite, tête de bite. La solitude de l’Empereur égale… « ment », maman… MÔMAAAAANNNNNNNNNN ! Gilles Hayparbal avait fait tout le nécessaire pour se déguiser : perruque, lentilles de « contact », robe, sous-vêtements rembourrés par endroits pour transformer sa silhouette. Il passait d’une attitude de chez blaireau lambda de chez lambada (pléonasme !) sans aucun signe extérieur de féminité, en mode MILF (Mother I’d Like to Fuck !) entre deux âges, de chez cougar, Babar, tant super… ficielle qu’agui… « chieuse », la gueuse. Il sentait (grave le patchou… « lit ! » ) bien que déguisé de la sorte, le clo… « porte », et qu’avec un tel accoutrement… MÔM…, il attirerait (in)justement les regards sur lui cui cui cui… Mais c’était exactement ce qu’il voulait ; « con(s) » le regarde et « con(s) » ne puisse jamais imaginer qu’il soit autre chose qu’une (Top !) « bonne » blairette profitant des « Joy » de l’existence, Hortense ; un chouïa douairière sur les bords… pour les « porcs », Hector, mais sexy tout d’même, Germaine.

L’imagerie populaire (bien loin d’être « cérébrale ! ») de chez vulgum pecus voudrait bien que le Diable soit représenté avec tous les attributs en mode : pattes de bouc, cornes (« dans la brume »), barbiche, langue fourchue, crête de coq etc. Le « Malin » ne donne aucune envie de sourire, c’est le moins « con » puisse (« maux »)dire, Nadir… AMOK ! Alors « queue » (du Diable !) la réalité « clinique » nique ! nique ! nique ! (ta race !) peut s’avérer beaucoup plus prosaïque hic hic hic…, pour ne pas (« maux »)dire vulgaire, poil au… sphincter. Car, dans son domaine, de chez « dolmen », Gilles Hayparbal déployait une formidable « activité mentale », poil à l’a… ALLAAAAAAAAAAAAAH ! … poil à l’anal. Et par moments… MÔÔÔÔÔÔÔÔMAAAAAAAAANNNNNNNNNN ! … ses pensées le sur »prenaient » lui-même ve-gra. Car, tout con… « sidéré », entre le mysticisme à deux (trous de…) balles et la… ET LA ET LAAAAAAAA ! HOU HOU HOUHOU ! CE J’N’SAIS « COUAC » HOU HOU HOUHOU ! « QUEUE » D’AUTRES N’ONT PAAAAAAAS ! … QUI LE MET DANS UN « DRÔLE » D’ÉTAT ! … Bref, « antre » le mysticisme et la schizophrénie, l’abysse « demeure » étroit… mais non moins profond, mon con. Et peut-être qu’à trop vouloir lutter contre « un monstre », Gilles Hayparbal pourrait devenir « monstre » lui-même ! À trop scruter le fond de l’abysse (au pays des « merveilles »), l’abysse pourrait le scruter à son tour, Abdelghafour. Déjà en amont, « le terme » (tout a une fin!) schizoïde s’applique à un individu dont la totalité de l’expérience a subi un double éclatement. Il y a, d’une part, rupture dans ses rapports (en mode « rat-porc ») avec le (im)monde qui l’entoure, Abdelghafour, et, d’autre part, rupture de ses rapports avec lui-même. Un tel individu n’est pas capable de se sentir (grave la bile verte !) en harmonie avec les autres, « l’apôtre », ou « chez lui » dans le (im)monde, Raymonde, mais au contraire, il « et prouve » un sentiment de solitude, Gertrude, et d’isolement désespérants, maman… MAMAAAAAAAAANNNNNNNNNNN ! … Qui plus est, il ne se sent (plus !) pas lui-même comme une personne entière, poil au derriè…, mais divisée ou « éclatée ! », comme un (E)s… « pris » attaché à un corps par un lien plus ou moins fragile… comme deux êtres (ou plus !) distincts, Saturnin. Le plus dangereux ennemi « con » puisse rencontrer sera toujours soi-même ! Gilles Hayparbal guettait Makassa dans les cavernes et les forêts… de son cerveau…. Voire même « au-delà ! »

Mais après tout, qu’est-ce que l’au-delà ? Beaucoup sont troublés par « l’expression » même ; or l’au-delà « demeure » simplement tout ce qui ne peut-être perçu à l’aide… À L’AIIIIIIIIIIIIIIIIIDE ! … à l’aide de moyens terrestres ; par moyens terrestres, il faut entendre les yeux, le cerveau et toutes les autres parties du corps, de même que les instruments qui les aident à exercer leur activité avec encore plus de précision, poil au fion, et d’exactitude, Gertrude, leur permettant d’avoir un champ d’action plus vaste. « On » pourrait donc dire : « l’au-delà » est ce qui se trouve au-delà de la capacité de perception de nos « yeux » terrestres. Cependant, entre l’en-deçà et l’au-delà, il n’y a aucune séparation, et aucun fossé non plus, poil au cul ou, en d’autres « maux » : GILLES HAYPARBAL et MAKASSA ne font qu’un ! Ils (dé)forment un tout… à l’instar de la création entière, poil au derrière. Une seule force pénètre l’en-deçà et l’au-delà ; tout vit et exerce son activité à partir de ce seul courant, maman… MAMAAAAAAANNNNNNNNN ! … Courant vital !, poil à l’a… ALLAAAAAAAAAAAAAAH ! … poil à l’anal… et se trouve par là indissolublement lié, poil au pied. Lorsqu’une partie de l’ensemble tombe… malade, l’effet doit obligatoirement se faire sentir, Nadir… « AMOK ! », dans l’autre partie mon kiki… Tout comme le corps (in)humain, poils aux mains. Les « substances » malades de cette autre partie affluent alors vers la partie affectée, enculées, du fait de l’attraction des affinités, poil au nez, des affinités avec… MAKASSAAAAAAAAAAAAAAA ! … mon cancrelat… aggravant encore plus (poil à l’anus) la maladie, car « le mal(in) a dit ! »

Cela commença par une expression de soudaine appréhension dans ses yeux, une apparence vitreuse des pupilles, comme si elle cherchait à tâtons à discerner quelque chose au loin… Puis les yeux oscillèrent d’un côté à l’autre, suivant un mouvement arythmique (« traits ») particulier. Les pupilles remontèrent jusqu’à ce que le blanc de l’oeil seul demeurât visible. Son visage se tordit, se déforma. « Il » se cramponna à l’aide… À L’AIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIDE ! … à l’aide-soignant avec une force désespérée hors du commun ! L’un des préposés saisit en hâte un abaisse-langue dans son sac, écarta les mâchoires, qui déjà se serraient, et glissa la lame de bois entre les dents pour éviter que, dans un spasme, « il » se mordît la langue. Cela ressemblait fortement à une convulsion éclampique (« normalement » destinée aux femmes enceintes) est une terrible chose à voir ! Même les médecins habitués à « cons… sidérés » tous les aspects de cette maladie (en mode « mâle a dit ! ») redoutent celui-là. « Il » avait l’impression de sentir (grave le dégeuli !) son coeur arraché par les racines, tête « deux » pines, tandis qu' »il » enfonçait ses dents dans le bois de l’abaisse-langue, que les muscles de son visage se tordaient comme des bandes d’acier, que sa respiration devenait ronflante, haletante, et que sa(le) langue, dans ses efforts pour se replier en arrière, poil au derrière, menaçait de bloquer le passage de l’air, poil au sphincter. Puis soudain ce fut le coma ; ce qui fut un « mâle » pour un bien dans la (dé)mesure qu' »il » n’éprouvât pas l’atroce agonie de sentir (grave la chiasse !) ses muscles lui refuser obéissance, Hortense, et se tordre malgré « lui » cui cui cui… À chaque convulsion, poil au fion (« Dieu » veuille qu’il n’y en ait pas d’autre, l’apôtre… du « mâle »), « il » aurait quelques secondes (666, plus récisément) de coma, une brève période d’inconscience, « Hors danse ». Les infirmiers pouvaient sentir (grave la chiasse !) tout « son corps » se durcir, Nadir… AMOK ! …, s’agiter de (très) violentes secousses, Maousse, se répandant à travers tout l’organisme, en mode « prismes ! ». « Sa » nuque se tourna en arrière, poil au d…, ses bras battirent l’air, poil au sphinc…

Soyons un peu rationnel, pour une « foi » ; si le docteur Jekyll n’est jamais parvenu à une complète guérison de mister Hyde, si les psys s’occupant de Norman n’ont jamais totalement guéri « sa(le) mère », Norma Louise Bates, pas plus que le docteur Lecter concernant Hannibal, poil au trou d’balle… Si même un exorciste à deux (trous de…) balles n’a jamais délivré définitivement Regan de Pazuzu, poil au c…, alors QUID DE GILLES HAYPARBAL ET DE MAKASSA ?! … Manifestement, il était saturé d’une force qui ne venait pas de lui cui cui cui… Mais à l’instant T (« T » comme Transfusé !), la seule attitude – pour ne pas (« maux »)dire « altitude » en mode « quatrième dimension ! » – à « adapter » envers (et contre tous !) ce pôv Gilles Hayparbal étant la componction en mode transfusion, poil au fio… Mais ce que n’avait pas encore « con pris » le corps hospitalier, poil au pied, étant qu’il est extrêmement difficile de (sur)vivre dans deux (im)mondes à la… ALLAAAAAAAAAAAAAAAAAH ! … à la « foi »… PURÉE D’POIS ! … Gilles Hayparbal « possédait » un (im)monde dans sa(le) tête « queue » d’aucun pourrait qualifier « d’ensorcelant », poils aux dents, et « le p’tit Gilou » kiffait ve-gra s’y réfugier quand il se sentait (grave le renvoi gastrique ! hic hic hic…) malheureux, mes « AÏE ! … euh » ; comme une sorte de jardin des Hespérides de chez désespéré, tant rassurant que réconfortant, maman… MAMAAAAAAAAAANNNNNNNNNNNN ! Il con… « sidéré » que les personnages de son monde intérieur étaient bien plus réels que les blaire… euh… que les gens ici-« bas » (qualificatif idoine !), papa… PAPAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA ! … Personne ne « pansera » à maman et papa dans 666 ans… mais qui pourrait jamais oublier… MAKASSAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA ?! … (Tapus… « CRI ! » en cours, du 27/03/23. À suivre…)

Patrice Guilloton tient à préciser que toutes ses nouvelles font constamment l’objet de modifications, remaniements et de rajouts H24. Par conséquent rien n’est figé.