Entreprendre, entreprendre, entreprendre… Tel était le leitmotiv de cet entrepreneur des pontes funèbres. Car à l’aube de son demi-siècle d’existence, Paul Hamploy ressentait de plus en plus un besoin viscéral de satisfaire un manque à gagner… La reconnaissance qui lui échoit. Il estimait à sa juste valeur que durant toute sa vie les normopathes l’avaient sous-estimés et que par conséquent il n’avait jamais été apprécié à sa juste valeur. Mais comme l’affirme si bien l’aphorisme : La roue tourne. Le tout étant de savoir dans quel sens… Hortense. A son sens la définition de l’entreprise ne signifiait pas exclusivement une organisation à laquelle collaboraient patrons et employés dans une structure bien encadrée… mon Dédé. Étant fils « unique » (Le mot n’est pas trop fort !) de darons perpétuellement à hue et à dia, il avait , déjà en culottes courtes, très tôt appris à ne compter que sur lui-même et que le monde des « grands », des soi-disant « adultes », n’était en définitive qu’un vaste panier de crabes, par conséquent, pour s’en sortir sans trop de »bobos » (Dans les deux sens du terme… définitif), il devait se comporter comme un électron libre. Paul Hamploy était un Homo… oeconomicus rationnel et calculateur. Il « possédait » une intelligence dynamique (et parfois en mode « dynamite ! ») et non linéaire, « le cerbère pépère ». Il estimait que nous étron… euh… étions tous con… « damnés » à être « grave » dominés par « nos » institutions… ET PAN ! DANS L’FION ! ; et il « élargissait » ce constat au domaine de l’économie et du marketing. Aujourd’hui, l’adhésion au fake news en mode « fuck news ! », aux stéréotypes de tout (mauvais) genre, au biais(e) de pensée et aux dérapages de l’IA (Intelligence Artificiel) va nous le mettre bien profond !, « bande » de cons. Il partait du principe que notre environnement n’est quasi… « ment » fait que de pièges, Nadège ; « sa(le) » fait partie de la complexité du monde, « Raie-monde ». Sous nos yeux, le (im)monde s’uniformise, Denise, les relafions… euh… les relations « humaines » deviennent progressivement impossibles. De fait, depuis quelques années déjà, Paul Hamploy avait fondé sa « propre » S.A.R.L. et s’autoproclamait PDG (Pulvérisation, Développement, Gestion) en Free-Lance, Hortense. Car « entre prendre » et laisser à d’autres « le soin » du maniement des manettes, son choix s’imposait naturellement. Afin d’optimiser ses capacités intrinsèques, il avait compulsé plusieurs ouvrages de Management à l’attention notamment de toutes celles et ceux qui souhaiteraient se maintenir la tête hors de l’eau… boueuse, au-dessus du panier… de crabes. « Résultat des cours », l’opus incontournable qui avait retenu plus particulièrement l’attention de ce PDG demeurait sans conteste The Art of The War de Sun Tzu (Ou comment « enculer » son prochain avec élégance… Hortense). Vous l’aurez compris Paul Hamploy avait une haute opinion de lui-même, et plus le compte à rebours se rapprochait de La Grande Faucheuse, plus il souhaitait laisser une ou plusieurs empreintes de sa mission de vie… mon kiki. Dans l’ultime but de cet objectif il prenait toujours grand soin de s’entourer à la périphérie de collaborateurs aussi compétent que totalement dénués du moindre scrupules… Hercule. Les affaires restant les affaires, Paul Hamploy s’affranchissait de toute velléité d’éthique tic tic tic… qui, à son sens, demeurait le lot « propre » aux aficionados des Bisounours et autres Petite maison dans la prairie du genre Peace and Love. Concernant Paul Hamploy, ce serait plutôt : Pisse and Love. Paradoxalement à son état d'(E)sprit, il kiffait grave sa race le Dalaï Lama comme mentor, Hector, car quand bien même ce dernier avait des goûts de chiotte pour s’fringuer (Avoir à ses côtés un keum portant un rideau de douche sur les épaules et chaussé de pataugas, ça l’fait pas pour démarcher dans l’byzness en occident), il n’en demeurait pas moins que pour sa sagesse à l’encontre de toute adversité il demeurait un modèle de référence, Hortense. Comme le dit si bien le précepte Bouddhiste : Il ne faut pas jeter le bébé avec l’eau du bain… Firmin. Paul Hamploy, lui, étant beaucoup plus prosaïque, privilégiait plutôt des agents moins lunaires, plus ancrés dans la matière, poil au derrière. Autrement dit plus terre à terre. Et comme à aucun moment il ne souhaitait se retrouver « marié », pieds et poings liés avec ses employés, il faisait appel à de la sous-traitance en s’adressant à une Start (Me) up aussi compétente qu’expéditive, la société Mafialand dont le personnel était trié sur le « volé »… les kékés. Leurs missions (« Si vous l’acceptez ») étant de se débarrasser de tous les TDC (Trous Du Cul)… Et c’est pas l’boulot qui manque ! … pouvant faire péricliter une ou des affaires en cours. C’est en l’occurence, et malheureusement, une problématique assez récurrente qui revient régulièrement… poil aux dents… en moins… tsoin tsoin. « Possédant » un vaste parc immobilier qu’il avait constitué de longue date avec comme seuls bagages son manche et ses couilles (Surtout ses couilles soit dit en passant), sa S.A.R.L. TWM (The World is Mine) ne s’arrêtait pas à l’échelon national… Et PAN ! … dans l’anal ! Partant du postulat qu’il faisait partie des bipèdes à deux pattes, Paul Hamploy avait vite assimilé le fait que dans la jungle il y a les prédateurs et les baisé… euh… les prédatés qui se font enculer, poil au nez. Il avait par conséquent choisi son camp, camarade, et, de « sur croix », son clan par la même occasion… Poil au fion. Finalement, en soi la prédation ne véhicule pas obligatoirement une connotation péjorative du moment qu’elle participe au bon déroulement de l’équilibre Universel, Annabelle. En tant que PDG, grand « parrain » de la TWM, Paul Hamploy avait une obligation de résultat, ma tata, et faire valoir ses droits de manière pérenne, Ghislaine. Ce faisant, étant natif du Bélier en terme d’astrologie, cette occurrence lui allait comme un gant, mes enfants, et lui convenait à merveille, Mireille, dans la mesure où il se définissait lui-même comme un indécrottable fonceur (Mais pas bourrin, Saturnin) à tendance enculeur de TDC pour la bonne cause, Zardoz. C’est pourquoi, pour valider cette assertion il avait décrété que dans cette faune Le Bélier s’occuperait des blaireaux de tout poil avec toute l’intentio… euh… l’attention qui leur ait due ces cuculs. Les extrêmes se rejoignant d’une façon ou d’une autre, sa misanthropie avérée flirtait en permanence avec sa philanthropie sous-jacente. Tout n’étant ni jamais tout noir ni jamais tout blanc. Le manichéisme ne faisant pas partie de son vocabulaire,il appliquait scrupuleusement à sa sauce la chanson de Jacques Dutronc L’opportuniste dont il soupçonnait le parolier Jacques Lanzmann d’avoir compulsé au préalable, du moins en diagonale, tout Sun Tzu. Dans le monde des requi… des affaires et dans la vie en général, plutôt que de se comporter comme un bourrin face à la quantité incommensurable de TDC à tendance « j’me-prends-pas-pour-d’la- merde ». Par conséquent, Paul Hamploy avait acquis une réputation Grâce au soin méthodique qu’il apportait à la réalisation de son entreprise, Denise. À n’en pas (re)douter, il n’était pas du (mauvais) genre gros bourrin fou furieux, mais un habile technicien, poil au chien. Il croyait aux armes… AUX ARMES ET CAETE… « RAT »… , aux armes psychologiques « geek ! » « geek ! » « geek ! »… pour « l’exécution » d’une « tache ». L’expérience avait démontré à cette ECB (Entrepreneur-Constructeur-Bâtisseur) qu’il ne servait à rien d’entrer en guerre avec qui que ce « Soi », et qu’en adoptant une attitude à la prince Muynckine de Dostoïevsky ou bien plus populairement Columbo à la Peter Falk, l’humilité et la modestie payaient beaucoup plus que l’interprétation du genre « J’me-la-pète-grave- sa-race »… Horace. Cela étant, Paul Hamploy ne négligeait à aucun moment l’inspiration que pouvait lui apporter Tony Montana dans Scarface, ainsi que Vito et Michael Corleone dans la trilogie The Godfather digne des plus grandes tragédies Grecque, et tutti quanti mon kiki. Mais cela restait du cinéma, la réalité étant une autre paire de manche et demeurant beaucoup moins glamour et plus prosaïque hic hic hic… A chaque « foi » que cet entrepreneur s’adressait à Mafialand, il était toujours accueilli à bras ouverts, poil au derrière, et c’est tout juste si on ne lui déroulait pas le tapis rouge… sang. C’était la moindre des choses lorsqu’un client offrait gracieusement une prime de service, en mode « sévice », vomi.. euh, rendu aux prestations fournies, mon kiki. La mission que devaient « exécuter » les commis était pour le moins séduisante autant qu’alléchante, puisqu’il s’agissait d’enlever la fille d’un con… « Sultan » (Euphémisme pour signifier « consultant ») multirécidiviste dans son opiniâtreté à vouloir toujours « casser la baraque » (C’est l’cas de l’dire concernant le parc immobilier de Paul Hamploy) dans toutes les initiatives entreprises par cet entrepreneur. Et arrivé à ce stade d’obstination pour ne pas dire de persécution, ce « modeste » PDG n’ayant paradoxalement d’égal que sa mégalomanie en était venu à en faire une affaire personnelle… Pimprennelle. Pour les employés de Mafialand cette mission demeurait beaucoup plus délicate que d’ordinaire puisqu’ habituellement il suffisait d’appuyer sur la gâchette et le problème était résolu manu militari, alors que « touchant » la fille du TDC il fallait qu’ils fassent montre de beaucoup de « doigté » (Mouais j’vois à quoi vous faites « illusion »… « Bande » de vicelards !), car elle devait être « traitée » avec tous les égards qu’une jeune fille attendait d’un gentleman de l’envergure d’un Paul Hamploy… qui s’déploie. L’arrogance de ce con… « Sultan » à deux balles n’allait certainement pas mettre des bâtons dans les rou… bignolles d’un défendeur de la veuve et l’orphelin, le coquin. Paul Hamploy accomplira sa mission « Spirituelle » à n’importe quel prix mon kiki. Une des conventions du con… trat que ce PDG avait contracté avec Mafialand consistait sur la thématique « Tout-est-bon-pour-obtenir-gain-de c(l)ause ». Autrement dit, faire en sorte d’arrondir les angles avec la partie adverse en négociant « une proposition qu’il ne pourrait refuser » (ça ne vous rappelle rien, amis cinéphiles ?) et ce, toujours avec beaucoup de diplomatie mon kiki. En règle générale lorsque les prestataires (à terre) de sévices affiliés à Mafialand entreprenaient de prendre en charge un proche de la brêle contrariant les plans de l’entrepreneur PD… G « Pulvérisation, Développement, Gestion » (Dans le cas présent la fille du consultant), le trouduc (TDC) en question finissait toujours par se retrouver avec la tête dans l’fion de l’inquiétude, Gertrude, et cessait ipso facto de briser menu les Bollocks aux hommes de biens, poil au chien. Hormis quelques pleurnicheries et autres chuintements de la partie adverse, la voie de la raison l’emportait très cordialement, et Paul Hamploy pouvait poursuivre ses initiatives en toute sérénité mon kéké. En tant que PDG prônant l’autodiscipline avant tout, cet entrepreneur connaissait sur le bout des doigts les règles de la « bien séance » en société, tant dans son sens global qu’en entreprise, Denise. Certains vont même jusqu’à déclarer que les règles sont faites pour être transgressées. Tel n’était pas le sentiment de Paul Hamploy faisant tout son possible pour rester dans les clous les loulous. D’ailleurs une de ses métaphores préférées étant que les règles sont comme les poteaux qui délimitent une épreuve de slalom. On les contourne religieusement, d’aussi près que possible, sans leur permettre de ralentir la descente… tas de fientes !

Donc pour en revenir à la fille du trouduc, ce fut, pour les collaborateurs du mandataire, un jeu d’enfant pour l’appâter à la sortie de son travail en lui faisant miroiter qu’elle était l’heureuse élue d’un « tirage » au sort(ilège) concernant l’obtention d’une garde-robe « dernier cri » à la sauce Fashion… pôv conne. Pour parfaire l’opération, toute l’équipe de Mafialand n’avait pas lésiné sur les moyens en investissant dans des toilettes (Pas des latrines, des fringues bande de dingues) pour lesquelles le monde bien balisé du mannequinat serait prêt à jalouser les kékés. Un jour on avait demandé à Hitler pourquoi il n’avait pas d’enfant. Et en tout bon psychopathe qui s’respecte il avait répondu que le fils d’un génie serait forcément un crétin, Satur… « nain ». Par conséquent, le groupe de personnes travaillant sur le projet du con… « Sultan » de chez rabat joie à tendance « j’me-prends-pas-pour-d’la-merde »… en branches, avait décrété après concertation autour d’une même table que la fille de ce prétendu « génie », si elle n’était pas complètement crétine, tête de pine, elle devait sans doute être pour le moins un peu naïve, l’endive. Contrairement au fils à papa qui sans aucun scrupule « immobilisait » actuellement le développement immobilier de ce PDG, les connaissances « techniques » de ce dernier ne relevaient guère d’un universitaire bardé de diplômes, le pôv môme. Paul Hamploy était un empirique formé sur le tas, et pas de chez l’État, en mode « les tas », et en aucun cas déformé par un parcours académique Monique nique nique nique… FUCK ! tout cursus classique hic hic hic… Vive les affranchis de tout poil ! Quant à faire appel à des avocaillons avec toute la cohorte de procédures soi-disant légales… Re-FUCK ! Existe-t-il encore un simplet en ce bas monde n’ayant pas assimilé qu’un avocat affublé d’un costard trois pièces portant une serviette sous l’bras volait beaucoup plus de gens qu’un simple malfrat cagoulé armé, l’enculé. Nous sommes cernés par la délinquance en col blanc maman. Quoi qu’il en soit, l’argent n’était pas la priorité absolue de l’entrepreneur. Il avait toujours été profondément con… vaincu que le flouze était un bon serviteur mais un mauvais maître. C’est donc pour cela que ça lui tenait plus particulièrement à coeur dans sa logique constructive d’élaborer « brique par brique » son plan de bâtisseur d’un empire (Et pas « en pire »), en créant sa « propre » fondation, tendance « fonde-à-fion », espérant « queue » ça ne se terminerait pas par un four, Abdelghafour… sauf pour lui-même puisque sa toute dernière volonté, hormis un lègue conséquent, était d’avoir choisi comme suprême résidence terrestre le crématorium… Nom d’un p’tit bonhomme !

C’est ce qui s’appelle nager dans l’opulence concernant la fille du trouduc. N’ayant certainement pas vu le film The Silence of The Lambs , à aucun moment cette « oie blanche », un chouïa nunuche, ne se serait doutée que parmi les employés de Mafialand il devait bien en exister au moins un qui l’ait vu et avait bien retenu la leçon de stratégie de Buffalo Bill pour attirer sa proie dans la camionnette, Bernadette, tout en l’ayant adapté à sa sauce. Fallait bien reconnaître qu’aucune dame digne de ce nom n’aurait pu résister bien longtemps devant tant d’apparat. A l’instant même où le hayon de la camionnette s’ouvrit à la « volée », Hailkyf de Lamayrdenbrenche se retrouva soulevée de terre et projetée à l’intérieur sans pouvoir esquisser le moindre geste de défense, Hortense ; l’eût-elle voulu qu’elle n’aurait vraiment pas été de taille à s’opposer. Les portes arrière du véhicule claquèrent… sur son derrière. Une main lui saisit la machoire pour la con… traindre à ouvrir la bouche, avant d’y introduire une balle de mousse. « On » lui plaqua sur ses lèvres (du haut ! … Non mais j’précise) un ruban adhésif, poil au soutif. « On » lui tira… les bras dans l’dos pour les entraver au niveau des poignets à l’aide… À L’AIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIDE ! … à l’aide d’une cordelette, poil à la craquette. Ses chevilles et ses genoux subirent un traitement identique tic tic tic… Elle fut allongée sans brutalité à même… AMEEEEEEEEEEEEEEN ! … à même le plancher de la camionnette, poil à la zigounette. L’opéra… « fion » n’avait duré que quelques secondes, Raymonde. Elle lutta contre la sensation d’étouffement par moments… MÔÔÔÔÔÔÔMAAAAAAAAAANNNNNN ! … et, en inspirant par le nez, poil au néné, à reprendre sa respiration, poil au fion. La camionnette démarra, mes p’tits rats. Elle s’efforça de ne pas céder à la… ALLAAAAAAAAAAAAAAAAAAH ! … à la panique, en mode « pas nique » « nique » nique » « nique »… La camionnette, pilotée avec douceur, filait à travers les rues, poil au c…, de Paname, madame, d’un carrefour à l’autre. La balle (C’EST D’LA BALLE !) de mousse qui lui emplissait la bouche lui donnait la nausée, si bien dut con… « sentir! » (en se pissant dessus) un effort permanent pour maîtriser sa respiration, poil au f… Peu à peu, son p’tit (haut de…) coeur affolé parvint à reprendre un rythme raisonable, sinon normal, poil à l’a… ALLAAAAAAAAAAAAAAAAH ! … poil à l’anal.

En y repensant, les hommes « deux mains » n’étaient pas mécontents de leur travail, les canailles. À l’instant T (« T » comme Tiraillée !) où la fille du trouduc engagea un panard à l’arrière du van, « pour le coup », ce fut la vanne de la journée pour la greluche du kéké. Pendant qu’à l’intérieur du véhicule un gentleman de la coterie Mafialand, dont l’une des devises étant de toujours rester cordial et courtois en toutes circonstances, lui tendit la main pour l’aider à monter. Son « collaborateur », un peu moins gentleman « pour le cul », poussa la victime avec véhémence dans « le taxi pour que j’te broute ». Partant du principe qu’un trouduc finit tôt ou tard par se faire encul… euh… trouducuter à son tour (Restons con… sensuel), pourquoi ne pas se « faire la main » auprès d’une « no vice » en « matière » d’affaires, poil au derrière, qui, nonobstant le fait d’être la fille d’un indécrottable baltringue, n’en demeurait pas moins bien charpentée, « l’enculée », notamment au niveau de son « pousse-matière », poil au derriè… Nantie de courbes bandulatoires comme il se doi… gte, prête à être engodée devant une Webcam dont le « con tenu » sera con… siencieusement mailé à son géniteur d’emmerdeur de TDC. Rappelons que le père de chez « paire »… sans couilles de la jeune femme, squattant momentanément dans des conditions peu orthodoxes ce véhicule « utilitaire », est un con… (in)sultant qui ferait mieux de consulter lui-même un psy dans la mesure où son kiff méthodique était de dominer, pour ne pas dire niquer, et d’écraser toutes personnes constructives. C’était le roi du pilonnage psychologique à coups de trique, la vieille bique. Sa méthode correspondant au mantra « Attaque les autres avant qu’ils ne t’attaquent ». Bref, métaphoriquement parlant, il serait plus du côté Karatéka qu’Aïkidoka, pôv caca, sauf que pour pratiquer les Arts Martiaux, une certaine noblesse d’Âme et de coeur demeure de rigueur, cher enculeur. Un certain philosophe du nom de Gilbert Keith Chesterton prétendait que le « fou » n’est l’homme qui a perdu la raison. Le « fou » est celui qui a tout perdu, excepté la raison… mon con. Et par moment on pourrait se demander si Paul Hamploy n’avait pas franchi la frontière poil au… Quoique, à la réflexion, son « propre » petit projet d’avoir commandité des hommes « deux mains » pour kidnapper la fille du trouduc d’une manière « enlevée » ne fût pas exactement le produit d’un (E)sprit clair et sain mon lapin, baignant dans l’ordre et la raison mon con. Une chose est sûre, cet entrepreneur était tout sauf un branleur. Le Pouvoir (Avec un Grand P) demeurait son objectif majeur, l’enculeur. D’aucun subodorait qu’il était constamment en deuil parce qu’il ne portait sur lui que du noir. Or le noir est généralement con… sidéré comme la couleur du pouvoir… espoir. Et rappelons une fois de plus que le pouvoir était sa « finalité » mon kéké, et ce qui comptait n’était pas la façon de gagner son argent, mais ce qu’on en faisait quand on l’avait.

« Si c’est pour une rançon vous pouvez toujours vous astiquer, mon repe ne vous versera pas un kopek, ketchi, whalou, nada, zobi la mouche ! Ce n’est plus des oursins qu’il a dans les poches mais des mygales, l’animal.

__ Ne vous méprenez pas, nous faisons simplement appel à son bon sens et à sa sollicitude dans le seul dessein qu’il cesse d’entraver les initiatives d’un homme constructif et de bonne volonté, l’enculé.

__ Et vous croyez p’t’être qu’en me kidnappant ça va le faire réagir ? Vous vous foutez l’doigt dans l’derche jusqu’à la cervelle, si tant est que vous en ayez une… Sa fifille y s’en balek comme de sa première branlette, mon yeuve. C’est un beau PN indécrottable et tout c’qui compte pour lui c’est de destroy grave sa(le) race tout c’qui bouge, peu importe les conséquences. Mais en définitive on peut vite se rendre compte qu’il n’est qu’un trouduc arrogant qui fait tout son possible pour compenser l’indigence de son Âme qui a autant de consistance qu’une coquille vide. Bref, le désir de puissance d’un p’tit César qui n’a aucun pouvoir réel, Pimprenelle… Soyez rassuré sur ce point tsoin tsoin. »

À tout bien considérer, Paul Hamploy commençait sérieusement à douter de la souscription de son contrat avec la société Mafialand. En effet, depuis la disparition de sa fille, le con… « Sultan », alias le trouduc qui lui mettait des bâtons dans les rou… bignolles, plutôt que de le calmer le rendait encore plus tenace Max… la menace. Pour « le coup » il ne le lâchait rien, Saturnin, pas d’une « lichette » tout ce qu’il entreprenait.

S’il me chie dans les bottes, il va falloir que je passe à la vitesse supérieure c’t’enculeur.

En tant que PDG de la TWM, il ne pouvait pas se laisser marcher sur les pieds par un arriviste à la mords-moi l’noeud s’arrogeant le droit de broyer, armé d’une poignée d’audits, une entreprise qu’il avait façonné à la sueur de son front, ducon. Pourtant dans les conventions (Pas très conventionnelles) de la famille Corleone il est bien stipulé que pour obtenir gain de cause, plutôt que de s’en prendre à l’instigateur du litige, la stratégie à appliquer consiste de préférence à « toucher » un proche… Eh ben c’est pas dans la poche Totoche. Paul Hamploy avait du « mâle » à contenir sa colère, poil au derrière… Lui qui d’ordinaire, depuis une longue pratique des Arts Martiaux parvenait à se maîtriser, était prêt a signer le financement du séjour d’un trafiquant de drogue à Hong Kong pour affaires, dans le seul but de ne plus avoir ce connard dans les pattes.

S’il s’obstine à vouloir me compliquer la vie, il ne va pas avoir « affaire » à un ingrat rumina le PDG de la TWM. Subitement, sa « sagesse » lui dicta ce qu’il devait faire en premier lieu… du crime… A savoir, compulser son mémorandum électronique nique nique nique… afin de décider la meilleure stratégie à adopter, et ce faisant, à adapter, dans l’ultime dessein d’éradiquer totalement « le problème »… En l’occurence, la suppression manu militari du TDC, alias le trouduc. Cela faisait déjà un p’tit moment que Toni Druent avait compris que pour survivre dans ce monde il valait mieux être craint qu’être aimé… par des enculés. Par conséquent, si l’on essayait d’exposer ses arguments face à un beau parleur comme le trouduc, ce dernier se ferait un « Malin » plaisir de les démonter sans aucun scrupule Hercule, jusqu’à prouver, avec une mauvaise foi assumée, que le noir était blanc et réciproquement. Mieux valait, pour l’entrepreneur, s’en tenir à ses exigences, Hortense. Plus sûr. Cela fait partie des « annales » de la profession, poil au…. Paul Hamploy était partisan du fait que pour réussir dans les affaires l’essentiel n’était pas de gagner cent victoires dans cent batailles, mais plutôt de vaincre « l’ennemi  » sans combat. En d’autres termes, le conflit frontal n’était jamais une bonne idée, Dédé. Au vu de ce PDG distingué, avoir recours aux armes n’était pas digne d’un gentleman, madame… Sauf en tout dernier recours… Cela va de « soie ». Si l’on « sang » réfère au pragmatisme de la famille Corleone, lorsque le parrain prend la décision « d’éliminer » un pion gênant, ce n’est jamais anodin Saturnin, et pour justifier son « geste commercial » il invoquait le fait qu’il n’y avait rien de personnel Annabelle, et que c’était seulement les affaires… Poil au derriè…

Lorsque Toni Druent et Véronique Tarass sortirent précipitamment de la salle avant la fin du film, non sans avoir incommoder au passage les quelques spectateurs qui visiblement avaient tout l’air de trouver un semblant de crédibilité dans ce soi-disant chef d’oeuvre du réalisateur Martino Cyphe, ils n’eurent qu’à se regarder un bref instant d’un air entendu et tout était dit mon kiki. Malgré un scénario prometteur et un cador du 7è Art pour la réalisation, ça schlinguait grave le navet à plein nez, Dédé. Même l’acteur principal Alain Daymont ne parvenait pas à réhausser le niveau de cette daube, mon Claude. Aucun personnage n’était attachant… Plutôt à attacher. Au lieu d’avoir gaspillé leur oseille dans ce nanar de chez nullissime, Toni Druent déclara finalement à sa compagne, Véronique Tarass, qu’ils auraient mieux fait de visionner un DVD en mode « Dans Votre Derche » de chez Dorcel à la maison, poil au fion… d’une main aussi distraite qu’attentive. Car si le cinéma « à papa », disons « classique », était tombé en désuétude, pour ne pas dire devenu littéralement une merde molle, il y avait déjà pas mal de temps, en revanche, le pluridisciplinaire Toni Druent à connotation multi »taches » (Lol) demeurait de plus en plus « con vingt culs » qu’une certaine catégorie de films « de genre » avait évolué sous de meilleurs auspices… à la raie (En attendant l’hospice) depuis les Seventies, Denise. Et ce n’est pas mamy Brigitte… Lahaie qui démontrera l’contraire (sans poils au derrière !) En l’occurence, qui oserait prétendre n’avoir jamais maté sous l’manteau (du parvers pépère un film de boules, Raoul. Vous l’aurez compris, mon « kiki »… « queue » Toni Druent faisait allusion au cinéma por no… et por les autres, l’apôtre… du X. Je souhaite rassurer le lectorat de Patrice Guilloton qu’il ne s’agit point là d’une digression par rapport au récit d’origine, tête de pine, mais comme il ne sous-estime à aucun moment l’intelligentsia éclairé par une perspicacité de bon aloi qui anime ses « chairs » lecteurs (Et sutout lectrices hé hé hé…), et qu’il sent (jamais du zgègue !) très bien que tout ce beau monde reste suffisamment « aware » d'(E)sprit pour évoluer dans la mouvance de l’ère du Verseau, les cocos… Donc, en résumé, le film L’Entrepreneur ne faisait même pas peur. Ce Paul Hamploy n’était qu’un fantoche comparé à la dangerosité avérée de Toni Druent, mes enfants. Et ce n’est sûrement pas Véronique Tarass qui pourrait affirmer le contraire, poil au d. Entrepreneur il l’était… à sa façon mon con. Son modus operandi s’opérant à la mexicaine, Germaine. Autrement dit, lorsqu’un éventuel gêneur se montrait par trop intrusif dans son bizness, à connotation « bisefesse », Toni Druent s’en occupait personnellement manu militari comme on dit, et bien souvent l’emmerdeur en question se retrouvait en mode kit (Ou double) simultanément dans une ou plusieurs cliniques spécialisées au « sévice » des dons d’organes, madame… Tarass étant à intervalles (ir)réguliers l’infirmière attitrée… Et parfois « à tirer », René. Son hobby préféré demeurant l’étude de la morphologie mon kiki, et son grand dada les « écorchés »… vifs de préférence, Hortense. Encore une fois, les affaires étant les affaires, le p’tit père Machiavel restait son meilleur conseiller en « matière » de stratégie mon kiki, à savoir qu’il valait mieux être craint qu’être aimé, les kékés. De plus, et sans transition, il détestait les snobs prétentieux presque autant que les « bonnes Âmes »… A l’instar du « héros » en tête d’affiche de ce nanar de série B, pour ne pas dire Z comme Zéro, dont, lui et sa compagne avaient quitté la salle sans aucun regret, mais non dénués d’une certaine amertume. Toni Druent était un magnat (Et un magma) de l’immobilier, mais à sa sauce… Ketchup, si et seulement si tous les « ingrédients » n’étaient pas réunis afin de conclure une bonne opération, poil au fion. Par ailleurs, étant féru de cul… ture et très érudit sur la thématique du 7è Art, nul besoin d’être un cador dans ce domaine pour s’apercevoir que déjà depuis pas mal d’années il y avait une couille dans l’potage d’un point de vue créatif tif tif tif… Et que « les règles » avaient changé… de plateau de tournage poil au (ça sent l’) fromage. Et plus précisément, « pour rentrer dans l’vif du sujet », si cet entrepreneur affectionnait tout ce qui rapportait sur le grand marché planétaire, poil au derriè… le cinoche, dit « classique », avait désormais autant de con… sistance qu’une merde molle, Nicole. En revanche, les couilles molles n’étaient même pas tolérées sur les plateaux d’une certaine catégorie de « bande » filmée, poil au néné. N’en déplaise aux prout prout ma « chair » de tout « poil », depuis les Seventies le marché du por no… et por les autres avait évolué de façon drastique tic tic tic… ON S’ASTIIIIIIIIIIIIIIIIIQUE ! … Si on jetait un coup… d’oeil sur les statistiques, la courbe de l’audi »mate » bandait de façon exponentielle, Annabelle. En résumé, sans faire de la psycho de « con »ptoir, partant du postulat que tout blaireausapiens « possédant »‘un encéphale (Enfin pour certains on s’demande !) et que la partie la plus archaïque demeurant la partie reptilienne, à savoir le siège des besoins primaires, poil au derrière (Nourriture, habitat, reproduc… « fion »), Toni Druent avait donc choisi d’investir dans le logis… et les jolies fesses, puisque dans le domaine de l’alimentation il existait pléthore d’associations, poil au fion… de garantie. Pour faire court (« Court » n’étant peut-être pas le qualificatif idoine « con »cernant « l’outil de travail » des hardeurs), « posséder » des biens immobiliers « demeure » toujours un placement sûr, Arthur. Valeur refuge par excellence, Hortense. Par « con »… séquent, quand l’immobilier va tout va, papa. Quant au cul… Lorsque le commun des mortels proclame haut et fort que ce qui mène le monde c’est le cul… l’entrepreneur Toni Druent, lui, ne voit pas les choses « sous cet angle ». A son sens, ce serait plutôt la queue qui mène la planète… Poil à la quéquette. En effet, s’il n’y avait pas la queue, on s’passerait bien du cul… CQ… FD. Et paradoxalement, à l’époque des trente glorieuses, à l’instar des films d’horreur, le cinéma « de genre » X, en passant par Les Valseuses , était « mâle » con… sidéré par ses « paires », poil au… À présent la donne avait changé les kékés. Ces deux thémat(r)iques avaient enfin acquises leurs lettres de noblesse, et non de « no fesse », ma fesse. C’est toujours amusant de con… « s’tâter » qu’au départ les blaire… euh… les gens vous les choquez, puis plus tard ils vous portent au pinacle. Et Véronique Tarass, sa compagne, n’était pas en reste, Ernest, et ne pouvait pas se « sperme mettre » de faire la « fine bouche » avec son homme alpha préféré, ce « zob cédé ». Doté d’un un sens des affaires redoutable, et amant remarquable qui plus est, ce qui ne gâchait rien « Saturmain ». Sans « transifion », Toni Druent ne se laissait jamais « emmerder par les TDC (Trous Du Cul !) bien longtemps, sauf ceux qu’il avait sélectionné pour sa future (re)production qui devrait s’intituler La Schtroumpfette kiffe la quéquette. Avec beaucul… de diplomatie et de « doigté », comme à son « à bite rude », il avait… AVÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉ ! fait comprendre au réalisateur, Grégory Vilin, qu’il serait prêt à « mettre le paquet »… de fric sur la table si sa bourgeoise avait son rôle à jouer dans le projet. D’ailleurs pour étayer ses propos il lui avait vivement conseillé, pour ne pas dire recommandé, de revoir, s’il ne l’avait déjà (re)vu, le film The Godfather, chef d’oeuvre de Francis Ford Coppola (A ne pas « con fondre » avec l’autre réalisateur Fred Copula), plus précisément la fameuse scène de la tête du cheval… si jamais il éprouvait quelque « poing » de désaccord sur « les condifions spéciales » du contrat, papa. En guise de cheval, Toni Druent savait qu’il « possédait » en revanche un adorable Chihuahua, dont il était fou amoureux, ce neuneu. Tellement morgane (Clara) qu’il avait trouvé un faussaire de qualité pour en tirer… plusieurs tableaux à l’effigie de Feukmi, mon kiki, à la façon du peintre Titien. Ce qui par la suite faisait beaucoup rire Toni Druent lorsque Véronique Tarass prenait sa demi-portion dans ses bras… Il lui disait : « C’est le Titien à sa mémère ! », et à chaque fois ils se bidonnaient comme des gamins, Saturnin. Dans l’immédiat, con… cernant le p’tit père Grégory (J’ai pas dit « le p’tit Grégory »), ce serait plutôt « le p’tit chihuahua à son papa ». Bon d’accord c’est pas le même gabarit que le cheval dans The Godfather, mais ce qui compte avant tout demeurant la valeur de coeur « con » veuille bien lui accorder finalement. En fait, cet entrepreneur avait l’énorme avantage sur beaucoup de ces « cons… pas triotes » d’être capable de provoquer des chocs psychologiques hic hic hic… Et pas des moindres, bien plus efficaces que les redoutables électochocs « con » trouve encore dans certains HP (Hôpital Psychiatrique… Et pas Haut Potentiel), dont le résultat « demeuré » plus que douteux mon n’veu (A savoir plus déficient qu’efficient). Un autre de ses paradoxes résidant dans le fait qu’il était plus que tout un indécrottable romant(r)ique at(tiré) par ce qu’il « con sidéré » comme les charmes de la violence, Hortense. Mais « con » ne s’y trompe pas, cet entrepreneur disposait d’une authentique « con science » sociale, l’animal. Il représentait désormais une certaine image de la réussite (anti)sociale, le chacal… selon ses propres critères, bien évidemment. Il était même allé jusqu’à battre… le système avec ses « propres armes ». Mais bientôt, il n’aurait plus aucune raison de se battre, puisque la preuve de son inanité serait chose faite. Toni Druent ne dépendait aucunement des structures, des règles et des systèmes bâtis par les autres… ou très peu. Il s’était obligé à regarder sa vie en face, Stanislas, à cesser de jouer le genre de rôle que chacun s’inventait pour meubler une existence faite de faux-semblants et d’objectifs illusoires, les pôv poires. Maintenant qu’il voyait clairement, derrière lui, s’écrouler tous ces « ponts » qu’il avait construits et dont il ne restait qu’un immense champ de ruines, il savait quelle conduite à adopter désormais. Doté d’une longue pratique des Arts Martiaux, il avait notamment retenu qu’en Karaté la meilleure défense restait l’attaque… Tabarnak ! En tant qu’entrepreneur avisé, et pour ses détracteurs avisés (Et à viser !), Toni Druent était sans cesse à l’affût pour tenter de saisir la première occasion favorable. Et alors s’il se présentait une telle occasion… Pour en revenir au projet de faire parti… « sliper » sa compagne Véronique Tarass dans un film de « luc » (Verlan oblige) ne perturbait pas l’entrepreneur plus que ça. N’étant pas particulièrement très zobsédé outre mesure par le sport en chambre, Toni Druent entreprenait de « mettre »sa… co-pine dans un con… texte professionnel où « l’exprefion corporelle » ringardiserait la gym aerobic (et bouc) du genre coaching Has Been à la Syphilis et Vérola, papa. En effet, si l’entrepreneur se rendait bien compte que le 7è Art dit « classique » avait désormais autant de consistance qu’une merde molle, en revanche, certaines « chorégraphies » du « 69è Art » présageaient d’énormes… succès de façon pérenne, ma Reine, et « queue » les « coachs » (toi-là) sur le plateaux de tournage (Et non de tournantes… Quoique…), eux, « pour le coup », étaient aux antipodes d’avoir les couille molles, Anatole. Pareillement pour l’entrepreneur au grand coeur. Si par mégarde le (re)producteur refuserait d’intégrer Véronique Tarass dans le prochain tournage, La Schtroumpfette kiffe la quéquette, Toni Druent se ferait un « Malin » plaisir de lui Démon… trer que, lui aussi, il en avait dans l’pantalon à ce « con » (Tout est dit). On pourrait « con sidéré » de prime abord que pour un entrepreneur il aurait des façons de faire peu orthodoxe, poil à l’intox, voire totalement atypique pic pic pic… Mais il y a belle quéquette qu’il avait « con pris » que le respect ne se gagnait pas comme ça du jour au lendemain bande de nains… d’jardin. La gentillesse mes fesses ! songeait-il plus souvent qu’à mon tour. Pour obtenir des résultats tangibles et pérennes il fallait se retirer les doigts du cul et mouiller… sa chemise Denise. « Con cernant » Véronique Tarass, quand bien même côté radada elle était plutôt du genre coincée d’la fente, elle n’était pas pour autant contre de mouiller sa culotte… de cheval sur un plateau « cochon », pénétr… euh… entourée d’étalons bien membrés, plus polissons les uns que les autres, les apôtres du sexe. Grégory Vilin était un (re)producteur-réalisateur « chaudement » respecté sur la place (pas tout) publique hic hic hic… Très procédurier et pugnace lorsqu’on l’attaquait… en justice (Pleine de vices). Il n’hésitait pas à porter plainte contre « X » si on le menaçait d’être un peu trop olé olé sur certaines scènes, Germaine. Toni Druent l’entrepreneur, lui, n’en avait « queue » faire, poil au derrière, de la lourdeur administrative. Lors d’éventuels conflits il réglait ses affaires d’une main de maître… bien profond, car, jeu de main, jeu de « Vilin, Saturmain » . Les affaires étant les affaires, cet entrepreneur ne perdait jamais son temps à entamer des attaques en justice, la malice, soit disant dans toutes les règles du droit international… Poil à l’anal. Il s’arrangeait toujours pour proposer à la partie adverse « une offre qu’elle ne pourrait pas refuser ». Certains vont jusqu’à décréter que les règles sont faites pour être transgressées. Tel n’était « poing » le « sang-timent » de Toni Druent mes enfants. Il estimait que les « règles » étaient comme les poteaux qui délimitaient une épreuve de slalom mon bonhomme. On les contournait religieusement, d’aussi près que possible, sans leur permettre de ralentir la descente. Et puis après tout, il partait du principe que la vie est une caisse de grenades et « con » ne sait jamais laquelle te pétera au nez, enculé. Lorsque « l’entre preneur » arriva au siège social de Grégory Vilin, le personnel en place crut dans un premier temps que c’était Emmanuel Macron en personne qui venait leur rendre visite. En effet, à travers les vitres de « l’Establishement », ils purent apercevoir une voiture du type… présidentiel, genre Safrane, amorçant un freinage aussi progressif que discret juste devant « l’entrée principale » du complexe, pas complexé pour autant (en emporte le gland) du porno chic dans toute sa splendeur… de sodomiseurs de premier choix… N’en déplaise à toutes et tous les coincés d’la rondelle, Annabelle. La (re)producfion Grégory Vilin & Consorts (la bite) est une respectable « institufion ». Ce « queue » les employés de la f(r)ime étaient sans doute loin de se douter en matant sournoisement derrière les carreaux étant que, non seulement les vitres du véhicule étaient fumier… euh… fumées… Mais qu’en « suce » elles étaient à l’épreuve… des balles… et surtout des « trous de balles »… Hannibal. Sur l’échelle de Richter de l’étonnement, le niveau grimpa d’un échelon lorsque les salariés virent le grouillot d’service se diriger tout droit jusqu’au véhicule « présidentiel » d’une démarche chaloupée, autant cérémoniale que déterminée, le kéké, pour venir accueillir, semble-t-il, une huile pas piquée des vers… de terre Norbert. En premier lieu (du désastre à venir), ce fut Véronique Tarass qui s’extrada de la plage arrière de la Safrane avec « beaucul » d’élégance Hortense, et dans tout « l’essence » du terme Germaine. Ensuite, après avoir appliquer le baise… main protocolaire… de rien, à la future « enchassée », le sbire contourna ce qui plus tard allait devenir le corbillard de… (A vous de deviner). Lorsque le parr(i)ain… à foutre sortit à son tour du véhicule avec une gracieuse vélocité, la poignée de main fut autant virile et chaleureuse que le baise-main de sa compagne rivalisait de distinction et de délicatesse, ma fesse. Quand « le trio infernal » arriva sur le seuil du « bouge » (toi d’là que j’my mette) version chic 2.0 à tendance lupanar pas tocard, le « mettre » des lieux Gregory Vilin accueillit le couple (Le laquais ayant fait un pas d’côté) avec tous les égards « con venus » en de telles circonstances Hortense. A priori Toni Druent était ravi de « con s’tâter » qu’il n’aurait pas à faire usage de méthodes peu orthodoxes pour que sa « flamme », autant attitrée qu’à tirer, soit engagée pour le tournage et « la tournante » de La Schtroumpfette kiffe la quéquette. A l’évidence, Toni Druent forçait le respect. D’autant plus, et tous les hommes d’affaires en restent persuadés, qu’au bras d’une jolie femme la signature du moindre contrat prenait rarement une éternité, enculé. Quand la mignonne petite créature à poil vint à son tour célébrer la venue de l’entrepreneur en « grandes pompes » avec force enthousiasme, tout en urinant sur tout c’qui bouge (Le clebs… Pas la femme), ce « fût » la cerise sur le gâteau (Et pas encore gâteux). Véronique Tarass, comme toutes les femmes, en laissa échapper, non pas de l’urine à son tour, mais un gloussement de plaisir non dissimulé en apercevant le petit animal lui faire la fête la première, poil au…

« Je vous présente Feukmi, ma p’tite chienne préférée d’entre toutes… mes autres « chiennes » lança d’un air goguenard Gregory Vilin, le maître des lieux… et, par « rebond », des Dieux dans son domaine (Dans tous « l’essence » du terme).

Toni Druent ne put (jamais du cul !) s’empêcher de ricaner sous cape en songeant que cette adorable petite bestiole pourrait avoir tout à fait sa place dans un plat en sauce, farcie de préférence avec de la sauge, de l’oignon, et bardée d’une bonne petite tranche de lard craquante. Il en bandait d’avance Hortense. Mais bon, compte tenu du pouvoir con… « ferré » à l’auguste Gregory Vilin, propriétaire de sa « propre » boîte et éminemment respecté aux yeux des autorités qui tenaient les cordons de la et les bourses (Lol), entre gentlemen, Toni Druent pensa très sincèrement qu’il n’y avait aucune raison pour que Feukmi en pâtisse pour finir en pelisse, Alice. Ce faisant, il ferait de son mieux pour ne pas risquer l’incident diplomatique tic tic tic….hic hic hic… Finalement l’entretien se déroula sous les meilleurs auspices. Et bien entendu cela valait toujours mieux que de se retrouver à l’hospice… pleine de pisse ! …Sous les airs un chouïa brut(e) de décoffrage de Toni Druent, il ne fallait pas s’y méprendre Alexandre, cet entrepreneur cultivait en réalité cette qualité indispensable pour mener à bien toutes sortes de byzness : Une certaine aptitude à La Sagesse ma fesse. Il partait du principe que la sérénité était une disposition d’ouverture qui se cultivait quels que soient les embûches et les problèmes de la vie mon kiki. Elle était un chemin plutôt qu’un état figé, mon rusé. Et sur ce chemin il était inévitable de rencontrer des rochers à contourner, des failles à enjamber, des embûches, des emmerdes, des épreuves etc. Dans le cas présent les pourparlers au siège de la multinatio… « anal » de Gregory Vilin se concluèrent par, non pas un, mais deux contrats en faveur de Monique Tarass, à savoir La Schtroumpfette kiffe la quéquette et Dégustez la veuve Clito. Tout un programme ! Madame. Puisque les éminents « membres » de cette rencontre professionnelle s’étaient mis d’accord au moins sur un point : Faire preuve d’un peu plus de modernité en déragardisant le monde de plus en plus lucratif du porno chic hic hic hic… Il fallait du neuf, du Fashion, de l’original, du brillant et, surtout, de la créativité 2.0. Une nouvelle campagne s’engageait, et c’est l’avenir de cette maison qui était en jeu, « coquin » de sort ! Le pari était donc lancé « queue » Diable !

Dans le monde réel Toni Druent restait persuadé que celui de la finance et des affaires, la gentillesse n’était ni de rigueur ni un critère, poil au derrière. Toutefois, selon toute vraisemblance l’exception pouvait confirmer la règle à propos du contrat qui unissait désormais l’entrepreneur Toni Druent au PDG de la multinationale du film de « charme » Grégory Vilin. Le bout d’la langue sur le gland étant qu’en plus « le protecteur » de Monique Tarass avait été promu d’office associé majoritaire de ce con… sortium mon bonhomme. Tout bien(s) con… sidéré, d’une certaine façon Grégory Vilin offrit un sacre à Toni Druent… Seulement ce que voulait ce « dernier », c’était le trône ! Pendant le trajet du retour à leur domicile estampillé 100 % De Luxe à connotation Scarfacienne de chez Tony Montana & Consorts, Toni Druent demanda à Monique Tarass ce que voulait dire Grégory Vilin lorsqu’il enjoigna à sa compagne et salariée depuis peu, de firme, et non moins frime, de se faire… ou encore mieux, de se faire faire le sif Bérénice. Il connaissait bien le produit ménager du même nom, mais il doutait fortement qu’il y eût une quelconque similitude Gertrude. Lorsque Monique Tarass éclata subitement d’un rire graveleux de crécelle dû en grande partie aux nombreuses clopes consommées par le passé (On ne sait jamais ce que le passé nous réserve), Toni Druent fit une embardée à la Rémy Julienne qui faillit envoyer sa voiture de « fonction » dans l’décor Hector. Mais bon, ayant engrangé certains automatismes liés à des réflexes con… ditionnés, grâce à divers stages effectués dans la légion étrangère, il put redresser la situation à temps, mes enfants… de p… Le bruit de crécelle n’avait pas stoppé pour autant, à tel point qu’il croyait que ça venait du moteur, docteur. Ce fut seulement lorsque Monique Tarass lui expliqua la signification du sif qu’il éclata de rire à son tour le bougre. Son rire à lui était plutôt du genre caverneux destroy Iggypopien, poil au chien (I wanna be your dog pour les aficionados). Bref, se faire le sif voulait tout simplement dire « la totale » poil à l’anal… A commencer par la chattine Augustine. C’était une des « con »difion sine qua non pour tourner dans le X… Matrix. Ben va y avoir du boulot mon toto ! lui lança son compagnon toujours hilare. Va falloir que « tailles » faire un saut (En attendant de t’faire saut…) chez Kiloutou louer une tondeuse à gazon poil au… euuuh… pour ton fion ! rajouta-t-il goguenard… Ils se « poilaient » (C’est l’cas de l’dire !) tellement tous les deux que Toni Druent prit la judicieuse initiative d’emprunter un petit sentier de traverse à travers bois, puis stoppa la Safrane à un jet de pierres de l’artère principale, poil au rectal, pour finalement, après une strangulation du marsouin bien con… sommée à l’aide (A L’AIIIIIIIIIIIIIIIIDE !) d’un p’tit shampoing à la salive, expulser sa mixture à intervalles (ir)réguliers sur les binocles de sa dulcinée poil au nez… ET UN P’TIT COUP SUR L’PARE-BRISE ! beugla-t-il tout en balançant la purée l’enculé. Quoi de mieux qu’un bon orgasme des familles pour être frais et dispo… Décontracté du gland pour gérer ses affaires sous les meilleurs auspices… En attendant l’hospice pleine de vices et de pisse. Une amitié sexuellement démocratique tic tic tic… Les coeurs et les culs ne se brisaient pas. Bien sûr « queue » non mon « con ». La carrière de l’entre… preneur avait bien plus d’importance, Hortense, « queue » l’amour et la sexualité, enculé. Sans doute était-ce là la sexualité du futur, Arthur. Le roman… trique remplacerait l’amour romantique tic tic tic… La passion, le désespoir, tout cela disparaîtrait dans un passé névrotique hic hic hic… L’entrepreneur Toni Druent était un homme d’ambition et de génie mon kiki. Son père était un excellent joueur d’échecs. Il disait toujours que le meilleur n’était pas celui qui pouvait prévoir les mouvements de l’adversaire, mais celui qui savait adapter sa stratégie mon kiki, n’importe quand, à la position des pièces. Cela est aussi vrai dans de nombreux autres domaines Germaine. L’argent avait offert à cet entrepreneur la liberté et un mode de vie que même son père n’aurait pu imaginer à ses débuts, poil au cul. Le pouvoir de la richesse, pour le meilleur… et surtout pour le pire dans un futur proche… du néant… ne doit jamais être sous-estimé Dédé. Désormais Toni Druent était devenu un homme respectable et respecté. Son violon « dingue » demeurait sans con… teste l’immobilier sous toutes ses formes. Il connaissait des gens dans tous « les milieux », mais les immeubles de rapport demeuraient son dada, générant des sommes considérables et des capitaux à l’avenant les enfants. La cerise sur le gâteau (Avant d’être gâteux) étant que l’industrie du X pissait à la raie de toute velléité de « bien-pensance » en faisant « exploser » les cordons… de la, et des « bourses » mon nounours. Et dans un futur proche les bons gouvernement comprendront, bien après les financiers, seront ceux qui favoriseront une économie libre… de toute attache Eustache. L’entrepreneur « freelanceur » Toni Druent optait davantage en ce sens Hortense… Simplement, il y avait une couille dans l’potage… au fromage. Après tout, il y a des tas de gens peu recommandables (et recommandés) qui aimeraient mettre la main sur une affaire comme celle que venait d’obtenir ce boulimique des (très bonnes) affaires, poil au derrière (Oui je sais, les hardeuses et hardeurs 2.0 en ont de moins en moins de… poil au derrière… Mais bon…).< Et pourquoi pas en le butant ? … purement et simplement.

Cela faisait près de trois jours, trois jours qu’un chien aboyait sans cesse pratiquement H24, avec néanmoins quelques rares moments d’accalmie dûs certainement au fait que toute créature digne de ce nom avait des besoins vitaux comme de… fermer sa gueule de temps en temps. « Con cernant » Gregory Vilin, il n’avait plus à s’inquiéter pour ça. Sa gueule à lui était fermée pour un bon bout d’temps les enfants… Quant bien même la dimension temporelle est un non-sens concernant l’Eternité à tout jamais. Les brancardiers eurent un mal de « chien », dans tous les sens du terme, à maîtriser justement ce pôv petit roquet qui n’arrêtait pas de bondir sur le linceul enveloppant son maître étendu du repos du mort dont la civière se dirigeait sans précipitation jusqu’à l’ambulance Hortense, en attendant le corbillard un peu plus tard Babar. Pour « le cou »… une simple balle dans la nuque, ça ne pardonne pas. Ce faisant, il n’a pas souffert conclut l’expertise judiciaire, poil au derrière… la tête… SS, comme on dit dans l’administration kiffant les abréviations, poil au fion. Donc, SS comme Sans Suite, ou RD comme Règlement Définitif de chez définitif tif tif tif… pour ce maniaq… euh… ce magnat de l’industrie « de charme », dont le sien demeurait depuis peu dans les « annales »… de ce type… de « bise-fesse »… Poil aux… Ces dernières années, les travers de l’espèce (in)humaine avaient donné à Toni Druent tellement d’occasions d’exercer son « art » et d’étendre son pouvoir. Quelques bouts de papier pour la cu(l)pidité des uns, des privilèges éphémères pour l’hystérie gourmande du pouvoir, des objets ou des corps offerts aux envieux, les vices de l’humanité étaient nombreux mais pas si difficiles à combler, enculés. Nul besoin d’imaginer Le Diable tenu à distance par une morale ruinée ou un athéisme « bien-pensant » et matérialiste. La Bête vivait bien au chaud dans le coeur de chaque « homme », n’attendant qu’un signe pour souscrire à ses sinistres desseins Saturnin. « Poing » de salut dans la mesure où les idéologies décadentes s’accommodaient si bien des réussites (anti)sociales (… tu perds ton sang-froid) fondées sur le capitalisme. L’idée n’était pas que l'(E)sprit d’entreprise soit strictement con… damnable. Mais les liens étaient étroits dans cette sphère, poil au… puante entre pouvoir et perversion poil au… Ces leaders charismatiques dépourvus d’empathie, Toni Druent les avait tellement côtoyés, il avait appris à les satisfaire avant de les plier à sa volonté Dédé.

Pour toutes ces raisons, il s’était affranchi sans « re-morts » de toute morale. Désormais, il allait et venait dans leur monde baigné de morgue et de luxe, Pollux… Cueillir, faucher, soumettre ou récompenser, le talent, c’était choisir le fléau qui « con venait » le mieux mon p’tit vieux. Mais le plaisir restait le même, qu’il s’agisse de voir briller dans les yeux l’imploration, le désespoir ou le désir Mounir. Celui qui écrit ces lignes actuellement, en l’occurence Patrice Guilloton (Non non, c’est pas de l’orgueil, c’est pour optimisé la rubrique « Maux »-clés hé hé hé…), n’étant pas un expert en matière d’investigation policière ne s’attardera pas trop sur le déroulement de l’enquête Bernadette, simplement s’il y a bien un détail que le lectorat devra retenir pour la suite « dur » récit, c’est sans « con teste » le nom qui était écrit sur une simple feuille volante posée sur le guéridon à proximité de la porte palière poil au… : PAUL HAMPLOY en lettres « capitales »… C’est bien « la peine » Hélène. Encore un timbré s’identifiant à un (z)héros du cinoche, Totoche, pensa immédiatement l’inspecteur Francis Styte de la brigade criminelle Annabelle. Nonobstant ce grain de sable dans la grande machinerie de cette haute définition du capitalisme sexuel, les affaires sont les affaires ! Poil au… A fortiori lorsque « con » sait que l’exécuteur… testamentaire de Gregory Vilin désigné d’ « au fisc » n’est autre que Toni Druent mes enfants. Par conséquent, dans la mesure où une bite chasse l’autre, le tournage de La Schtroumpette… euh… La Schtroumpfette kiffe la quéquette ainsi que Dégustez la veuve Clito ne sera pas « impacté » les kékés. Monique Tarass n’aura pas à s’inquéquetter plus que ça. Elle peut dormir sur ses deux nibars, Babar. De leur côté, les journalistes s’emparèrent de ce fait divers… et varié les empaffés (D’ailleurs les flics placent les journalistes quelques crans en dessous des prostituées et des maquereaux) dans la mesure où ce ponte assassiné était à peu près l’équivalent d’un Marc Dorcel, Annabelle, et donc était loin d’être un « no vice » sur la thématique, en mode « téma trique », du troufignon, poil à l’oignon. Dans l’domaine rectal y avait plus grand chose à lui « à prendre »… par derrière à ce « Vilin » petit canard (L’animal préféré de ces dames lorsqu’elles prennent leur bain « Saturmain »). C’est en l’occurence le genre d’histoire qui excite les chroniqueurs autant, si ce n’est plus, que les gros niqueurs. Elle a tous les ingrédients pour faire du sensationnel Annabelle. La philosophie du macchabée était du reste qu’il fallait jouir de tous les instants et donc jouir de tous les plaisirs « queue » la vie pouvait nous offrir. Il n’y avait pas de « mâle » à s’faire du bien, nom d’un chien ! Monique Tarass, quant à elle, avait fait le choix rédhibitoire de ne pas avoir d’enfant(s). Elle savait d’emblée qu’elle aurait fait une mère épouvantable. En outre, elle croyait vraiment avoir été mise au monde, dans cette vie, pour donner du plaisir aux hommes et, dans une certaine mesure, aux femmes également. Dans cette croustillante perspective, elle kiffait grave sa race « élargir » son champ… d’horizon, pour ainsi dire. Par « con »… séquent, c’était une personne « très ouverte ». Le couple Druent-Tarass avait récupéré Feukmi le clébard qui, du reste, ne s’était pas apitoyé plus que ça sur le sort de son maître finalement. Monique Tarass, comme toutes les femmes, re-kiffait grave sa race les animaux, à l’exception, comme toutes les femmes, des araignées, allez savoir pourquoi. Elle n’avait pas hésité une seconde pour adopter ce petit animal tout croquignolet, ou « Lycée d’Versailles », car après tout, c’était peut-être lui qui l’avait adoptée. Quant à Toni Druent, il ne s’intéressait pas beaucoup (Mais plutôt « beaux culs ») aux animaux… Sauf dans son assiette, farcis, de préférence avec de la sauge et de l’oignon… Et PAF ! (Sans jeu de mot) dans l’oignon ! … Et bardés d’une bonne petite tranche (Et non tête) de lard craquante. Cela étant, malgré une sensibilité ayant l’équivalent d’un bloc de marbre, il avait fini par craquer devant tant d’amour inconditionnel (Mon cul !). Et puis ayant trop souffert d’être dans la catégorie des gosses inadoptables, il savait ce que c’est d’être orphelin Saturnin. Il était comme ça : Un coeur d’or planqué derrière son armure… d’ordure. Dans tous les cas, il était tout à fait hors de question d’annuler le tournage de La Schtroumpfette kiffe la quéquette pendant le déroulement de l’enquête, poil à la braguette. Et pis Toni Druent n’avait pas trop à s’en faire de ce « côté-là ». La police ne s’intéressait pas trop au milieu, un chouïa semi-mafieux, des moeurs de la cuisse légère, poil au… Elle préférait de loin laisser les protagonistes « con cernés » arranger leur petite salade entre eux mes aïeux.

Manifestement, le nouveau PDG de la de la firme, à tendance frime, se sentait bien dans sa nouvelle fonc… « fion ». En « relation étroite » avec ses nouvelles collaboratrices, poil à la matrice, il était vraiment à l’aise Blaise, relax Max. Certes, l’homicide commis (d’office) « entachait » quelque peu aux entournures la « réputafion », déjà pas brillante du point de vue éthique, de cette industrie du « charme », mais à aucun moment ne plombait l’ambiance « prime sautière » du personnel, Pimprenelle. En tout être (in)humain réside un mafiosi potentiel Annabelle. Ne serait-ce que par procuration,poil au… C’était du moins ce « queue » se plaisait à penser « l’exécuteur testamentaire » de Gregory Vilin, Saturnin, après avoir presser le doigt sur la détente. Si ce n’était pas lui qui l’avait fait, un autre l’aurait fait à sa place Boniface. Un con… trat reste un contrat. Quel qu’en soit la clause… toujours. Il se doit d’être respecté et honoré. « Con science » professionnelle oblige. Ce fut donc pour ces raisons d’éthique que celui qui avait agi sous le pseudonyme de Paul Hamploy voyait les choses Zardoz. Le Rock « est mort », le cinéma (à papa) « est mort »… Même Dieu est mort ! (Nietzsche). Enfin, « con cernant » le cinoche, pas tout à fait mort Hector. En effet, de l’avis du nouveau PD… G, Toni Druent, ce dernier aurait même d’excellentes raisons d’être satisfait du tournage de La Schtroupfette kiffe la quéquette, Bernadette. A l’évidence, si désormais le 7è Art a autant de cons… istance qu’une merde molle, en revanche, les acteurs « donnant la réplique » à Monique Tarass étaient bien loin d’être des couilles molles Anatole. Ses partenaires n’hésitant pas à souligner qu’elle était aussi douée à la pompe qu’à la vidange, Solange. Selon l’avis de son compagnon Toni Druent, l’immobilier et le cul demeureront toujours des valeurs « refuge » non négligeable. Et puis bien plus que le fric « proprement » dit, c’était avant tout le challenge qui l’intéressait. Le jeu. Et comme toujours le pouvoir l’entraînait, tel un jouet terrible et fascinant les enfants, dont les ressources insoupçonnées demandaient encore à être découvertes, Berthe. Cela « étant dû »… à l’horizontale, c’est bien le sort(ilège) qui attend tout être (in)humain normalement con… stitué, si on peut dire. Et Toni Druent, peut-être plus tôt que prévu turlututu. A n’en pas douter, si l’on juge de la façon peu orthodoxe dont Gregory Vilin avait déposé le bilan final… Et PAF ! … Dans l’rectal ! Après avoir « pénétré » non sans un certain enthousiasme avec « beaux culs » d’enthousiasme dans sa société, aussi droit dans ses Weston que perpendiculaire au sol, il en était ressorti aussi sec à l’horizontale les pieds devant, Fernand. Pourtant, encore un insulaire terrestre qui s’croyait immortel, Annabelle. Tout homme de pouvoir et d’argent (dé)génère automatiquement son cortège de jalousie mon kiki, auquel s’ajoute la haine la plus féroce qu’un Rhinocéros enculant le derche d’un braconnier avec sa corne, pouvant aller jusqu’à la totale destruction, poil au fion… Et PAF ! … Dans l’anal ! Chantal. Dans le registre des comportements extrêmes, Monique Tarass n’était pas une feignasse non plus « poil au cul » (Dans son sens le plus littéral). A l’évidence, la compagne de l’entrepreneur n’était pas en reste, Ernest. Elle était dotée d’un sens (et des sens) aiguisé (comme la bite à Rocco) sur les plateaux de la débauche professionnelle, Annabelle, non sans un certain raffinement mes enfants. Ah c’est sûr… les genoux de ses partenaires, elle avait toutes les bit… euh… toutes les cartes en main pour ne pas être « débauchée » de l’entreprise, Denise. Son énergie n’avait d’égal que sa gourmandise charnelle, la belle. Ah ! sur cette thématique, en mode « téma-trique », elle était loin d’être végétarienne « la vilaine » ! Elle kiffait grave la saucisse, Francis. Elle pouvait travailler plusieurs jours et plusieurs nuits « d’enfilée » sans prendre… de repos mes salauds… Elle épuisait des équipes entières poil au… sans jamais chercher à s’épargner elle-même. Son (E)sprit de synthèse était admiré de tous ses pairs, et, par de nombreux « rebondissements », par toutes ses « paires… au derrière. Et surtout, ce qui impressionnait le plus, étant qu’elle menait en parallèle une existence disciplinée, « l’enculée », presque ascétique tic tic tic… la loustic. Ainsi définie, Monique Tarass apparaissait comme un personnage aussi paradoxal qu’atypique pic pi pic… Mais Toni Druent avait d’elle une vision plus diversifiée, et cet aspect de sa personnalité était celui qui l’intéressait le moins. Il préférait de loin la surprendre à l’improviste dans son bain en compagnie de son « doux doux » préféré Satur… « main » coin coin coin… Il savait que ses « bonnes manières » n’étaient justement que des automatismes, des mécanismes complexes et bien rodés, posés au-dessus d’un gouffre. Et sa véritable activité se déployait dans ce gouffre, là où se livrait encore un « vin » combat entre sa nature vraie et les impératifs de l’immédiat. Ce combat avait jadis été rude, Gertrude. Il l’était moins à présent. Mais ce qui restait à Monique Tarass d’authenticité était pareil à la sombre et froide cavité d’un puits ouvert en pleine chaleur dans un jardin en friche, poil aux miches. Pour « satisfaire » le spectateur potentiel du mieux possible, elle se retrouvait forcément entourée de bels étalons calibrés comme des mulets. L’exprefion « Cercle (très) vicieux » correspondait à merveille, Mireille. Sauf qu’à la différence du serpent qui se mord la queue, c’était Monique Tarass qui suçait celle de ses partenaires, poil au d… Et autant une femme comme il se doi(g)t(e) peut faire semblant, qu’un « âne » (baté) ânonnait, non sans un certain plaisir, au moment de l’éjaculation, poil au fion.

Le respect, pour ne pas dire la crainte (ça craint !), était de rigueur à l’encontre de Toni Druent, mes enfants. Car tout l’monde savait, à commencer par ses subalternes, qu’entre entrepreneur et commanditaire le fil demeurait ténu… en laisse… « Queue » c’était du kif kif bourricot, et qu’il n’y avait qu’un pas « affranchir » pour régler les dossiers brûlants, Jonathan. « Refroidir » le problème en question plutôt que perdre son temps et son argent dans des procédures interminables, Germinal. Bien qu’arborant une présentation de façade irréprochable, tout con… courait à « fer » de Toni Druent un entrepreneur atypique pic pic pic… hic hic hic… Pour ne pas dire en marge. C’est à dire une vraie personne, authentique, avec l’aura et le charisme des êtres qu’ont menacés les cruautés d’un monde où la crainte existait plus souvent qu’à son tour, Abdelghafour, où la mort lançait des rayons noirs comme ceux des phares sur la neige, Nadège. A aucun moment Toni Druent ne doutait de son appartenance aux individualités intéressantes. Depuis qu’il avait reprit l’entreprise de Gregory Vilin, le seul nom de Toni Druent inspirait le cul… te d’une légende (encore) vivante dont il était le souverain régnant sur son palais enchanté. Désormais, Toni Druent con… « s’tâtait » avec satisfac… « fion »… « queue » de plus en plus de femmes étaient sur orbite, et pas seulement sur leurs bites (de ses partenaires poil au…), autour de l’entrepreneur. Il voyait bien dans leur regard cette fascina… « fion »… « con » tant d’amantes… « religieuses »… pour un homme qui « possède » une réputa… « fion », qu’elle soit bonne ou mauvaise, Thérèse. Mais malgré tout… c’bordel, force était de reconnaître qu’il fallait se faire une raison mon con… Qu’il devait accepter la réalité banale « queue » la beauté d’une femme qui, à l’instar de la flamme… jumelle, serait insaisissable, et aurait toujours ce pouvoir sur lui cui cui cui… Dans le domaine de l’amour, l’entrepreneur montrait davantage d’enthousiasme que d’adresse, ma fesse, et manifestait plus de gratitude que les autres hommes de chez bobonne. C’était le meilleur moment. Les secondes pendant lesquelles Toni Druent attendait que Monique Tarass ouvre son peignoir. Dans l’espoir, et en même temps la certitude qu’elle dépasserait une « foi » de plus ses attentes. Car chaque « foi » qu’ils se retrouvaient dans cette situa… « fion », il se rendait compte qu’il avait oublié à quel point elle était belle, Annabelle. Chaque fois que la porte de la demeure nuptiale s’ouvrait, il avait presque besoin de deux ou trois secondes pour appréhender toute cette beauté, l’enculé (Bien « queue » ce qualificatif con… viendrait mieux à Monique nique nique nique…). Laisser la confirmation, en mode « lécher la con firme à fion », la pénétrer, « l’enculée ». La confirmation qu’elle l’avait choisi, mon kiki (et pas seulement pour son kiki !). Lui et pas un autre, parmi les hommes qui la désiraient. En prat(r)ique, n’importe quel homme non aveugle de penchants plus ou moins hétérosexuels, Annabelle. La confirmation qu’il était le chef de la « bande », le mâle alpha autant « queue » le « mal » dominant, le mâle qui avait la priorité quand il s’agissait de s’accoupler avec une femelle. Oui, on pourrait le formuler d’une façon aussi banale, un chouïa vulgaire poil au… Être le « mal » dominant, ce n’était pas une chose à laquelle on aspirait… toute la sève « d’autre truie »… « mon « kiki »… Mais avec laquelle on naissait. Un homme alpha inné, poil au néné, fait « queue » pour gagner, mon kéké… Pas un Loser, mais un Winner dans toute sa splendeur… d’enculeur, dans ‘l’bon sens », et dans tout « l’essence » du terme, Germaine. Pas forcément la vie la plus simple et la plus agréable pour un homme, mais quand on était désigné d’office (et « d’au fisc » !), on ne pouvait pas lutter, Dédé… Et puis FUCK ! après tout… ce bins. On « né » entrepreneur ou on ne l’est pas. Cela étant, il était plutôt satisfait. Le tournage de La Schtroumpfette kiffe la quéquette s’annonçait sous les meilleurs « hot pisses » (Avant l’hospice)… à la raie de ses partenaires poil au… Il « possédait » un partenariat de qualité, une compagne agréable au lit, et n’avait pas besoin d’aller chercher des filles ailleurs, par bonheur. Jamais , au grand jamais, il n’avait eu l’occasion de rencontrer une femme aussi belle et talentueuse, horizontalement parlant,  » queue » Véronique nique nique nique… Et qui plus est, totalement folle, Anatole… de son ouistiti cui cui cui… Ce dernier point risquant, bien sûr, de poser « quelle queue ! » problème par la suite, si ce dernier « poing » devait se trans(genre)former en Fist Fucking, et BING ! … L’unique petite fausse note, aux yeux de Véronique Tarass, ce fut lorsque Toni Druent renifla son slibard, le vicelard… Un slip rose, échancré, mettant en valeur ses fesses rondouillettes, aux douces senteurs de rillettes, qui faisaient se pâmer le personnel plus « queue » de raison les « cons ». En effet, le paradoxe résidant dans le fait « queue », ce p’tit bout de… tissu cachant son intimité, était 69 (essuyez vos moustaches !) fois plus excitant qu’une scène porno des plus trash, Eustache. « Toute foi », le tandem fonctionnait à merveille, Mireille. Véronique Tarass se retrouva « propulsée »… au sommet du box office, de chez « boxe aux vices ! », du 7è « lard », Babar… Et chaque nouveau « long métrage » qu’elle « enfilait » ne faisait « qu’asseoir » sa posi… « fion » d’Andromaque, poil au micmac mac mac mac… maquereau n’étant pas pour autant le qualificatif approprié… Ce qui avait séduit cette femelle bien « sous tout rapport », en mode « tous rats porcs », chez l’entrepreneur dans un premier temps, était moins son physique que la grande confiance en lui qu’il dégageait. A son avis, c’était une erreur, pour un homme, de vouloir à tout prix donner l’image du parfait idiot incapable de trouver son calcif tout seul. Le « dis cours » de l’entrepreneur étant : « Je suis parfaitement bien dans ma tête. Tu peux t’appuyer sur moi. » Alors sa future compagne potentielle a tout de suite « pansé » Quel soulagement ! En fait, les femmes ne rêvent « queue » de « Ça » (Inconscient), et c’est ce que la plupart des hommes ne comprennent pas. L’entrepreneur, lui au moins, avait l’intelligence de jouer là-dessus, poil au cul… Manifestement, Toni Druent semblait (ré)incarner les deux choses « queue » les femmes disent rechercher le plus, Rufus : Un homme qui sache parler et comprendre comme une femme, mais qui se comporte en mec au pieu nom de Dieu ! Et le grand cadeau pour sa collaboratrice Monique Tarass, devenue sa compagne par la suite, c’était qu’il adorait parler après avoir fait l’amour, Abdelghafour, la nudité n’inhibant en rien son côté professoral, poil à l’anal, et ses jugements « tranchés », poil au néné. Elle aimait le voir nu poil au c… sans sa sape (le moral) d’entrepreneur d’enculeur (Sans le beurre). Toni Druent semblait avoir la vivacité et la fougue d’un singe. Il avait d’ailleurs une pilosité en rapport de chez « rat-porc »… « d’entre deux prises », Denise… Une belle toison sur le poitrail et des touffes de poils hirsutes, ma pute, sur tout l’dos, le coco. Il avait aussi une sorte de gourmandise simiesque et s’accrochait au corps de Monique comme si elle était un grand fruit suspendu à une branche. Cette impétuosité amusait la jeune femme. Elle kiffait grave sa race, la Tarass, jouer la grande comédie du sexe, qui était loin d’être une mascarade en rade camarade. Le fait qu’il fût respecté dans le « milieu » (Dans tout « l’essence » du terme), qu’elle l’ait vu à l’oeuvre de nombreuses « foi » dans ses démonstrations, en mode « démon tractions » d’homme alpha (et pas bêta pour un rond) dans les affaires, ajoutait du piquant à l’affaire. Une de plus ! Brutus. Après l’orgasme, Monique aimait vraiment discutailler… une pipe avec son Toni mon kiki. Quand bien même sa cul… ture générale avoisinait le degré zéro « pointé » de l’inintéressant, elle re-kiffait grave sa race d’entendre le timbre et le son de sa voix… CASSER LA « VOIIIIIIIIIIE » ! … Toni soutenait, qu’en fait, le cinéma n’était pas un art, tête de lard. Que les films prolongeaient une régression sémantique ver(re)s les peintures rupestres, Sylvestre, du paléolithique tic tic tic… Le cinéma « navet » pas de langage « propre », et puisque l’évolution (in)humaine dépendait du langage, les films représentaient une forme de commu… « nique à fion » dégénérée, Dédé, un art mineur… de fions mon « con ». Alors par moments elle sortait de ses gonds en lui rétorquant qu’il disait n’importe quoi, « con tenu » de la trace (Non pas de p’neu) laissée par de grands autis… euh… artistes talentueux comme Bach, Beethoven, Michel-Ange etc., et Toni de lui répondre : « Sang oublier »… Mick Jagger, Jim Morrisson, Iggy Pop, Kurt Cobain etc. C’est alors qu’elle s’apercevait qu’il la taquinait… Il adorait la provoquer sa p’tite pépé. Mais par prudence, il attendait qu’ils aient fait l’amour pour « jouir » à ce p’tit jeu-là, le cancrelat.

Alors, où est la faille ma canaille ? La faille, ou plutôt les premières fissures, pour ne pas dire « fêlures », apparurent sournoisement dans la gestion, certes déjà un peu compliquée, des problèmes conflictuels, plus particulièrement lorsque l’entrepreneur avait « à faire » à la catégorie des TDC (Trous Du Cul)… Il se devait de les traiter de tous les « non » possible et inimaginable l’animal… Mais toujours sur un terrain très terre à terre poil au… « Au temps » (s’dégrade) vous « maux dire » qu’à partir du moment où des Poltergeists, pas des Portougaiche de « Lèche-bonne » à la Linda de Suza (On prononce Souza), mais de véritables EF (Esprits Frappeurs) ont commencé à se manifester au « sein » du complexe non complexé institut roi du cul, les acteurs, mais surtout les actrices reines du vice, commencèrent vraiment à mouiller grave sa race Horace… Et « pour le coup », ce n’était pas du FF à la façon Fist Fucking, et encore moins un Fuck Fake… Pour certaines on pourrait même oser le mot SQUIRTING ! Pour les « no vices », allez jeter un oeil sur le (pas)Net pour une « définifion » idoine, Antoine. Le 7è Art « est mort », le rock « est mort », la littérature est moribonde (Sauf celle de Patrice Guilloton qui ringardise toutes les « producfions » scolaires, poil au…), même Dieu « est mort » ! (Nietzsche)… Mais bon, si le cinoche « à papa » est calanché, Dieu (Encore Lui ?!) « Soi » loué… les DVD en mode « cuisse légère », notamment Grâce « OH ! » Sex Shop », « glissent sans débander » d’un queu… ta dans les lecteurs prévus à cet effet, poil au néné… Et ce, 24h sur 24… allers-retours au minimum sur le chibre de ces messieurs installés « con »… fortablement en cabines privées clito… euh… climatisées les « zob cédés »… à mater des histoires « cent fins Saturmain ». L’entrepreneur avait de bonnes raisons d’être satisfait, car La Schtroumpfette kiffe la quéquette se louait au-delà de toutes espérances Hortense… Et le nombre de cu… euh… de vues sur Inter(pas)net se comptait par milliers ! … « Queue » demande le peuple ? … Si ce n’est de la surenchère poil au… Toni Druent qui était loin d’être un « con » (Sans jeu de mot) eut cette nuit torride, pendant qu’il faisait « mousser l’poisson » dans les entrailles de Véronique Tarass, une idée géniale proche de l’intuition mystique tic tic tic… Si la fiction cinématographique demeurait un vague souvenir, pourquoi ne pas filmer une réalité plus Trash de chez Gore… EN GORE ! EN GORE ! … En d’autres termes, « se sortir les doigts du cul » pour échapper un peu de l’ordinaire, poil au… Car après tout… « c’bordel », des aficionados de Snuff Movies, c’est pas c’qui manquait l’plus, poil à l’anus. Et puis comme vedette principale, quoi de mieux qu’un bellâtre « genre » (Expression galvaudée par les d’jeunes d’aujourd’hui) con… « Sultan » (brisant menu les couilles de l’entrepreneur depuis quelque temps), pour accrocher la pellicule, Hercule. Ce fut donc au moment même où Toni Druent pratiqua l’éjac facial sur sa douce et tendre, « queue » l’entrepreneur prit sa… décision, poil au… Et porta son choix (Bon choix madame, bon choix mademoiselle, et bon choix monsieur… Cela ne vous rappelle rien les plus anciens ?) sur la personne du trouduc duc duc duc… De « sur croix », pour joindre « l’ultime » à l’agréable, la fille de ce dernier… des empaffés, pourrait être également de « la partie » mon kiki… dans la partouze si « jeu n’ma bouse ». Pour employer l’autre expression préférée de la jeunesse actuelle, « en mode » sado-maso en « bande » organisée… « Genre » mélange avec la famille « Tuyau d’poêle »… Y a vraiment de quoi s’poiler les kékés ! Vous trouvez pas ? … Et pis, tant « con » y est, pourquoi ne pas rajouter Feukmi le clébard à la fête, Bernadette ? Tout est bon… à la quinzaine du « saucisson » mon con… pour satisfaire des hommes d’affaires, poil au… autant « queue » des politiques tic tic tic… Car à l’évidence, l’entrepreneur ne perdait jamais l’Nord Hector… Et le prix à payer, pour ces notables, sera bien évidemment proportionnel à leur appétence pour tout « ceux qui touchent » à l’interdit mon kiki. Mais attention ! Les mineurs « deux fions » sont à proscrire « rédhibitoirement », les enfants. Hors de questions de faire « partisliper » des jouvenceaux à des parties… fines, Ernestine. L’entrepreneur Toni Druent a beau « toucher à tout », il y a des limites à la déontologie mon kiki. Letrouduc (TDC) sera véritablement le souffre douleur, dans tout « l’essence » du terme… de sa vie mon kiki. Le martyre nommé d’office (Et d’aux vices)… de pute, « sang » calbute, par Belzébuth « bute ! » « bute ! » « bute ! »

Pendant ce temps-là, celle qui manifestement avait « mâle », voire même pas du tout vécu tranquillou son stade oedipial avec son father « d’enculeur » de con… « Sultan », se retrouvait entre quatre murs. « L’enlèvement » d’Haylkif de Lamayrdenbrenche s’était plutôt pas mal passé… du côté des kidnappeurs. Résultat des courses, elle devait prendre son « mâle » en patience, « Hors danse ». Mais compte tenu des propos qu’elle avait tenu à ses ravisseurs, elle pouvait s’astiquer grave le bouton… clitoridien, poil au chien, jusqu’à la nuit des temps, avec un daron dont la principale préoccupation n’était certainement pas d’être philanthropique pic pic pic… Radin comme pas deux… couilles au cul d’un feuj, le papounet. Même pour sa « propre » fille ! Cela étant (« dû du gars ! »), elle s’estimait pas trop « mâle » loti, mon kiki. En effet, la piaule n’était pas désagréable, nantie d’un con… fort, somme toute relatif tif tif tif…, mais clément tout d’même, Germaine. De plus, ses « hot » d’accueil se montraient charmants vis-à-vis de la belle enfant, et aux p’tits soins tsoin tsoin… pour leur « invitée », les enculés. Bref, des ravisseurs au grand… « QI » (Qualité Intrinsèque). Au bout du compte, elle se demandait même (pas peur !) si elle ne souhaitait pas rester chez « ses » bandits. Nourrie, blanchie, dans un logement, certes, un chouïa riquiqui mon kiki, mais propre et soigné. La personne qui lui apportait ses repas était une femme gentille et fort « sein »… pathique tic tic tic… Si ça continuait dans ces conditions, poil au fion, Haylkif de Lamayrdenbrenche en venait même à se demander si elle n’était pas sujette au syndrome de Stockholm, en éprouvant, peut-être pas de l’amour, Abdelghafour, avec un grand A, « papa », mais pour le moins (« con » puisse dire), une (dé)forme d’attachement non négligeable vis-à-vis de ses ravisseurs… au grand coeur.

Un con, ça ose tout, c’est même à ça, de chez « sa(le) » con, « con » le reconnaît ! Par con… séquent, un con… « Sultan », PN de chez « Pôv Naze ! », de surcroît, n’allait certainement pas s’arrêter « las » en si « con » chemin dans ses pérégrinations institutionnelles, Annabelle. Son obsession, pour ne pas (« maux »)dire son TOC de chez Trouble Obsessionnel « Con »pulsif, poil au calcif, de prédilection, poil au fion, demeurant la destruction « pure » et dure, l’ordure, et « sang » aucune exclusive, des grandes entreprises, Denise, il n’y avait donc aucune raison valable pour que Yvan de Lamayrdenbrenche ne « sang » prenne pas également à la… ALLAAAAAAAAAAAAAAAH ! … à « l’attrait » lucrative industrie du porno, Nono, et ce, pour « X » raison(s), poils aux roustons. Il préférait « sang » aucun conteste (à tort) s’occuper à démolir les grands groupes de chez Trust (pas le group de rock !) immobilier yé yé yé…, même si certains dirigeants avaient plus ou moins un pied dans le grand banditisme de chez mafia, mon loufiat, plutôt que de se préoccuper de sa fifille… qui de toute façon il trouvait particulièrement ingrate, poil à la rate. De plus, s’il y avait bien un milieu que ce con… « Sultan » abhorrait au plus « haut poing » coin coin coin…, c’était bien la fabrique du lupanar cinéma(catastr…)tographique hic hic hic…, qui au demeurant (de chez « demeurés ! ») rap »porc »te de « con »… fortables dividendes à « les tas » in situ, poil au c… Il y avait vraiment des moments où Yvan de Lamayrdenbrenche se sentait (grave l’adrénaline !, tête de pine) l'(Â)me, en mode « lame », d’un justicier genre Minos, le célèbre psychopathe qui en fait voir de toutes les couleurs au comissaire Letellier, joué par Jean-Paul Belmondo dans Peur sur la ville ; car manifestement, au-delà du decorum que sa fonction d’audit, pour le moins « pointilleux », le pisse-froid voulait plus que tout (« à l’égoût ! ») débarasser la planète de tout ce « bordel », en mode poubelle ! Par con… séquent, comme le dirait si bien ce cher Minos : « Il n’existe qu’une seule justice (non sans vices !) ; c’est celle de Minos… L’AVÈNEMENT DU JUGEMENT DERNIER EST PROCHE ! » Simplement ce que ce con « navet » pas « con pris », étant que la nudité est une « chose » naturelle. Dissimuler le corps est une idée implantée dans notre (E)sprit depuis la naissance. Ça a commencé quand Eve a mangé la pomme. Mais un nouveau-né a des organes génitaux mon coco ! … Et tout l’monde adore voir un bébé les fesses à l’air (sans poils au derrière !) Notre corps fait partie de l’expression de l’amour, Abdelghafour. Couvrons-nous notre visage parce que nos yeux regardent amoureusement ou parce que notre bouche parle d’amour, Abdel… ? Notre langue caresse les lèvres d’une autre personne… Cependant, est-ce que la langue est obscène, Arsène ? … Et nous pissons avec nos vits et nos vulves, mais nous faisons aussi l’amour avec ! (en cours de correction, « 17 », du 31/10/23)

Pendant que Véronique Tarass se lavait l’derche dans l’det-bi (Si si, ce type… de commodité existe encore dans certains hôtels Annabelle), l’entrepreneur lui fit part de sa(le) nouvelle résolution poil au fio… Tout en faisant des bulles dans l’eau en lâchant quelques perlouzes à cheval sur la dépendance servant à astiquer sa techa et son trou d’balle, après avoir pris un coup dans l’chat, un coup dans l’pot… ET UN COUP DANS L’CHAPEAUUUUUUUUUU ! … la compage de Toni Druent approuva cette judicieuse initiative accompagnée de ce désarmant sourire enfantin qu’elle seule était capable d’arborer, poil au… euh… poils dans l’bidet. Elle donna même son aval pour buter l’trouduc, toute affaire cessante, à la fin de la petite « cérémonie » mon kiki, mais pas question de toucher un seul poil de Feukmi, la p’tite chienne (Une de plus) rescapée… Sinon, toute l’équipe du tournage, y compris son compagnon, pourrait découvrir une autre facette de sa personnalité, non négligeable, et ce faisant, les détourner définitivement de leur « Butt » (Voir traduction en anglais), poil au calbute. Connaissant les femmes et leur instinct maternel, parfois majoré vis-à-vis des animaux, et commençant seulement à connaître la personne avec qui il trempait l’biscuit plus souvent qu’à mon tour, l’entrepreneur ne douta pas un seul instant de la véracité de ses propos résonnant comme un avertissement les enfants.

Il faut bien reconnaître une chose, Zardoz, c’est « queue » les actriX sont le fer de lance (« le jet » le plus loin possible !) du monde pornographique de chez trique, et rappelons que Toni Druent se doit d’être déterminé dans ses projets. Dès lors qu’il crée une société, il doit savoir jusqu’où il veut aller, comment y aller, et mettre tout ce qu’il sait en application, poil au… Rien ni personne ne peut l’arrêter. La personne déterminée, c’est celle qui ne se trouve aucune excuse pour ne pas avancer. Et quand tout semble être contre lui, il se souvient que l’avion décolle face au vent, et non contre lui cui cui cui… Il est également très organisé. Pour accomplir de grandes choses, Toni Druent se doit non seulement d’agir, mais aussi rêver. En général, il a un désir ardent de liberté. Il cherche à prendre le contrôle de sa vie (Parfois des autres), de son avenir, et ne veut pas avoir à vomi… euh… à rendre des comptes à quelqu’un, Saturnin. Sa liberté, il est prêt à se battre grave sa race pour la conquérir, car le « sang »timent de liberté est quelque chose d’important pour cet entrepreneur. Il est aussi très discipliné l’enculé. Malgré les problèmes qui arrivent, il sait se tenir à ce qu’il a prévu, poil au c… et n’en déroge pas. S’il doit déroger, c’est exceptionnel, Annabelle, et trouve le moyen de combler le manque d’action, poil au f… Agir sous les émotions n’est pas la meilleure des choses, Zardoz, c’est pour cela qu’il est important d’être organisé et discipliné, poil au nez… La discipline est mère du succès. Toni Druent avait confiance en son idée, en son byzness, poil au fess… S’il se lance, c’est qu’il sent bien « queue » son « bisefesse » a un énorme… potentiel, Annabelle… Sinon pourquoi se lancer ? Cette confiance, il se doigte… euh… se doit de ne pas la perdre. C’est en ayant confiance en « Soi », en son projet, en ses idées et son travail, qu’il conservera sa « motivafion », trouvera de nouvelles idées pour « dynamiser »… tout cela. Cet entrepreneur « possède » également une grande « ouverture »… d'(E)sprit mon kiki. Cela lui « spermet », entre autre, de discuter de tout avec tout l’monde, Cu… négonde. Les possibilités de faire des rencontres sont donc grandement augmentées, Dédé. Ainsi il peut se créer un carnet d’adresses, pour ne pas dire bottin mondain, relativement important, qui demeure un atout « majeur » (Métaphore du doigt) dans la « créafion » du « bisefesse ». Avoir un réseau, des connaissances qui pourront un jour le dépanner, n’est pas négligeable… Ou déboucher sur un partenariat (de jolies partenaires… Poil au…), ou encore mieux mes aïeux. Avoir du contact, être très sociable est un avantage énorme lors… « queue » l’on gère un « bisefesse ». Savoir se doter d’un brin de créativité est un plus également. « Posséder » de la créativité « spermet » à Toni Druent de trouver les idées qui vont lui « spermettre » de faire croitre OUUUUUUUUUIIIIIIIIIIIIIIIIII ! JE CROÂÂÂÂÂÂÂÂÂ ! … sa société, le kéké. D’avoir de l’avance sur la concurrence, Hortense, de trouver des marchés encore inexploités, Dédé, ou « d’à tirer » une nouvelle clientèle, Annabelle. Cet entrepreneur ressentait intuitivement « queue », bien souvent, ceux qui réussaient le mieux, c’étaient les plus créatifs tif tif tif… A aucun moment il ne se prenait pour le nouveau Picasso (Quoi « queue » les avis sont partagés sur ce peintre… en bâtiment, si ça s’trouve), mais de faire les choses différemment « queue » la grande majorité des blaireaux, les cocos. Le moteur de sa « motivafion » étant la « pafion » d’ailleurs… Poil au beurre (Une petite pensée à Maria schneider et Marlon Brando). Toni Druent étant en tout premier lieu un grand passionné du « bizfesse » de la fesse, Inès (De La Fesse d’Ange). Il est également passionné par la « créafion » de « con »… tact « chaleur heureux » et tout ce qui « spermet » à une entre… « prises » de « prendre » de l’ampleur d’enculeur. Ce PD… G (Pulvérisation, Développement, Gestion) fait partie de ces gens sautant… d’une falaise sans parachute, et qui en fabrique un pendant la chute, tellement il est optimiste. Il a une totale confiance en ce qu’il projette de faire, poil au… Et ne lèch… euh… laisse jamais le côté négatif prendre le dessus, poil au… Il est orienté « solufion » plutôt « queue » problème ! Les rares moments de stress… post-traumatique hic hic hic… Eh ben il s’en sert pour se motiver l’enculé… Se stimuler, aller de l’avant mes enfants ! Il cherche sans cesse (Et cent fesses !) à faire évoluer son « bizfesse », Agnès. Toni Druent est né pour être un leader, un meneur… UN ENTREPRENEUR. Il sait prendre des décisions, poil au… et « né » pas hésitant. C’est une caractéristique très importante, et commune à tous les entrepreneurs. Il sait donc faire des choix (Le bonchoix madame, bonchoix mademoiselle, et bonchoix monsieur… SMACK !), et accepte de se tromper face à ses choix… Mais une chose est sûre, Arthur : Il agit(e) toujours, car mieux vaut faire « quelle queue » chose et se « trompe »r, « queue » de rester face à une décision tout le reste de sa vie mon kiki. « L’acfion » est donc son principal allié, Dédé. Par « foi », il se trompera, c’est l’apanage même des plus grands. Le principal ? Se tromper le moins possible et « exécuter » quand c’est nécessaire… Poil au… Il est au courant que tout se négocie mon kiki… Et qu’il devra faire « quelles queues con… cefions » pour certaines affaires, poil au… afin « queue » l’entre… « prise(s) » se porte aux mieux de « ses formes ». Toni Druent qui était déjà un homme alpha (tendance « sang oméga ! ») de nature, Ben-Hur, devint encore plus puissant dans la thématique, en mode « téma trique », 7è « lard » en mode « Gros Dard ! », Babar (et son énooooooorme « trompe ! ») ; et il n’avait pas besoin de mettre de la pommade (sauf, peut-être de temps en temps vaseliner le fondement de ses actriX, « Mannix ») de qui « queue » ce soit, « purée » d’pois. « L’antre preneur » avait la « main mise » sur tout c’qui bouge ; peut-être pas des vedettes de chez « craquette », mais aussi performants que « perforants » dans « le milieu », mes « AÏE ! euh ». Et sa compagne et associée Véronique Tarass devenait exponentiellement une des stars féminines en mode « tête de pine ! » des plus respectées, « l’enculée » ; l’une des toutes premières « en tête » du box office de chez boxes aux vices, Alice. L’entre »prise » TWM devenait l’une des firmes les plus puissantes dans « le milieu »… de l’entrejambe. Par conséquent, malgré quelques divergences d’opinions de chez « oignon », notamment avec l’autre con… « Sultan », l’entrepreneur n’allait pas tout « foutre par terre » en tirant… à boulets rouges sur Yvan de Lamayrdenbrenche, l’autre tanche ; les attaques de front (« en comble ! ») étaient très rarement payantes en « la matière », poil au d… Et rappelons que Toni druent était « raie »véré pour son code tant d’honneur « queue » moral d’airain, le coquin. L’entre… « preneur » partait du principe, de chez « prince slip ! », « queue » tout homme était responsable de ses actes (dont acte !), et ce, quelques soient les circonstances, « Hors danse », les difficultés du moment, ou les regrets… NOOOOON, RIEN DE RIEEEEEN ! … NOOOOOONNNNNN, JE NE REGRETTE RIEN ! … ou les regrets « après coup ! » C’était par ses actes que l’on « jugeait » un homme, nom d’un p’tit bonhomme ; les mots de chez « maux » n’étaient que de la roupette de samsonite, tête de bite, de la poussière semée au vent, mon gland. Paradoxalement à son statut, l’entrepreneur restait quelqu’un de très sage, et il « pansait » « con » payait toujours ses fautes ici-« bas » (« grésillent ! »), mon cancrelat. Le (grand) pardon venant plus tard, Babar. Toute dette se devait d’être acquittée, enculé, et son jugement sur Terre était strict et sans appel (et « par foi » avec… « sang et la pelle ! ») Aucune considération relative à la société en mode « establishment » n’avait droit de cité (un homme !) dans l’ordonnancement de son monde de chez « immonde », « Raie »monde ; la notion du libre arbitre se réduisait (en peau de chagrin !) à une dualité lumineuse, la gueuse : soit l'(in)humain pour gagner sa pitance devenait esclave et bossait toute sa(le) putain d’vie pour payer sa pierre tombale… ET PAN ! DANS L’ANAL ! …, sans dignité ni espoir, la pôv poire, « soie » il tenait les rênes « des reines » du destin… C’EST TON DESTIN ! …, et se faisait grave respecter, l’enculé. Et plus ça allait… ALLEEEEEEEEEEEZ ! … plus l’entrepreneur édifiait son empire, parfois même « en pire ! » (car le pire n’est jamais décevant !). Dans quel but(t) ? fils de p… : « POUVOIR » se regarder dans la glace de son palais… des glaces, « sang teint » tous les matins, Rintintin, et se sentir (grave des roubignolles ! aussi fière et intègre « queue » Lui cui cui cui… En regard de ça, le jugement des autres et de leur « putain » de société clo… « pinante », ma « tante », il n’en « navet » rien « abattre » ; ce n’était que du vent de chez roupettes de golmon, poil au trognon. Toni Druent avait la « modeste » ambition d’élever son nom jusqu’aux plus hautes sphères, poil au derriè…, du pouvoir, Charles-Édouard. Il « possédait » un 6… 66è sens de la ruse machiavé… « lick » en mode « dick », associée à un solide 666è sens des affaires, poil au sphincter ; ce qui ne l’empêchait pas, « incertains » moments, si nécessaire, de « fer » (é)preuve de cruauté, l’enculé, digne d’un Caligula, le cancrelat. Mais ce qu’appréciait tout particulièrement Véronique Tarass chez « son homme », c’était surtout sa clairvoyance, « Hors dense », sa lucidité, bref son intelligence dans toute sa globalité ; Toni Druent sentait (grave des yeps !) toujours d’instinct la meilleure façon de se comporter avec elle, sa belle.

En tant qu’entrepreneur, c’est clair que lorsqu’on a une ou plusieurs entreprises, on a « à faire » à des con(s)… currents ; il faut « se battre » pour décrocher les meilleurs marchés (sans « les puces ! ») ou dénicher de (très) bonnes affaires, poil(s) au(x) sphoncter(s). Parfois, « la lutte »… C’EST LA LUUUUUUUTTE « FINALE ! » …, la lutte peut être un peu… euh, comment dire…, « un peu » brutale : ET PAN ! DANS L’RECTAL ! … Jusqu’à présent, aucun patron ne put (grave du cul !) affirmer l’contraire, poil(s) au(x) derrière(s), et Toni Druent était un homme tout à la « foi » respecté, craint… ÇA CRAIIIIIIINNNNNNNNNNT ! …, mais difficilement détesté, poil au nez. Tout le (im)monde ne put (grave du c… !) que s’incliner devant cet entre… « preneur », dont le (ir)réel talent n’avait que peu d’égal dans la profession, (sans) poils aux fions. Et depuis quelque temps (n’existe pas !), Toni Druent ambitionnait de se lancer de plus en plus dans le « dolmen » de « la cuisse légère », le p’tit « paire(s) ».

Seulement voilà… Tous ces préceptes et autre con… cepts de chez « con sexe », c’est bien joli. Du moins en théorie « mon kiki »…, mais deviennent totalement inopérants lorsque interviennent des phénomènes irrationnelles, Annabelle. Comme ces trois projecteurs explosant en mille morceaux simultanément pendant le tournage de Dégustez la veuve Clito, notamment durant la scène de gode-ceinture en triplé, les kékés. Ou encore, en pleine éjac faciale destinée à redonner une certaine vigueur au teint de Véronique Tarass, la couleur du foutre de l’étalon alpha se modifia à chaque giclée mémé… Passant du blanc au marron (chaud), puis du marron au rouge, pour finir aussi vert purée de pois « queue » le dégueuli de Reagan, alias Pazuzu, dans The Exorcist, poil au kyste… Mais c’est pas tout ! … Le jour où toute l’équipe du tournage fut atteinte d’une gastrodégueuletripes… et boyaux, et qu’en l’occurence tous les acteurs en mode hardeur et actrX défilaient à la queue… leuleu aux goguenots de l’établissement pour aller… ALLEEEEEEEEEEZ ! … pour aller se vider par tous les orifices, Ulysse, « sale » devenait aussi surréaliste qu’inquéquettant, les enfants… Bien « queue » l’tableau n’était pas sans dégager un certain comique de situa… « fion », mon con. Pour « selles » et ceux qui auraient vu le « scandaleux » film de Marco Ferreri La Grande Bouffe, le clou du spectacle fut lorsque les canalisa… « fions » n’en pouvant plus d’être sollicitées par toute cette « merde un temps pète Steeve » éclatèrent de concert overdosé… poil à la diarrhée carabinée… inondant sur plusieurs étages les locaux SARL devenus par la force des choses… et des excréments : SALES, en raison du cocktail divers et varié mélangeant onctueusement les couleurs, autant que les odeurs, jaune-marron-blanc remplaçant allègrement « selles » bleu-blanc-rouge (Bien que le rouge n’était pas exclu dans cette « bouille à baise » charmante et raffinée… Si vous voyez ce « queue j’veux dire) de la République hic hic hic… Encore heureux que le ministère des soladirités et de la « sautée » était passé par là avant toutes ces « anomalies », mon kiki, afin d’attester « queue » tout ce beau monde n’avait pas « contracter » le Coronacircus, poil à l’anus (C’est le caca de l’dire !)… Donc, résultat négatif (Tout dépend comment on l’prend) tif tif tif… pour tout l’monde Edmonde, via la fiche des résultats pour chacune et chacun, des tests antigénique nique nique nique… Et ce ne fut qu’à l’instant T (Comme Tabarnak !) où Toni Druent prit connaissance de ses mails qu’il comprit qui était le responsable de la « malédicfion » de tout c’bordel (Dans les deux sens) Annabelle… Et qu’à son sens, il y avait une « explicafion » aussi logique hic hic hic… « queue » rationnelle Isabelle… Rien d’ésotérique hic hic hic…

Poltergeist un jour… Poltergeist toujours… « Chair » entrepreneur de mon coeur. Dites à vos sbires de me libérer séance tenante si vous ne voulez pas « queue » votre bouge de luxe 2.0, alias 6.9, parte en couille, andouille… Car comme vous avez pu (du cul !) déjà le remarquer, tout « entre preneur queue » vous êtes, votre « indécrottable » (Euphémisme par rapport à ce qui est arrivé à votre établissement) cartésianisme en a pris un sacré coup pourloupoupou… Il est encore temps de changer de paradigme, et de ne jamais sous-estimer les forces occultes, vous, le cador des forces « Oh ! culte » et aux culs turlut(e)… tutu.

Bien qu’aucun nom n’apparaissait, Toni Druent devina tout de suite l’identité de l’expéditeur… La fille de l’autre con… « Sultan » névropathe, cela ne faisait aucun doute ! MAIS QU’EST-CE QUE C’EST QU’CES CONNERIES DE POLTERGEIST ?! … Encore une qui se (mé) prend pour une sorcière à la « mords-moi l’noeud » (Dans tous les sens du terme) ou quoi ?… L’héritière du blaireau pugnace TDC. D’un autre côté, il fallait bien reconnaître que les dommages causés à son « entre-deux-prises » étaient loin d’être négligeables. D’autant plus qu’il n’était pas assuré l’enculé… Il allait devoir mettre la main à la poche, Totoche… M’enfin bon, quand on voit le préjudice financier (et moral) que Francis Ford Coppola (Et non Fred Coppula !) avait subi lors de son tournage d’Apocalypse Now, « sang » compter un Marlon Brando difficilement gérable, c’était de la roupette de Sansonite… euh… de la roupie de sansonnet à côté ! Cela étant, ce n’était pas dans les habitudes (Mais plutôt « à bites rudes ») de Toni Druent de se coltiner les « sévices » d’un marabout de pacotille à deux (trous d’) balles pour régler certains dommages collatéraux, poil au bobo… Cet entrepreneur étant d’un naturel plus pragmatique tic tic tic… Quand on tourne des films de cul(s), on ne va pas s’embarasser d’irrationalité, les kékés. Si encore les fantômes et autres spectres manifestaient un semblant de sympathie mon kiki… « Queue » nenni ouistiti ! … Compte tenu des derniers événements, ce n’est pas vraiment l’cas… Mais plutôt le caca, vu « les tas » des locaux de l’entreprise, Denise. Ce faisant, s’il fallait négocier avec l’autre « ectoplasme » de con… « Sultan », et pour ce faire, l’entrepreneur devait effectuer « quelle queues tracta-fions » d’un genre un peu spécial… anal… Cela ne lui faisait pas peur à l’enculeur… Et sans le beurre siouplaît ! Quand on voit quel (coquin de) sort a été réservé à « feu » Gregory Vilin, l’ancien PD… G de la firme en « quesfion », c’est clair que son remplaçant, en l’occurence Toni Druent, n’avait sûrement pas « en vie » de suivre le même chemin, Saturnin. Concernant le sinistre subi, l’entrepreneur allait devoir débloquer… des fonds… et des fions, afin de poursuivre le tournage de « Dégustez la veuve Clito », en espérant « queue » cette période un tantinet scoumounisante allât prendre fin Saturnin… Mais c’était « sang » compter sur l’obstination de chez « l’obstine à fion » du mauvais sort, Hector.

Bien souvent, l’avantage se situe (m’emmerdes) du côté des sournois et autres fourberies… d’aigrefins, Saturnin… Et c’est certainement pas l’autre con… « Sultan » qui dirait l’contraire… Poil au… Yvan de Lamayrdenbrenche aspirait toutefois à faire partie des cons… ultants de qualité, l’empaffé… A savoir, quelqu’un de diplomate, réactif, fiable, professionnel, ponctuel, con… fiant, « multitâche » (Avec ou sans accent circonflexe… Comprenne qui pourra !), humble, doté d’un (E)sprit d’analyse et de synthèse, Thérèse, à l’écoute et bien d’autres qualités « un con tournable ». Pour quelles « obscures » raisons les forces occultes (Et aux culs !) ne seraient-elles réservées qu’exclusivement aux grands mères en mode « Sorcière-avec-une-grosse-verrue-collée-sur-un-pif-crochu-fringuée-à-la-Zouc-avec-chapeau-d’épouvantail-à-califourchon-sur-un-balai-genre-Top ringard »… Encore une « foi », ne jamais se fier aux apparences, Hortense, car, qui est le jouet des apparences se laisse séduire par des mensonges. Ce faisant, Yvan de Lamayrdenbrenche, le con… « Sultan » doté d’une pugnacité aussi redoutable que maladive, n’était pas en reste, Ernest. Sous sa parure de BCBG (Beau Cul Belle Gueule) se cachait « sang con test » un monstrueux prédateur d’enculeur, versus Nosferatu, poil au c… En réalité, il fallait toujours se méfier des blaireaux par trop cartésiens NOM D’UN CHIEN ! Une circonspection de bon aloi, ALOOUUUUUAAAAAAA ! … restait de rigueur face à ce type… de chroniqueur en mode « gros niqueur ». Sa fille en savait kékchose, Zardoz. Et elle avait toujours suce, euh, su QUEEEEEEEUUUUUUUUUE ! … que les responsables de sa séquestra… « fion », pour ne pas (maux)dire, cloîtrement du genre cloisement en mode Natascha Kampush (Voir sur le Web… Ou plutôt « dans la toile » concernant cette affaire, poil au derrière), ne l’emporteraient certainement pas au Paradis mon kiki… Mais plutôt en Enfer… Poil au…

THE SHOW MUST GO ON ! … En d’autres termes : LE « CHAUD » DOIT CONTINUER ! … Car en dépit des toutes dernières péripéties de la chaudasse « entre prises » de Toni Druent, ce dernier n’était pas le genre d’entrepreneur à se laisser abattre (Contrairement à « feu » son illustre collègue JFK). En attendant que le plateau de tournage en mode « tournantes » soit moins « emmerdé », il opta pour poursuivre le tournage de Dégustez la veuve Clito dans un hangar de proximité, l’obsédé de la perfec… « fion ».

Véronique Tarass était arrivée au sommet du box-office en mode « box aux vices ! » sans les scandales « queue fion » d’ordinaire les délices du public hic hic hic… Elle avait passé de longues années à bosser en mode « petits boulots » (avant de s’attaquer aux « gros bouleaux ! ») De fait, elle avait « essuyé » (on ne ricane pas !) quelQUEEEEEEEEUUUUUUUUUUUE ! … quelques allusions plus ou moins fines, « tête de pine », notamment en tant que gogo’s girl, et quelQUEE… et quelques avances, « hors danse » ; quelques avances dinausoresques de certains PDG en mode « Prend Derche Grassouillet ! » Elle gagnait sa vie (et leur « vit » pour certains !) en faisant des pubs et un peu de mannequinat, la nana, joua même les « hôtesses d’accueil » dans l’événementiel, la belle. Ses quelQUEEEEEEUUUUUUUUUE(S)… quelques aventures sexuelles étaient aussi courtes « queue » la bite d’un Niakoué, poil au néné, et se (dé)terminaient toujours sans amertume, pour leur burne. À vrai dire, rien dans cette période ne fuse… euh… ne fut vraiment humiliant ou douloureux, mes « AÎE ! euh » ; pas même lorrsqu’un potentiel acheteur d’une corvette, exposée au salon de l’auto, crut qu’elle était vendue avec la voiture, l’ordure. « Possédant » un certain sens de la répartie en mode « raie partie ! », elle dut l’é »conduire » avec une pirouette, poils aux « cacahouètes », lui (mé)disant qu’elle valait le même prix que la voiture, « Benne dure ! » Véronique Tarass adorait les hommes (et certaines femmes !), elle kiffait grave le sexe (et pas qu’ « à piles ! »), mais sous certaines conditions, poil au fion. Sa réalité intime, c’était du sérieux, mes p’tits vieux… Mais les dangers du (im)monde extérieur aussi !, « mon kiki ». La jolie Véronique Tarass était « rentrée » dans le X (Comme Xénophobe… aux « cons ») comme on entre en religion, poil au fion… ou presque. Au tout début, elle avait « rêvé » d’être écrivain(e) et de vivre de sa « plume » (on ne ricane pas !) Résultat des « bourses » (on ne glousse pas !), elle finit véritablement à vivre… « de sa plume ! » Cette écri… « vaine » ne se découragea nullement lorsQUEEEEEEEEUUUUUUUUE ! … lorsque ses premières nouvelles furent refusées par « 69 » éditeurs, pôv p’tit coeur. Par compensation, en mode « con panse à fion ! », et frustrée par des années de sexe basique, elle sembla décidée à offrir à son corps le trop plein de sexe qu’il réclamât, poil à l’anal… Le besoin étant plus fort « queue » la raison, elle avait choisi la voie du X pour l’épancher avec un goût immodéré pour la fellation, poil au… Elle « pansait » être une bonne ambassadrice du X français. Elle avait un goût prononcé pour « l’exibifion ». Elle avait ‘l’obsefion » du cul, sans être nymphomane, Madame. Elle aimait plonger dans les turpitudes sexuelles, la belle, c’était son bain de jouvence, de foutre et de jouissance, Hortense. Et puis ne dit-on pas qu’il y a toujours un gros cochon qui sommeille en chaque homme ? Quant aux femmes, elle considèrait « queue », pour la plupart, ce sont de vraies hypocrites, des coincées de la fente… Tant « pis » (des vaches) pour elles, Annabelle, elle a une plus grosse part du gâteau (pour gâteux !). Elle kiffait grave le sperme, se faire défoncer le cul et la chatte, et sucer deux bites à la fois. Elle aimait être soumise à un homme, lui faire ses quatre volontés, mais uniquement sur le plan cul turlu(t)utu. C’était une très bonne ambassadrice de la pompe à foutre et de la vidange, mon ange, et les keums étaient transportés de joie par ses orgasmes non simulés, poil aux néné. « Quelle queue » part, elle kiffait l’idée de la femme-« zobjet ». Il faut bien penser « queue »… les films de cul ne sont là « queue » pour être vus par des hommes, donc il est tout à « fée » normal « con » leur fasse gonfler la braguette, poil à la zigounette. C’est vraiment du cinoche, Totoche, pour machos mes cocos. Quand on lui demande si elle est plutôt vaginale ou clitoridienne, elle répond sans hésiter : Les deux mon « généranal » ! Mais plus vaginale, c’est pour « sale » qu’elle apprécie les longues queues et le limage pour un temps illimité, « l’enculée ». C’est une vraie petite fontaine si elle tombe sur un mec bien monté, l’obsédée. La dernière baise, Blaise, c’était avec un mec qui de taille faisait 1M78 avec une queue de 24 cm sur 6 de diamètre. Un vrai monstre de plaisir et de beauté l’enculé ! C’était un régal pour ses deux trous… euh, trois. Elle avait l’impre… « fion » d’être littéralement éclatée. Elle a hâte de le retrouver dans le prochain film qu’ils doivent retourner ensemble. Son métier avant le X, c’était stripteaseuse dans des boîtes de merde, en mode « gogo girl ». Il fallait qu’elle fasse par « foi » trois clubs d’affilée. Et puis tous ces mecs, patron et personnel, qui ne se gênent pas à mettre la main au panier, elle en avait ras l’cul ! C’est « l’caca » de l’dire, Mounir. Véronique Tarass n’aime pas les gens irrespectueux. Néanmoins, comme tout à chacun(e), elle a des fantasmes… Notamment, celui de sodomiser un homme. Elle espère qu’un jour un réalisateur le lui demandera, cela lui ferait plaisir. Ben c’est vrai quoi ! On demande toujours aux femmes de se gouiner, pour le plaisir égoïste de l’homme, et les femmes n’auraient pas le droit de demander à deux hommes de baiser ensemble ?! Va phallus… euh… falloir qu’elle en touche… deux mots à son compagnon Toni Druent. Elle pense avoir une libido parfaitement épanouie mon kiki, et est toujours à la recherche de plaisirs nouveaux mes cocos. Véronique Tarass n’a pas trop de tabous, sauf peut-être les rapports sado-maso. Elle n’aime pas la violence sous n’importe quelle forme. C’est la douceur même. Elle kiffe grave sa race se mater à l’écran, mais elle s’auto critique sur le maquillage, la coiffure, les grimaces etc. Certaines fois elle se trouve affreuse, mais sans prétention, le travail est bien « fée ». C’est une perfectionniste du bâton… de maréchal… Poil au rectal ! Elle adore exciter les hommes par son côté perverse sexuelle, celle qui s’exibe et qui s’offre, elle adore la pipe profonde et les grandes giclées de sperme. A aucun moment elle n’est jalouse d’une autre actriX. Chacune travaille à sa manière, poil au… Il lui arrive même de penser qu’une telle a un beau cul, « queue » l’autre a des seins ravissants. Véronique Tarass espère donner entière « satisfacfion » à ses fans, et qu’ils apprécient son talent de suceuse. Et « queue » si elle aime « con » lui crache dessus, elle ne crache pas non plus sur le travail la canaille ! À n’en pas douter, « on » peut vraiment dire QUEEEEEUUUUUUE ! … que Véronique Tarass est née… « sous X ! »

Véronique Tarass avait « toute foi » une faiblesse, ma fesse : elle ne supportait pas de faire souffrir, Nadir… « AMOK ! », faire souffrir son prochain… « coquin », mon clampin ; et puisQUEEEEEEEEEUUUUUUUUUUE ! … puisque dans la vie en mode « le vit » c’était inévitable, ma notable, elle n’était pas toujours heureuse, la gueuse. Elle « suce » ce »pendant » prendre… les bonnes décisions, poil au fion, qui la « con »duisirent vers « le sommet » ; se servir de son pouvoir (« d’attrape-fions ! ») de star du « box aux vices ! » Elle put (grave la moule !) se (dé)montrer « par foi » aussi « dure » et « chaude » qu’elle était belle, la gazelle. Elle « possédait » un charisme et une influence, pour ne pas (« maux »)dire un pouvoir omnipotent (et ausssi omni… « impotent » pour le tronçonné potentiel François Zarby) « queue » même Toni Druent qualifiait d’omni… « important ! » À l’é… À L’AIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIDE ! … À l’évidence, « hors danse », Véronique Tarass pouvait com »mettre », pour ne pas (« maux »)dire « exécuter », de « petits crimes » « sang » être inquéquétée, « l’enculée » ; tourner le dos à la… ALLAAAAAAAAAAAAAH ! … à la tradition, poil au f…, faire fi de la bonne… morale, poil au rectal, et un pied… QUEL PIEEEEEEEEEEEED ! … et un pied de nez de chez néné à tous ceux qui voulaient « lui mettre », « bien profond », « des batons » dans les roues, Bignolle. Ils auraient vite « fée » de se vomir… euh… se rendre compte qui elle était « raie »ellement, maman… MAMAAAAANNNNNNNNNN ! … Avec cette dichotomie qu’elle « possédait », il était quasi »ment » impossible de séparer chez elle la femme, en mode « flamme », de l’actriX. La TWM l’adulait, « l’enculait », mais ce n’était pas suffisant mes zenfants ; elle connaissait sa(le) laideur intérieure, pôv p’tit coeur.

Alors SAUTONS ! … du coq à l’âne (Bien monté). Plus précisément, de Véronique Tarass à Hailkyf de Lamayrdenbrenche dont, manifestement, personne n’en avait rien à « foutre »… Si on peut dire (pour votre gouverne, amis lecteurs qui enduraient le « dur »… labeur de vous « taper » ce texte « commis » par Patrice Guillot… « thon », je rappelle qu’Hailkyf de Lamayrdenbrenche apparaît déjà au début de cette nouvelle, la belle, en mode cinoche, Totoche, mais qu’en « réalité » Yvan de Lamayrdenbrenche, alias le con… « Sultan », est vraiment son daron, ce con, et qu’elle a été véritablement kidnappée… Explication un peu plus loin), sauf, bien sûr vous l’aurez compris, l’entrepreneur, qui n’était pas le dernier à avoir des idées, le rusé. Si l’intervention de la société Mafialand n’aurait pas suffi, Toni Druent s’y serait pris autrement les zenfants. Faire tourner, dans tous les « sens » (C’est peu dire) du terme, la « négligée » fifille du père de Lamayrdenbrenche dans son prochain opus, poil à l’anus, donc simultanément avec Dégustez la veuve Clito, et pour lequel il a déjà prévu le titre. L’nspira… « fion » lui venant d’un succès planétaire, poil au derrière… Mondial, poil à l’anal, des seventies, Denise… En l’occurence : La Tour Infernale… Poil au rectal. Il en ferait remake en mode « ris mec ! » qui s’intitulerait : La Tour… ENFER ANAL ! … Tout un programme, madame. Il ne vous dit que ça, de chez « queue sale ! ». Si l’autre con… « Sultan », s’en bat les couilles grave sa race de sa descendante… de lit, comme visiblement ce guignolo mise son va tout (foutre en l’air !) sur la position… sociale, pour laquelle la réussite professionnelle n’ayant d’égale que toute la réputation qui va avec… Il ne va pas être déçu, poil au cul, ! le TDC Yvan de Lamayrdenbrenche. Par con… séquent, cela ne surprendra personne, et demeure un doux euphémisme, en vous rappelant que s’il existe bien un « corps »… de métier, pour lequel tous les moyens sont permis pour parvenir à ses « faims », c’est bien la mafia, mes loupiats. Preuve à l’appui, le transport de « fion » de la fille du trouduc, Hailkyf de Lamayrdenbrenche, « jus… queue » sur le plateau de substitu… « fion », à savoir, le hangar, Babar, réservé à « la finition » de l’opus, poil à l’anus (Mais sans les puces !) de Dégustez la veuve Clito. Quel meilleur moyen « d’et branler » ce con… « Sultan » Yvan de Lamardenbrenche QUEEEEEEEEEEEUUUUUUUUUE ! … que d’impliquer sa fille Haylkif dans le plan, tant tactique QUEEEEEEEUUUUUUUUUUUE ! … que stratégique, de l’entrepreneur Toni Druent, les enfants. Pas moins d’une rutilante Mercedes Benz… ton froc ! … escortée de deux motards flamboyants, genre Village People, pour con… (dé)voyer sur place la greluche, pôv nunuche ! Le tout majoré de tout son (et lumières !) cortège de sirènes et de gyrophares stroboscopiques pic pic pic… Hic hic hic… Sur le registre de la mascarade, la société Mafialand savait investir et où placer ses biscuits cui cui cui… Tout était bon mon con. Ce fut donc avec tous les honneurs réservés habituellement aux plus grandes Stars Hollywoodiennes « queue » la fille du trouduc fut accueillie mon (gros) kiki (Tu vas voir ce « queue » tu vas voir… Ou plutôt sentir, ma toute belle !) Elle put (rarement d’la chatte !) con… « s’tâter » les prémices (pleines de vices !) du tournage de La Tour… Enfer Anal sur le second plateau (de fromage schlinguant déjà grave sa race !) jouxtant « con »fraternellement celui de Dégustez la veuve Clito, mes cocos. Sans même la connaître, Feukmi fut le premier à se mettre en mode « Squirting » en lui pissant dessus copieusement pour lui faire la fête, la p’tite bête… Hailkyf de Lamayrdenbrenche était ravie hi ! hi ! hi ! … Rappelons pour la énième fois qu’une femme n’aimant pas les animaux, c’est un peu comme un cureton ne kiffant pas les p’tits n’enfants han han han… Aussi improbable qu’infernal ! … poil à l’ana… Ce faisant, Toni Druent vint personnellement à la rencontre de sa nouvelle actriX potentielle, Annabelle, et, à l’instar (Et La Star) de Feukmi, l’entre… « preneur » se « pour lécher » les babines, tête de pine, d’avance, Hortense, car il avait déjà engrangé l’idée « queue » la grange, justement, ou le hangard si vous préférez, n’attendait plus qu’elle, Annabelle, pour débuter les festivités, les kékés. Son potentiomètre intrinsèque ne l’avait jamais trahi mon (gros) kiki. Il savait d’emblée « queue », même les plus aguerris au NoFap ne résisteraient pas bien longtemps lorsqu’il aura mis la môme de Lamayrdenbrenche au turbin, le coquin… de (mauvais) sort… ilège ! C’est clair comme le sperme de l’homme invisible « queue » lorsque son dab la verra sur les écrans, y risque d’avaler son dentier, l’enculé… D’autant plus « queue » l’entre… « preneur » ne va certainement pas s’priver pour en rajouter des couches (sans culottes), côté pub en tout (mauvais) genre (Teasers, Flyers, magazines spécialisés etc.) Simultanément, la gniarde du trouduc n’était pas du tout contre quelQUEEEEEUUUUUUUES ! … contre quelques parties de jambes en l’air, poil au derriè… Elle savait déjà QUEUUUUUUE ! le fait d’arborer « la cuisse légère » fera bouillir son PN (tendance « Pôv Naze ! ») de père… Bien au contraire ! poil au…

Nous ne devrions jamais sous-estimer ce con… peut arriver à « ex traire » de son (E)sprit, mon kiki, quand « on » veut bien sans donner la peine (à jouir !), Germaine. Il ne « phallus » pas bien longtemps à Toni Druent pour que l’idée qu’il se faisait de lui-même germe en lui cui cui cui… et s’ancre définitivement dans l'(E)s… « pris » de l’entre… « preneur » : Toni Druent et Paul Hamploy, le (z)héros du film en amont, ne faisait qu’un, mon coquin, et l’entrée en « matière », poil au derriè…, au tout début de cet opus (grave le caca nerveux !), n’était « qu’impur » produit de son imagination, poil au fion ; Toni Druent faisait son « propre » cinoche, Totoche. Pour l’entrepreneur, l'(in)humanité « demeure » un con… cept familier aux anor… « maux » à leur grand désespoir, ils s’en sentent (grave la merde !) en « et fée » tout proches… C’EST MOCHE ! … Ils expriment leur parenté avec elle dans un sang… « lot » de regret, et ne cessent jamais de tendre vers elle leur vision des formes de chez « difforme » en mode « appel au secours », Abdelghafour. L'(E)sprit de l’entrepreneur était essentiellement une machine infernal, poil à l’anal, une « machine de sexploration », poil au f… Toni Druent kiffait ve-gra acquérir des connes… euh… des connaissances de tous ordres de chez « tous poils ! » Ses « fuckultés » d’analyse (et plus tard de dialyse !) étaient phénoménales… Il EST VRAIMENT, IL EST VRAIMENT, IL EST VRAIMENT PHÉNOMÉNAL ! LALALA LALA LA LA LALALA LALA LA LA…, mais il avait rarement envie de « sang » servir à fond, poil au nichon, et il ne mettait pas souvent à l’épreuve (bien qu’il s’imposait toujours des épreuves… Sans cela, estimait-il, l’homme perdait de sa valeur) la confiance absolue, en mode « Absolu », et fort justifiée qu’il « avé » dans son « propre » pouvoir, Charles-Édouard. Paul Hamploy, personnage fictif de son état, « pur produit » sorti « tout droit » de l’imagination d’un entrepreneur pour le moins inventif, poil au calcif, complètement con… struit et calqué sur des suggestions partielles, nées de souvenirs plus ou moins abscons, mon con. Il sentait (grave du slip !) bien au fion… euh… au fond de « Lui » qu’il existait un ou plusieurs doubles, mon rouble, de Toni Druent et de ses protagonistes, poil au kyste, dans tout l’Uni… « vers », poil au derriè…, parallèle dans d’autres dimensions, poil au f…, vivant leur « vit », aussi atypique « queue » la siennne, Étienne… ÉTIENNE ÉTIENNE ÉTIENNE, OH ! TIENS-LE BIEN ! DE L’INÉDIT, IL AIME À « LA FOLIE ! »… Au fil du temps (n’existe pas !), si l’entrepreneur avait bien appris une chose, Zardoz, c’était qu’avec une intense concentration de toute l’énergie mentale dont il disposait, il pouvait façonner cette masse informe d’énergie, lui donner une direction, « viser »… juste… ET APPUYER SUR LA DÉTENTE ! … ; car il y a vraiment des moments où un entrepreneur doit prendre (in)certaines initiatives, Jean-Yves, notamment celle d’enfreindre (in)certaines lois et (in)certains protocoles, Nicole.

Dès que Véronique Tarass fit la connaissance de Haylkif de Lamayrdenbrenche, elle fut tout de suite con… quise, Denise… Et réciproquement mes enfants. Quant à Toni Druent, il ne douta pas un seul instant qu’il allait tiré… parti de ces deux grognasses, Stanislas. Connaissant tout le panel (Et le panard !) diversifié de sa partenaire… Comme brouteuse c’était pas la dernière d’la liste des actriX. Et lorsqu’il a « soumis » le script à la fille du paltoquet, elle a sauté ! … de joie ! … Mais à une seule « condifion » : C’est que son PN (« Pôv Nabot ») de reupe la voit sous toutes les coutures… l’enflure ! Et comme tout entrepreneur se doi(g)t(e) de rester con… ciliant en toutes circonstances, Hortense, il accepta la sugges… « fion » sans sourcillier, avec un sourire aussi large « queue » la techat d’une pro du porno après le passage (à tous les niveaux !) de la teube d’un pro du Gonzo, les cocos. Il imaginait déjà, sans beaucoup d’effort, la chetron de son PN (« Père Négligent ») devant la parfaite alliance de ces deux lécheuses de cramouilles, l’andouille. Il serait saisi par la beauté du tableau, le zozo. S’il ne tombait pas… en « sein »cope après la vue de sa chiare en train de s’faire récurer l’fondement à grands coups… de langue, aussi longue et charnue (Un peu comme Gene Simmons, le bassiste de Kiss) « queue » mobile, de Véronique Tarass, il serait pour le moins fou… droyé par un AVC, en mode « À Vomir Couillon », l’empaffé.

Lorsque le cador tous azimuts (Et tout azimuté !) René Denldayrche, Grand Responsable devant l’Eternel de la revue BTS (« Balance Ta S’moule ») orientée sur la thématique de chez « téma-trique » du « couic-couic-radada » contacta l’entre-preneur pour une interview exclusive (Et pourquoi pas inclusive) de l’une de ses actriX sur la « téma trique » de cette « profefion », Toni Druent ne se sentit plus sauter… de joie… Y A D’LA JOIIIIIIIIIE ! … « L’opportuniqué » était par trop flagrante pour ne pas saisir les balloches au bond ! … Poils aux roustons. En effet, sa compagne et collègue partenarial Véronique Tarass ferait parfaitement l’affaire, poil au… Surtout avec la chiard du trouduc à ses côtés. Et compte tenu du manque d’attention, mais plutôt de l’extrême tension reliant Yvan de Lamayrdenbrenche et Haylkif de Lamayrdenbrenche, il y avait fort à parier que la fille du con… « Sultan » n’allât pas s’gratouiller l’clito bien longtemps pour lui rentrer dedans les enfants.

La pornographie a ses amateurs comme ses détracteurs. Pervers contre puritains ? Pas si simple.

René Denldayrche : Pouvez-vous nous dire ce qui détermine le caractère pornographique d’une photographie, d’un film, d’un livre ?

Véronique Tarass : La nudité, qu’elle soit masculine ou féminine, a toujours été utilisée au plan artistique. Ce qui détermine le côté pornographique d’une oeuvre, c’est lorsque l’être humain est représenté comme un objet sexuel. C’est ce que l’on appelle, en psychanalyse, l’objet partiel : on s’intéresse à la femme ou à l’homme pour ses seins, ses fesses, ses muscles, sa silhouette… et non comme un être humain. Cette utilisation pornographique servant à provoquer une excitation.

__ L’anatomie féminine recèle-t-elle des fétiches propres à la pornographie ?

__ Toute partie du corps peut se transformer en fétiche. J’ai eu un jour la surprise de voir une revue pornographique où étaient représentés des moignons. Ces images devaient satisfaire l’excitation de certains lecteurs très spéciaux. Ainsi, tout peut devenir pornographique, dès que l’être, cessant d’être sujet, devient objet.

__ Quelles sont les limites de la pornographie ?

__ Ce qui caractérise les limites de la pornographie, c’est qu’on les repousse toujours, puisque l’effet excitant s’amenuise. C’est un peu comme les somnifères : on va toujours plus loin. Il existe un frein à cette quête, c’est la censure ou l’autocensure.

__ La vision accidentelle d’une oeuvre pornographiquepeut-elle engendrer des troubles comportementaux ?

__ Il ne peut s’agir que de troubles psychiques. Une personne concernée et non culpabilisée peut ne pas être choquée, tandis qu’une autre, non concernée ou culpabilisée, peut l’être. Sont susceptibles d’être perturbées toutes personnes considérées comme « fragiles ». C’est-à-dire les enfants, les personnes qui, bien qu’ayant l’âge d’adultes, sont restées, à ce point de vue, comme des enfants, et celles qui n’ont aucune connaissance en ce domaine. La vision accidentelle d’images pornographiques peut, dans ce cas, entraîner des angoisses, des insomnies, des obsessions. Le plus troublant, c’est lorsque l’image pornographique tape en plein dans la cible d’un désir réprimé. Le spectateur involontaire est alors véritablement brutalisé. Prenons l’exemple d’un homme qui va refouler des désirs homosexuels masculins? S’il tombe sur une représentation de pornographie homosexuelle masculine, cela peut engendrer chez lui confusion et angoisses, justement du fait de ces désirs cachés.

__ La pornographie a-t-elle besoin d’un cadre légal pour protéger ces personnes ?

__ La pornographie doit s’exprimer dans un cadre où ceux qui ne veulent pas la voir sont protégés. Offrir de la pornographie à quelqu’un qui n’en veut pas est une atteinte à la liberté. Il semble donc judicieux de réglementer la pornographie pour protéger la jeunesse et ceux qui ne veulent pas la voir. On a cru, pendant très longtemps, qu’il fallait protéger les Français de l’oeuvre du marquis de Sade (qui pour l’anecdote est resté près de quinze ans à l’hôpital psychiatrique de Charenton-Saint-Maurice), ce qui a conduit à la faillite des éditeurs au nom d’une soi-disant morale. Depuis que son oeuvre est en vente libre, on n’a jamais décris le cas de personnes troublées par sa lecture. A la sortie du film « Histoire d’O », un hebdomadaire à grand tirage, fort respectable, a publié des extraits du livre de Pauline Réage. Ce magazine, comme la plupart des autres, a deux catégories de lecteurs : ceux qui l’achètent au numéro et peuvent donc être prévenus de ce qu’il contient en le feuilletant, et les abonnés. Parmi ces derniers, certains se sont plaints de recevoir chez eux un tel texte, et ils avaient raison.

__ La pornographie peut-elle, à l’nverse, avoir des vertus thérapeutiques ?

__ La pornographie a la vertu de favoriser le développement des fantasmes. Les spécialistes savent qu’il est caractéristique, chez les personnes qui passent à l’acte et ont des conduites sexuelles délictueuses, que celles-ci aient, presque toujours, une activité fantasmatique très réduite et très pauvre. En sexothérapie, on s’emploie à ce que les personnes prennent conscience de leurs fantasmes. Ce qui dérange et rend malade, c’est la culpabilisation et le refoulement de ses fantasmes. Un fantasme refoulé peut mener à la dépression ou un passage à l’acte. Un rapport américain sur la pornographie avait conclu que la pornographie, au contraire d’être dangereuse comme le pensaient les puritains, était de salubrité publique. Les sexothérapeutes savent bien que les effets de la pornographie peuvent être thérapeutiques. Il est courant d’en parler dans le cadre d’une sexothérapie et de faire en sorte que les personnes ne soient pas culpabilisées des idées qu’elles ont en tête. Libre à ceux qui veulent en jouir de se masturber. Mais, pour autant, la pornographie ne remplacera jamais l’amour, ni une sexualité relationnelle.

__ Quelle peut être l’importance de la pornographie dans l’épanouissement de la vie sexuelle du couple ?

__ Ce qui caractérise la pornographie, c’est qu’elle est extrêmement précise. Ce qui excite une personne peut profondément en choquer une autre. S’il est vrai que certains couples regardent des films pornos ensemble, en revanche, un partenaire peut être choqué de voir l’autre s’exciter au moyen d’une vidéo à la vue de certaines scènes.

__ Peut-on considérer que la pornographie est dégradante pour l’image de la femme ?

__ La transformation d’un être humain en objet sexuel, qu’il soit femme ou homme, est un acte irrespectueux. Tout n’est que cas d’espèce et des images peuvent sembler à juste titre grossières et dégradantes pour l’être humain. La qualité artistique revêt une réelle importance.

__ A propos de commerce, peut-on comparer la pornographie à la prostitution ou au proxénétisme ?

__ Certains pensent que c’est scandaleux de gagner de l’argent en faisant de la pornographie. En fait, c’est un commerce comme un autre sauf si les acteurs des films ou des photos sont utilisés de façon dégradante. Tout est dans l’art et la manière de réaliser ces oeuvres. Je trouve encore beaucoup plus dégradant de gagner de l’argent en faisant des mines antipersonnel qui vont blesser les enfants dans les dunes.

__ La pédophilie a-t-elle sa place dans pornographie ?

__ Quand, pour réaliser des films ou des photos, on utilise des acteurs adultes et consentants, libre à ces personnes d’accepter un tel travail. Ces photos et ces films étant en règle générale réalisés comme des documentaires, il est en revanche inadmissible d’utiliser réellement des enfants et tout le monde a présent à l’esprit à quel excès odieux cela peut conduire. Et pourtant des films pornographiques pédophiles pourraient aider des obsédés sexuels à ne pas passer à l’acte, mais il n’est pas, pour autant, admissible de sacrifier des enfants pour les faire.

__ Vaut-il mieux, pour son épanouissement sexuel, aller voir une prostituée ou se masturber en regardant une vidéo porno ?

__ Avec le sida, on a trouvé un grand intérêt à la pornographie, comme moyen préventif de cette terrible maladie.

Lorsque l’entretien fut terminé, René Denldayrche ne manqua pas de complimenter Véronique Tarass pour son érudition « sur le sujet » (Au sens « propre » comme au figuré), ainsi « queue »… sur sa remarquable façon de « sexe »primer, la tringlée. Ce qui n’était pas du luxe, Pollux, parce « queue » dans ce milieu un peu particulier, y a « à boire » et à brout… et à manger, poil au néné. « Las »dessus, la professionnelle aux nombreuses potentialités intrasexe avait tout simplement répondu : C’est tout à fait normal quand on eu un(e) « paire » porté sur « la chose » plus « queue » de raison qui matait les films de boules (pendant que moi je les avais ve-gra, mais pas au même endroit !) au sous-sol aménagé du pavillon, tout en se paluchant copieusement à couilles rabattues, sans se douter un seul instant « queue » sa mômasse s’en était aperçu depuis belle quéquette, alouette. Mais bon, à toute « chose » malheur est bon, poil au troufignon ! … Ce fut donc Grâce au tirage… de son indispensable élastique tic tic tic… « queue » je me suis par la suite beaucul docu(l)mentée sur cette « tématrique » hic hic hic…

Finalement, Véronique Tarass kiffait grave « le milieu » de « la fesse » ; la société de « relations publiques » (alias la TWM), en mode « relafions-pubis », de son coéquipier Toni Druent, pour laquelle elle « travaillait » depuis quelQUEEEEEEUUUUUUUUE ! …, depuis quelque temps (n’existe pas !), avait fait une « percée » (on ne glousse pas !) remarquable, ma notable, ces 666 derniers jours, Abdelgha… « fourre » ; des nouveaux « clients », des nouveaux comptes, des nouveaux abonnés, poil au néné ; avec un entre… « preneur » « possédant » de « grave » appuis financiers, souhaitant grave moderniser « l’image » de l’ancien porno à papa, mon loufiat. Et à n’en pas (re)douter, Véronique Tarass aimait « travailler » avec tout l’équipe de « tournage » (pas toujours très sage !), « caresser dans le sens… des poils » tous ses collaborateurs (et collaboratriX, pleine de « vices ! »). Elle était toujours impressio… « néné » par les « sperformances » des hardeurs à l’en… « contre » des actriX ! À l’é… ALLEEEEEEEEEEEZ ! … À l’évidence, ces performers en mode « perforateur » avaient toujours des arguments plus « touchants » et plus « percutants » QUEEEEEEEEUUUUUUUUUUUUE ! … que nature, Arthur. La compagne et associée de « l’antre preneur » aimait l’atmosphère… ATMOSPHÈRE ! ATMOSPHÈRE ! EST-C' »QUEUE » J’AI UNE GUEULE D’ATMOSPHÈRE ! … l’atmosphère (très) particulière (sans poils au derrière !) d’un plateau de cinéma « genré », alors « queue » la plupart des gens s’y ennuyaient grave à mourir, Nadir… « AMOK ! » Elle appréciait l’es… « pris » de camaraderie qui régnait dans une équipe de « tournage » (« pas sage ! »), et « navet » rien contre une petite partie (en mode partouze !) de jambes en l’air, poil au derrière… avec des techniciens, poil au sein. Assister à la genèse de chez jeunesse d’un film de « luc », le suivre du début à la… ALLAAAAAAAAAAAAH ! … à la « faim », jusqu’à son (« arc de… ») triomphe, ou son échec, Nardine bébek, était pour elle une aventure en mode « ouverture » exaltante, « ma tante ». Elle pensait savoir tout ce qu’elle avait besoin de savoir sur les zobs… euh… les hommes (les zobs aussi !). Les « forts » pouvaient être moralement des « démons » ; les faibles étaient des lâches. Il y aurait peut-être des hommes en mode « zobs » qu’elle désirerait sexuellement, qu’elle admire »raies », qu’elle en arriverait même à trouver sympa… TRIIIIIIIIIIIIIIIIIIIQUE ! …, voire qu’elle souhaiterait épouser, mais jamais elle ne se mettrait (un gode !) à la… ALLAAAAAAAAAAAAAH ! … à la merci de l’un d’eux, « tête(s) de noeud(s) ». Les opus (grave le varech !) de « luc » restait pour elle un art « majeur » à ses yeux (et à ses « oeufs ! »), et « par foi », elle avait vraiment l’impression de sentir (grave la moule !) au « fion » d’elle quelQUEEEEEEEEEUUUUUUUUUE ! … quelques velléités de guérisseuse vaudou, en mode Voodoo Lounge ! (Album éponyme des Rolling Stones), pour son prochain… coup, « pour le coup » (à propos des Rolling Stones, Véronique Tarass était toujours très fière d’arborer son tee-shirt préféré rollingstonien, été comme hiver, avec placardée sur fion… euh… sur fond noir la célèbre langue jaggerienne sortant de sa grosse bouche lippues aux lèvres — celles du haut ! … Non mais j’précise — aussi sensuelles que pulpeuses. De fait, dans « le milieu » du X, MatriX, ce look mes nénés grave pointés ! était tout à « fée » approprié, poil au pied ; une invite au cu… nnilingus, ma puce), notament à l’attention… ATTENTIOOOOONNNNNNNNN ! … à l’attention, et inten… « fion » des « couilles molles »… « derrière » leur écran subissant un coup de « mou », pôvs nounous. Déjà très jeune, Véronique Tarass s’était taillée (à part les pipes !) une solide réputation de chaudasse en mode « raie pute à fion(s) ! » Et désormais elle s’était « liée » avec moult hardeurs et actriX, et à sa grande surprise, Denise, elle put (grave du derche !) « découvrir » chez Haylkif de Lamayrdenbrenche, la fille (« non reconnue ») d’Yvan, une sexualité pour le moins exubérante et généreuse, la gueuse. Ce trait de sa personnalité la laissait quelQUEEEEEEEEEUUUUUUUE ! … quelque peu perplexe, « poils au sexe », surtout de la part d’une fille de con… « Sultan », mes zenfants ; aller… ALLEEEEEEEEEEEEZ ! … Aller au lit avec un homme qui lui était sympa… TRIIIIIIIIIIIIIIIIIQUE ! … sympathique lui semblait « la chose » la plus naturelle du monde, Edmonde, même hors du plateau de « tournage » (pas très sage !) Du reste, Toni Druent lui-même fut à « deux doigts » (et pas « juste un doigt ! ») de craquer, le kéké, qu’elle pût (grave de la craquette !) « faire l’amour » avec autant d’hommes, si différents en âge, en cul… ture et en apparence, « Hors danse », et y « prendre », avec tous, du plaisir, le stupéfiait grave sa race ! Il avait vraiment l’impression d’être un apprenti, pôv « kiki », de chez « bleu-bite », tête de b…, voulant connaître toutes les saveurs et les « senteurs » de tous « les bouquets »… SENS-MOI C’BOUQUET ! … de tous les bouquets de la Terre, poil au derriè…, toujours en apprendre un peu plus, poil à l’anus. Et à ce titre, Haylkif de Lamayrdenbrenche aimait « à prendre ! », encore et toujours, Abdelghafour.

Haylkif de Lamayrdenbrenche qui avait assisté « sagement » à toute l’interview n’en croyait pas ses oreilles, Mireille. Finalement elle se vomi… euh… rendait compte « queue » ce milieu, « coak con » en dise, pouvait receler de jolies pépites, tête de bite… d’une intelligence supérieure à la moyenne, ma chienne… En tout cas bien supérieure à son con… « Sultan » de père, poil au… Quant à Toni Druent, il demeurait raide de fièreté comme la bite à Rocco (Enfin… Peut-être plus maintenant, concernant l’outil de travail de ce hardeur… d’enculeur) de « posséder » une compagne à la fois jolie et compétente (« Con » pétant également, pendant l’acte sexuel. Mais ça c’est pas rare… les pets vaginaux, mon toto) tout en lui faisant la remarque par la suite, d’où elle détenait de telles aptitudes digne d’un sexothérapeute certifié con… forme. Elle avait donc rajouter cette explication supplémentaire, selon laquelle, étant issue d’une famille aussi prout prout ma « chair », qu’une mère coincée d’la fente, il était donc naturel qu’elle s’intéresse d’un peu plus près à « la chose » par nécessité, la tringlée. La biologie hormonale faisant loi… OUAH ! OUAH ! OUAH ! Véronique Tarass allait donc régulièrement « creuser son trou » (Euphémisme !) dans les médiathèques de proximité au rayon sexo pour se documenter sur la question… Poil au…

Haylkif de Lamayrdenbrenche était toute émoustillée de la craquette, Bernadette, parce « queue » c’était « en faim » son premier jour de tournage du nouvel opus, poil à l’anus. À savoir : LA TOUR… ENFER ANAL ! Et bien au delà de cette toute nouvelle expérience sexuelle, Annabelle. Car à l’é… ALLEEEEEEEEEEEEZ ! … à l’évidence, la fille du trouduc ne s’était jamais faite trouducuter, en mode : réalésage de la turbine à boyaux, « sang » trop déchirer la valve à moka, papa. Ce qu’elle désirait par dessus tout, mon toutou, étant bien évidemment de faire bisquer son empaffé de « père » (Sans « paires » au cul !), et plus précisément, son Ego tordu en mode Luciférique hic hic hic… Elle allait « sang » donner à cul joie dans la surenchère ! Poil au… Il y a fort à parier que, malgré son insensibilité psychopathologique aiguë, il pète une durite, tête de bite ! songea-t-elle iro… « niquement ». Quant bien même l’entre »preneur » ne soit pas un obsédé… des sciences occultes, mais plutôt « au cul », il « possédait » tout de même comme tout l’monde un petit côté ésotérique hic hic hic… Et par « rebond » (faut-il encore rappeler « queue » les scénarios des films « de charme » sont très riches… en « rebondissements » !), par la force des choses, il s’intéressait depuis peu à la… ALLAAAAAAAAAAAH ! … numérologie, mon kiki. Nonobstant le fait « queue » le seul numéro qui lui parlait véritablement restait le 69 (Essuyez vos moustaches !), il n’en demeurait pas moins que depuis le branle… bas l’combat survenu pendant le tournage de Dégustez la veuve Clito, la manifestation récurrente et ino… « pinée » du chiffre 6, qu’il soit psitionné à « l’endroit » ou à « l’envers », revenait assez souvent les enfants. Ce faisant, à aucun moment il n’avait fait un quelconque (Quel con !) rapprochement avec un symptôme lié à cette « célèbre »… fixation diagnostiquée par les psys de Troubles Obsessionnels Compulsifs, plus communément bâtisé sous l’abrévation de TOC (TOC TOC TOC… BADABOUM !) par ces mêmes docteurs foldingues… En fait, Toni Druent pencherait plus pour une autre « définifion », à savoir : TOC… Comme « Très Obsédé du Cul » turlututu ! Quoi « con » en dise, n’étant pas de nature à s’inquéquéter, le chiffre 666 apparaissait et se manifestait « sur tout » (Et n’importe « couac ») plus souvent qu’à son tour… CELA FAIT CHIER !

Dire que la réaction de Yvan de Lamayrdenbrenche ne fut pas des plus jouasses le jour où il aperçut sa fille, Haylkif de Lamayrdenbrenche, en couverture du magazine BTS (Balance Ta S’moule) au côté de Véronique Tarass, c’est un peu comme dire « queue » Rocco Siffredi aurait « tété » le plus heureux des zob… euh… des hommes si on lui avait proposé une scène de sodo en mode Gonzo ave Mimie Matty mon kiki (Oh ! C’est pas gentil !) Et ré… « jouissance » ne s’arrêta pas là, lorsqu’en dépit (Et non des pies… de « vaches ») de la relation déféqu… euh… défectueuse les unissant l’un l’autre, le con… « Sultan » fit l’effort de disperser momentanément les quelques oursins qu’il avait dans les poches afin d’acheter le periodique « dick » dick dick (A vous de traduire) de « charme », pour découvrir à l’intérieur la chair… de son sang (« dessus-dessous ») dans son plus simple appareil… génital… POIL A L’ANAAAAAAL ! Il phallu… euh… Il fallait bien reconnaître qu’une séance de casting sur la « téma trique » pornographique hic hic hic… était tout sauf banal, poil à l’ana… euh, non, tiens, on va changer un peu… POIL AU RECTAAAAAAAAL ! … Yvan de Lamardenbrenche se surprit même à ressentir les prémices pour le moins frissonnants, proche de la jalousie quasi incestueuse, en voyant sa « propre » fille, Haylkif de Lamayrdenbrenche, en (arrière) train de se faire « réaléser » le rectum de « fion » en comble, par la Star du porno chic du moment, Aimé Lamoy… Et pas « queue », mes aïeux ! C’était bien la toute première fois (Et sûrement pas la derrièr… euh… la dernière) qu’il put (du cul !) disséquer son oeuvre procréatrice, poil à la matrice, de cette manière, poil au derrière. Au fur et à mesure que le PN (Pôv Nase) tournait les pages en papier glacé (Y a bien « queue » les pages qui sont « glacées » !) de BTS, il se rendait compte petit à petit de son ignorance en « matière »… « d’expre… fion corporelle, Annabelle… Très « explisanslip » ! Et on était pas loin de certaines planches photographiques anatomiques hic hic hic… dédiées aux étudiant(e)s s’orientant vers un cursus spécialisé dans la gynécologie mon kiki… Mais en plus Trash ! A la vue de certaines photos, la dénomination « cursus » pouvant vite être remplacée par « cure suce » ! … Décidément, c’en était beaucoup trop pour un seul homme en une journée ! Yvan de Lamardenbrenche se rendit con… euh, compte tout à trac qu’il n’était pas complètement indifférent vis-à-vis de son unique nique nique nique… rejetone, ma conne. Et qu’il se trouvait même un côté roman… trique hic hic hic… Cela étant vu, et « bien » vu ! Cela n’allait pas se passer « conne » ça ! … papa. Car quand ça bout trop fort, Hector, il arrive que le couvercle explose ! Partant du principe que tout être (in)humain a « besoin » d’un ennemi potentiel pour « exister », on pourrait aisément imaginer que Yvan de Lamayrdenbrenche aurait « besoin » de s’obstiner, voire s’acharner sur la personne de Toni Druent pour ce con… struire… Seulement, rien « né » moins sûr… le grill(e), Camille. En « et fée », à partir du moment où la négativité existentielle pouvait résider dans tout « objet » sur cette planète (« pas nette » !), l’entrepreneur ne serait pas le seul maté… riau servant au con… « Sultan » de bouc émissaire, poil au derrière. Et il ne fallait pas négliger non plus la dimension… irrationnelle, Annabelle. « Conte » tenu du « sinistre » événement survenu à l’entre… « prise », Denise, en mode « polteirgeistien », poil au chien… de Feukmi. Un fluide, pour ne pas (maux)dire, une entité autant maléfique « queue mâle-et-Fuck !  » pouvait très bien interagir, Nadir. Le « Malin » demeurait, en toutes circonstances, omniprésent, omniscient, omni(im)potent… Mais surtout, omnichiant et omnipercutant… sur tout c’qui bouge, Rackham le Rouge. L’être (in)humain n’étant pas le seul « matériau » à « exploiter », enculé. Ce fut seulement où Feukmi le clebs bouillave grave sa race Haylkif de Lamayrdenbrenche, la fille « négligée »… du con… « Sultan » Yvan de Lamayrdenbrenche, après l’avoir « raie-duite » en mode rut… abaga, que toute l’équipe en place sur le tournage de Dégustez la veuve Clito commença à se poser les « vraies » questions, poil au f… D’autant plus quand l’agression venait d’un p’t’it chien pas plus gros qu’un rat mouillé, enculé. En « loque-urrence », la preuve « réelle » que le « Malin » avait le pouvoir de se faufiler n’importe où, même chez une petite « chose » pas plus gros qu »un chihuahua, papa. Il y a du danger partout ! mon toutou. Ce dernier événement en date signifiait par la même occasion (« faisan » le larron) que ce con… « Sultan », autant pugnace que névropathe, n’était pas totalement responsable de son TOC (Trouver une idée) à l’encontre de l’entrepreneur. Les forces obscures pouvaient tout aussi bien « sein-troduirent », à l’instar des forces « zobs-cures » dans la matière… Poil au… Pour les kiffeurs de Snuff Movies, la scène de Gang « Bande » tournée (au drame) pour les (plus) besoins du film vira « sang-bite-ment » en orgie sanguinolente, Dante. Le sang se mélangeant, non « sang » un certain raffinement (Tant maléfique « queue mâles-et-FUCK ») aux effluves corporelles, Annabelle : sueur, sperme etc., « sangs » oublier bien entendu la cyprine de la fille du con… « Sultan » qui, en tant « queue » masochiste invétérée, n’était pas la dernière à prendre son pied pendant ce qui était bien loin d’être une « débandade »… pour ces messieurs. TPML ! (Triple Pénétration en Mode Levrette), tout en se faisant dévorer grave sa race de chi… huahua par Feukmi, les steaks poitrinaires (« Sang » poils au derrière !) Quel pouvoir magique, ou plutôt, méphisto… « féérique », s’était donc « introduit » sur (et dans) la personne d’Haylkif de Lamayrdenbrenche. Son corps, lui… sant avait eu une « raie »ponse toute prête, Bernadette. A la base, elle s’était toujours méfiée de l’enthousiasme corporelle, Annabelle. L’extase sexuelle n’était pas forcément un antidote au stress, « ma fesse » (… en très mauvais « et tas » !), à l’instabilité émotionnelle et aux insomnies, mon kiki »… Et de « couac » s’agissait (et s’agitait !)-il en « faim » de compte ? … Des hormones, des phéromones ou autres su(ce)bstances chi… « niques » nique nique nique (comme l’ocytocyne, les endorphines & con… sort… la bite !), capables de trans… (dé)former des êtres (in)humains rationnels et « intelligents » en véritables crétins fébriles, Odile… Bons à rien et prêts à tout, Mobutu. Mais vous m’direz : « Trêve de digression, quid de Feukmi l’enragé ? » Ben j’vous rassure tout de suite, il n’a pas fini au court-bouillon, ce couillon, en mode « chili con (in)carné, Jean-René. Mais précisons tout de même qu’il a phallus… euh… fallu s’y « prendre » à plusieurs pour le neutraliser l’enculé, tellement il avait pété… les plombs ce con. Réduite en charpie de chez bouillie, qu’elle était devenue, la pôv fille du con… « Sultan ». On se serait « crû » devant les restes de bousti »faille » d’un McDo, les cocos, en mode Big maquereau… euh… Big « Mac », Jack… Les frites en moins, Bite… coin. Mais en tant qu’entrepreneur, Toni Druent, con… trairement à l’actriX, ne devait surtout pas se laisser « démonter », l’affairé. Et comme « on »dit : THE « CHAUD » MUST GO ON ! … Yvonne. Ce que retint l’entrepreneur de cette nouvelle expérience étant qu’il n’y avait pas toujours besoin de recourir à des décisions « vulgairement » terre-à-terre pour « supprimer »… la cause du problème.

Affirmer que les « zobs secs » de Haylkif de Lamayrdenbrenche se déroulèrent sous les meillers zobs pisses… euh… auspices, où « la tension »… L’ATTENTIIIIIIOOOOOOOOOOONNNNNN ! … extrême… ment palpable était comparable au voltage d’un G.E.I. (Groupe Electrogène Industriel) relevait, une fois de plus, de l’euphémisme le plus radical, Chantal. « Les tas » d'(E)sprit (Es-tu « las » ?) des con… viés à l’enterrement n’étant pas dépourvu d’un certain nihilisme « sexpistolien » en mode « destroy »… DESTROOOOOOOOYYYYYYYYYY ! … compte tenu de l’hétéro… clisme des endeuillés en présence, Hortense. Dire que Toni Druent et Yvan de Lamayrdenbrenche se regardaient en « chien de fusil » était l’expression la plus appropriée, et dans son sens le plus littéral, poil à l’anal… Car CHIEN = FEUKMI, et FUSIL = M4 (Avec lance-grenades M203). Et le, plus troublant parmi « l’assemblée » étant (dû des dégats) le grognement en con… tinu en mode « grincheux » de Feukmi, comparable justement au son d’un G.E.I., vis à vis du daron de la bouillavée (Du moins, ce qu’il en restait !) de chez bouillie « reposant » dans son sarcopha… euh… cercueil en bois, pour « le coup », pas « bandé » du tout ! Nafitassou. Toute l’équipe du film Dégustez la veuve Clito était présente, ainsi « queue », bien sûr, Monique Tarass élégamment sapée, « l’enculée »… préférée de l’entre… « preneur ». Pendant que le prêtre Aspey Dhauphil déclamait son homélie autant « pompeux » qu’ennuyeux, la musique de Funeral Party du groupe (pas « sanguin », cette « foi »-ci) The Cure, enveloppait l’atmosphère, poil au… de son ambiance, tant plombante qu’anxiogène, Diogène, mais masochistement jouissive ! Le tout, « couplet » avec le bourdonnement intempestif émit par « le criminel » à quatre pattes, Feukmi, toujours en liberté, l’enculé. Le climat, un chouïa pesant n’était vraiment pas tristounet ! Si « on » peut (maux)dire. Mais bon, à sa(le) manière, le clebs « demeuré » très coopératif tif tif tif… Le seul moment « raie-jouissant » à la… ALLAAAAAAAAAAAAAAAAAH ! … « cé-raie-Monique » (Tarass), fut lorsque le cureton lacha à l’instant « TPet » (« TP » comme Traces de Pneus) de l’homélie, une magistrale perlouze en mode « TD » (« TD » comme… Tonnerre de DIEU !), hors pair(es). Monique Tarass, justement, ne pu (jamais du cul !) con… tenir un gloussement, avant d’exploser… en s’esclaffant, en mode « climaxique » hic hic hic… Ce relâchement « sphinctèrement » marrant con… tribua à détendre quelque… QUELLE QUUUUUEEEEEEEEEEEEEUUUUUUE ! … peu l’atmosphère, poil au derriè… Sauf pour l’odeur… OH ! MON SALAUD ! Bonjour la percée dans la couche d’ozone. C’est la zone ! Mais, en dépit du bon sens, Hortense, cette manifesta… « fion » ino… pinée, eut l’autre avantage de stopper net le bourdonnement con… tinuellement gênant qu’émettait Feukmi à l’attention (Et « à la tension ») de l’autre con… « Sultan » Yvan de Lamayrdenbrenche. Seul ce dernier (des baltringues !) ne riait pas. Comme s’il sentait, non pas le gaz laché par le prêtre Aspey Dhauphil (Pourtant, plus d’un dans l’assistance se pinçaient le tarbouif à cause de l’odeur), mais comme un étrange « presse-sang-t’y-mens » queue le pire restait « avenir » (et à vomir !)… Et il avait raison ce con… « Sultan ». Lorsqu’il aperçut Véronique Tarass s’approcher furtivement de lui avec un p’tit sourire rempli de sous-entendus, il savait, à n’en pas douter, qu’effectivement le pire n’est jamais décevant, mes enfants. La compagne multi… « taches » (Lol !) de l’entre… « preneur » se pencha lentement vers son oreille et lui glissa… non pas sa petite mimine dans son calbute, à ce fils de put… réfaction (dans pas longtemps), mais un p’tit propos non dénué d’ambiguïté, au kéké :

« Êtes-vous prêt pour une petite séance de douche chaude chocolatée très particulière, poil au derri… euh… monsieur de Lamayrdenbrenche ? »

Sur le coup (d’bambou), il ne comprit pas tout de suite où elle voulait en venir, Mounir. Comme si cela ne suffisait pas d’avoir enterré sa fille unique nique nique nique… Voilà qu’en plus cette garce se la jouait en mode perversion, poil au fion. Ce ne fut qu’au terme de la procession que sa perspicacité de con… « Sultan » fut validée, Dédé. Quatre hommes s’approchèrent à leur (mauvais) tour du bonhomme, le soulevèrent de terre comme un vulgaire ver de terre, poil au d… pour ensuite se diriger vers un véhicule garé à proximité, pendant que le prêtre Aspey Dhauphil lacha une seconde perlouze « carabinée » encore plus « pète… aradante » que… QUEEEEEEEUUUUUUUUUUUE ! … la première fournée, l’empesté ! Ce qui ne manqua pas de faire tordre de rire de plus belle toutes les personnes présentes, qui du reste ne se préoccupaient absolument pas du (mauvais) sort… ilège qui était en train de se tramer (Et à ne pas confondre avec « tramway… du désir ».) con… « cernant » ce pôv con… « Sultan », mes enfants, qui grommelait un charabia « un con préhensible » pendant que… QUEEEEEEEEEUUUUUUUUUUUUE ! … les quatre « bons »hommes l’introduisirent à l’arrière de la Safrane, ma bonne dame.

(Patrice Guilloton tient à prévenir les Âmes sensibles que ce qui va suivre risque de heurter la sensibilité de certaines personnes. La suite de l’histoire ne va certainement pas plaire à tout le monde, et ne sera pas du meilleur (dé) »goût » (euphémisme !) C’est pourquoi, quant bien même les enfants en ont déjà vu d’autres avec Inter… « pas net », les éloigner de l’écran serait de bon ton, mon con).

Avant de vous raconter la suite « rocambolesque » de l’aventure… L’AVENTURE ! C’EST L’AVENTUUUURE ! … ELLE EST LÀ QUI T’ATTENDS ! PAS DE PITIÉ ! … IL EST TROP TAAAAAARD ! (Petit clin d’oeil à la chanson du film de Claude Lelouche : « L’aventure, c’est l’aventure »)… de l’aventure très « et pisser » et très « chocolatée » de monsieur Yvan de Lamayrdenbrenche, je pense qu’il est judicieux de préciser à « couac » le con… « Sultan » a échappé, pépé, de la part de l’entrepreneur :

En tant qu’indécrottable (en tout « caca », difficilement con… cernant le papa d’Haylkif après cette disgression, poil au fion) cinéphile, Tony Druent se souvint d’avoir vu un film où l’un des personnages (pas sage !) principaux était un tueur à gages. Il procédait froidement, violemment, « sang » aucune pitié. Il accomplissait des contrats d’assassinat et laissait sa(le) marque sur les cadavres pour signer ses crimes. Il estimait cette hypothèse aussi déconcertante qu’extra… vagante. Cela étant, il est vrai que dans les principaux pays producteurs de drogues, mon bouledogue, notamment en Colombie, bibi, au Mexique ou au Pérou, il est possible de mettre un con… trat sur la tête (« du haut ») de quelqu’un pour quelques dollars de plus ! (« Per qualche dollaro in più », de Sergio Leone). Dans l’affaire du con… « Sultan », évidemment, il ne s’agit(e) en aucun cas d’un gamin des quartiers (« de viande ! ») en mode Tony Montana, de chez Scarface, ma fesse, mais cependant il existe « bel et bien » des groupes, ex-militaires, poil au derrière, très bien entraînés, enculés, employés par des cartels pour « exécuter » des con… trats, papa, et des missions, poil au fion, toujours plus « con »plexes, Alex, et plus « sang »sibles ! Et ce sont des groupes… RESTEZ GROUPIIIIIIIIIIIIIR ! … des groupes extrêmement violents !, mes zenfants ; surtout quand « on » sai(gne) que les cartels colombiens (de chez « colombin ! ») ont envoyé leurs « meilleurs éléments » se (dé)former en Israël (mais pas chez Raël… Encore heureux !) avec le Mossad de chez « maussade » à la… ALLAAAAAAAAAAAAAAAH ! … à la fin des années quatre-vingt dix, Obélix. Autant (« maux »)dire « con » à pas à faire avec les Bisounours !, Nounours. (Fin de la parenthèse).

Bien entendu, les yeux bandés (A défaut d’autre chose ! Lol) étaient de rigueur pour Yvan de Lamayrdenbrenche, afin d’éviter, bien évidemment, tout enregistrement mémoriel (Litote) du trajet par le (no)futur du potentiel « endouché », pôv kéké. Bien que… QUEEEEEEEEUUUUUUUUUUUUUE ! … Véronique Tarass ne faisait pas partouz… euh… « party » (C’est pour bientôt !) du voyage, ce fut elle, au bras de son compagnon, Toni Druent, qui accueillit tout ce beau monde devant le hangar, « Gaz part ! » (Vous allez voir ! … Et surtout « sentir », cher lectorat « possédant » beau… « cul » d’imagina… »fion »). Véritable site en mode Underground de chez Factory, mon kiki, servant à l’instant T (« T » comme Trans… genre) à poursuivre la tournan… euh… le tournage de Dégustez la veuve Clito. Soudain, un chariot à roubignol… euh… à roulettes – du (sale) type véhiculant H24 dans les HP, à savoir, dans les Hôpitaux Publics, quoique (Pour ne pas dire : « couac queue »), « conte » tenu de ce qui va suivre, la dénomina… « fion » HP, Comme Hôpital Psychiatrique trique trique trique… correspondrait beau… « cul » mieux, mes aïeux – déboula tout à trac (Mais pas encore patraque !) dans la « sale », poil à l’anal. Dessus était posé tout un attirail (de chez « à tire Aïe ! ») d’objets plus hétéroclitori… euh, plus hétéroclites les uns QUEEEEEEEEEEEUUUUUUUUUUES ! les autres. Dans un premier temps, Yvan de Lamardenbrenche, alias le con… « Sultan », eut beaucoup de « mâles » (autour de lui) à définir quelles étaient leurs fonc… « fions », poil au troufi… « gnon », avant qu’il ne s’aperçoive qu’une PAL, qui, soit dit en (tré)passant, n’avait absolument rien à voir avec un magnetoscope en mode vhs pal secam, puisqu’il s’agissait ici de PAL Comme… Poire A Lavement, ainsi QUEEEEEEUUUUUUUUUUE ! divers articles (de la mort !), plus ou moins incongrus, en mode « un con crû », poil au c… FUCK ! hurla… intérieurement le pôv con… « Sultan ». Qu’est-ce qu’ils complotent ?! (Avant de se retrouver con… « peloté » à son tour).

« Voyez-vous, monsieur de Lamayrdenbrenche, certains visionnaires invoquent la « paire »… tinence de coupler… l'(E)sprit à la matière, poil au… euh, l’entre… « prise » TWM (The World is Mine) adhère, en « parties », à la célèbre citation : « Le XXIe siècle sera spirituel… ou pas », mais si vous me spermettez, euh, permettez, je rajouterais quelQUEEEEEEEEEEEEUUUUUUUUUUUE ! chose à cette devise, Denise. Car lorsqu’ « con » dit de relier l'(E)sprit à la matière, poil…, à aucun moment il n’est précisé de quelle sorte de matière il s’agit(e) » déclara d’une voix blanche l’entre… « preneur ». Et de rajouter d’un ton (c’est bon !) péremptoire : « eh bien, mes collaborateurs et moi-même détenons la « raie… ponce », Alphonse, il s’agit(e) bien entendu, comme vous ALLEEEEEEEEEEEEEEEZ ! … pouvoir le « con-s’tâter » par vous-même… de matière… FÉCAAAAAAAAAAAAAAAALE ! (Sans poils à l’anal). » A l’évidence, cette déclar… « à fion » avait comme un « parfum » (Lol) d’apostasie, mon kiki. A n’en pas douter, ce discours aussi bref QUEEEEEEEEUUUUUUUUUUUE ! con… cis, avait le mérite d’être aussi claire QEUUU… euh, que la cu… vette des chiottes après le démoulage d’un « cake » en mode diarrhée, enculé. Une introduc… « fion » très explicite, tête de bite. Mais c’est pas tout ! (… à l’égoût et au dégoût !). Deux autres personnes, d’un « très bon genre », vinrent positionner deux poufs (J’ai pas dis « pouffe » !) à quelle QUEEEEEEEEEUUUUUUUUUUUUUUES ! … Décidément… A quelques décimètres, juste devant le futur « maso » potence… euh, potentiel, Annabelle. La-dessus, deux serviettes recouvrirent complètement les deux pouffiass… euh, les deux poufs Grâce aux soins « délit… ca(ca) » des deux personnes en mode « pouffiasse », Stanislas. L’inté… « raie » suce… euh, suscité par l’appari… « fion » des deux domes(ass)tiques retomba lorsqQUEEEEEEEEEEUUUUUUUUUUE ! Véronique Tarass s’approcha à son tour d’Yvan de Lamayrdenbrenche, vieille branche, et, une fois face à lui, pivota sur ses talons aiguilles à 90 degrés, Barnabé, afin de « Lui » présenter son meilleur « profil », Odile. Puis, tout doucement, elles se baisa, euh, baissa pour venir toucher la pointe… de ses arpions, tartempion… du bout… de ses doigts délicats.

« Quelle souplesse ! … ma fesse », lança sa moitié d’enculé, Toni Druent. « Et t’as encore rien vu ! … mon trou du cul… QUEEEEEEEUUUUUUUUUUE ! … j’vais dévoiler tout de suite, en exclusivité, à l’autre empaffé »… répondit Véronique Tarass, en mode « raie-pondit ». Et, sans plus attendre, elle souleva sa robe et baisa… euh, baissa « zéphyriquement » son string à mi-cuisses, Ulysse. Nonobstant « la posture » dans laquelle il se trouvait, Yvan de Lamayrdenbrenche « put » (la transpira… « fion ! ») sentir le cul de sa geolière (Poil au derrière) à quelques… QUELLE QUEEEEEEEEUUUUUUUUE ! … centimètres de son tarin, Saturnin. « Sentir » rele… « vent » du doux euphémisme lorsque madame Tarass lâcha une perlouze monumentale de chez anal, la chacal(e). Ce qui ne manqua pas de faire sursauter le canidé Feukmi dans un couinement perçant, mes zenfants. Cette improvisa… « fion » impromp… « cul » déclenchèrent quelQUEEEE… euh… les applaudissement en présentiel, Annabelle, qui résonnèrent dans le hangar de chez hagard, Gaspard. C’est clair que « la con… fidence » avait un « parfum » très net d’apostasie, mon kiki, « vis-à-vi(ce) » des « bonnes meurs ». Mais « le spectacle » ne faisait QUEEEEEEEUUUUUUUUE ! commencer, Jean-René. En « et fée », quant la péto… « man » de chez pétogirl s’agenouilla sur les deux poufs, toute cambrure offerte, le con… « Sultan » put (du croupion !) consulter, pour ne pas dire « sonder »… l’origine du monde, Edmonde, en mode dindon… de « la farce », Horace… Et en trois dimen… « FIOOONNNNNNN ! » en plus… Poil à l’anus. Sans aucun doute, étant donné sa posi… « fion » d’observateur au « sévice(s) » de la dame, avec tout l’matoss à proximité, il n’y avait pas besoin de s’appeler « Super-con-sultator » pour avoir une petite idée de la suite des événements, maman. Une grande rallonge sortait d’une installa… « fion » électrique trique trique trique… si tuer… euh, située à quelques encul… euh, encablures , con… tiguë à un PAN ! … de paroi (de chez « pas roi ») de ce hangar délabré, Barnabé. Dans sa nervosité, Yvan de Lamayrdenbrenche n’avait pas tout de suite remarqué ce canapé beige défoncé de chez défoncé, ainsi qu’un fauteuil assorti, pour ne pas dire « à sortir », dont les coussins étaient parsemés de tâches d’un (dé)goût on n’peut plus… ON N’EN PEUT PLUUUUUUUUUUUUUUUS ! … douteux (Si vous voyez c’QUEEEEEEEEEEEEEUE ! j’veux dire.), et en désordre. Visiblement, si Haylkif de Lamayrdenbrenche s’était transformée en chair à patée, en revanche, l’arrière (boute-en) train QUEEEEEEEEUUUUUUUUUUUUE ! lui présentait Véronique Tarass à l’instant « T » (« T » comme T’es-bonne !), figu… « raie » davantage sur un autre registre : celui de « la chair appâtée »… « l’enculée » !

« Monsieur Yvan de Lamayrdenbrenche, vous allez… ALLEEEEEEEEEEEEEEZ ! bientôt avoir l’immense plaisir de re… « sentir » une sensa… « fion » de (dé)plaisir on n’peut plus… ON N’EN PEUT PLUUUUUUUUUUUUUS ! … euh, comment dirais-je… On n’peut plus « EXPLOSIVE » ! … car vous allez con… « s’tâter » par vous-même QUEEEEEEEEUUUUUUUUE ! j’ai à mes côtés (pervers) une excellente auxilliaire (Sans poil au derrière)… Et vous ALLEEEEEEEEEEEEZ ! incessamment sous peu chantonner ce refrain, Saturnin : Véronique nique nique nique… « possède » un tempérament volcanique nique nique nique… »

Et sans plus attendre, les deux « bonnes » (Dans tous les sens… du terme) ayant apportées les deux poufs (en plus des deux pouffia…) vinrent re… « tirer » la PAL du plateau (pas encore télévisé) à roulettes, Bernadette, puis s’approchèrent de l’imposant fondement à la cambrure on n’peut plus… ON N’EN PEUT PLUUUUUUUUUS ! … sou… tenue de Véronique Tarass… Poil à la CHIAAAAASSSSSSSSSSSSE ! Puis l’une des deux donzelles sortit, comme par (dés)enchantement, de l’un de ses endroits les plus intimes de son anatomie, un (z)ob… jet qui aurait PUUUUUUUUUUU ! … du CUUUUUUUUUL ! … servir de sextoy, ma goye. Mais qui n’en était pas un, Satur… « main ». Le con… « Sultan » devina instantanément de « COUAAAAAAAAAAC ! » il s’agitai… euh, s’agissait, le dadais. En « et fée », cette « infirmière de sévices(s) » tenait entre ses deux doigts de fée (Surnommée la fée Lassion par ses partenaires, poil au…) un petit tube rigide « con » introduit habituellement dans une cavité du corps par voie… CASSER LA VOIIIIIIIIIE ! … naturelle ou artificielle, Annabelle, de façon à assurer une « commu-nique-à-fion » facile, Odile, entre l’extérieur et cette cavité, « enculée », à y introduire un liquide ou à drainer des liquides pathologiques hic hic hic… qu’elle con… tient… VOILA DU « BOUDIN » ! En d’autres termes, n’ayons pas peur des « maux », cet objet était tout bonne… « ment » une canule PAL en mode EAL (Encule A Lavement), mes zenfants.

« Voyez-vous, monsieur de Lamayrdenbrenche, ma compagne-assistante de chez « insistante » en actriX, souffre de phobi(te) higié… « nique » nique nique nique… D’autant plus QUEEEEEEUUUUUUUUUUUUE ! depuis quelle a… ELLA, ELLE L’AAAAAAAA ! … HOU ! HOU ! HOUHOU HOU ! HOUHOU… accepté de se faire réaléser la turbine à boyaux, en mode tur… « pine » dans son dos, « posséder » la vulve et la valve à moka aussi nikel de chez « nique… elle », sont l’une des condi… « fions pro-pisse » à une « autant-trique » scène de sodomie, mon kiki, déclara Toni Druent sur un ton (C’est bon !) ne tolérant aucu(l)ne réplique hic hic hic… Et de beugler de concert toute l’assistance : UN COUP DANS L’CHAT ! UN COUP DANS L’POT ! … ET UN COUP DANS L’CHAPEAUUUUUUUU ! »

Si la défini… « fion » d’un fou, c’est quelqu’un qui a tout perdu… sauf la raison, alors, à l’instant « T » (« T » comme « Très pané »), le con… « Sultan » Yvan de Lamardenbrenche avait, en revanche, la sensa… « fion » d’avoir aussi « égarée » toute velléité de raisonnabilité, l’enculé. N’ayant pas remarqué le jerrycan posé à côté de lui, il con… « pris » seulement son utilité lorsQUEEEEEEUUUUUUUUUUUUUE ! une des fiottes de chez tafiolle vint « sang » emparer pour le déposer juste sous l’derche de Véronique Tarass, Stanislas. Visiblement, cela avait l’air plutôt lourd, Abdelghafour (où j’pense !), compte tenu de l’effort fourni pour le soulever de terre, poil au derriè… Ensuite, ‘l’auxiliaire » introduisit la canule dans un tube caoutchouté QUEEEEEEUUUUUUUUUUE ! le con… « Sultan » évalua à environ 69 « sang-t’y-mettre » (Essuyez vos moustaches !), et ce, avec une dextérité de chez Dexter « sang » faille, ma canaille.

« En tant que végétarienne attitrée autant « qu’à tirer », je ne mange pas de viande, monsieur de Lamayrdenbrenche, sauf bien entendu, celle « con » me propose pendant un tournage, poil au fromage, à savoir une bonne teub à machouiller en mode bâton de réglisse, Ulysse. Aujourd’hui je m’en suis tenue à une collation rudimentaire, poil au derrière, en mode frugal de chez spartiate… en attendant Sparta… « cul » ! … argumenta Véronique Tarass. Et vous ALLEEEEEEEEEEEEEZ ! vite (vous faire) avoir un p’tit aperçu de ce qui me reste après digest… « fion », mon con. Autrement (maux)dit, d’un simple tour de « passe… passe » (d’une extrémité à « l’autre »… abruti), le qualificatif « collation » va vivement modifier son orthographe en… COLLE-À-FIONNNNN ! (Sans poil au troufignon)… Ainsi QUEEEEEEUUUUUUUUUE ! tout ce qui « sent… (es)suie », mon kiki.

« Peut-être serait-il temps d’arrêter… ARRÊTEEEEEEEEEEEEEEEZ ! … toute cette mascarade, Sheherazade, supplia le pôv con… « Sultan », en tentant tant bien que « mâle » de préserver un (très relatif) ton monocorde sans trop d’émotions, poil au f…

__ De par votre statut de con… seiller, QUEEEEEUUUUUUUUUUE ! pensez-vous des films de c… euh, « de charme » Asia… TRIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIQUE ?! monsieur de Lamayrdenbrenche.

__ Qu’est c’QUEEEEEEEEEEEEUUUUUUUUUE ! vous entendez par là ? »

Au même moment, l’une des deux pouffia… euh, assistantes de « sévices », sortit de son soutif un p’tit tube de pommade de chez vaseline, tête de pine. Après avoir dévissé le bouchon, de son air le plus espiègle, léchan… euh, laissant présager QUEEEEEEUUUUUUUUE ! la suite n’allait pas être triste, Jean-Baptiste, elle déposa une perle (À ne pas confondre avec perlouze !) en mode noisette (A ne pas confondre ave testicule !) sur le bout de… son majeur en mode « enculeur », puis le porta, dans un premier temps à l’embout de la « canencule » afin d’y appliquer délicatement la crème lénifiante, pour ensuite, en second « lieu », doigter, tant amoureusement QUEEEEEUUUUUUUUUUUUE ! professio… « analement », l’oeillet brun de l’orifice accédant à la boîte à caca (Toujours bien cambrée !) de Véronique Tarass, Stanislas.

« Par là j’entends rien du tout, monsieur Tamaire… Par contre (l’arrière-train de Véronique Tarass « sifflera » plus de trois fois !), vous, vous ALLEEEEEEEEEEZ ! plus qu’entendre dans quel… QUEEEEEEUUUUUUUUUUUUES ! instants… Et vous ALLEEEEEEEEZ ! le « sentir » passer, encuLÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉ ! … Mais pour en revenir sur la « téma-trique » du 7è art en mode 7è « lard » du cinéma Asia… TRIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIQUE ! … je voulais parler, plus précisément, des Japonai… ses qui se débrouillent (et se dérouillent !) pas mal, et sont bien loin d’être des « no vices », Alice, ci vous voyez c’QUEEEEEEEEEUUUUUE ! j’veux dire.

__ Mais encore ? … Hector.

__ Quant bien même la législa… « fion » nipone censure, tant hypocritement QUEEEEEEUUUUUUUUUUE ! sournoisement les « parties stratégiques » hic hic hic… à l’aide… A L’AIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIDE ! de pixelisa… « fion » mosaïquée, enculé, il n’en reste pas moins qu’en version 4K de chez « KK », j’peux vous dire QUEEEEEEEUUUUUUUUUUE ! même pixelisé, il y a vraiment de « couac » se choper une « jaunisse des bridés » en la « matière » (Merde au derrière !) Une certaine inova… « fion » pour le cinoche, Totoche. J’ajouterai qu’un bon con… sultant se doi… gte l’Ego de « posséder » et « d’élargir », tant sa cul… ture générale, poil au rectal, QUEEEEUUUUUUUUUE SON CUUUUUUUUUL ! … du « poing » d’vue d’la médecine, tête de pine.

__ En d’autres « maux » ? … mon toto.

__ Un peu de respect (de chez « reste pet » ! d’ici peu), je vous prie. Vous avez… AVÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉ ! … sans doute entendu parler de la Klysmaphilie, ou Clito… euh, Clystérophilie… Non ?

__ Cela vous dérangerez beaucu… euh, beaucoup de parler clairement ?

__ C’est une sexualité… euh… n’ayons pas peur des « maux »… Une sexualité « traits chocolatés », en mode « Nesquik » couic couic couic… Une version de chié… euh, de chez « vers fion » très particulière (Sans poil au derrière) de par… VENIIIIIIIIIIIIIR ! … au climax, Max… LA MENACE !

Ce faisant, l’embout de la canicule se mit en mode « encule », une fois introduit dans « le judas de fonc… fion », (Sans poils aux rognons !) « L’opére-à-fion-vidange-ta-truie » allait… ALLEEEEEEEEEEZ ! … bientôt commencer, « enculée ». Ce fut l’entre… « preneur » Toni Druent qui « prit en main » le déroulement des opéra… « fions » (Sans poils au troufignon !), en appuyant sur la poire à « lavement » prévu à cet « et fée »… En l’occurence, un système astucieux incorporé à même… AMEEEEEEEEEEN ! le jerrycan, ma canne. Visiblement, et surtout, manifestement, la première press… « fion » amorcée par l’entre… preneur sur la « bonne poire »… à lavement, ne fut pas pour déplaire à la… ALLAAAAAAAAAAAH ! … à « la cambrée » de chez « enculée »… HUUUUUE ! CUL… LÉLÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉ ! … Preuve à l’appui… des paumes posées bien à plat sur chaque côté des pouf… (chiasse !), dont les doigts se ressérèrent un peu plus… (Sans poils à l’anus !)

« Je sens (la merde qui ne va pas tarder à sortir !) QUEEEEEUUUUUUUUUUUE ! … tu vas vraiment appré… « chier » cette bonne… T’ES BOOOOOOOONNNNNNNNNNE ! … vidange, mon ange » déclara Toni Druent à l’atten… « fion » de Véronique Tarass.

__ Oh ! OUIIIIIIIIIIIIIIIII ! lacha cette dernière (Toujours sans poils au derrière). »

La seconde press… « fion » arracha… littéra… « analement » à la… ALLAAAAAAAAAAH ! … « perforée » une plainte pour laquelle (en mode « pour la queue ») on aurait pu… du CUUUUUUUUUUUUL ! … savoir si c’était de douleur ou de plaisir, Nadir. Et ce ne fut (En attendant QUEEEEEEUUUUUUUUUUE ! … ça « fuse » de tout côté !) qu’ALLAAAAAAAAAAAH ! … troisième « prêt-fion » QUEEEEEUUUUUUUUUUUE ! … la vidangée, encore potentielle il y a quelQUEEEEEEEUUUUUUUUES ! … il y a quelques instants, miaula de bonheur, le p’tit coeur.

«  »Alooors ! … monsieur de Lamayrdenbrenche, cela vous dirait d’actionner la poire ? … ma bonne poire ! … Je vous lèch… euh, je vous laisse le choix d’inter… « pénétrer » mes trois derniers mots, mon toto. »

Le con… « Sultan » connaissait bien sûr l’expre… « fion » « douche écossaise », Gervaise, mais, à n’en plus douter, il se préparait depuis un p’tit moment mentalement à ce QUEEEEEEEEEUUUUUUUUUUE ! … allait… ALLÉÉÉÉÉÉÉÉÉ ! … LUIIIIIAAAAAAAAAA ! … Ce qu’allait être la douche « tarrassienne », ma chienne… de chez Véronique nique nique nique…

« Ton premier vrai rôle va véritabl… « analement » déchirer grave sa race, Véro… Ça va mitrailler sec et écla… « bouser » menu aux entournures ! … pour cette ordure. »

Après plusieurs press… « fion », les entrailles de « selle » qui allait… ALLEEEEEEEEEEEEZ ! … qui allait se vidanger en mode « chute du Niagara » à donf de « chié-fion »… en plein sur la face de tête à claques du con… « Sultan », entamèrent leurs gargouillantes comptines, tête de pine. Nul doute QUEEEEEEEUUUUUUUUUUUE ! … Véronique Ta… « chiasse » avait beaucoup plus QUEEEEEEEUUUUUUUUUUE ! … beaucoup plus qu’une simple « taupe au guichet », l’enculée.

« J’me sens (… dans peu d’temps l’excrément !) sur le point d’expulser… TONIIIIIIIIIIIIII ! … PROUUUUUUUUUUUUUT ! … PET ! PET ! PET ! … HOURRAAAAAAAAH ! … PSCHIIIIIIIIIIT ! … LAAAAAAAAAAARGH ! … »

En pleine tronche du con… « Sultan » mes zenfants. Le Nesquik couic couic couic… made in Véronique Tarass, en mode « ta chiasse » ! … Ah ! l’pôv Yvan de Lamayrdenbrenche, « on » peut dire qu’il a bien été dou… « chié », l’enculé, et qu’il…

« ATTENDEZ ! C’EST PAS FINIIIIIIIIIIIII ! … PFIIIIIIIIIIIII… PROUÂÂÂÂÂÂÂÂ… SPLASHHHHHH ! »

La seconde couche n’avait rien à envier à la… ALLAAAAAAAAAAAAH ! … à la première (Toujours sans poils au derrière… de Véro, mes cocos).

« On peut aisément parier QUEEEEEUUUUUUUUUUE ! … le plus gros d’la troupe ne va pas tarder à débarquer ! » lança un Toni Druent aussi enthousiaste qu’un entre… « preneur ».

« On » connaissait les cu… res de thalassothérapie en mode « bain de boue », désormais, Yvan de Lamayrdenbrenche pouvait avoir un avant (dé)goût de ce QUEEEEEUUUUUUUUE ! … signifiait une p’tite cu… re de « Tarassothérapie » pipi… pas piquée des vers… tout droit sortis de la ca-analisa… « fion » de la turbine à boyaux de « chié » Véronique nique nique nique… dont l’arôme velouté n’était pas sans rappeler, non pas la douce senteur de la moka, mais plutôt « selle » de… la boîte à caca, papa ; et ce « fuse » un véritable… « plan foireux ! » Le con… « Sultan » pût (grave la merde !) sentir (le « maux » est faible !) la puanteur « gras » insoutenable des émissions sulfureuses des intestins relâchés de Véronique Tarass… « SA(LE) » FAIT CHIER ! …

« Tu vois, et surtout tu sens, mon chéri… A force de faire chier mon keum grave sa race, c’est à mon tour à présent de « t’emmerder » ! … Mais chuis sûre QUEEEEEEEUUUUUUUUE ! … que tu vas très bientôt y prendre « des goûts » en mode scato… « logique », non ? » Véronique Tarass eut à peine terminé sa phrase, qu’une nouvelle marée déferlante, à la vitesse de « selle » se produisant au Mont-Saint-Michel, sortit de son cul turlututu… Une marée, non pas noire mais plutôt couleur « marais », vint asperger copieusement ce pôv con… « Sultan », mes zenfants, déjà pas « mâle » embousé ÇA T’FAIS « MARÉÉÉÉÉE » ?! … ENCULÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉ ! »

« He ben, c’est ce qui s’appelle : « Mettre son nez dans la merde des autres ! », en mode « dégoût et des couleurs ! » Tu vois, Véro, à force de fouiller la merde, non seulement son tarbouif est tout sale, et en plus, poil à l’anus, ce con va se retrouver avec une tronche de suppositoire, la pôv poire ; et à propos de poire, il n’a même pas « besoin(s) » d’appuyer sur la poire… d’achoppement QUEEEEEEEUUUUUUUUUUUUUE ! … que tu lui envoies des manifesta… « fion » de toute ta gratitude de « chié gras-attitude », Gertrude, renchérit Toni Druent. »

« Et si ça continue comme « sa(le) », il va bientôt se retrouver dans la merde jusqu’au cou… illes, cette andouille, avant de se retrouver face au « Grand Barbu » pour « le dépôt d’bilan », Rantanplan », rajouta pour (le) finir Véronique Tarass.

Arrivé à ce stade de l’opéra… « fion », cela relevait du pur(hein ?!) euphémisme de (maux)dire QUEEEEEEUUUUUUUUUE ! même si un hangar est spacieux, l’odeur personnalisée « propre » aux entrailles de Véronique Tarass commençait sérieusement à envahir… les narines en présentielle, Annabelle… Et pas qu’un peu mes « AÏE ! … euh ». On put (grave du cul !) sentir la puanteur « gras » insoutenable des émissions sulfureuses des intestins relâchés… « SALE FAIT CHIER ! »… Quant au con… « Sultan », à défaut de faire « grise mine », Yvan de Lamayrdenbrenche arborait de plus en plus une présenta… « fion » en mode marron-clair… Poil au derriè… Les jets se multiplièrent à une (dé)cadence plus soutenue (Toujours sans poils au cul !) turlututu, cette (crise de…) « foie »-ci… en mode « 7 fois… chie », pour bibi. Ne tournons pas « autour du pot », « les merdes s’enchaînaient les unes après les autres ! » (c’est le caca de l’dire !)… « Sa(le) » n’arrêtait pas ! … Une véritable cascade intempestive de chié… euh… de chez « un thon pète Steeve » sortait de toute la tuyauterie, en mode « turbine à boyaux », de Véronique « Tachiasse », toujours en posi… « fion » levrettée, « l’enculée »… par le tuyau, en mode conduit d’aéra… « fion ». Manifestement, toute cette (« sale ») équipe « possédait » un haut potentiel en « la matière », poil au d…, et visiblement elle avait grave tendance à « gras » recourir à une imagerie scatolog… « geek » et à des explétifs pour le moins expéditifs on n’peut plus… ON N’EN PEUT PLUUUUUUUUUUUUUUS ! …, on ne peut plus douteux pour aborder… À L’ABORDAAAAAAAAAAGE ! …, pour aborder « le sujet ».

« FOUTRE PINE ! … Y a même pu (la merde ve-gra !) « besoin » (MDR !) de presser la poire… Williams ! … Véro se vide toute seule, ma gueule… d’amour, lança à la… ALLAAAAAAAAAAAAH ! … volée (Mais pas violée !) l’entre… « preneur », qui réussissait mani »fesse »tement tout ce qu’il entreprenait.

__ Tu m’étonnes ! John, bredouilla d’une voix fluette la diarrhétique tic tic tic… de « chié » diathermique mic mic mic…

__ Encore heureux « con » a installé une « bâche pour ses maux » pour accueillir tes fluides corporels, Annabelle, aux couleurs de vieux cuivre sale, ma « chié-rit » !

__ HI ! HI ! HI ! HI !

__ T’assures grave ma choup… « pète »… HA ! HA ! HA ! HA ! … Chuis sûr QUEEEEEEUUUUUUUUUUE ! … t’as jamais connu « Ça » de ta putain d’vie ! Et QUEEEEEEEEEUUUUUUUUUUUE ! … tu t’es jamais sentie (LA TRUIE ÉVISCÉRÉE !) aussi légère (Toujours sans poils au derrière) WOUARF ! WOUARF ! WOUARF !

__ HIIIIIIIIIIIIIIII ! HI ! HI ! HI ! HI ! … poursuivit Véronique Tarass de son rire le plus hystérique en mode « hyènique » nique nique nique… retenti… « chiant », dans tout le hangar, Babar.

Si ce pôv Yvan de Lamayrdenbrenche ne connaissait pas la défini »fion » de l’encoprésie (quel joli « maux » scientifique hic hic hic…, aseptisé, inodore, du moins en théorie !), « grasse » à Véronique Tarass il put (« gras » du cul !) en avoir la « percutante » démonstra »fion », ce con ; il baignait littéralement dans les macéra »fions) de la compagne de Toni Druent, et il était « gras » souillé par l’odeur à tomber par terre !, (sans) poils au sphincter.

À l’instant « T » (« T » comme Tansgre… « fion »), elle haletait, la prati… « chienne ».

« VÉRONIQUE TARASS, PRÉSIDENTE DE LA… RAIE PUBLIIIIIIIIIIIIIIQUE ! HIC ! HIC ! HIC ! … gueula un Toni Druent aussi fier QUEEEEEEEUUUUUUUUUUUE ! … s’il lavait le cul de la princesse, son Al… « fesse ».

__ Et une p’tite douche dorée en « suce » pour ce monsieur, rajouta-t-elle tout en tournant la tête vers « l’embousé », accompagnée d’un p’tit sourire matois. »

Sur ces « entre-fêtes » de chez « entre-fesses », notre charmante Ondine entreprit sa non moins charmante pissette, toujours dans sa(le) posi… »fion » levrettée, l’enculée (potentielle), en direc… « fion » du visage, désormais on n’peut plus… ON N’EN PEUT PLUUUUUUUUUUUUUS ! … on n’peut plus moucheté des reste qu’avait… AVÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉ ! con… sommé Véronique Ta… « chiasse », la veille au soir.

« Un p’tit débarbouillage en perspective pour ce monsieur peut-être ? ricana Toni Druent.

__ HEY ! les deux brindzingues de « chié » azimutés, vous trouvez pas QUEEEEEUUUUUUUUE ! … que vous ALLEEEEEEEEEEEEEZ ! … un peu trop loin coin coin coin ?! supplia Yvan de Lamayrdenbrenche… Et qu’il serait p’t’être temps d’arrêter… ENCULÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉS !

__ Mazette ! C’est sûr QUEEEEEEEUUUUUUUUUUUE ! … que si tu nous parles comme  » « Ça », tu n’vas certainement pas échapper au dégueuli, mon kiki, en mode vomitif tif tif tif… « con » va administrer à ma dulcinée, poil au néné, rétor… « caca » l’entrepreneur. J’ajoute QUEEEEEEUUUUUUUUUUE ! … vous avez… AVÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉ ! déjà pu… DU CUUUUUUUUUUUUUL ! … Vous avez déjà pu apprécier, en mode « après chié », les com… « pétances » de ma partenaire, poil au derrière. En l’occurence, deux de ses orifices (Non sans vices !) ayant déjà fait leurs preuves avec « beau cul » de »fluidité », si j’ose (maux)dire. Ce faisant, vous vous doutez bien QUEEEEEEEUUUUUUUUUUE ! … que nous n’allons pas en rester « las », papa. Par conséquent, à défaut du troisième oeil, c’est donc le troisième orifice de ma p’tite « chié… rie », qui ne demande qu’à être expectoré via sa bouche, ma Nitouche. C’était aussi clair QUEEEEEUUUUUUUUUUUUE ! … l’eau du Gange QUEEEEEEEUUUUUUUUUUUUUE ! les exhalaisons de chez fion de Véronique Tarass, parfumées en mode « fleur d’anus » de « chié » Jean Boucane, devaient même commen… « chier » à envahir l’extérieur du hangar, Babar, et qu’il serait peut-être temps de stopper tout ce Gloubi-boulga, papa… Autrement tous les gorets et autres mouches à merde du coin ne vont pas tarder à « rats »ppliquer, enculés.

« STOOOOOP ! On arrête tout (c’bordel !), les aminches, éructa de sa voix… CASSEEER LA VOIX ! … de sa voix puissante et autoritaire, Toni Druent qui, « pour le coup », avait… AVÉÉÉÉÉÉÉÉÉ ! … réellement réendosser son aura (ta peau !) d’entrepreneur.

__ Ben FUCK ! alors… J’lui vomis pas dans la bouche comme c’était prévu, mon « chié-ris » ? Moi qui voulais faire comme les Japonaises QUEEEEEUUUUUUUUUE ! … j’ai vu à l’oeuvre dans certains films Nippon en mode « sans nippes », beugla Véronique Tarass toujours à quatre pattes, le derche toujours pointé en direct… « fion » de ce pôv con… « Sultan », dont l’aura (ta peau dans son sens le plus littéral !) d’arrogance, Hortense, qu’il véhi(en)culait lorsqu’il faisait « chier » sans aucun scrupule l’entrepreneur, n’était plus qu’un vague souvenir, Mounir. Et au vu (et surtout à l’odeur !) de « les tas » dans lequel se trouvait à l’instant « T » (« T » comme Trash !) Yvan de Lamayrdenbrenche, il riquait fort d’être envoyé ad patrès pour l’éternité… pour cause d’asphyxie, mon kiki. Les émana… « fion » de gaz envahissait toute l’atmosphère… ATMOSPHÈRE ! ATMOSPHÈRE ! … Bonjour la couche d’ozone ! Y a pas QUEEEEEEUUUUUUUUUUE ! … les vaches de « chié » prairie qui sont responsables de l’élargissement de la… DE LA DE LAAAAA ! HOU HOUHOU ! HOU HOUHOU ! … de la percée de la couche d’ozone, Simone, l’indéniable « raie »sponsabilité ir »raie »futable de Véronique Tarass étant à prendre également en con… sidéra… « fion » dans l’équa… « fion », poil au nichon. Juste avant de perdre connaissance, Yvan de Lamayrdenbrenche sentit l’odeur écoeurante des gaz (part !) de Véronique Tarass lui emplir les narines, tête de pine.

Lorsque Yvan de Lamayrdenbrenche se réveilla par palliers successifs à l’hôpital Pourpouavreau, il ne savait plus très bien où il en était… Il se demandait bien qu’est-ce qu’il foutait « las » ! Il commença seulement à réaliser qu’il sortait d’un coma profond lorsqu’il vit arriver en grande pompe tout le personnel soignant au pied de son lit… d’hôpital, poil au rectal, qui, paradoxalement, était bien plus con… fortable que chez lui cui cui cui…

« Bonjour monsieur.

__ Bonjour, bredouilla d’une voix à peine audible « le malade ».

__ Comment vous sentez-vous ?

__ Plutôt bien… Malgré les circonstances.

__ Savez-vous pourquoi vous êtes « las » ? monsieur.

__ Bin y semblerait que j’ai été victime d’un p’tit malaise, non ?

__ C’est le moins « con » puisse dire. Avez-vous coutume de prendre certains médicaments ?

__ Non. Pourquoi ?

__ Ou pour le dire autrement, certains « produits » de type festif ?

__ Qu’est-ce que vous entendez par là ?

__ Oh « par là », comme vous dites, j’entends rien du tout, simplement nous avons trouvé dans vos analyses des traces (de pneu !) d’une substance « con » pourrait qualifier un tantinet dangereuse, en sus d’être illicite.

__ Mais encore…

__ GHB, ça vous parle ?

__ La drogue du violeur ?! … Me dites pas QUEEEEEEEUUUUUUUUUE ! FUCK ! V’là que « Ça » m’reprends ! … que j’ai été violé en plus ! Poil à l’anus.

__ Non non, je vous rassure tout d’suite. En revanche, notre laborantine à détecté un taux élevé non négligeable d’acide 4-hydroxybutanoïque hic hic hic… dans votre sang et vos urines, tête de pine.

__ Docteur, de toute ma putain d’vie je n’ai eu recours à quelque produit que ce « Soi »… Même quand tout allait « mâle »… Même pas un rail de « coco » de temps à autre !

__ Nous ne sommes pas habilités à jouer les inspecteurs, monsieur, mais vous souvenez-vous de la ou des dernières personnes avec qui vous étiez, avant votre perte de connaissance ?

Brusquement, une peur soudaine et irraisonnée saisit tout le corps du « malade », quelques bribes de souvenirs lui revinrent en mémoire, Charles-Édouard… QuelQUEEEEEUUUUUUUUUUUE ! … quelques senteurs nauséabondes inscrites en lui lui firent « et mettre » un semblant de geignement en mode « haut de coeur »… Puis subitement tout fut clair, poil au derrière… L’entrepreneur et toute sa(le) clique-CLAQUE ! … n’y avaient… AVÉÉÉÉÉÉÉÉÉ ! pas été de main morte, les cloportes. Il devait très certainement y avoir un lien de parenté avec La Famille Addams, où plutôt avec celle figurant dans The Texas Chainsaw Massacre, pour avoir agi comme ils l’ont fait, les enculés. Comme « couac », tous les fous ne résident pas forcément à l’hôpital Esquirol ou à Sainte-Anne, madame. Deliverance, le film de John Boorman, « collait » presqu’autant QUEEEEUUUUUUUUE ! … que les fluides et autres (mauvaises) humeurs diverses et variés de « chié » AAAAAAAAAAAAH ! … varié, reçus en pleine poire de ce pôv con… « Sultan », mes zenfants. Ou pour le (maux)dire autrement, l’humilia… « fion » su… « bite » par l’un des protagonistes du film, en mode : « FAIS L’COCHON ! », con… cernant Yvan de Lamayrdenbrenche, était à peu près similaire, poil au d… Et les dommages… DOMMAAAAAAAAAAGE ! … psychique hic hic hic… à l’avenant, maman. « Couac » qu’il en soit, quel réconfort, tout d’même, de s’être sorti de ce « merdier » de « chié »… « raie con fort » ! songea cet hospitalisé, Alyzée. Mais ne nous « raie jouissons » pas trop vite, tête de bite ! Mais bon, à l’instant T (« T » comme Thé), le « pauvre homme » ne put (plus la chiasse !) que savourer son p’tit thé (… dans la merde à nouveau mon toto !), autant QUEEEEEUUUUUUUUUE ! … autant que la jolie infirmière, poil au d… aussi blonde QUEEEEEEUUUUUUUUE ! … plantureuse, la gueuse. Et puis, il était dans « de beaux draps », papa raplapla. « Le malade » sentait (la fiente de « pigeon » !) monter en lui une sourde inquiétude, Gertrude. Ce qu’il avait… AVÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉ ! … enduré, le vomi… euh… le rendait vraiment malade, et il n’osait pas tout dire, Nadir… bebek ! … Au bord de la… DE LA DE LAAAAAAA ! HOU HOUHOU ! HOU HOUHOU ! … de la nausée, il comprenait que quelqu’un devrait bien aller… ALLEEEEEEEEEEZ ! … aller le déclarer à la… ALLAAAAAAAAAAH ! … à la police (Pleine de vices !) C’était le genre d’informa… « fion » qui ne pouvait qu’intéresser les keufs keuf ! keuf ! keuf ! toussa-t-il au même moment. Surtout « con » était pas loin d’une enquê… « quette » criminelle, Annabelle. De nouveau au bord de la… DE LA DE LAAAAAAAAA ! (Bon bin vous connaissez la chanson à présent !) de la nausée, Yvan de Lamayrdenbrenche ressentait comme un dégueuli intérieur sous-jacent lui inondant les entrailles, ma canaille, du cerveau, mon toto… Mais surtout de son Âme, madame… La MORT ! Une sorte d’émotion (Si tant est que ce con… « Sultan » puisse en éprouver, l’enculé !) lui « indiquant » en quelque sorte que tout ce qu’il avait vé… « cul » ces dernières heures n’étaient tout simplement qu’une allé… ALLEEEEEEEEEZ ! … qu’une allégorie de sa saleté intérieure, et rien de plus ! … Poil à « l’anus ». Et une « foi » de plus, les faits de « chié fée », que pour avoir un bref aperçu de la… DE LA DE LAAAAAAAAA ! etc. de la réalité, il suffit… IL SUFFIIIIIIIIT ! … Il suffit de prendre… le contre-pied de ce « con » nous impose, Zardoz. Car de prime abord « on » pourrait penser que la fonction de con… sultant soit beaucoup plus louable que « selle » d’un magnat en mode maniaque du porno, les cocos, qui plus est un tantinet mafieux sur les bords, Hector… Alors qu’il n’en est rien, poil au chien… GALEUX ! L’entrepreneur « valant » très certainement beaucoup mieux que lui cui cui cui… Et dans tout les domaines, Germaine. Toni Druent « pèse » beaucoup plus dans l’jeu, tête de noeud, de la… MORT ! Hector. Et la suite de, ou plutôt, « des » histoires allait… ALLEEEEEEEEZ ! en ce sens (« dessus »… « dessous » !), Hortense. À l’é… ALLEEEEEEEEZ ! … À l’évidence, quitte (ou double !) à donner dans l’Trash le plus déviant en mode « des viandes », l’entrepreneur ne fait jamais les choses à moitié yé yé yé… Ce faisant, tel QUEEEEEUUUUUUE ! … Tel que c’était parti mon kiki, Yvan de Lamayrdenbrenche n’AVÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉ ! … n’avait pas fini à ce « con » lui mène… AMEEEEEEEN ! … la vie dure, l’ordure. Aussi dure QUEUUUUUUE ! … que la bite qui allait… ALLEEEEEEEEEZ ! … qui allait le ken grave sa race, Horace.

De part son pragmatisme, un entrepreneur ne décèd… euh… ne décèle pas toujours du premier coup… d’oeil, « le réel » potentiel irrationnellement maléfique hic hic hic… d’un être (in)humain, Saturnin, ainsi que toutes ses capacités de « destructions massives » à tromper son prochain… blaireau de chez boloss. Toni Druent pensait que son con… « Sultan » avait été « recadré » de manière définitive… C’était bien « mâle » connaître les sombres pouvoirs de chez « magie noire », en mode « occulte », Belzé… « bute » ! Car en réalité, cet entre… « preneur » en savait beau… « cul » plus sur les pouvoirs « aux culs ! » QUEEEEEEEUUUUUUUUUUE ! … que les pouvoirs occultes. Il ne tarda pas, « d’ailleurs », à recevoir la con… firmation de son « four »… voiement, Rantanplan, lorsqu’il reçut ce courriel simple et con… cis, mon kiki :

Savez-vous que nous « possédons » toutes et tous un sosie sur cette putain d’planète ? … Yvan de Lamayrdenbrenche « né » pas le con… « Sultan » !

Au même moment le mobile de l’entrepreneur se mit à sonner.

« Oui.

__ Bonjour monsieur Druent. »

Bien que (co)rompu aux rudes épreuves qu’il avait… AVÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉ ! … qu’il avait traversé dans sa(le) vi(le), Toni Druent ne put (jamais du cul !) retenir un léger trssaillement en reconnaissant d’emblée la voix… CASSER LA « VOIE » ! … la voix d’Yvan de Lamayrdenbrenche.

« Vous vous êtes défoulé sur un pôv mariolle totalement inoffensif.

__ Poil au calcif !

__ Vous ne me croyez pas ? Vous avez… AVÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉ ! … Vous avez tort Hector. Je vous rappele que celui qui combat par l’épée…

__ … périra par l’épée. Merci bien, j’connais la chanson mon con. »

D’un naturel habituellement courtois, pour le coup… « de massue », Toni Druent raccrocha ipso facto avant d’être déstabilisé par cet enculé, poil au nez. Mais « Ça » n’a pas loupé, et ce ne fut que lorsque le cellulaire de chez cellule de sa(le) prison intérieure résonna à nouveau que l’entrepreneur songea véritablement à en parler à Véronique Tarass, Stanislas, réputée de chez « raie-pute HEY ! » pour sa(le) perspicacité, « l’enculée ».

Sorcellerie ? Magie noire ? Poltergeist ? ou… « grand guignol ! »… En tout cas, depuis ce coup… de fil… en aiguille, les choses allaient… ALLEEEEEEEEEEEEZ ! … de « mâle » en pis, et à vau l’eau… des canalisations du siège (et des sièges, plus tellement d’aisance !) social de l’entrepreneur. Comment expliquer autrement que, même après les importantes réparations effec… « tuées » suite au très « merdique » dégât des eaux (très) usées survenu il y a 666 jours (répara… « fions » qui, du reste, relevaient « beau cul » plus du gros oeuvre), l’entrepreneur fut, de « chié fuse ! », à nouveau « emmerdé » par les eaux « boueuses », en mode tsunami, mon kiki ? Et l’autre con au téléphone qui me parle de sosie. J’y crois pas ! Comme si un TDC « sa(le) » ne suffisait pas ! V’là t’y pas qui y en aurait un deuxième pour me faire chier ve-gra aux entournures, l’ordure ! … ON « NÉ » PAS DANS LA MEEEEEEER »DEUX » ! Et pourquoi pas trois, tant « con » y est ! En « et fée », puisque Véronique Tarass était comprise, en mode « con prise », dans le package, Nadège, Yvan de Lamayrdenbrenche bis ! Jamais deux « sang » trois songea Toni Druent à l’instant « T »… comme Tuer ! Seulement voilà, si « on » pouvait supprimer aussi facilement un sorcier, même à deux « balles » d’un coup… de baguette magique hic hic hic… « sa(le) » se saurait. L’entrepreneur AVÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉ ! … avait comme la désagréable impression de s’être « fée » manoeuvrer en mode « enculer »… youkoulélé. Et il n’arrivait pas à comprendre comment, Lui, le cador de chez « cas d’or ! », en « matière » de stratégie, il AVÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉ ! … il avait pu (jamais du cul !) se faire avoir, ma pôv poire. Décidément, ne jamais sous-estimer, de chez sous-évaluer, qui que ce soit. Il faut vraiment que je me répète régulièrement ce leitmotiv, tel un mantra, entre deux « Notre Père », mon pépère, songea Toni Druent. « On » aurait tendance à oublier que les forces du « mâle » peuvent très bien se déplacer d’un « objet » à l’autre en permanence, Hortense. Autrement (maux)dit : d’un sujet à l’autre, l’apôtre… DU MAL !

Le mystère du consultant s’épaississait de plus en plus, Rufus. En « et fée », l’entrepreneur se demandait vraiment si ce mec existait vraiment, maman. Et s’il n’était pas, « en réalité », qu’un personnage fictif tif tif tif… totalement improvisé, Alyzée. « Sa(le) » compagne, Véronique Tarass, avait beau lui « démon »… trer – en mode « démonter » – le con… traire, que ce type existait « bel » et « bien », poil au chien, mais aussi nuisible qu’une mouche du coche, Totoche, l’entrepreneur avait quelques doutes sur son existence, Hortense… et ses soi-disant pouvoirs diaboliques hic hic hic… Quoi qu’il en soit : THE « CHAUD » MUST GO ON ! … Et ce faisant, le tournage du film en cours de (mauvais) traitement devait continuer, poil au néné, et ne surtout pas être interrompu, poil au cul, et ce, quoi qu’il en coûte, ma louloute. Alors SUS ! de chez « SUCE ! », à l’iconnu… poil au…

Cu… rieusement et, paradox… « analement », Véronique Tarass donnait l’impre… « fion » d’être « beaucul » moins déstabilisée par les derriè… euh… les dernières péripéties liées à l’entreprise, Denise, QUEEEEEUUUUUUUUUUUE ! … que son con… pagnon, poil au trognpn. Manifestement, les (v)agissements de l’autre con… « Sultan » « navet » aucune prise sur elle, Annabelle. « D’ailleurs », elle se demandait « réellement » si toute cette histoire AVÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉ ! … avait « réellement » un sens, Hortense, et si fina… « analement » Yvan de Lamayrdenbrenche « navet » pas plus de con… sistance qu’un ectoplasme en mode POLTERGEIST ! (Dernière correction le 15/07/22… Poursuivre, « C »…)

La sérendipité peut être un atout « majeur » (Du moment que ce troisième doigt n’est pas dressé à la verticale… dans l’rectal !) pour un entrepreneur. Toni Druent ne dirait pas le contraire, poil au… En effet, suite à la totale rénovation du lupana… euh… de la demeure (sur l’qui vive !) en grande partie sinistrée par les dégâts considérables causés par des « emmerdements » autant intempestifs qu’un tant pet sec ! il a « pu » (Doux euphémisme, compte tenu de l’explosion des canalisations, poil au…), Grâce à l’argent versé par l’assurance, procéder à des embellissement non négligeables… Poil à… C’est clair « queue » la maison Dorcel pourrait vite (trés) passer pour de fieffés baltringues de chez ploucs & Consorts, complètement « has pines », pourtant ré… »pute hé ! » pour leur esthétisme chicoss, quand on voit le résultat 2.0 opéré sur la toute nouvelle institu… fion, après travelo… euh… après travaux, de l’entre-preneur.

Ne jamais sous-estimer le mode de fonctionnement, en apparence factuel, d’un con… « Sultan »… Car peut-être qu’après tout, derrière cette façade de bourrin cartésien, pouvait très bien se cacher un authentique sorcier aux pouvoirs diaboliques hic hic hic… dont la redoutable efficacité n’avait d’égal que sa sournoise dangerosité, l’enculé. Et tout blaireau normopathe portant le rationalisme au pine… euh… au pinacle, aussi psychorigide (ainsi) soit-il, ne fera jamais « le poids » face à l’insaisissable « pouvoir » de l’irrationnalité bien gérée, poil au nez. Et ce ne sont certainement pas les premières manifestations « poltergeistiens » symptômatique tic tic tic, que l’entrepreneur Toni Druent a subies dans son « antre prise », qui démontreraient le con… traire, poil au derrière (Sauf chez ses actrX qui ne « possèdent » pas un poil de cul turlut(e)tutu chapeau pointu). Mais bon, tant que ce type… de « manifeste à fond », somme toute, hors du commun, restait encore gérable, l’entrepreneur n’en était pas encore au « poing »… de s’offrir les « sévices » d’un exorciste du genre Merrin, tête de pine. Il était bien trop émoustillé par « l’inspire à fion » de ses prochains opus (du cul !), poil à l’anus. Alors que bon nombre d’entrepreneurs, dans le but d’égayer un peu plus leur entreprise, annexaient un Showroom afin de « glamourer » leurs produits cui cui cui, Toni Druent, « Lui », décida d’installer un « Chaud-room » dans l’ultime « des seins » de séduire, mais surtout d’appâter et « d »hameçonner » les pornopathes de « tout poil » (Oui, je sais, elle était facile celle-là… Mais bon). En matière de merchandising il y en aurait pour tous les (dé)goûts poupoupidou… A savoir, des sextoys plus design les uns « queue » les autres, avec « capines » privées, et surtout insonorisées ! … comme il se doi(g)t(e), pour les essayer, les kékés. Il y aurait mêmes des godes… OH ! MY GOOOOD(E) ! … à l’ancienne, Germaine, du « type »… vintage à sa mémère, poil au derri… Parce « queue » y a pas de « mâle » à s’faire du bien, « Sarurmain ». Et pis quoi de mieux qu’un éclairage intimiste « idoigte » en mode boîte de nuit pour « arroser » ces phallus d’exception, poil au fio… Une petite musique douce et sensuelle, Annabelle, ne serait pas superflu, poil au c… Ainsi « queue » de l’encens (la teucha !) pour pimenter le tout poupoupidou… Toni Druent était au moins sûr d’une chose, Zardoz, c’est « queue » son assistante (et maîtresse, poil aux…), avec son caractère bien « trempé » (Y a pas « queue » son caractère ! … MDR !) serait OK pour performer des petites sefion… euh… sessions de striptease, Denise. Et puis, tant « con » y est, pourquoi pas revisiter des scènes « class… niques » de théâtre remasterisées en mode « A oilpé », Dédé. Pour la « rénove à fion » complète de l’espa… smes con… « sacré » à ce projet pour le moins ré »jouissant », Toni Druent songea à solliciter les « sévices » d’un vieux briscard de l’immobilier (et surtout queutard invétéré à ses heures, l’enculeur !) pour procéder à « l’opère à fion », mon con. En effet, Jean Kulator était son ancien comparse « des coups » (et des langues) fourrés, l’enculé, avant de se retrouver en zonzon pour « abus de biens blaireaux », le zozo. D’ailleurs, « chairs » lecteurs, Patrice Guilloton vous propose un petit inter… mède alors ! … pour vous plonger dans un récit tant anecdotique tic tic tic… « queue » croustillant sur les aventures abracadabran… fesse de l’avocate de Jean Kulator, maître Binprofon. Il faut tout de même préciser « queue » la rela… « fion » entre ces deux-là ne date pas d’hier, poil au… En effet, bien avant de devenir son avocate attitrée, maître Binprofon fut d’abord son « à vos dattes à tirer », l’enculée. Et en tout « bon » pervers qu’il était (Et qu’il est toujours), Jean Kulator avait, à l’époque, subtilisé discrètement cette petite merveille de technologie (Quoique un brin désuet, pour ne pas dire ringard de nos jours) « queue » gardait précieusement sa partenaire dans son endroit secret le plus intime, Maxime.

Suite à l’entretien avec mon client, Jean kulator, j’avais accepté sa proposition (« queue je ne pouvais pas refuser ») qui n’était, ni plus ni moins, qu’un chantage. Jean Kulator s’y connaissait en Droit mieux « queue » personne. Il ressemblait à David Bowie qui venait tout juste de casser sa pipe et passait dans la légende. J’avais dix-sept ans et Jean quelques… QUELLE QUUUUUUUEEEEEEEEEEUUUUUUUUUUUE ! … mois de plus. A la suite de ce « pompage queue » je devais à Jean, celui-ci m’emmena sur les hauteurs qui dominent la ville. J’avais un peu peur, pour plusieurs raisons, mon con : d’une part j’étais vierge (Mouais, enfin faut l’dire vite !) et, d’autre part, Jean n’avait pas l’permis mon kiki, et il avait emprunté la voiture de son père « sang » avertir celui-ci. Pour une futur avocate, j’étais plutôt « mâle » parti. Ce jour-là, nous n’avions pas cours à la fac… Mais plutôt à la « Fuck » ! Jean arrêta la voiture dans un coin agréable mais complètement désert, poil au derrière. Il faisait une journée splendide, le soleil filtrait au travers des sycomores, Nestor.

__ Passons à l’arrière (train !) me dit Jean qui, vraisemblablement, était habitué à ce genre de « sport ».

Il avait une solide « répute à fion » de baiseur, l’enculeur, malgré son jeine âge, sa gueule de David Bowie lui valait de nombreuses conquêtes, Bernadette. Il commença par m’embrasser, l’empaffé, et ses mains demeurèrent inactives. Je le repoussai en lui disant qu’il ne respectait pas le con… trat.

__ OK ! fit-il cyniquement (Et « si niquement » un peu plus tard) en ouvrant sa braguette (magique !), alors « fée » ce « queue » tu m’as promis (pour) mon kiki.

Il exhiba une verge monumentale, poil à l’anal, surmontée d’une tête aussi grosse qu’un poing de nouveau-né, l’enculé. Je n’avais jamais rien vu de tel, Annabelle. En fait, aucune pine ne s’était encore offerte à mes yeux. Durant un long moment, je demeurais stupéfaite, « con… sidérant » cette opulence de chair bandée sans oser y toucher, poil au nez. Et non seulement j’avais promis de la toucher, mais encore devais-je la sucer, poil au néné. Faisant contre mauvaise fortune bon cu… euh… bon coeur, j’avançai timidement les doigts de ce monstre érigé, Dédé. Jean Kulator frémit dès le premier contact et rougit de plaisir tandis « queue » je rougissait de honte.

__ Allons, n’aie pas peur, prends-le bien en main, « Saturmain » ! m’encouragea Jean (Foutre !)

J’obéis et cerclai la bite dure et chaude, mon Claude. Ce n’était pas une « sens à fion » désagréable, bien au contraire, poil au derr… Une étrange moiteur naquit entre mes cuisses, Ulysse, chatt… euh… chastement recouvertes, interdites aux mains de mon partenaire qui tendit le ventre :

__ Vas-y ! Branle-moi !

Il guida mon poignet pour m’indiquer le mouvement qui m’était inconnu, poil au cul, et auquel je me prêtai assez volontiers. C’était fascinant de voir le gros gland jaillir de son prépuce, Gugusse. Ce… « pendant », je ne pu (du cul !) m’empêcher de penser « queue » les garçons , du voyou au plus distingué, étaient des salauds. Paradoxalement, il ne me déplaisait « poing » qu’ ils le fussent, poil à l’anus. J’astiquai lentement le membre vibrant dans ma paume, de plus en plus émue, excitée en « Diable », « sang » le montrer ni l’avouer. Je feignai la con… trainte, le paiement de mon dû, poil au… De temps à autres, je levai les yeux vers Jean dont la fess… euh… la face, soudainement lisse, se transfigurait sous mon « acte fion » et le plaisir visible qu’il en retirait.

__ Les couilles ! haleta-t-il. Touche moi aussi les couilles…

Son langage trivial me choquait mais j’étais incapable de lui faire remarquer. Ma main fouilla entre ses jambes pour extirper du pantalon un double goitre piqué de poils fous. Il me prit à la nuque et sa voix rauque percuta mes tympans :

__ Lèche-les !

Sa poigne, d’une fermeté absolue, me catapulta sur son bas ventre. Je n’eus d’autre recours « queue » celui d’obéir. Me « chienniser » ainsi commença par m’écoeurer, mais à force de lécher ces grosses boules mouvantes, ma langue fut la proie d’un curieux appétit mon (et pour son…) kiki. Elle fourragea dans les poils, remonta le long de la fière colonne, tourbillonna autour du gland satiné, enculé. Je me pris à ce jeu lubrique hic hic hic… en sentant (la marée !) Jan qui jubilait. Sa pine devenait d’une raideur inflexible. Mes mains l’agrippèrent fermement et ma bouche s’ouvrit pour aspirer le mastodonte trigonocéphale, poil à l’anal. Jean lâcha un gémissement de plaisir en me suppliant de prendre tout mon temps, de le têter doucement, sans omettre (Binprofon) de passer lentement la langue sur le point sensible qu’il m’indiqua, le « cancre là ». Le premier moment de surprise passé, je trouvai la fellation savoureuse, la gueuse. Je m’extasiai sur les « palpite à fion » … « deux » la verge, salivée et sucée religieusement. Un immense bonheur « seins primaient » sur le masque livide de mon partenaire, poil au derr…, qui finit par jouir abondamment dans le fio… euh… le fond de ma gorge. Le flot de sperme me surprit mon (et de son…) kiki, comme un raz-de-marée, mais je m’appliquai à le déglutir en surmontant mon haut-le-coeur, mon futur enculeur. Celui-ci fut d’ailleurs très vite vaincu par le plaisir obscur qui circulait en moi. Mes lèvres ne cessèrent de ventouser la pine que lors… « queue » celle-ci s’amollit, mon kiki, entre ma langue et mon palais, tête de « raie ». Jean me complimenta en affirmant « queue » j’étais une pipeuse extraordinaire, poil au… Il ajouta « queue » je me privais d’un rare plaisir en refusant « de me faire baiser ». J’en (et Jean) avais bougrement « en vie », pour mon kiki, mais la peur d’être enceinte me retenait. En tout cas, je ne refusai plus sa main, « Sarurmain », qui vint se faufiler entre mes cuisses, Ulysse, pour me branler, Dédé, sinon savamment, du moins hardiment mes enfant… de p… J’étais affalé sur le siège arrière, poil au… de la voiture, Arthur, slibard ôté, cuisses ouvertes, Berthe, me tordant « deux plaisirs » sous le feu… ALLUMEEEEEEEEEEEZ LE FEUUU ! … intense d’un doigt (Juste un doigt) qui écrasait mon clitoris enflammé, Aimé. Jean avait dégagé mes seins pour les sucer âprement. Il bandait de plus en plus belle. Je n’eus ni la force, ni le courage de le repousser quand il s’agenouilla entre mes jambes, bien au con… traire. Je l’aidai dans sa manoeuvre en guidant sa superbe queue vers l’orée de ma chatte vierge et brûlante. Je soulevai la croupe quand il s’y enfonça avec un soupir de bien-être qui se transforma en râle quasi bestial; Je crus devenir folle en me sentant (le poisson !) aussi divinement comblée, l’enculé, tout ce « con » m’avait raconté à propos des douleurs d’un dépucelage n’était « queue » fabula… « fions ». En fait, j’étais tellement excitée, qu’un taureau aurait pu me posséder « sang » dommage… mais intérêt. Le gros boutoir allait et venait entre mes muqueuses sensibilisées à l’extrême, serrant étroitement la verge dure, « l’ordure », enflée, aux veines saillantes. Plus elle me pistonnait plus je souhaitais son ravage. Jean Kulator me baisait sauvagement, me poignardant avec force et cruauté, sa pine me ciblait sans faillir tandis que ses paumes pétrissaient rageusement mes fesses. En me tordant sous lui, je frottai mes seins contre ses durs pectoraux et répondai, du bas-ventre, à chacune de ses durs secousses. « Le salaud » ne me ménageai pas et pour rien au monde j’eusse voulu qu’il me ménageat. Il se mit alors à délirer grossièrement, mais cette grossièreté même me surexcitait :

__ Tiens salope, tu la sens bien ma queue ? … Oui, c’est ça… remue bien ton cul… Aaaah ! « queue » c’est boooonnnnnnn ! …

Ces mots durs me procurèrent un orgasme dément et j’eus la « sens à fion » … « queue » l’ardente pine me traversait totalement, mes enfants. J’eus brusquement peur et suppliai :

__ Je t’en prie… retire-toi quand tu sentiras que…

Il serra les dents et produisit un remarquable effort sur lui-même. D’un vif mouvement, il se dégaina pour coincer l’extrémité de son membre entre mes fesses crispées sans pouvoir y pénétrer, il me noya l’anus, Gugusse, d’une grasse et chaude ondée, l’enculé…

En tant qu’entrepreneur, Toni Druent était rompu… aux exigences, qu’à tout moment pouvait surgir un « un »prévu (parfois même deux !) de derrièr… euh… de dernière minute, Belzébuth (à ne pas con »fondre » avec : « baisez pute ! »), comme la découverte pour le moins déstabilisante de l’érotomanie de son con… « Sultan », Jonathan. Pourquoi déstabilisante, me direz-vous, quand on connaît le caractère « bien trempé » de Toni Druent. Et bien tout simplement parce QUEEEEEEUUUUUUUUUE ! … cette érotomanie était dirigée contre lui cui cui cui… D’où cette obsession pugnace, Horace, à vouloir s’acha Distel… euh… à vouloir s’acharner sur cet entre… « preneur », plus souvent qu’à son tour, Abdelghafour (là moi dans l’cul !) D’un « autre côté » (mdr !), force lui était de la mettre… euh… de l’admettre, quand bien même « sa(le) » ne lui (dé)plaisait pas trop, QUEEEEEUUUUUUUUUUE ! … que Yvan de Lamayrdenbrenche n’était pas si « mâle queue sale », poil à l’a… ALLAAAAAAAAAAAAAH ! … poil à l’anal. À l’é… ALLEEEEEEEEEEEEZ ! … À l’évidence, Hortense, la fonc… « fion » d’entre… « preneur » réservait, de chez « raie »server, bien des sur… « prises », Denise, pleines d’imprévus, poil ou sans poils au cul ; et Toni Druent était bien trop intelligent et machiavélique pour ne pas (r)assurer ses arrières… « trains », le « Malin ». En d’autres « maux », en plus des initiales PN, « on » pouvait ra(t)jouter un E, ce qui donnait un plus… de vices, « con cernant » le p’tit père « la chiasse », de « chié la colique ! » hic hic hic… Et le pire (n’est jamais décevant !) dans tout « sa(le) » étant « queue » l’entre… « preneur » y trouvait un « Malin » plaisir, Nadir… « amok ! », dans ce type… de rela… « fion » quelQUEEEEEUUUUUUUUUE ! … quelque peu perverse de « chié » tordu, mon glandu. Le tout (à l’égout !) restait de savoir jusqu’où l’entrepreneur pouvait repousser ses limites, tête « deux bites ! ». Toni Druent sentait (grave l’étron !) pertinemment « queue » les liens qui « unissaient » ces deux gugusses « virtuels », Annabelle, à savoir : un entrepreneur atypique pic pic pic… et un consultant désarmant, maman, « faisans » tout leur possible pour s’im… « planter » en société, en « faisans » bonne figure, mes ordures, masquaient en « réalité » une très grande souffrance, Hortense, et qu’ils n’étaient qu’en « réalité » que deux « fantômes » de chez fantoche, Totoche, esclaves de leur « propre » névrose, Zardoz. Car « réel ment », l’u ne valait pas mieux QUEEEEEUUUUUUUUUE ! … que l’autre, mes apôtres. Et cette rela… « fion » n’était pas prête de s’arrêter « las » en en si « bon » chemin, Satur… « main ». Effectivement, « couac » de mieux « queue » des « rats-porcs » névro… TRIIIIIIIIIIIIIIQUE ! … pour JOUIIIIIIIIIIIIIR ! … en mode souffrance, Hortense. Désormais, arrivés à ce stade de leur relafion, à « deux doigts » de la pénétra… « fion », ces deux-« las » devenaient totalement incapables de stopper le cycle de la puni… « fion », poils aux roustons, et du sal(e)ut rédempteur de « chié » raie dompteur !, tel qu’il se déroulait sous leurs yeux. Bref, c’était bien un rapport, en mode « rat-porc », coprophylique hic hic hic… de « chié » scato, mes totos, qui maintenait Toni Druent et Yvan de Lamayrdenbrenche, métaphoriquement parlant, mes zenfants. Et le pire (n’est jamais décevant !), dans tout « sa(le) », « demeurés » QUEEEEEEEUUUUUUUUUUE ! … que l’entre… « preneur, sang raie jouissait ! » à l’a… ALLAAAAAAAAAAAAAAH ! … à l’avance, Hortense, espérant QUEEEEEEEUUUUUUUUUUE ! … que lui procu(l)re… « raie » les derniers moments… MÔMAAAAAAANNNNNNNNNN ! … les derniers moments de l’acte de « raie »… demption, poil au f… Voulant QUEE… que la sensa… « fion » le possédasse, ma grognasse, voulant que la con… science d’être pleinement l’emplisse tout entier yé yé yé… Voulant voulant voulant sentir (le sexe à plein nez !) l’explosion, en mode explo… « fion » émotionnelle et sensuelle, Annabelle, qui se produisait sous l’impact, non pas des balles, mon chacal, mais du trou d’balle !, Hannibal, du désir et de l’accomplissement, maMAAAAAAAAANNNNNNNNNNN !

Et Véronique Tarass dans tout « sa(le) » ? C’est clair, comme les eaux usées ayant envahie le plateau de tournage, en mode tournante, de (mettre titre), QUEE… que lorsqu’elle va se vomi… euh… se rendre « conte » du caractère un tant(e)inet inverti de son keum (car un homme « inverti » en vaut deux !) soi-disant en mode alpha de chez alpha, elle aura vraiment de bonnes raisons, de chez « raie fion ! », de se prendre le clito entre les ratiches et de se le mordiller grave sa race ! Horace. À l’é… ALLEEEEEEEEEEEEEZ ! … À l’évidence, un entre… « preneur » sous emprise, Denise, « sa(le) » fait vraiment pas ! papa. Les « rats-porcs » sado-maso pouvaient « prendre » toutes les (dé)formes (im)possibles et (in)imaginables… Et PAN ! … dans l’a… Ce fut à l’instant T (« T » comme Turgescent !) où elle surprit son alter, pas toujours égaux, en train de se palucher le pangolin, Satur… « main », en matant des photos pour le moins explicite, tête de bite, d’Yvan de Lamayrdenbrenche sur papier, plus tellement glacé !, QUEEEEEUUUUUUUUUUUE ! … que Véronique Tarass comprit (et non « con pris ! ») que son con… joint était à la… ALLAAAAAAAAAAAAAH ! … était à la fois à voile et à vapeur, pôv p’tit coeur ! En tout « et tas » d’cause (toujours !), Zardoz, il y aVÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉ ! … il y avait du mouron à s’faire pour l’avenir de la boîte… à Pandore, Nestor. Si l’entreprise, en mode « antre prise ! », était sur le point d’être gérée QUEEEEEEEUUUUUUUUUUUE ! … que par des tantouses de chez tarlouze, on peut « con sidéré ! », QUEE… que c’esi la « louze » assurée, et ce, de façon « raie »dhibitoire, mes pôvs poires ! … OÙ SONT LES HOOOOMMES ?! … AVEC LEURS GESTES PLEINS DE… ZOOOOOOOOBS ! … Et ce n’est rien à côté de ce qu’elle va découvrir, Nadir… bebek !, par la suite, tête de bite !, de leurs activités nocturnes, ma burne, à ces… ASSEEEEEEEEEEEEZ ! … à ces deux lascars de chez rascal, mon cha… cal. Véronique Tarass en vint à se demander, Dédé, quelles seraient les retombées média… TRIIIIIIIIIIIIIIQUES ! … sur le byzness de chez « bise fesse », Inès… de la « fesse d’ange ! » À l’é… ALLEEEEEEEEEEEEEZ ! … À l’évidence, si cruche et cruchon, de chez fiotte, étaient filmés en train de se ramoner la turbine (de chez tur… « pine ! ») à boyaux, mes cocos, on était pas dans « la merde ! » Un tant(e)inet inquiète, Véronique Tarass aVÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉ ! … elle avait tout lieu de l’être (et le néant !), Électre. Déjà QUEE… que ce n’était un secret pour personne, « bobonne », depuis quelQUEEEEEUUUUUUUUUUUUE ! … depuis quelques années le taux de testostérone des bonhommes étaient en « CHUT ! » libre, Aligre, si en plus les keums du 21è siècle se la jouaient « bique et bouc »… « et miss air », les meufs n’aVÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉ ! … « navet » plus qu’à se rabattre sur les sextoys 2.0, en mode « deux poings l’os ! », mes boloss. Car à l’é… ALLEEEEEEEEEEEEZ ! … à l’évidence, aux « derrières » nouvelles, les dalpouches ne se reproduisaient pas, papa… Eh bé y en avait de plus en plus !, poil (ou « sang ! ») à l’a… ALLAAAAAAAAAAAAH ! … poil à l’anus.

L’étendue (des dégâts !) du pouvoir, tant sournois que redoutable d’Yvan de Lamarydenbrenche, alias le con… « Sultan », n’aVÉÉ… n’avait pas fini d’étendre son travail de sape, en mode « déssape ! ». En effet, lorsQUEE… lorsque Véronique Tarass se surprit – de chez « sur prise ! » – elle-même d’être bien loin de se sentir (grave la touffe !) indifférente au charme magné… TRIIIIIIIIIIIIIIIIQUE ! … du responsable du désorientage psychique hic hic hic… de son partenaire, poil au derriè… elle se (« maux »)dit qu’il y aVÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉ ! … qu’il y avait vraiment un blème de chez « blême », Germaine. Et pas qu’un peu, mes « AÏE ! euh ». À n’en pas douter, ce type de « con »… portement avoisinait le cas – en mode « caca » – d’école, Nicole. Sale… euh… « ÇA » relevait grave de la psychia… TRIIIIIIIIIIIIIIIQUE ! hic hic hic… ma « bique ». Manifestement, ce con… « Sultan » se « con plaisait » à souffler , non seulement dans les bronches, mais zaussi le chaud et l’froid, en mode « show effroi ! » … PURÉE D’POIS ! « Sale » fleure bon la « louze ! », songea Véronique Tarass, tout en fantasmant ve-gra sur certaines exprefion… euh… expressions et inflefion… euh… inflexions de « voie » de ce tordu pas sa bite j’espère ! machiavélique « lick ! » lick ! » lick ! » (pour les béotiens de « la langue »… de Shakespeare, traduisez !) À n’en pas (re)douter, il émanait de ce con… « Sultan » comme des radations maléfiques hic hic hic… de « chié mâle et FUCK ! » … qui le nimbait à l’instar, se prenant pour une star à la… ALLAAAAAAAAAAAAAH ! … à la puissante aura… ta peau !, mon coco. Le tandem Druent-Tarass croyait dure et ferme (ta gueule !), comme la bite à Rocco, QUEEEEEUUUUUUUUE ! … que le danger potentiel proviendrait d’un adversaire d’où la violence serait tant apparente que « démon »strative, Jean-Yves. Mais il n’en n’est rien, poil au chien… galeux. Il n’y a rien de plus faut ! (… pas exagérer !), mes cocos. Le travail de sape (le moral !) pouvant parfaitement opérer en mode : « douche écossaise », mon Blaise, bien plus sournoisement, maman… MÔMAAAAAANNNNNNNNNNN ! … Et petit à petit l’oiseau (de mauvaise augure, l’ordure !) fait son nid, mon kiki. Ce « faisan », l’emprise plante ses griffes, tant crochues qu’acé… ASSEEEEEEEEEEEEEZ ! … qu’acérées dans la psyché (pas « délique » du tout !) des pôvs bernés, poil au néné. À l’é… ALLEEEEEEEEEEEZ ! … À l’évidence, l’autre con était un authentique « Sultan », en mode « insultant ! »… toute velléité de « con »… portement rationnel, Annabelle. C’est pour »couac », ce PNE (Pervers Narcissique Érotomane) allait leur en faire « baver » grave sa(le) race ! Horace, et plus souvent qu’a leur tour (de vice !), Abdelghafour. Par con… « séquence », Yvan de Lamayrdenbrenche ALLEEEEEEEEEEZ ! … allait bien les « baiser » ces deux-là, et au sens « propre » comme au (dé)figuré… en long, en large et en travers, poil au derriè… D’une certaine façon, ce con « possédait » des dons de magie, Gigi… GIGI L’AMOROSOOOO ! CROQUEUR D’AMOUR, L’OEIL DE VELOURS COMME UNE CARESSE… GIGI L’AMOROSOOOO ! TOUJOURS VAINQUEUR, PARFOIS SANS COEUR MAIS JAMAIS « SANG » TENDRESSE ! … et qu’il n’allait… ALLEEEEEEEEEEEEEZ ! … qu’il n’allait pas se gratouiller longtemps les balloches, Totoche, pour exercer ses talents de magi… « chien » galeux en mode sorcellerie, Riri… « rat » qui rira le dernier ! « Couac con » dise, Denise, « sa(le) » fait chier grave sa(le) race Véronique Tarass qui sentait (grave la chienne en rut, Belzébuth, en mode « baisée pute ! ») bien QUEEEEEUUUUUUUUUE ! … que ce con… « Sultan » aVÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉ ! … avait le redoutable pouvoir, Charle-Édouard, de leur faire découvrir d’autres dimen… « fions », poil au rognon. De toute façon, « couac » qu’il en soit, Yvan de Lamayrdenbrenche ne lâche »rat » rien, ce vaurien. C’était clair comme la diarrhée dont il aVÉÉ… dont il avait été victime, tête de pine, peu de temps auparavant… via « ses vents ! »… intestinaux, pôv coco… lon. Encore une âme en « mâle » de purifica… « fion », songea la future ÉVISCÉRÉE ! Manifestement, dans l’fond du fion, c’est bien dans l’adversité « con » voit de quel « (a)bois » on est « fée ». Véronique Tarass qui croyait… OUIIIIIIIIIIII ! JE CRÖÖÖÖÖAAAAAAAAAAAAAAAA ! … qui croyait « hêtre » en chêne de chez chienne ! Mais, apparemment, ce doit être plutôt du poirier ou un bois tendre de ce (mauvais) genre. Il suffit… IL SUFFIT ! … Il suffit finalement lui mette sa(le) « matraque » sous l’nez, poil au néné, pour QUEEEEEUUUUUUUUUUUE ! … pour que tout s’effrite, « tête de bite ! »

En attendant… l’déluge… de la tuyauterie générale desservant, dans son sens le plus plombant (de « chié » plomberie !) du « terme », l’évacua… « fion » des eaux… euh… comment (maux)dire, plussss ! … qu »usées, à défaut de phéromones, les phénomènes en mode poltergeist reprirent du « sévice », Alice… et ses merveilles caca… phoniques nique nique nique… Et c’est pas ce qui manquaient le plus ! Poil à la… ALLAAAAAAAAAAAH ! … poil à l’anus. Et effectivement, les phénomènes remplacèrent les phéromones dans la (dé)mesure où toute activité professionnelle liée au baisodrome fonctionnant en mode « fuck-tionnel » était interrompue (sans poil au cul !) « conte » tenu des événements récurrents, de « chié raie courante ! », de ces derniers (mauvais) temps, la « proffefion » de la cuisse (très) légère était en (pas) nette récession de chez « raie c’est fion ! », mon « con ».

Quand la trappe (de chez « attrape ! ») s’ouvrit sur ce décor en mode Underground de chez « Under grange », d’aucun aurait pu (grave la bouse et le dégueulis !) penser qui manquait plus que « sa(le) » pour « con »… pléter l’tableau, Momo… mie. En « et fée », sorti des profon… « odeurs » du sous-sol, Anatole, un nouveau personnage créé par l’écrivant de chez « trépané du bocal », en l’occurence, Patrice Guilloton, fit son apparition, poil au fion, avec une mallette à la… ALLAAAAAAAAAAAAH ! … à la main, Satur… « main ». Lorsqu’il franchi, en mode « affranchi », la frontière séparant ce « con » pourrait « cacalifier » de « cacacombes », de chez caca… « tombes », pour échouer dans ce lieu même où ce pôc con… « Sultan » aVÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉ ! … avait subi quelQUEEEEEEUUUUUUUUUE ! … quelques avanies auparavant, François Zarby « cru » en « premier lieu avoir affaire à un (« sang ») mauvais décor de cinoche, Totoche, en mode « AN », à savoir : Apocalypse Now ou « TDA », papa, à savoir : The Day After, la suite, tête de bite, tellement « sa(le) » en était désolant, maman… MÔMAAAAANNNNNNNNNN ! … Faut (maux)dire QUEE… que déjà lorsq »con » met le premier (tré)pas dans la merde… de Véronique Tarass, pour « enchaîner » sur un deuxième pas(cool !) en plein dans l’mille, Mimile, du dégueuli de Yvan de Lamayrdenbrenche, cette vieille branche !, « on » pourrait se demander, tant également qu’élégamment si, « pour le coup »… du cul, les derrières… euh… les derniers vestiges d’un remake (de « chié ris mec ! ») du tournage de La Grande Bouffe, avec toutes ces traces… « de pneus ! », « navet » pas (dé)servi à fina… « analisé » l’opération, de « chié opère à fion ! », poil au trognon. « Sang » parler de, ou plutôt, des odeurs innommables de « chié » nausé… « à bonde ! », « Raie »monde… ON « NÉ » PAS DANS LA MEEEEEERDE ! … beugla (qualifi »caca »tif idoine dans cette grange, Solange) sans aucune retenue François Zarby. Il songea automatiquement que s’il devait faire une analyse « con »parative avec un autre endroit, ce serait, à n’en pas (re)douter, l’antre d’un démon, Armageddon. Le nouveau protagoniste en question (mais pas de « raie ponce ! ») jeta un coup… d’oeil circulaire, poil au derriè… dans cette environne… « ment » on n’peut plus… ON N’EN PEUT PLUUUUUUUUUUS ! … on ne peut plus inhospitalier, poil au « merdier ! » yé yé yé… Il fallait qu’il trouve ipso facto l’endroit stratégique pour déposer, au vu et au su(ce) de tous, le con… « tenue » de sa(le) malette, poil à la… ALLAAAAAAAAAAAH ! … poil à la branlette. Au vu du « squat » XXL+ de « chié » bourbier qu’il aVÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉ ! … qu’il avait devant ses oeufs… euh… ses yeux (les « oeufs » aussi !), mes « AÏE ! euh », c’était aussi clair qu’une colique « frénétique » QUEE… que les précédents « locataires » ne devaient pas (par)donner dans la dentelle, Annabelle. Seulement ce dont ils ne se doutaient pas, papa, étant que quelQUEEEEEEUUUUUUUUUE ! … quelque soit leur degré de perver… « fion », ce n’était rien en comparaison, de « chié cons pas raison ! », de ce qu’il les attendait. Car à l’é… ALLEEEEEEEEEEEEEZ ! … à l’évidence, le protagoniste en présence à l’instant T (« T » comme Trash !) était tout sauf un ingrat, pour ces « cancres las », en « matière » de pervers… « fion », mes couillons. À n’en pas (re)douter, François Zarby était quelqu’un de très méticuleux dans son domaine, Germaine, de prédilec… « fion », mes cons. Et justement, dans « le domaine » où il se trouvait en présentiel, Annabelle, « sa(le) » allait… ALLEEEEEEEEEEEEEZ ! … ça allait l’faire ve-gra, papa. Toujours très respectueux envers ses employeurs qui exigeaient de lui le meilleur de lui-même, Germaine, il n’aVÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉ ! … il n’avait jamais eu à les… ALLEEEEEEEEEEEZ ! … à les décevoir, Charles-Édouard. C’est pour… « couac » il n’y avait aucune raison pour que « sa(le) » change, mon ange… du « mâle », même après avoir atterri ce « gracieux » capharnaüm de « chié graisseux », étant « grassement » rémunéré, Barnabé. Ce « faisan », François Zarby visualisait déjà parfaitement où et comment il aLLEEEEEEEEEEEEZ ! … il allait disposer le con… « tenue » de sa(le) mallette, Bernadette, et il « sang raie jouissait  » d’avance, Hortense. De toute façon, le projet qu’il aVÉÉ… qu’il avait en tête pour ce site, tête de bite, ne lui demanderait beaucoup de temps pour l’accomplir, Nadir… AMOK ! En marche ! (Tiens ! Ça m’rappele quelqu »un), il l’était dans son esprit, son plan, Rantanplan, et il se sentait (grave le purin !) con… euh… comblé comme toujours, Abdelghafour. Il se sentait (la bouse ve-gra !) vraiment libre d’avoir choisi ce boulot, mon toto. Il n’y aVÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉ ! … Il n’y avait pas de place pour la médiocrité, Maïté. Il regarda encore une fois autour de lui cui cui cui… cet espace inaccueillant mes zenfants, comme s’il n’aVÉÉ… encore jamais vu un (non)lieu pareil comme celui-« las », papa. Comme qui dirait, cet endroit, en mode « à l’envers ! », sordide de « chié » glauque, « demeuré » tout à fait propice, tendance « pro pisse ! », à faire ce QUEEEEEEUUUUUUUUUUE ! … ce que François Zarby allait… ALLEEEEEEEEEEEEEZ ! … allait faire, poil au d… Avec les objets à connota… « fion » on n’peut plus… ON N’EN PEUT PLUUUUUUUUUS ! … on ne peut plus explicite, tête de bite, à savoir, plus hétérocli… « toris », Maurice, les uns QUEEEEEUUUUUUUUE ! … que les autres, qu’il détenait dans sa(le) « besace », Horace. À n’en pas (re)douter, si les squatteurs de ce lieu « maux »dit ne tombaient pas… pour proxénétisme, pédophilie et autre zoophilie, « couac », se taper une chèvre de temps en temps… MÊÊÊÊÊÊÊÊÊÊ ! … Y a pas de mais ! Avec tout ce qu’on pourra (de chez « cons pouraves ! ») leur coller sur le dos, les blaireaux (à la campagne, « sale » fait !), ils auront bien d’la chance, Hortense. Et leurs casiers judiciaires, poil au d… si tenté qu’ils n’en possédassent déjà un , Saturnin (y manquait plus qu’lui dans la ferme !), sera vérolé jusqu’au trognon (c’est le « caca » de l’dire !) ad vitam aeternam, madame, jusqu’à la… ALLAAAAAAAAAAAAAH ! … jusqu’à « la faim »… de leurs jours, Abdelghafour.

François Zarby aVÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉ ! … avait véritablement une dette envers la société… Mafialand. Plus précisément, ce monsieur aVÉÉ… avait contracté un crédit en mode « mort à crédit« , le bandit, au… « prêt » de cette « organisation », poil au fion, unanimement reconnue par ses « paires »… de couilles !, les frip… OUILLE ! … En « et faits » (et surtout « gestes ! »), les employés de cette prestigieuse associo… « fion » de malfaiteurs aVÉÉ… avaient accompli un travail, mes canailles, tant remarquable QUEE… que redoutable, il y a de « sa(le) » QUELLE QUEEEEUUUUUUUUUUE ! … quelques années, poil au néné. Et ce, « sang » aucune bavure, les ordures ! Voilà « pour couac », François Zarby se sentait (grave le fumier !) redevable envers ces hommes « de mains », Satur… « main ». Bien sûr (de lui !), il n’en restait pas moins QUEE… que certaines règles et consignes se devaient d’être respectées aussi scrupuleusement et « sang » scrupule, Hercule, mais en évitant toutefois d’y aLLEEEEEEEEEEEEZ ! … d’y aller franchement marteau-pilon, mon con… tractuel. La Sté Mafialand AVÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉ ! MARIAAAAAAAAAAAAA ! … avait beau « sang »norgueillir d’être une agence tous « rixes », poil au kyste, « sang » n’était pas moins un con… glomérat de préposés tout à fait charmants, maman… MÔMAAAAAAANNNNNNNNN ! … Avec eux « on » était sûr (de rien !) au moins d’une chose, Zardoz, c’était « des rats »… diquer complètement toute la racaille de cette planète, Bernadette. Ou, dans un moindre « mâle », à distance, Hortense. À n’en pas (re)douter, l’organisa… « fion » aLLEEEEEEEEEEZ ! … allait être fier de lui cui cui cui… Une « foi » de plus !, poil à l’a… ALLAAAAAAAAAAAAAH ! … poil à l’anus. Et, de surcroît, son salaire de chez « sale hère ! », net d’impôt (mais pas très net du pot !), le zozo. Aucune taxe à déféqu… euh… à défalquer, mon kéké.

Depuis l’avénement du système argentrique… euh… argentique photographique, déjà de très bonne qualité à l’é… ALLEEEEEEEEEEEZ ! … à l’époque, les nouvelles technologies numériques ont « fée » progresser d’un bond magistral tout le vaste monde du visuel, Annabelle. LorsQUEE… Lorsque François Zarby disposa les photos compromettantes de « chié con pro-mettant ! », il était vraiment ravi du minutieux travail accompli, mon kiki, en « matière » de photossho… « pine ». À n’en pas (re)douter, de nos jours « on » pouvait « exécuter »… toutes sortes de trucages, mais toujours pour le bonheur de tous ! Un simple exemple : quel boloss accepterait « con » publie des clichés « tabloïdiens » de Lui en train de se faire sucer amoureusement par un labrador, Hector… Et qu’en suite, « tête »… de bite, ce même clebs en train de chier copieusement dans la bouche de ce dernier… des « antre preneurs », pôv p’tit coeur. Certainement pas Toni Druent, maman… MÔMAAAAAANNNNNNNNNNN ! … Ou encore… STOP ! OU ENCORE ! … Ou encore, Véronique Tarass en train de s’faire léchouiller la cramouille, pôv andouille, y conpris la raie… ARRÊÊÊÊÊÊÊÊÊÊÊÊÊTE ! … y « con pris » la raie des fesse, Inès. Et pour… « tant », des saloperies, en quelQUEEEEEUUUUUUUUUUE ! … en quelques clics (claques !), « on » peut « échouer » dans ce type… de « raie »sultat, papa. « On » n’arrête… ARRÊÊÊÊÊÊÊÊÊÊÊTE ! … « On » n’arrête pas l’progrès ! Et tout « sa(le) » n’est encore rien à côté de ces photos pédophiles ! … Des petits garçons et des mecs, Nardine « débecte ! » Des petites filles et des « bonnes » femmes. Des petits garçons et des petites filles avec des animaux, mes zozo… ophiles. Et toute cette « joyeuse » entre… « prise(s) »… dans le « fumier ! » (le « maux » est faible !) Si avec tout « sa(le) » l’entre… « preneur » et toute sa(le) clique ne se retrouvaient pas inculpé… dophiles, de « chié un cul pet ! » François Zarby ne put (jamais du cul !) s’empêcher de songer à la… ALLAAAAAAAAAAAAAAAAH ! … à la tronche QUEE… que le partenariat Toni Druent et sa(le) « con »pagne allait… ALLEEEEEEEEEEEEEEZ ! … allait tirer (en plusieurs exemplaires ! … poil au d…) lorsqu’ils vont « découvrir » ces photos, les zozo… ophiles de « chié » pédophile ! Le tout (au dégouts !) bien « sex »… posé dans leur annexe, poil au sexe. En même temps, elles ne dépareilleront certainement pas, papa, dans cet endroit glauquasse, ma connasse. C’est sûr QUEE… que comme « raie si danse » secondaire il y aVÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉ ! … il y avait beaucu… euh… beaucoup mieux, mes « AÏE ! … euh ». Le linge sale se retrouve toujours mouillé, quel que « soie » l’ordre dans lequel « on » le met à la… ALLAAAAAAAAAAAAH ! … à la machine, tête de pine. Ce n’est que le « raie »sultat d’une « machine-à-fion » diabolique ! hic hic hic… Quand les tabloïds de « chié » presse-caniveau vont être au courant, le moins « con » puisse (« maux »)dire étant que « la courante » aura vite fait de déchirer ve-gra les boyaux de ce couple d’enfer, poil au d… « En faire » une jaunisse de « chié » chaude-pisse, Alice… avec toutes ses « merveilles ! » Et encore… STOP ! OU ENCORE ?! … l’organisa… « fion », ayant mandaté François Zarby, aurait pu (grave du cul ! … et les « d »égoûts !) aller… ALLEEEEEEEEEEEEEZ ! … aller encore… STOOOOOOP ! OU ENCOOOOOOOORE ! … encore beau »cul » plus loin, poil au « marsouin ». Comme « couac », par exemple ? … La presse était toujours là où l’ignoble côtoyait l’insupportable… dans cette étable ! Il « navet » qu’à jeter… un p’tit coup… d’oeil du côté du chiffre d’affaire du journal Détective pour « sang » con… vaincre. À n’en pas (re)douter, tout « sa(le) » dégoûtait François Zarby grave « sale » race ! Horace. Mais dans son job il ne « phallus » pas être trop bégueule, ma gueule, l’équité il la laissait à d’autres, l’apôtre… de l’opportunisme. « Le mandaté » songeait déjà à la… ALLAAAAAAAAAAAAH ! … à la tronche qu’allait… ALLEEEEEEEEEEEEEEZ ! … qu’allait « tirer » ce couple « d’entre preneur » lorsqu’il va se retrouver face à un parterre de journalistes, poil au kyste, plus journaleux qu’autre chose, Zardoz, remontés à (dé)bloc ! ad hoc.« Sa(le) » va pas l’faire ! … poil au derriè…

Et une « sur prise » en appellant une autre, François Zarby ne fut pas déçu du voyage (…au bout de l’enfer !) lorsqu’il ne put (un peu du cul) sortir de l’entrepôt… C’EST PAS D’POT ! … Le large portail de la grange était verrouillé yé yé yé… Impossible de ressortir !, Nadir… AMOK ! … Ben manquait « pu » (grave le phaco… « chair ! ») que « sa(le) ! », songea-t-il aussitôt, le toto (flingueur), un chouïa dans la détresse, ma fesse. Lui, qui en général n’avait peur de rien, Saturnin, fut saisi tout à coup d’une crise d’angoisse… QUELLE POISSE ! … et voulut courir dans tous les sens, Hortense. C’est en principe ce « con » fait quand « on » se retrouve face à un danger, Gégé, mortel, Annabelle… Non ?! C’est ancré au plus profond de l’être (in)humain, Saturnin. Ce besoin de prendre les jambes à son cou et de décamper « sang » demander son reste, Ernest. Courir pour se calmer un peu, mes « AÏE ! … euh », et se sentir (grave la transpira… « fion ! ») encore vivant, maman… MÔMAAAAAANNNNNNNNNNN ! … De plus, ça libère des endorphines, tête de pine, ces fameuses molécules du bonheur ! Faut (maux)dire qu’il y aVÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉ ! … qu’il y avait de les spasmes… euh… de l’espace, Horace, dans ce hangar, mon hagard… lorsqu’il tomba… sur les toilettes, alouette. En fait, les goguenots se trouvaient à environ cinquante mètres « pu » (la merde de canard !) loin (petit) coin coin coin… Lorsque François Zarby poussa, non pas un colombin, mais le semblant de porte des « teuchiots », il fu(se) accueillit par une flopée de mouches… à merde ! Est-il « besoin » de le préciser ?, Alyzée. Et, de « sur croix », comme un con il aVÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉ ! … il avait oublié son cellulaire, poil au derrière, à la… ALLAAAAAAAAAAH ! … à la maison, ce con. Il ne pouvait même pas appeler la police (pleine de vices !) À l’instant T (« T » comme Traquezir !), juste un (doigt… d’la mort !) objectif tif tif tif : sortir de « las » vivant, mes zenfants. Il leva la tête et aperçut une petite fenêtre, Électre. Quand Dieu ferme une porte, Il ouvre une fenêtre, aVÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉ ! … avait l’habitude de dire sa défunte maman… MÔMAAAAAAANNNNNNNNNNN ! … ou lycée de Versailles… euh… ou « vice »… versa : quand Diable ouvre une fenêtre… Il ferme une porte, mon cloporte. François Zarby souleva le vantail, ma canaille. Enfin presque. Il resta fermement coincé à mi-hauteur. À l’é… À L’AIIIIIIIIIIIIIIIIIDE ! … À l’évidence, la fenêtre n’aVÉÉÉ… n’avait pas été (comme hiver !) ouverte depuis des lustres, Auguste. Du moins, pas de l’intérieur. Des araignées mortes de chez mortes jonchaient le sol, Anatole. Il y avait aussi une araignée qui était loin… d’être morte, mon cloporte. Noire, bien grasse, et qui refusait obstinément de quitter sa(le) toile pleine de mouches… à merde ! « À régné », mais toujours d’actualité !, Dédé. Paradoxalement aux nombreux dangers que François Zarby avait connus, les Aranéides lui foutaient grave la trouille, mon andouille. Et pas qu’un peu, tête de noeud. ‘Sang » plus attendre, il grimpa sur le lavabo, de « chié » crado, à proxi… « mité », et, poussant dessus avec ses pieds, se glissa au travers de la petite fenêtre ouverte, Berthe. Elle donnait sur ce que devait être autrefois un parking, Gustave, et « au-delà » (euphémisme !), tout au loin « on » put (grave du cul !) apercevoir les sombres vestiges de bâtiments industriels qui dégageaient… ÇA DÉGAGE « GRAVE ! » … qui dégageait une aura (« ta peau ! ») grave nausé… « à bonde », James. Il y régnait un silence de mort, mon porc, de chez « morts-vivants », Rantanplan, grave post-apocalyptique hic hic hic… Mais « couac » qu’il en soit, la fenêtre des teuchiots était trop étroite, compte tenu de sa corpulence limite bodybuildé, Dédé. Il aurait « phallus » avoir la taille de sa(le) bite tout au plus, poil à l’a… ALLAAAAAAAAAAAAAH ! … poil à l’anus, pour pouvoir s’y enfil… euh… se faufiler youkoulélé ! Et tout (au dégoût !) comme Le Diable, de prime abord… À L’ABORDAAAAAAAAAAAAAGE ! … le parking, Gustave, « navet » vraiment pas l’air (ni même la chanson… à part Sympathy for the Devil !) d’être pavé… de bonnes intentions… ATTENTIOOOOOONNNNNNNNNNN ! … Il aVÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉ ! … Il avait « réellement » l’air (et la chanson Search and Destroy ! des Stooges) d’avoir été (tré)passé au napalm de « chié » Vietnam, madame. Mais ce que n’avait pas encore vu le potentiel fuyard, Babar – qui va bientôt perdre sa(le) « trompe ! » – étant « queue » le comité d’accueil, qui le « cueillerait », serinait… euh… serait encore « pu » (grave les viscères !)… euh… comment (maux)dire… encore plus décapant, en mode « décapitant ! », maman… MÔMAAAAAAAAANNNNNNNNNNNN ! …

Continue d’avancer ! François Zarby aVÉÉ… avait vraiment l’impression que le montant de la fenêtre lui arrachait des couches… T’ENS TIENS UNE SACRÉ COUCHE ! … des couches de peau… MANQUE DE POT ! … Il se demanda s’il saignait, grand dadais. Il se rappela une saigne… euh… une scène saisissante, de chez saignante ! … chez sa tante : une émission animalière, poil au derrièr… où un énorme python sortait littéralement de sa(le) peau, mon coco. Si seulement, en mode « salement », lui aussi pouvait en faire autant, maman… MÔMAAAAAANNNNNNNNNN ! … laisser sa(le) chair « brûlée », enculé, et meurtrie, pôv kiki, derrière lui cui cui cui… et repartir de ce hangar, moins hagard (« à l’ouest ! ») et avec un corps (et un Esprit !) tout neuf, Titeuf. À présent François Zarby avait (tré)passé la moitié du corps, mais il n’avait rien à quoi se retenir, Nadir… AMOK ! Le haut de ses cuisses supportait tout le poids de son corps, mon porc (bientôt en mode « roti de porc ! ») Il aVÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉ ! … Il avait la (pas) nette sensation qu’il… À L’AIIIIIIIIIIIIDE ! … qu’il allait littéralement se briser en deux, mes « AÏE ! … euh ». Puis soudain quelque chose lui chatouilla le bas du dos, et, coincé comme il était, il ne pouvait même pas se retourner pour voir ce que c’était. Il essaya tant bien que « mâle » à s’extirper de cette maudite fenêtre, « sang » plus de succès ! Il poussa avec une vigueur renouvelée grave sa race, Horace. Quand soudain il l’aperçut, poil au cul…. Il se tenait à quelques « mettre » (bien profond !) de lui cui cui cui… T’ES CUIT ! … songea tout à (pas) trac « l’ex-dépositaire des photos. »

 Il y a vraiment des jours où l’on ferait mieux de rester couché (… sur le papier, concernant Patrice Guillo… « thon ») douilletement sous la couette, Bernadette, à se replonger dans l’opus (grave la margoulinerie !) de Robert Greene : The 33 Strategies of War. Ce fut pour le moins ce que pensa (avant d’être pansé !) François Zarby, pôv bibi, à l’instant T (« T » comme Tétraplégique ! hic hic hic…), car L’HORREUR N’EST JAMAIS AUSSI DÉVASTRICE que ce « con » ne pourrait l’imaginer… poil à l’amputé ! De « sur croix », lorsque le commanditaire de ce scéna… « rit » à gorge déployée, l’enculé, tout en le regardant droit dans les yeux, mes « AÏE ! … euh » ; s’il fallait déCRIIIIIIIIIIIIIII ! … S’il fallait décrire la vision un chouïa biasée – de chez « baisée » – dû au virulent stress qu’il aVÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉ ! … qu’il avait sous les yeux, mes « AÏE ! » euh », mon pôv vieux, cela n’était pas bien difficile, Anne-Cécile, il suffi… IL SUFFIIIIIIIIIIIIIIIT ! … Il suffisait d’avoir vu quelques films de western « spaghetti, mon titi, notamment ceux de Sergio Leone, Yvonne, et plus précisément la fameuse scène finale de C’era una volta il West (« Il était une fois dans l’Ouest », pour les béotiens… pour ne pas dire blaireaux) du duel entre les deux protagonistes – poil au kyste – principaux po po po ; un paysage (pas sage !) désertique tic tic tic… où, à l’instar d’un François Zarby quelque peu « cisaillé » à mi-taille par le rebord de la petite fenêtre en mode lucarne – ma pôv carne ! » – des latrines, tête de pine, l’homme à l’harmonica, quant à lui, se retrouvait avec son grand frère les pieds sur les épaules avec la corde du pendu… pour le « cou ». Mais en fait, le plus flippant dans l’histoire, ma pôv poire, étant qu’il pouvait apercevoir de manière sybilline, ma pôv pine, son bourreau arriver vers sa proie au ralentit, pôv Titi… et son gros « miné ! » Décidément, on « né » vraiment peu d’chose, Zardoz. C’est « pour couac », à « peu d’chose » près, François Zarby revivait la même situation, poil au f… en mode « martyr », Nadir… AMOK ! Ayant droit, « sa(le) » va de soi, au même sourire, tant narquois que sarcastique tic tic tic… que « l’exécuteur testamentaire » Henry Fonda, alias Franck, que celui de Toni Druent, alias L’ENTRE… « PRENEUR ! » ; et en (mauvais) lieu et place de ligne de défense… euh… plutôt de défonce !, Alphonse, le pôv Franck, euh… François Zarby, pas Franck, l’enculé du film de Léone, Yvonne… Donc, ce pôv « hamburger en devenir » n’aVÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉ ! … n’avait que le rebord de cette petite lucarne, ma pôv carne. Et le délire ne faisait que commencer lorsque François Zarby aperçut au loin un nuage de poussière grossir de manière exponentielle, Annabelle. C’était aussi claire que la pisse collée à son falzar, Babar… tout droit sortie de sa(le) trompe QUEEEEEEEUUUUUUUUUUE ! … que sa stratégie de défonc… euh… de défense… d’entrer !, était un tantinet revue à la… ALLAAAAAAAAAAAAAAAAAH ! … à la baisse ! Et pour très bientôt en mode « bouillabaisse », ma fesse. François Zarby se vomi… euh… se rendit « réellement conte » que LE PIRE N’EST JAMAIS DÉCEVANT !, maman… MÔMAAAAAAAANNNNNNNNNN ! … Là, « pour le coup », François Zarby pouvait vraiment appeler sa mère, poil au d… Même si elle n’aurait pu (… plus des ragnagnas !) l’aider beaucoup, ni faire kékchose, Zardoz. À l’é… À L’AIIIIIIIIIIIIIIIIDE ! … À l’évidence, Hortense, « on » pourrait même (« maux »)dire que « l’antre »… preneur aVÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉ ! … avait mis les « bouchers » doubles, le roub… « lard » ; tout d’abord, en premier lieu… « du crime », François Zarby eut droit à un petit « massage » des jambes, en mode « jambonneau », mon toto, que l’on pourrait qualifier, de chez « calligraphier », d’on n’peut plus… ON N’EN PEUT PLUUUUUUUUUUUUS ! … d’on ne peut plus particulier yé yé yé… voire même « traits » particulier ! Ah !, pour sûr, l’entre… « preneur » aVÉÉ… avait « lard » et surtout la manière de savoir faire (tré)passer l’info qu’il voulait trans… « mettre », Électre… sous l’choc ! Dire que François Zarby était en train de dérouiller grave sa(le) race plus que de raison (plus de poils aux roustons !), c’est un peu comme dire que Patrice Guilloton était totalement dénué d’imagination !, poil au… Alors que, comme vous l’aurez remarqué mes bébés : loin d’en être dénué, cet écrivant pour le moins atypique pic pic pic… en possédait des « nuées ! », poil au néné. Et pas qu’un peu mon n’veu. Mais bon, crève… euh… trêve de digression, poil au f… Alors, pendant que le rebord de la petite fenêtre des WC (« WC » comme « Waouh ! Cisaille ») lui cisaillait de plus en plus l’abdomen… AMEEEEEEEN ! … le futur… NO FUTURE ! … le futur « Johnny Got His Gun » sentait (grave qu’il s’était pissé d’ssus !) « con » était en train de lui découper son patalon, poil au moignon ! … à la… ALLAAAAAAAAAAAAAAAAAH ! … à la TRONÇONNEUSE !, la gueuse. Au même instant, le protagoniste à l’extérieur se tenait toujours face à lui cui cui cui… et aVÉÉ… et avait commencé à déboutonner sa(le) braguette, poils à la zigounette. Patrice Guilloton « panse » que si son lectorat est parvenu à tenir jusque « las », c’est bien qu’il fait « parties » des aficionados de films en mode Tobe Hooper, du (mauvais) genre The Texas Chain Saw Massacre… Donc, nul besoin de décrire le niveau sonore pour le moins assourdis… « sang » qui résonnant à l’arrière plan dans tout le hangar, Babar… qui va bientôt perdre sa(le) « trompe ! », dans ce conte… de la folie extraordinaire !, poil d… Car paradoxalement, sur cette thématique, en mode « téma-trique ! », de l’horreur, François Zarby aVÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉ ! … avait déclenché une trique monumentale ! (avec « beaucul » de poils à l’a… ALLAAAAAAAAAAAAAAAAAAH ! … beaucoup de poils à l’anal, mon chacal). Juste au moMAAAAAAAAANNNNNNNNNN ! … Juste au moment où la toute première « déchirure »… « SA(LE) » DÉCHIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIRE ! … se fit sentir, Nadir… AMOK !, l’individu p(r)ost(r)é en face du « trognonné » le fixait toujours, Abdelghafour, droit dans les yeux (avant que François Zarby ne perdent ses « oeufs ! »), , et dans ses bottes… « SA(LE) » T’BOTTES ?! …, mon pote, tout en se masturbant allègrement mes zenfants. Pas besoin d’être grand clerc (avec « Soi »-même) pour imaginer l’tableau de « chié » tabloïd, poils aux hémorroïdes ; dans la transe-(mauvais)-genre BDSM en mode « Bande Dur Salaud Maso « , c’était une première mondiale, poil à l’a… euh… poil au rectal (« on » va varier un peu). À l’é… À L’AIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIDE ! … À l’évidence, Hortense, c’était tout à fait le (mauvais) genre de scène de « ouf » qui aurait pu – grave la chair (in)humaine – remporter, haut la main, le prix au palmarès de la Licorne d’or du FIPFFSF de chez « Festival International de Paris du Film Fantastique et de Science-Fiction », présidé par ce « chair » Alain Schlockoff (également fondateur du magazine L’Écran Fantastique. Alors que dans le ca… cas présent, ce serait plutôt la tronçonneuse qui remporterait… « haut les mains ! », Satur… « nain ». Nain « restant très réducteur », au vu (et surtout à l’odeur !) de la (dé)composante sous (dé)forme de « kit », tête de bite… que ce pôv tronçonné va arborer d’ici peu, mes « AÏE ! … euh ». HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA ! … Ah c’est sûr, on « naît » vraiment « peu d’chose », Zardoz. Pléthore (et « à travers ! ») de gens voient tout en blanc ou tout en noir, Charles-Édouard, sans la moindre zone de gris, mon grigri ; les gens étaient soit bons soit méchants, maman… MÔMAAAAAAAAANNNNNNNNNNNNN ! … Ils « étai » les premiers à « crôare »… OUIIIIIIIIIIIIIIIII ! JE CRÔAAAAAAAAAAAAA ! … à croire ce type… de tenace illusion, poil au f… Mais dans le cas – de chié caca -présent, c’était plutôt : tout en rouge !

 Au fur et à (dé)mesure que les petites dents acé… ASSEEEEEEEEEEEEEEEEEZ ! … acérées déchiraient le futal (avec bientôt plus de poils à l’anal !) du sectionné potentiel, Annabelle, François Zarby donnait l’impression qu’il ressentait (grave la chiasse !) une certaine jouissance, Hortense, majorée, pour ne pas (« maux »)dire optimisée, par le regard tant « con cul pissant » QUEEEEEEUUUUUUUUUE ! … que scabreux, tête de « noeud », mais surtout rempli de désir du branleur de « sévice », poil au calcif. Tel QUEE… Tel que se présentaient les choses, Zardoz, si la dé… « finition » du modus opérandi devait retrouver toutes ses lettres de noblesse, ma fesse, c’était « bel et bien » dans cette scène de cul… te relevant du cas – de « chié » caca ! – d’école, Nicole, du plus rédhibitoire, poil à l’a… ALLAAAAAAAAAAAAAAAAAAH ! … poil à l’abattoir. Mais à l’instant T (« T » comme Tiraillé !), François Zarby « se fendait » de hurler comme un goret. Ce « faisan », à l’entendre grouiner comme un porc « con » égorge, François Zarby faisait « un foin du diable ! » Il hurlait de plus en plus fort !, mon porc ; des cris qui n’avaient plus rien d’humain ; sauvage, guttu… « râle ». De « sur croix », dans ce type… d’entrepôt, en mode « entre peaux ! », à l’intérieur duquel les appels au secours… AU SECOUUUUUUUUUUUUUUUUURS ! … ne servent pas à grand chose, Zardoz, renvoyés par les parois en tôle comme des boules de billard devenues folles, Anatole. Nonobstant le boucan infernal que produisait la scie mécanique nique nique nique… le déchiqueté sous-jacent sentit (grave la diarrhée !) son cellulaire vibrer dans sa(le) poche, Totoche, de pantalon, mon con, mais comme la partie supérieure de son corps était coincée à l’extérieur, il était dans l’incapacité d’utiliser ses mains (encore entières !) pour répondre à la… ALLA… à l’appel, Bébel. Il se doutait bien que c’était son employeur qui venait aux nouvelles, Annabelle, se renseigner sur « les tas » des lieux, mes « AÏE ! … euh » ; savoir si le déroulement des opéra… « fions » s’était bien (tré)passé. François Zarby aurait pu (grave le vomi !) lui raconter dans les moindres détails que tout baignait… dans le sang, la merde, le dégueuli… et bientôt dans le sperme de l’autre « branleur » en face de lui cui cui cui… qui s’astiquait toujours le manche à couilles, « l’andouille », à couilles raba… « tues » turlut(e)tutu. Après la musique d’Ennio Morricone en guise d’introduction à l’arrivée du succé… « damné » d’Henry Fonda en mode Franck, une B.O. en mode « Bouillie Orgiaque ! » de chez The Goblins aurait pu (grave les ténèbres !) compléter l’tableau, poils aux « bobos ». Sous l’atroce douleur, « le tronçonné » ressemblait à un diablotin voulant sortir de sa(le) (dé)boîte ; ses yeux (ne parlons pas de « ses oeufs ! ») menaçaient de sortir de leurs orbites, tête de bite, et devenaient grave opaques, TABERNAK ! … ; des halètements rauques (« N’ROLL ! ») ponc… « tuaient » ses mouvements saccadés, l’estropié. Même tous les animaux alentour, Abdelghafour, muets de terreur, reculèrent d’instinct, Saturnin ; ils n’en croyaient pas leurs yeux, mes « ouailles-boeufs ». La partie supérieure du corps (« et à CRIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII ! ») du pôv François Zarby était « diaboliquement » traversé d’horribles soubresauts ! Sa(le) poitrine, tête de pine, se soulevait au rythme de sa(le) respiration chaotique tic tic tic… « On » se serait « cru » dans un sketch cauchemardesque de chez Gore… ENCORE ! EN GORE ! Ses yeux (« sang » parler de « ses oeufs ! ») étaient grave révulsés, un filet de sang coulait de ses lèvres ouvertes, BERK !, et commença à « gras » vomir, Nadir… « AMOK ! » ; l’odeur pestilentielle (en plus du laché de sphincter !) émanant… HEY ! MANANT ! … de son corps, mon porc, n’arrangeaient pas les choses, Zardoz ; « sang » parler des borborygmes peu ragoutants émit par « la victime », tête de pine. Puis subitement, il lui sembla tout « accoup(s) » que ses entrailles se déchiquetaient ! … Soudain il poussa… un hurlement, maman… MAMAAAAANNNNNNN ! …, un hurlement qui brisa ses cordes vocales, poil à l’a… ALLAAAAAAAAAAAAAAAAH ! …, poil à l’anal. Puis brusquement, une fatigue mortelle de « chié » mortelle l’envahit, pôv bibi, et un vertige l’étourdit grave ! Il essaya tant bien « queue mâle » de tourner la tête comme il put (grave du cul !), pour apercevoir un de ses membres jumeaux pour le moins effiloché, qu’il sentait (grave la chair à vif !) palpiter on n’peut plus… ON N’EN PEUT PLUUUUUUUUUS ! … on ne peut plus douloureusement, maman… MAMAAAAANNNNNNNNNN ! …, et que sa soeur jumelle… de jambe… « SA(LE) » M’FAIT UNE BELLE « JAMBE ! »… avait été grave coupé (pas) net, et que des quantités astronomiques de sang (« dessus-dessous ! ») s’échappaient de sa(le) blessure ; si « on » peut encore appeler « sa(le) » blessure, arrivé à ce stade ! Un tremblement incoercible « gagna » ses jamb… euh… sa(le) jambe ; puis ses oreilles se mirent à bourdonner ve-gra, papa… PAPAAAAAAAAAAAAAA ! … Puis soudain son expression changea du tout au tout (« à l’égoût ! ») ; cela commença par une (dé)forme d’appréhension, poil au fion, dans ses yeux, pôv p’tit vieux (mais surtout pour ses oeufs, « tête de noeud »), une appa… « rance » vitreuse des pupilles, comme s’il cherchait à tâtons à discerner kékchose, Zardoz, quelque chose derrière lui… Puis ses yeux (et « ses oeufs ! ») oscillèrent d’un côté à l’autre, suivant un mouvement rythmique mic mic « MICK ! » … particulier « YÉ ! » « YÉ ! » « YÉ ! » … Les pupilles (« de la nation ») remontèrent jusqu’à ce que le blanc des yeux (et « des oeufs ! ») demeurât visible. Son visage (plus très « sage ! ») se tordit et se grave déforma, mama… MAMAAAAAAAAAAAAAA ! … Il se cramponna désespérément de toutes ses forces au rebord du vasistas (WAS IST DAS ?!), le « bad ass » ; une convulsion éclamptique se déclencha, et c’est vraiment (IL EST VRAIMENT, IL EST VRAIMENT, IL EST VRAIMENT PHÉNOMÉNAL ! LA LALALA LALA LA LALALA LALA !) terrible à voir (et à vomir !), la pôv poire. François Zarby sentait (grave la diarrhée !) comme si son coeur était arraché par les racines, « tête de pine » (bientôt « sang les oeufs ! »), tandis qu’il enfonça ses dents dans le bois du « dormant » de la petite fenêtre, pour éviter que, dans un spasme, il se mordît grave la langue ; les muscles de son visage (de moins en moins « sage ! ») se tordaient de douleur, pôv p’tit coeur, comme des bandes (mais plus en mode « bandouiller ! ») d’acier, à chaque convulsion, poil au fion, et cet extrême douleur lui arracha un horrible cri ! ; il put (grave du cul !) sentir (grave la merde !) tout son corps, mon porc, se durcir (à part son pangolin !), Nadir… « AMOK ! » …, s’agiter de violentes secousses, « ma housse » ; les spasmes se répandaient, de « chié raie pendait », à tout son organisme, ses bras battirent l’air (« de rien ! »), et soudain il déploya une force telle qui dépassa l’entendement (de la tronçonneuse !), qu’il ne put (plus grave des yeps ! ») maîtriser ; c’est tout juste s’il put (grave le porc « con » égorge !) « sang péché » de « se blesser » un peu plus, poil à l’a… ALLAAAAAAAAAAAAAAAH ! …, poil à l’anus. À l’é… À L’AIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIDE ! … À l’évidence, « Hors danse », voir ce pôv François Zarby se faire grave « trancher dans l’vif ! » (du sujet), comme « écorché vif », il se posait-là tralala ; il n’était pas « sang » rappeler une carcasse de porc avant d’être pendue à un croc (« sang jambes ! ») de boucher de chez Leatherface en mode The Texas Chain Saw Massacre ! ; et tout « sa(le) » provoquait du dégoût d’égout plutôt que de la pitié, poil au pied (oui je sais il en a plus, mais bon…) Soudain François Zarby eut un haut-le-coeur… OH ! MON COEUR ! (« à prendre »)… et dégueula un liquide acide, gras du bide. Au fur et à (dé)mesure qu’il se sentait (grave la putréfaction !) partir, Nadir… « AMOK ! », François Zarby ne put (certainement pas l’eau de Cologne !) « sang péché » de songer à la… ALL… à la vie du bon blaireau qu’il aurait pu (grave la pourriture !) mener, poil au néné, « sang » tout ce charivari de « chié tu charries ! », Riri… « rat » qui rira le dernier !

 Quand les premiers secours… AU SECOOOOOUUUUUUUUUURS ! … arrivèrent toutes sirènes hurlantes sur « le tas », genre en mode : ARRIVA ARRIVAAAAAAAAA !, papa, ils « crû »rent dans un premier temps à un tournage de mauvais film d’horreur en mode carnage, Caravage… ENCORE ! EN GORE !, aurait-on pu (grave la trip »AÏE ! ») beugler, tellement la mise en scène « sang »blait réaliste, poil au kyste… et avec l’odeur en plus, poil à l’a… ALLAAAAAAAAAAAAAAH ! … poil à l’anus… de « porc ! » Et le « pus » (grave le phaco… « chair ! ») écoeurant dans l’histoire, ma pôv poire, étant (dû des dégâts du gars !) que les reporters de la télévision locale était déjà sur place (bien avant les premiers secours !, Abdelghafour) continuaient à filmer, mémé, et commenter « l’événement », maman… MÔÔÔÔÔÔMAAAAAAANNNNNNNNNN ! … pendant que le pôv tronçonné était en train (pour l’Enfer !) d’agoniser grave sa(le) race, Horace, le commissaire dépêché… DÉPÊCHE-TOIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII ! … dépêché sur place alla… ALLAAAA… alla parler aux flics de la patrouille, poil à l’andouille, tandis que les con… dés(solés) écartaient les badauds de chez « basse-cour », Abdelghafour, qui obstruaient le pas… « sage » grave sa(le) race, Horace. Comment autant de flics avaient-ils pu (« sang » doute grave du cul !) se déployer aussi vite, têtes de bites, sur cette partie on n’peut plus… ON N’EN PEUT PLUUUUUUUUUUS ! … on ne peut plus reculée, enculés. Ah ! Ils se la pétaient grave avec leurs bagnoles sérigraphiées, les kékés ; il y avait même un véhicule de la police scientifique hic hic hic… Quand aux pseudo-journalistes (de « chié kyste ! ») de chez folliculaire en présence, « Hors danse » (macabre !), c’était pas vraiment mieux, têtes de noeud ; les chaînes d’information de chez « chiennes d’infos » avaient aussitôt diligenté leurs correspondants sur place. Une bonne douzaines de reporters en mode « rats porteur » se tenaient à moins de quinze mètres des véhicules de police et cherchaient à « affranchir » le périmètre de sécurité, les enculés. Ils prenaient des photos (« matons »), les bonobos, dirigeaient leurs caméras, les cancrelats. Ces journaleux se la jouaient grave (de chez « gravats ! ») en mode 2.0, les bonobos ; « couac » de mieux que des sujets grave graveleux de « chié » scabreux aux titres put(ain)a… « cliques » pour attirer la clientèle, en mode « brêles », fervente de la presse-caniveau, les zoziaux ; des vidéos grave anxiogène, « euh gêne », ainsi que tout (« au dégoût ! ») ce qui était susceptible de tirer… « l’intelligence » vers le bas, papa, de flatter les pires instincts, les sagouins, d’entre… « tenir » les peurs et les fantasmes, mon phasme. À ne pas (re)douter, les médias (de chez Media »Park ») et sa(le) meute de journalistes, de chez « kyste », avaient « grave » sorti les griffes de chez Freddy Krueger, tout droit sorti du film de Wes Craven : Les Griffes de la nuit (A Nightmare on Elm Street), et les dents (d’la merde !), Rantanplan, et n’attendaient que de dévorer le pôv François Zarby tout « cru », les hurluberlus. Tous les localiers du coin « coin », pour leur « canard(e) », avait ra(t)ppliquer manu militari, les brebis (que des ani… « maux » de ferme… ta gueule !)… galeuses. À l’é… À L’AIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIDE ! … À l’évidense, « Hors danse », une fois (n’est pas « couture ! ») pénétrés à l’intérieur du corps… de ferme (« TA GUEULE ! »), tous ont pu (grave du cul !) constater, non « sang » (in)certain dégoût (et « des couleurs »… en mode « rouge vermillon ! »), un autre corps (de « chié porc ») plus très ferme (TA GUEUUUUUUULE !) À l’é… À L’AIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIDE ! … À l’évidence, « Hors dense », en ce lieu-(« maux »)dit, en plus des vaches, des « moutons », « poulets » et autres « porcs », Hector, on put (grave le purin !) aisément rajouter les rats de toutes sortes, les cloportes, les charognards en mode chacals, « sang » oublier les vautours, Abdelghafour. Rien ne « veau » le (dé)goût du sang, Rantanplan, pour attirer le chaland « à bestiaux ! » Les actes de torture, les exécutions, ont longtemps consti… « tué » un spectacle (en mode « spectral ») collectif, Pif. La roue (de « l’infortune »), la pendaison, l’écartèlement, la guilloton… euh… guillotine, « tête de pine ». Jadis, « on » se (tré)passait sur la place publique pour apercevoir la mort d’un con… citoyen, poil au chien… galeux ! En réalité, ce qui entre en « Je », c’est avant tout le pouvoir… de révéler la race (in)humaine, mes teignes… De « démon »trer ce qu’ils cachent sous leur masque. Et ensuite, têtes de bites, une autre sorte d’ani »mâle » de (très) « basse cour », tel que « le blaireau », pourra tranquilement mater les infos de « chié intox », poil au viandox, en mode 4K de « chié caca », les cancre… « las », con… fortablement installé dans son divan… « Le Terrible ! » Dans le (très mauvais !) genre glauquissimement vôtre, « on » touche grave le fond du fion ! Ensuite, têtes de bites, les « organes » de « presse » déformaient les informations ve-gra(s) d’origine, têtes de pines, puis tout « sa(le) » (tré)passait à la… ALLAAAAAAAAAAAAAH ! … à la grande mouli(pas)nette des réseaux (cas)sociaux pour « des bouchers » sur un gloubi-bougla aussi mensonger que vide de sens, « Hors danse », n’ayant pu (grave du cul !) pour fonction que de (dé)générer des clics (et des « claques ! ») et des retweets, têtes de b… La grande victoire de la médiocrité, enculés, « deux poings zéro ! », les zozos. Le technicien journalistique du son rabattit sa perche-micro à proximité du corps… enfin, du restant du corps sanguinolent de François Zarby, pôv bibi, dans le seul but d’ « optimiser » la captation du boucan infernal de la tronçonneuse toujours en marche. Il faut savoir que les médias recherchent avant tout « le spectacle ». Il va (« et vient ! ») au plus court (« sans pattes ! », pour ce pôv François Zarby), Abdelghafour, à l’anecdotique tic tic tic…, se nourris… « sang » de la séduction facile des images (pas sages !) Nous pén »étrons » de plus en plus dans une société de « loisirs », Nadir… « AMOK ! »…, de (fait) diver… tissement, mes zenfants ; la presse-caniveau kiffe « grave » se rouler dans la fange, Solange, avec les mêmes « porcs que la « basse-cour » de proximité, Maïté. Comment… COMMENT ?! … Comment avec ces con… ditions avoir « foie » en la nature (in)humaine, Germaine, face à « untel con »portement, môm… Et le pire dans tout « sa(le) » (car le pire n’est jamais décevant !) « restant » (doux euphémisme !) que la victime (sur)vivait toujours, Abdelghafour, tant bien que mal, l’ani… « mâle ». Incidemment, tendance « accidentellement », tous ceux qui recherchaient un spectacle en mode « sensationnalisme », « pour le coup » avec celui-ci ils étaient « grave » servis ! C’était plutôt corsé ! Et à n’en pas (re)douter, « l’acteur principal » François Zarby (sur)jouait pour la toute première fois sur une saigne… euh… une scène inconnue et « grave » effrayante ; et « son rôle » avait été assigné, en mode « a saigné ! », dans une représentation apportant visiblement la satisfaction… HE CAN GET SATISFACTIEUUUUUUUUUUUUUUN ! … la satisfaction ultime du « public » en présentiel, les brêles ; et manifestement personne n’en (re)connaissait véritablement le « dénouement » encore, les porcs. À l’é… À L’AIIIIIIIIIIIIIIIIIIDE ! … À l’évidence, Hortense, « on » marchait sur la tête, Bernadette (« sang biroute ! »)… et pas qu’un « pneu » (de fauteuil « croûlant ! »), mes « AÏE ! … euh ». À la… ALLAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH ! … À la limite, tête de bite, le SAMU, en mode « SAPU ! », était beaucoup plus en « et tas » de choc, les Shadocks, même si, à l’instar des chirurgiens, poil au chien, pléthore (et de travers !) de préposés à cette sorte de fonctions, poil au fion, étaient (eux aussi) des… PSYCHOPATHES !, poils aux pattes… du tronçonné ! C’était aussi clair (que le sang d’un sidéen) qu’il fallait « rassembler tous les éléments » en présentiel, pôv poubelle, dans le but de reconsti… « TUER ! » les circonstances, « Hors danse », et formuler, genre en mode « formol », des théories cohérentes, ma tante, puis rédiger un rapport de « chié rat porc », Hector, afin de bien remplir le cahier « décharges », mon barge. Les auxiliares médicaux eux-mêmes n’en revenaient pas, papa. Les seuls véritables témoins de « la scène » qu’aurait pu (grave les entrailles ! … de l’autre canaille) interroger la police (pleine de vices !), aurait été les vaches, les veaux, les poules et autres « porcs », Hector. Arrivé aux urgences, les médecins se hâtèrent d’évaluer la gravité des blessures de l’autre « pelure », et dressèrent la liste des interventions chirurgicales prioritaires, poil au d… Tout l’monde « étai » sur le pont ! … pour l’autre con. (Procéder à une correction en mode « Flashback ») Lorsque toute l’équipe de télé(dans l’fion !) CNN de chez « Compagnie Nique Nigaud ! » arriva sur les lieux… du crime, peu de temps après le début des festivités, en mode « hostilités », et QUEEEEEEEEUUUUUUUUUUUUE ! … que les deux zoziaux eurent leur orgasme presque (en mode « presse queue ! ») simul… (et pas simulé !) … tanément, môman… MÔMAAAAAAAAANNNNNNNNNNNN !, « l’acteur » extérieur arrosait les bégonias, poil au ragnagna, de sa semence, Hortense, tandis QUEE… que l’amputé d’sa mère hurlAAAAAAAAAAAAAA ! … toute sa souffrance… Hors… « danse ». Il y avait un petit hebdomadaire, un quotidien ainsi qu’une station de télévision affiliée à une chaîne nationale, poil à l’a… ALLAAAAAAAAAAAAAAAAH ! … poil à l’anal. Ils aVÉÉ… Ils avaient déjà couvert l’événement, maman… MÔMAAAAAAAANNNNNNNNN ! … Des dizaines de journalistes (en mode « kystes ! ») s’étaient « massés »… devant la même toile de « fion » pour vomi… euh… rendre « conte » des mêmes informations, poil au f…, chacun rivalisant d’ingéniosité, les enculés, pour capter l’attention… ATTENTIOOOONNNNNNNNN ! … l’attention des blair… euh… des téléspectateurs. Eh bien, ils avaient « deux couacs » se « caca »… tapulter de l’échelon local au niveau national, poil à l’a… Le hangar… À VOUS ! … Le hangar se trouvait à l’écart des propriétés avoisinantes, protégé (ça dépend pour qui !) de la vue par un immense rideau d’arbres, qui, « pour le coup », aucun d’entre eux n’aVÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉ ! … n’avait jamais été « tronçonné », poil au nez. L’endroit donnait sur un domaine que jamais personne n’empruntait, sauf… Véronique Tarass, « pour le coup ». Les cartes de la région montraient qu’une route de service (de chez « sévice ! ») permettait d’y accéder « sang con » ait besoin de (tré)passer tout à fait devant, mes zenfants. À l’heure de peser le pour et le contre (toute attente), Véronique Tarass se demanda comment Toni Druent agirait à sa place. À n’en pas (re)douter, l’entrepreneur n’était pas du (mauvais) genre à s’embarasser (de chez « sang débarasser ! ») de scrupules, Hercule, lorsq »con » lui cherchait des morpions dans « la tête », alouette, de son slibard, Babar… et sa « trompe »… énormément ! Il n’avait pas hésité « linceul » instant à pénétrer… illégalement dans ce lieu-(« maux »)dit, mes « AÏE ! … euh », afin de parvenir à ses « faims », le coq… « hein ?! » Véronique Tarass abandonna sa voiture à l’entrée du chemin en pente sous un bosquet d’arbres qui la vomi… euh… qui la rendait presque invisible. Plus haut, elle apercevait à travers les arbres la silhouette du hangar… À « TOIT ! » … Elle s’assura qu’elle était bien seule, ma gueule, à l’a… ALLAAAAAAAAAAAAAAH ! … à l’approche de l’entre(pas de…)pot, puis elle entama la montée, ralentie par le sac dans lequel elle avait emporté le matériel dont elle avait besoin tsoin tsoin… C’est « dingue » la quantité de fonctions disponibles « con » pouvait trouver sur un iPad de nos jours, Abdelghafour, dans la mémoire duquel se trouvaient toutes les options requises, Denise : photographier, filmer, jouer, accéder à Inter(pas)net etc. ; il y en a même qui font téléphone, Simone. À n’en pas (re)douter, tout à chacun pouvait « posséder » HAL 9000 (l’ordinateur du film 2001 : A Space Odyssey) à portée d’main, Satur(ne)… « main ». Et Véronique Tarass n’était pas la dernière !, mémère. Surtout lorsqu’il s’agissait de filmer l’autre « saucissonné » en train de s’faire découper grave sa(le) race dans « le vif du sujet ! », Gégé. À l’é… À L’AIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIDE ! … À l’évidence, « Hors danse », le duo Druent-Tarass, en tant que binôme d’Enfer, il faisait vraiment la paire… de couilles au derrière ! Et comme on (« maux »)dit : l’union fait la force, les boloss. C’est pour « couac », l’entrepreneur n’aVÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉ ! … n’avait pas manqué de mettre (mis à part le p’tit… ou plutôt le gros « Jésuce » dans « la crêche) sa coéquipière, de chez « guêpierre », sur « le coup »… de la tronçonneuse, la gueuse, en la sollicitant bien cordialement de filmer toute l’opération « d’élagage » en bon et « difforme », de François Zarby, pôv bibi. Planquée à l’extérieur de la grange, l’ange du « mâle » aVÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉ ! … avait tout enregistré en mode son et lumière 2.0, mon toto ; et à l’é… À L’AIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIDE ! … À l’évidence, « le décor » dans toute sa(le) globalité faisait grave « panser » à un film postapocalyptique ! tic tic tic… « Perchée » (c’est rien de l’dire !) dans un arbre (au départ, Véronique tarass voulut se planquer derrière les canisses, près de l’écurie, mais finalement elle opta plutôt pour ce magnifique micocoulier, beaucoup moins risqué d’être vu, avec une meilleure visibilité en plus, ma gusse), aussi touffu QUEEEEEEEEUUUUUUUUUE ! … que les deux pubis « raies unies » des deux metteurs… en scène, Arsène, à savoir Toni Druent et Véronique Tarass, ma chiasse. Elle s’était « installée » à cheval sur une grosse… branche, plus ou moins confortablement, mais à l’abri des regards. Au bout d’un bref instant, Véronique Tarass passa ses quelques clichés en revue (de « presse ! ») qu’elle avait mitraillé en loucedé ; elle affichait un (« traits ») large sourire de chez « bouche à pipes », nom d’une p…, en mode Fanny « Ardente ! » ; c’était encore… ENCORE ! EN GORE ! …, c’était encore bien mieux que ce qu’elle pût (jamais du cul !) espérer, la rusée. Après (tout c’bordel !) s’être promise de rester (et pas « d’y rester ! ») à bonne distance, « Hors dense », elle avait attendu la venue, éventuellement, d’autres corps… de métier sur le scoop en poupe, en mode « pourpre », pour s’approcher de l’entrepôt de chez « antre peau », poil au(x) bobo(s). Elle comptait profiter d’un meilleur point de vue (sur la « merde ! »), la farfelue ; d’un emplacement de choix, pour l’autre « anchois », « à fin » de prendre des photos « graves » trash !, la « tache ». De là où elle était, « perchée » (on l’savait déjà !) sur son arbre, Véronique Tarass « jouissait »… d’une vue « imprenable » sur l’autre guignol (donnant pour l’occasion un véritable spectacle de chez « Grand-Guignol » plus vrai que nature !) qui s’agitait dans tous les sens !, « Hors danse » … C’EST GUIGNOL ! C’EST GUIGNOL ! QUI FINIT EN TRONÇON ! … De là où elle était, elle put (grave du… !) sentir la puanteur insoutenable des émissions sulfureuses des intestins relâchés de l’autre « découpé », pépé… Dire que Véronique « jouissait » relevait du doux euphémisme, lorsque subitement elle sentit (grave les effluves corporelles !) comme de légers picotements fourmillés dans l’bas du ventre… Et plus le « bidoché » beuglait comme « un veau » (qualificatif idoine, compte tenu de l’endroit) sa(le) souffrance, plus une excitation sexuellement perverse s’éveillait en elle, la belle… WTF ?! (WHAT THE FUCK ?!), lança-t-elle d’un coup. Et à l’instant T (« T » comme Trash !) où l’hémoglobine du « sauciflard agonisant » giclait de tout côté à donf de partout, elle sentit (grave de « l’antre »-cuisse !) une onde de choc… orgasmique poindre le bout de son nez, poil au néné… ; puis le climax « fuse » si fulgurant qu’elle faillit se casser la gueule du haut de son perchoir, la pôv « poire », comme un fruit grave pourri, Riri… Et ce « fuse » à ce moment… MÔMAAAAAANNNNNNN ! …, ce fut à ce moment-« las » qu’elle comprit soudain d’où venait… JE VIEEEEEEEENNNNNNNNS ! …, d’ou viens l »expression schadenfreude.

L’expression « schadenfreude » (« joie malsaine » ou « joie maligne) définit la joie et la jubilation « con » ressent face au malheur d’autrui. Les termes « schaden » et « freude » signifient littéralement la « joie du dommage ». Le film de Tom Six (et pas « 666 ! »…, mais ça pourrait) sur cette thématique en est un « très bon » exemple : The Onania Club (toujours interdit en « sale »).

« Shadenfreude is the most evil sin of human feeling » (Arthur Schopenhauer)

  Véronique Tarass sentait de plus en « pu » (grave le purin !) que la bonne fortune souriait aux audacieux, mes « AÏE ! … euh ». Mais malré tout (c’bordel !), pendant qu’elle continuait tant bien que mal à photographier ce « spectacle » un chouïa insoutenable, la notable, elle ne put (jamais du cul !) « sang péché » d’avoir des hauts-de-coeur, pôv p’tit coeur, car elle s’imaginait à la place du tronçonné, poil au nez (il lui reste au moins ça : le pif, à ce pôv François Zarby). Mais à l’instant T (« T » comme Transie !), l’arrivée de nouvelles forces « du désordre » se rapprochèrent de l’intrue, poil au c…, et la… — ET LA ET LAAAAAAA ! HOU HOU HOUHOU ! HOU HOUHOU ! CE JE N’SAIS « COUAC ! » HOU HOU HOUHOU ! HOU HOUHOU ! QUE D’AUTRES N’ONT PAAAAAAS ! QUI NOUS MET DANS UN « DROLL » D’É… « TAS » –, et la contraignit à battre…, non pas « le fer tant qu’il est (encore) chaud », mais à battre en retraite. « C’EST BIEN « DOMMAGE(S) ! collatéraux » lança « la photographe » un chouïa vexée. Sur le moment, elle était prête à en « découdre », puis laissa tomber. Véronique Tarass fit ce « con(s) » lui demandait de faire…, « sang » se plaindre. « Con cernant » le corps du pôv François Zarby, il ne lui restait plus grand chose, Zardoz. Pour sûr, à ce stade de « l’opération », « l’opéré » commençait vraiment à (se « fer ») avoir le moral en « dents de scie ! » Le moins « con pût » (grave du c… !) dire « fût » que ce pôv démantelé était « grave » démembré ! Franchement, qui aurait souhaité, même à son pire ennemi, un tel « saucissonnage » ?! Une tempête d’expressions traversait (tout comme la tronçonneuse peu avant) son visage. Ah !, visiblement, pour souffrir il « s’ouvrait ! » Tout individu normalement (re)constitué n’eût pu (jamais du cul !) supporter un tel « spectacle ! », tête à « claque », mais tous les tordu(e)s sur place n’avaient rien de tout à fait « normal », les chacals, et donc, n’étaient aucunement des normopathes, les patates… chaudes. De son « point de vue », la photographe Véronique Tarass traquait la… ou plutôt les failles, la canaille ; en « top bonne » professionnelle, mademoiselle, elle voulait tirer… un maximume de clichés. Ensuite, il ne lui resterait plus qu’à envoyer ce « petit repor(c)tage » (dans l’potage !) à qui de droit… « PURÉ D’POIS ! » ; en « loque »urence, à l’autre con… « Sultan » Yvan de Lamayrdenbrenche, l’autre tanche. La tronche qu’il va tirer en s’apercevant que la mission de son commandité est partie en couilles, ma couille, et ne s’est pas terminée sous les meilleurs « auspices ! » Décidément, « on » est vraiment peu d’chose, Zardoz. C’est aussi clair, que la conscience d’un psychopathe, qu’en tant que maître-chanteur, Yvan de Lamayrdenbrenche repassera… ses chaussettes sales, poil à l’a… ALLAAAAAAAAAAAAAAH ! … poil à l’anal. Il aLLEEEEEEEEEEEEEEZ ! … Il allait très certainement suer à grosses gouttes !, ma zoute, et se demander s’il n’aVÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉ ! … s’il n’avait pas, en « matière » d’atrocités, trouver plus fort que lui, Malpertuis… de douleurs. Il va devoir échauder… euh… échafauder de nouvelles stratégies plus machiavéliques ! hic hic hic…, quitte (ou double !) à banquer plus que de raison, ce con. Concernant l’auteur en mode « acteur », tendance The Texas Chainsaw Massacre, de la boucherie ALLAA… à la sauce « Zarby », il aVÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉ ! … il avait pris la poudre d’escampette aussitôt « son travail » accompli (« sang » un pli !) « sang » demander « les restes », Ernest, et « on » ne pouvait pas dire que la police (dont la « peau lisse » de la victime avait subi quelques dommages… DOMMAGE ! … quelques dommages collatéraux, pôv toto) faisait beaucoup d’effort pour retrouver l’enculé qui aVÉÉ… qui avait fait « sa(le) », le rascal. En même temps, lorsqu »con » avait « à faire » à de dangereux tordus de chez psychopathe, en mode règlement de « con », il valait mieux laisser ce (mauvais) genre de panier de crabes sur le (très) « bas » côté, pépé. Laissons-les se dévorer entre eux, mes « AÏE ! … euh » ; tant qu’ils n’embêtent pas les « braves gens », comme dit si bien la chanson : Les braves gens n’aiment pas « cons » suivent pas la même route que… « des boeufs ». M’enfin tout d’même, Germaine, ils auraient pu (grave le rosbif !) au moins lui laisser, ne serait-ce qu’un bras, papa, ne serait-ce QUEEEEEEEEEUUUUUUUUE ! … que pour « se polir le Chinois » à des « faims », tant hormonales, QUEEEEEEUUUUUUUE ! … que thérapeu… TRIIIIIIIIIIIIIIIIIIQUE !, hic hic hic… Mais bon, il y aura bien une « très gentille » infirmière (sans poils au derrière !) qui prendra son zguègue… euh… qui prendra soin de son hygiène de « vit », pôv « kiki ». Et en « terme » de soins, Satur… « main », il ,n’À L’AIIIIIIIIIIIIIIIIIIIDE ! … il n’allaite pas être déçu, poil au c…, mais plutot « des suces ! », ma puce ; car à L’AIIIIIIIIIIIIIIIIIIDE ! … car à l’évidence, Hortense, dans cet hôpital, peu banal, « on » ne prélevait pas u… « niquement » les fluides corporelles, Annabelle ; en d’autres « maux », cela signifiait qu’il n’y aVÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉ ! … qu’il n’y avait pas exclusivement les objets, en mode « zob… jets ! », qui étaient con… « suce » en mode « obsolescence programmée », mémé. François Zarby à L’AIIIIIIIIIIIIIIIDE ! … allait très vite « con prendre » sa(le) douleur ! Du moins, pas dans un premier temps, le manant.

 François Zarby souffrait H24 chaque jour, Abdelghafour ; le matin, l’après-midi et la nuit. De fait (pas exprès !), il estimait que la souffrance est comme une sorte de linceul, ma gueule, « avant l’heure », qui vous enveloppe, « nique ta lope » (en référence à « nyctalope »), se serre et se ressere encore et « en gore », mon porc, ne vous laissant aucun répit, pomme d' »happy ? » Un drap sec, rigide, rugueux, rêche… C’est la dèche ! … pour son derche. Un drap qui « sang »tortille autour de votre tronc, mon con, qui « plante grave ses piques dans votre chair » (« à pâté ! ») – peut-être pas autant qu’une tronçonneuse ! -, et qui tourne et se retourne encore et « en gore », Nestor. « On » entendait des malades (en marmelade !) qui maugréaient, avec des gémissements variés de « chié avarié ! » ; un chariot circulait pour ramassis… euh… ramasser (pour les patients à la ramasse !) les bocaux d’urine, tête de pine ; les urines des « moribonds » étaient de toutes les couleurs ; certains avaient rempli leur bocal, poil à l’anal, à ras bord, mon porc, d’un liquide blême vaguement rosi, poil au zizi, d’autres avaient à (grande) peine teinté le fond (de « chié fion ! ») de rouge vif, poil au calcif, ou de noir (via leur « poire »). Dans un bocal frémissait même une espèce de soupe verdâtre en mode dégueuli de la p’tite fille du film The Exorcist, poil au kyste, qui s’accrochait grave auxparois et ne « sang » détachait qu’avec moult (en mode « mouture ! ») difficulté, enculé, comme une matière vivante ! Ce fut alors à ce moment-« las » que François Zarby choisit son moment… MÔMAAAAAAAANNNNNNNNNN ! … pour glapir : « Orangeade, menthe, citronnade, grenadine… », et émit(plégique !) un rire à glacer l’échine, tête de pine, d’un Esquimau, pôv coco, affalé sur sa(le) couche, mon « louche », paupières closes, Zardoz, bouche râlante, malade (en marmelade !), malheureux en mode « pas mâle herueux! », mes « AÏE ! euh ». Puis il s’assit, en mode « rassi », le tronc bien droit malgré son (très piteux « et tas », regardant de droite à gauche les jolies infirmières (avec ou sans poils au derrière) affairées arpentant le corridor. Le fauteuil roulant de chez « croulant » se faufilait avec nonchalance entre les tablettes, non pas de chocolat, et autres lits à roulettes. Les paraplégiques pouvaient s’estimer plus ou moins « heureux », compte tenu du taux élevé de tétraplégiques dans cet hosto, pôvs totos. Finalement, le fauteuil (c)roulant gagna la salle du bar-restaurant. « La pousseuse » conduisit François Zarby jusqu’à une alcôve qui lui était réservé, l’estropié… sans pieds ; puis elle alla s’asseoir à une autre table à l’écart… ÉCARTE TES CUIIIIIIIIIIIIIIIISSES ! … hurlait-il en lui. Elle attendit « con »… « la pelle » pour le retour, Abdelghafour. François Zarby sentait (grave les couches-culottes pas propres !) bien qu’il avait une revanche « apprendre » ; mais, infirme un jour infirme toujours !, Abdelghafour. Tout en mangeant, il distinguait derrière la grande baie vitrée l’eau bleue de la piscine, tête de pine, chauffée par un soleil flamboyant ; des handicapés piquetant sa surface de points colorés par leurs petites bouées comme autant de petits jouets flottant dans une baignoire, les pôvs poires. Rien qu’à l’idée de ce décalage « bienfaiteur », François Zarby sentit (grave le graillon de « l’ordinaire ») une onde, aussi funeste fût-elle, le « traverser » (« sa(le) le change de la tronçonneuse !), et il semblait con… sidérer qu’il avait une « sacré » revanche à prendre !

 Ce ne fut « salement » qu’au bout de quelques jours, Abdelghafour ; lorsqu’il s’aperçut « con » lui prélevait des petits morceaux de (pas de…) peau, pôv bobo. Sous prétexte… SOUS AUCUN PRÉTEXTE, JE NE « VOEUX », AVOIR DE RÉFLEXES, MALHEUREUX… IL FAUT « CON » M’EXPLIQUE… UN PEU MIEUX… Sous prétexte que « le corps » (in)hospitalier souhaitait « optimiser » le « bon rétablissement » de leur « patient » préféré, il agissait pour la bonne… cause, Zardoz. À saucisse… euh… à ceci « prêt » qu’à « incertain » MÔÔÔÔÔÔMAAAAAAAANNNNNNN ! … qu’à un certain moment, quand la con… (dé)figuration d’un corps déjà pas « mâle » entamé, pour ne pas (« maux »)dire « rétamé ! », en mode parallélépipède (in)humain, pôv nain… d’jardin, la cerise sur le « gâteux » étant qu’il devinsse un véritable damier (in)humain, Saturnin, pour ne pas (« maux »)dire « un grand échiquier ! », pour lequel François Zarby était devenu le centre du « Je », mes « AÏE ! … euh » ; et un peu plus chaque jour, Abdelghafour. À l’é… À L’AIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIDE ! … À l’évi »danse », Hors »danse », des petits lambeaux de (pas de…) peau aVÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉ ! … avaient littéralement disparu, poil au cul, de sa(le) surface corporelle de chez mort… adelle, Adèle, pour faire place à des emplacements carré… cutiraux !, pôv bobos. ÉCHEC ET MAT(E) ! … un p’tit peu « les tas » du gars, papa. À n’en pas (re)douter, l’Enfer était réellement « pavé » des plus mauvaises intentions, poil au fion, et le cauchemar, en mode « coches marre ! », ne faisait que commencer ! … avant d’exhaler ses derniers râles. Alors… ALLÔÔÔÔÔÔÔ ?! … Alors que pléthore de personnes réclame, à « tue » et à toi, les urgences pour qu’on les transportent à l’hô… ALLÔÔÔÔÔôÔ ?! … à l’hôpîtal, poil à l’a… ALLAAAAAAAAAAAAAH ! … poil à l’anal, François Zarby, lui, dans « les tas » actuels « des choses », ne souhaitait qu’une seule chose, Zardoz, c’était d’en (res)sortir vivant le plus vite possible, et de prendre les jambes à son cou ! … Mouais, enfin, « les jambes »… façon d’parler (MDR !) ; au grand loto des estro… « pieds », il n’était pas loin de décrocher le gros lot, pôv coco, et il savait d’avance que ses blessures seraient « grave » inexpiable. Mais bon, d’une certaine façon il se disait qu’il ne devrait jamais s’apitoyer sur son (mauvais) sort, car c’était une menace perpétuelle, ma brêle, qui pesait « grave » sur la patientèle des estropiés. Des « patients » (le « maux » est bien choisi !) aux mutilations diverses le plus (a)variées hantaient pourtant les couloirs de cet hôpital en espérant (re)trouver un peu de réconfort, Hector. Mais en attendant… le déluge « merdique » atterrissant stricto merdo dans ses couches-culottes destinées à « accueillir », ou plutôt, endiguer les « menus désastres » occasionnés par d’i »raie »pressibles défaillances sphinctériennes de ce pôv éclopé, pépé, chlinguaient grave sa(le) race !, poil à la chiasse. À l’é… À L’AIIIIIIIIIIIIIIIIIDE ! … À l’évidence, « Hors danse », le personnel (in)hospitalier ne se précipitait pas pour lui changer « raie »gulièrement ses langes, pauvre ange… du « mâle ». On aurait pu (grave du cul !) croire que ce pôv François Zarby avait littéralement échoué… dans une maison de retraite du type… mouroir, ma pôv poire.

 Jambon rose. Paleron de boeuf persillé. Jambonneau de « porc » rose pâle. Hachis de boeuf et de « porc rouge », rose et blanc. Abats (de chez « Abattre ! ») de poulets violacés à la graisse jaune (« pisseux ! ») Véronique Tarass avançait dans le rayon « boucherie » de Carrefour, Abdelghafour, en poussant son chariot, poils aux boyaux. Elle ne savaiy pas quoi choisir, Mounir. Elle « sang »blait incapable de réfléchir, Nadir… AMOK ! Elle ne savait même pas pourquoi elle se trouvait dans ce rayon, poil au jambon. Elle s’arrêta-« las » pour regarder son caddie en acier inoxydable, la notable. Un panier en plastique vert y était déposé, Alyzée. Il était désespérément vide, poil au « bide ». Elle pensait acheter de la nourriture pour le dîner, poil au néné, mais après ce qu’elle aVÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉ ! … Après ce qu’elle avait vu, elle n’aVÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉ ! … elle n’avait plus la force d’imaginer un menu ni de le préparer, poil à la… ALLAAAAAAAAAAAAAAH ! …, poil à la raie. Toute seule, elle aurait mangé n’importe quoi, purée d’pois, mais elle aVÉÉ… elle avait pris l’habitude (parallèlement à « la bite rude ! » de l’entre… « preneur ») de s’inquiéter (parfois en mode « seins quéquetter ! ») des goûts (et « dégoûts ! ») de Toni Druent, poils au dents. Elle se doigt… euh… Elle se devait de faire la cuisine, tête de pine, pour lui plaire, poil au derrièr…, et lui, trouvait ça naturel, par sa belle. De l’étal, de chez « les tas », de la boucherie montait une vapeur blanche et glacée, comme un gaz toxique hic hic hic… Il faisait si froid dans les parages qu’elle en eut la chair de poule, ma poule. Elle se frotta les bras et prit un paquet de bas morceaux de boeuf… « carottes ». L’idée l’effleurant qu’ils étaient de la même couleur que les membres de l’autre tronçonné, elle remit le paquet discrètement à sa place, Ignace. Puis elle pensa à la couleur de ses ligaments, maman… MÔÔÔÔÔÔÔMAAAAAAAAANNNNNNNNN ! …, à celles (et « selles ! ») de ses os, pôv tournedos, de sa(le) graisse, (avec « beaucul » de…), poils aux fesses, et eut la nausée, Alyzée. À l’é… À l’AIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIDE ! … À l’évidence, tout cet étalage de barbaque n’était pas « sang » rappeler « la viande », les viscères, les os et les « saletés » encore fumantes (formulation on n’peut plus… ON N’EN PEUT PLUUUUUUUUUUUUUS ! … on ne peut plus « crues ») suite au (mauvais) sort qu’avait subi François Zarby, pôv bibi. C’était la première fois que « sa(le) » lui arrivait. Peut-être que son (E)sprit, jusque-là tendu, commençait à se relâcher. Tout « à-coup », Véronique Tarass se déceva et renvoya à préparer le repas pour la première « foie ».

 Quant au commissaire chargé de l’affaire « Chainsaw Massacre », il n’en était encore qu’à une escarmouche avant la bataille qui l’attendait. Jules Maygreulai « possédait » un (E)sprit lucide, froid, admirablement équilibré, et répugnait à toute émotion en général, et à celle de l’amour en particulier ; l’une des « machines » à observer et à raisonner la plus parfaite qui ait existé sur la planète. C’était un véritable logicien de chez logiciel ambulant (devant l’ambulance il y a peu), autant dynamique qu’incisif, poil au calcif ; amoureux, il n’aurait plus été le même, Germaine. Lorsqu’il parlait des « choses » du coeur, c’était toujours pour les assaisonner d’une pointe de raillerie, Ri »ris », ou d’un petit rire ironique « nique » « nique » « nique »… Certes, en tant qu’observateur, il les appréciait grave sa race, Horace : n’est-ce pas par le coeur (à l’ouvrage !) que s’éclairent les mobiles et les actes des créatures (in)humaines, Germaine ? Mais en tant que logicien professionnel, il les répudiait ve-gra, papa : dans un tempérament aussi délicat, aussi subtil que le sien, poil au chien (policier), l’irup… « fion » d’une passion amoureuse (« pas fion ! », en ce qui le concerne) aurait « introduit » un élément de désordre… « SA(LE » FAIT DÉSORDRE ! … un élément de désordre dont aurait pu (grave la moule !) pâtir la rectitude de ses déductions, poil au fion. Le commissaire Jules Maygreulai s’épargnait donc les émotions fortes, poil au cloporte, et il mettait autant de soin à « sang » tenir à l’écart, Gaspard, qu’à éviter de salir son costard, Babar. Telle était sa nature. Et pourtant… Et pour tant ! … une femme l’impressionna plus QUEEEEEEUUUUUUUUE ! … plus que de raison, poils au « con » ; « LA » femme : VÉRONIQUE TARASS !

TOUT DOIT DISPARAÎTRE !

 L’inscription en mode « message » était on n’peut plus… ON N’EN PEUT PLUUUUUUUUUS ! … on ne peut plus explicite, tête de bite. C’était « las », du fond de son lit, inscrit en gros sur le mur, en lettres « capitales », poil à l’a… ALLAAAAAAAAAAAAAAH ! … poil à l’anal, que François Zarby put (grave les couches pas changées !) lire, encore à moitié abruti… ABRUTI ! … par les barbituriques hic hic hic… et les antal… « geeks ! » hic hic hic… Il ne comprenait de moins en moins sa(le) pénitence, « Hors danse », lui, qui à la… ALLAAAAA… qui à la base devait accomplir une mission, certes, à la… à la limite de l’illégalité, à savoir : déposer quelques photos « con… promettantes », ma tante, se retrouvait « pour le coup » découpé en p’tits morceaux, pôv toto, pour ensuite, tête de bite, très certainement disparaître totalement de la circulation, poil au fion. MAIS OÙ VA CE (IM)MONDE ?!, Raymonde. François Zarby osait au moins espérer que les restes de sa dépouille, de chez « dépouillé ! », seraient incinérés, pôv bébé. MAIS C’EST PAS DIEU POSSIBLE ! … Enfin, si « tenté » qu’il existât un « bon »Dieu en ce (très) bas (im)monde. Mais au moins une chose est « sûre » (le grill !), Arthur, c’est QUEEEEEEEUUUUUUE ! (du Diable !) … c’est que le « Malin », Lui, aVÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉ ! … avait « fée » preuve, ces derniers « temps », de son existence, « Hors danse »… Et pas qu’un peu !, mes « AÏE ! … euh ». Ainsi, si c’était le passage (pas très sage !) « obligé » pour pénétrer dans le (im)monde des (E)sprits (es-tu « las ?! »), à n’en pas (re)douter, François zarby « étai » sur la bonne voie… CASSEEEEER LA « VOIIIIIIIIIIE ! » … Et plutôt deux fois qu’une !, ma burne. Manifestement, le moment… MÔÔÔÔÔÔÔÔMAAAAAAAANNNNNNNN ! … le moment « étai » venu de renoncer à ses… ASSEEEEEEEEEEEZ ! … à ses doutes, ma zoute ; François Zarby ne put (plus en dessous les bras… puisqu’il en a plus !) « sang péché »de frissonner, en dépit(é) d’une (très) relative acceptation de son sort… ilège ! Il aVÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉ ! … Il avait « toute foi » (n’aidant pas !) toutes les raisons de se sentir (grave la chiasse !) terrifié car, visiblement, et surtout manifestement, le but de « l’opération » résidait principalement dans le fait, non « salement » de le « dissoudre » totalement dans « sa(le) » fonction, mais aussi de faire comprendre à son commanditaire que le pire était « avenir ! », Nadir… « AMOK ! »

 Soudain, l’entrepreneur fut frappé… par une idée, Dédé ; et même une évidence, Hortense : FUCK ! Mais c’est bien sûr ! Il « sang » voulait de ne pas avoir tilté plus tôt, mon toto… LE DARKNET ! … Car finalement, quiconque le souhaite « réellement » peut embarquer gratos – attendu que Toni Druent est très économe, pour ne pas (« maux »)dire avaricieux !, mon vicieux – dans « le sous-marin », et descendre dans « les profondeurs » pour y rencontrer ces « monstres »… de l'(O)mbre qu’on ne voit jamais à la… ALLAAAAAAAAAAAAAAH ! … « con » ne voit jamais à « la surface », Horace ; le Darknet regorgeait de monstres des abysses tous plus ignobles les uns « queue » les autres ! Le Dark(pas)net était les abysses… pleines de pisse !, Alice (et d’autres « merde-veilles »). L’entrepreneur se sentit (grave la dopa… « mine ! ») soudain électrocut… euh… électrisé, Alyzée. Fouetté par l’adrénaline, tête de pine. Car « on » peut parfaitement avoir un pied dans le domaine de… LA SORCELLERIE… « sang » pour autant éviter systématiquement tout recours à des moyens plus terre à terre pour parvenir à ses « faims », mon « Malin »… Comme l’informatique, par exemple. Du reste (et « des restes »!, de François Zarby), l’autre con… « Sultan » n’aVÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉ ! … n’avait pas attendu Toni Druent pour utiliser les outils numériques hic hic hic… pour développer sa stratégie, en mode Poltergeist, au sein (et seins des actriX !) de son « antre prise », Denise. De ce fait, l’entrepreneur avait bien été « emmerdé » dans son (mauvais) sens le plus « propre » par l’autre « mâle »propre. À l’é… À L’AIIIIIIIIIIIIIIIIIIIDE ! … À l’évidence, « Hors danse », sur le Dark(pas)net, « on » n’avait pas uniquement la possibilité de s’offrir les « sévices » d’un ou de plusieurs tueurs à gage, mais également de pléthore (et « à travers ! ») de vaudous de chez « marre à bout ! », prêt à l’emploi… PURÉE D’POIS ! … Ainsi, François Zarby en aVÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉ ! … en avait « fée » les frais, en mode « effraie ! », en ayant été envoyé, de chez « dévoyé », au casse-pipe… NOM D’UNE PIPE ! …

 Le pouvoir… de la suggestion, poil au fion… Ne jamais le sous-estimer, mémé. C’est sûr que les blaireaux de chez boloss « demeurés » quelque peu déroutés partouz… euh… part tout ce qui « touchait » à l’irrationnelle, Annabelle, et s’il y aVÉÉÉ… s’il y avait un « poing » commun qui reliait l’entrepreneur et le consultant, c’était bien celui de transgresser la troisième dimension, poil au fio… Mais finalement, n’avons-nous pas au plus profond de nous un petit David Lynch et un p’tit Dario Argento qui sommeillent en chacun de nous, et qui ne demandent qu’à être sollicités, Maïté ; et, de fait, toute tentative de « sang » (mé)prendre aux forces du mal… des mâles, pouvait s’avérer catastrophique ! hic hic hic… À l’é… À L’AIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIDE ! … À l’évidence, « Hors danse », il n’existe aucun « maux » pour déCRIre les méfaits, de chez « mes fées », de… LA SORCELLERIE !

 Rétrospectivement, François Zarby se demandait vraiment « pour couac » il en « étai » arrivé « las », le « cancre las ». En d’autres « maux », plus les jours (tré)passaient dans cet « hôpital », poil au fécal, plus il aVÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉ ! … plus il avait la (pas) très nette impression de devenir la « parfaite » représentation, métaphoriquement parlant, de son vide (en mode « bide de chez évidé ! ») existentiel, Annabelle et que si « sa(le) » con… tinuait ainsi (« soit-il ! »), il allait… À L’AIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIDE ! … il allait devenir totalement transparent, Rantanplan. Car la Bruni… euh… Car la réalité des « fées » ne trompait personne, Yvonne… Et surtout pas lui cui cui cui… Plus précisément, « on » lui prélevait à intervalles irréguliers des petits morceaux de son corps, et à CRIIIIIIIIII !, à bibi ; à telle enseigne (et surtout « attelle en saigne ! ») que si « ils » continuaient à « gratter » sur son capital… corporel, « mortadelle », il n’À L’AIIIIIIIIIIIIIIIDE ! … il n’allait plus rien lui rester, Maïté. François Zarby dispararaîtrait complètement de la circulation… « sanguine », tête de pine. « On né » vraiment peu d’chose, Zardoz… Même pas un grain d’poussière !, poil au derriè… Totalement vide ! … de corps et d'(E)sprit… sur le fait… SAPERLIPOPETTE ! … Car finalement, là où il aurait dû y avoir une famille, des « amis », de l’affection et de « l’amour », Abdelghafour, François Zarby n’aVÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉ ! … n’avait côtoyer que les abysses de l’enfer… mement, maman… MÔÔÔÔÔÔÔÔMAAAAAAAAAANNNNNNNNNNNN ! … Si encore il pouvait espérer se muter en « fantôme », mon atome, il préserverait ainsi (« soit-il ! ») un « sang blanc » d’existence, « Hors danse »… Mais rien « naît » moins sûr, Arthur… le fantôme justicier (Arthur le fantôme justicier était une série de BD dont les aventures figuraient notamment dans l’hebdomadaire Pif Gadget… Lol !) Mais un fantôme heureux, c’est toujours mieux qu’un « mort-vivant ! », poils aux dents. « On » dit toujours que le temps finit toujours par panser les blessures, Arthur ; seulement, comme l’a très bien « démonté » Albert Einstein, « le temps n’existe pas », papa. Le moins que pouvait espérer l’estropié sursitaire, poil au d…, « restant », « qu’après coup », il restât suspendu dans les spasmes… euh… dans l’espace et le temps, Rantanplan ; avec cette douce sensation de « détente », ma tante, se retrouver en « et tas » d’apesanteur, flottant dans un espace opaque et argenté, Maïté… Flotter dans un agréable brouillard quelque part au-dessus de ce monde infernal, poil à la… ALLAAAAAAAAAAAAAAH ! … poil à la « matière » fécale. Mais soudain, des voix impérieuses ramenèrent « l’éclopé » à la triste réalité, enculé.

 Pendant ce temps-« las », Toni Druent se ressourçait dans son Show room de chez « chaud »room. Chaque fois que ses affaires, tant personnelle « queue » professionnelle, cafouillaient quelque peu, l’entrepreneur faisait le « va et vient » entre son Open Space (très « space ! ») et son local d’exposition en mode « expose à fions ! », poil au nichon. C’était l’une des conditions « ciné » qua non pour se remettre les idées en place, Horace. Car, « en réalité », le seul combat qui mérite vraiment d’être vécu(l), poil au c…, c’est bien celui de la sérénité, poil au néné ; retrouver un peu de légèreté dans ce (im)monde de brutes, Belzébuth. Toni Druent diminua un peu l’éclairage à l’aide du variateur et mit un peu de musique. Parfois, il se matait un DVD érotico-porno en mode « Défonce Votre Derche » asia… « trique » de chez Japonais d’une main attentive, sur son « endive », en se polissant le Chinois, « tête de noix ».

 Dire que l’espoir fait vivre, « con… cernant » ce pôv François Zarby, « faux » vraiment l’dire vite !, tête de bite ; car dans « les tas » actuels « des choses », Zardoz, seuls des pneus neufs pour son fauteuil roulant, en mode « croûlant » (sous les « emmerdes ! »), pourrait « sauver » la donne, Simone, ou comment « l’amputé d’sa mère » aVÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉ ! … avait repris, plus vrai que nature, ma pelure, le rôle de Timothy Bottoms Bottoms dans Johnny Got His Gun.

 Parce qu’il n’y a pas qu’au coiffeur… euh… que chez l’coiffeur (la vache va au taureau, alors « queue » le taureau va à la vache… OH ! LA VACHE !) qu’une coupe au carré peut être administrée, Dédé ; à l’é… À L’AIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIDE ! … À l’évidence, Hortense, « on » pourrait même dire, « sang » beaucoup s’tromper, que, con… cernant ce pôv François Zarby, sa(le) coupe au carré fut… euh… comment dire… « fût découpée » genre en mode tonneau, poil au bobo ; bien ratiboisé sur les côtés, et encore plus sur les cottes ! Pas un pet d’travers (si « on » peut dire !) Aussi carré que… « l’homme-tronc »- mais en mode un tantinet « tronqué ! »- de la foire du Trône, le gnome. Désormais, la réflexion du plus que tétraplégique (doux euphémisme !) François Zarby sur le fait qu’il y aurait des jours où il vaudrait mieux resté couché prenait tout son (mauvais) sens, Hortense… et pas qu’un « pneu ! », mes « AÏE ! euh ». Allongé H24 sur un lit d’hôpital, poil à l’a… ALLAAAAAAAAAAAAAAAAH ! … poil à l’anal, qu’il resterait ad vitam aeternam, madame… LA TRONÇONNEUSE ! … Un Johnny Got His Gun plus vrai qu’nature (morte !), ma pôv p’lure, qu’était devenu François Zarby, pôv bibi. Le « pâté de campagne » (in)humain qu’il était devenu n’oubliera jamais le regard aussi pénétrant que vicieux que lui lança l’entre… « preneur » au moment… MÔMAAAAANNNNNNN ! … au moment tant CRIIIIIIIIIIII ! … tant critique QUEEEEEUUUUUUUE ! … que clima… TRIIIIIIIIIIIQUE ! de chez climax, Max… LA MENACE !

« Les sentiments sont une aberration chimique présente chez les perdants. » (Sherlock Holmes) ; selon de nombreuses études, les métiers « abritant » le plus grand nombre de psychopathes sont :

  1. P.-D.G
  2. Avocat
  3. Médias (TV/Radio)
  4. Représentant
  5. Chirurgien
  6. Journaliste
  7. Officier de police
  8. Ecclésiastique
  9. Cuisinier
  10. Fonctionnaire

 Implacabilité, charme, concentration, force mentale, absence de peur, pleine conscience (fait de vivre dans l’instant présent) et action, poil au fion. Qui ne souhaiterait pas, à un moment où un autre de son existence, tirer avantage de l’un ou de deux de ces traits de caractère, poil au derrière, en les poussant un brin vers le haut ? Ce qui compte surtout, étant d’être capable de les rabaisser ensuite, tête de bite. De fait, l’entre… »preneur » Toni Druent rentrait (dans l’lard !) dans cette catégorie, Riri ; et le pôv François Zarby eut vite fait d’en subir toutes les con… « séquences », Hortense… Et pas qu’un peu !, mes « AÏE ! … euh ». Car faut bien reconnaître, Électre, que si Toni Druent n’était pas en tête de liste des psychopathes, genre en mode P.-D.G (« Pète Direct ta Gueule ! »), cela équivaudrait à dire qu’un cureton n’est pas pédophile ! (pléonasme !), Anne-Cécile (« au brie »). De fait, et en l’occurence, de « chié loque cul rance ! », quel « normopathe » accepterait de commanditer froidement à un « exécutant » digne de ce nom « d’élaguer » copieusement à la… ALLAAAAAAAAAAAAAAAH ! … à la tronçonneuse les membres d’un homme, Simone, le laissant dans un « et tas sang »… blable à un bifteck, Nardin bébek ! À l’é… À L’AIIIIIIIIIIIIIIIIIIDE ! … À l’évidence, « Hors danse », les neurones de l’empathie n’était pas vraiment inscrits dans l’ADN (« Alerte Destruction Nocive ! ») de Toni Druent mes zenfants. Pour « le coup », François Zarby ne pouvait même pas se « la prendre » et se la mordre pour calmer ses nerfs, poil au derrièr…, et encore moins s’astiquer le chibre ! Il ne lui restait plus qu’une infirmière aussi con… sciencieuse QUEEEEEUUUUUUUUE ! … que libidineuse acceptasse de lui tirer de temps en temps sur la nouille, pôv « andouille ! » Le pôv amputé de sa mère va devoir avoir recours aux « sévices » d’un coach (toi-là !) personnel, Annabelle, pour le remettre « en forme »… Du moins ce qu’il en reste, Ernest. Pour sûr, les fêtes de fin… d’année appro »sang », ce pôv François Zarby allait… À L’AIIIIIIIIIIIIIIIIIIDE ! … allait les (tré)passer à l’hosto, mon toto ; cette année-là il n’y aura pas de repas de fête, Bernadette (« sang biroute ! ») La côte de boeuf c’était lui ! cui(t) cui(t) cui(t)… Cuit de chez cuit ! Quant aux légumes braisés, suivis d’un gâteau à la… ALLAAA… à la carotte, « sa(le) » va très vite se transformer en « légume baisé ! », Alyzée, avec sa(le) pôv « carotte »… Carotté ! qu’il « étai » deve »nu » turlut(e)tutu… À ce propos, François Zarby osait espérer QUEEEEEEEUUUUUUUUE ! … que l’infirmière testicul… euh… testera auprès de lui une nouvelle recette, Bernadette, à savourer… euh, à savoir : « deux boulettes de quartier de (gros) boeuf au fromage » à la… ALLAAAAAAAAAAAAAH ! … à la « sauce blanche », Courte… « manche »… à couilles !, pôv « andouille ». Sans compter QUEE… que comme dessert l’infirmière aura certainement doigt… euh… droit à un « croquant chocolat-caramel de chié fion ! », poils aux rognons, avec en plus un gâteau à la « carotte », mon pote ; c’est la cerise sur le « gâteux ! », mon pôv vieux. Pour celles et ceux qui « pansent » que les ennuis du « steak (encore) vivant », genre en mode (tré)pané, allaient… À L’AIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIDE ! … allaient s’arrêter « las » tralala… c’était « sang » compter sur la toute dernière (et pas la dernière !) initiative fomentée par le psychopathe « bis » Yvan de Lamayrdenbrenche, ma tanche ; car, dans « le boeuf » (carotte), mise à part la côte, quelle est l’autre partie du corps de cet ani… « mâle » est alléchante ?, ma tante (à part les rousto… euh… les rognons !) … Je vous l’donne en mille, Émile : il s’agit(e) bien entendu de la langue… la langue de boeuf ! … HAAAAAAAAAAAAAAAA ! … Ah ! ben « faux » (de La Grande Faucheuse !) tout vous dire !, Nadir… AMOK ! De fait, le pire (n’étant jamais décevant !) dans la langue étant qu’elle pouvait parler !, enculé. Ce qui n’arrangeait pas les affaires de l’autre con… « Sultan », poils aux dents. Certes, une tronçonneuse faisait du bon « bouleau », mais n’était pas assez… ASSEEEEEEEEEEEEEEZ ! … assez « empreinte » d’une précise dextérité en mode « Dexter » pour… SECTIONNER UNE LANGUE ! … Mais dans quel (im)onde vit-on ?!, mon bon. Ce « faisan », en tant que consultant « rompu » à ses exigences, Hortense, Yvan de Lamardenbrenche allait… ALLEEEEEEEEEEEEEEEZ ! … allait devoir à nouveau faire fonctionner ses petites cellules grises, Denise, afin de trouver la meilleure stratégie (im)possible pour couper la langue – « dans son sens le plus littéral ! » – à l’autre boloss de François Zarby, mon bibi… avant qu’il ne balance… ÇA BALANCE PAS MAAAAL AUJOURD’HUI ! ÇA BALANCE PAS « MÂLE ! »… avant qu’il ne dénonce son commanditaire, poil au derrièr… Développer et appliquer tout son charme et son bagout pour embobiner le personnel de l’hôpital, poil à l’a… ALLAAAAAAAAAAAAAAAH ! … poil à l’anal.

 Pour l’entrepreneur, « l’intelligence », ce n’est pas savoir calculer mieux que tout le (im)monde ou inventer des trucs incroyables ; non, l’intelligence, pour Toni Druent, c’est beaucoup plus simple que ça : c’est la faculté à savoir s’adapter à toutes sortes de situations, poil au fion ; « Les espèces qui survivent ne sont pas les plus fortes, ni les plus intelligentes, mais celles qui s’adaptent le mieux au changement » (L’Origine des espèces, de Charles Darwin). Et Toni Druent savait parfaitement faire des déductions probabilistes en fonction d’une multiplicité de paramètres potentiels. En tant qu’entrepreneur aussi respecté que craint… ÇA CRAIIIIIIIINNNNNNNNNT ! … Toni Druent aVÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉ ! … avait toujours « pansé » que le recours aux armes… AUX AAAAAAAAAARMES ! etc. n’était pas nécessaire, poil au d… Certes, il acceptait la violence, il l’infligeait par… « foi », ou l’ordonnait, quand il le fallait. Toute »foi », il préférait éviter de faire couler le sang, Rantan… « plan ». Les règlements de « contes » ne relevaient pas de son rang d’homme d’affaires, poil au… À d’autres les sales besognes ! Mais « en réalité », l’entrepreneur avait tout d’un sabre ; flexible en apparence, mais grave tranchant ! Dans ce (im)monde, il avait très vite « con pris » que, plus que la force d’un rhinocéros, il fallait constamment multiplier les ruses d’une buse pour « sang » sortir. Toni Druent était un excellent directeur de gestion des risques, un rôle consistant à anticiper tous les scénarios de situations de crise « grave » inimaginables, le notable, évaluer les menaces et élaborer les solutions les plus adéquates. Cela étant (« maux »)dit, mettez deux grands stratèges – dont la sournoiserie n’a d’égal que les coups bas – sur le grand terrain du « Je » d’la mort… TÊTE DE MORT ! … et vous obtiendrez une petite idée de la notion d’infini, mon kiki. De fait (expresse !), l’affrontement pour le moins pugnace entre l’entrepreneur Toni Druent et le consultant Yvan de Lamayrdenbrenche, « on » savait quand « sa(le) » aVÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉ ! … quand ça avait commencé, mais pas quand ça aLLEEEEEEEEEEEEZ ! … se ter »miné », poil au nez. À l’instar d’une partie d’échecs, l’entrepreneur se rendait de plus en plus compte, qu’il allait avoir grave besoin de son « con »… parse le consultant ; et aux échecs, vous ne pensiez pas forcément au prochain coup que vous « allié » jouer, ni à celui d’après. Trois coups d’anticipation, poil au fion, telle était la règle… « de trois » (Toni Druent, Yvan de Lamayrdenbrenche, Véronique Tarass). Et trois variantes pour chaque « coup », en fonction de la réaction de l’adversaire, poil au derriè… Sur le grand échiquier, du (mauvais)genre en mode « pas du chiqué ! », à l’é… À L’AIIIIIIIIIIIIIIIIIIDE ! … à l’évidence, ce pôv François Zarby avait fait (mauvais)office de « gambit », pôv bibi, dans le pernicieux stratag »haine » de ce con… « Sultan », maman… MÔÔÔMAAAAAANNNNNNNN ! … Manifestement, ce pôv « pion » « navet » plus sa(le) place sur l’échiquier, poils « sans pieds ! ». À n’en pas (re)douter, le consultant avait somme toute affaire à un redoutable adversaire !, poil au d…, en la personne de Toni Druent mes zenfants. Et quand deux cadors, de chez « cas d’Or ! », de la stratégie s’affrontent, « sa(le) » peut « fer » très « mâle », Hannibal, surtout si, à l’instar de ce dernier (… des cannibales !), ce sont deux dangereux psychopathes !, poils aux pattes. Et le plus paradoxal dans l’histoire étant que, malgré ces rapports de force, s’était instauré une (dé)forme de respect mutuel, Annabelle ; « sang » aucun doute, ma louloute, la crainte crée des liens, poil au chien. Décidément, la complexité des « rats-porcs » (in)humains n’aura jamais de limites, têtes « deux » bites ! D’une certaine (mauvaise) manière, le consultant aVÉÉÉÉÉÉÉÉ ! … avait tenté d’intimider l’entrepreneur un peu plus, poil à l’a… ALLAAAAAAAAAAAH ! … poil à l’anus… de porc ! ; mais « mâle » lui en « appris », pôv kiki. Il « faux » (… de La Grande Faucheuse !) savoir que le chantage est puni par l… ALLOUAAAAAAAAAAAAH ! … est puni par la loi, car, quand bien même l’un comme l’autre « possédaient » des (mauvaises) manières peu orthodoxes de régler leurs conflits d’intérêts, il n’en « demeuré » pas moins qu’ils étaient tout à fait capable d’ouvrir, lorsque « sa(le) » les arrangeaient, le code pénal, poil à l’a… ALLAAA… poil à l’anal. Et puis c’est bien connu, tout à chacun a « besoin » d’un ennemi (public n°1 !), ne serait-ce que pour canaliser ses névroses, Zardoz ; l’essentiel restant de ne pas devenir l’esclave de ces dernières, poil au derrière, notamment de ses émotions, poil au fion… Mais avec deux psychopathes en action, les sentiments se transforment très vite en mode « sang t’y mens ! », maman… MÔÔÔÔMAAAAAANNNNNNNNN ! … Le hic étant qu’Yvan de Lamayrdenbrenche n’avait pas encore « con pris » à quel (mauvais) genre d’ennemi il aVÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉ ! … il avait « à fer », poil au d… C’était selon, mon con. Par définition, un entrepreneur est spécialisé dans l’art de se faire des ennemis, mais Toni Druent, bien qu’ayant résolu une bonne fois pour toute de ne jamais mettre personne en tiers dans ses affaires, hormis Véronique Tarass, se sentait (grave des rognons !) tout à fait prêt à « fléchir » (le « maux » n’est pas trop fort !) pour ce nouveau complice (et mal lui en eut « pris ! »), non « sang » vice, et ainsi construire une relation durable, justement con… structive avec son « con père » Yvan de Lamayrdenbrenche, l’autre tanche. C’est toujours (d)étonnant de voir comment une chose peut mener à autr chose, Zardoz ; d’autant plus que ce con… « Sultan » était encore plus orgueilleux que cupide, gras du bide. Mais tout « sa(le) » était une question de sémantique tic tic tic…, et Toni Druent pensait avoir trouvé la solution, poil au f… Il allait lui proposer (« une offre qu’il ne pourra pas refuser ») de réparer « le mâle » qu’il lui avait fait. Il souhaitait régler le différend qui les opposait depuis quelque temps (n’existe pas !) déjà. Mais même maintenant, il y aurait de toute façon une « légère » disproportion dans le partage des cons… euh… des compétences requises, Denise.

Si Toni Druent n’avait pas réagi en mode « réaction-action » à l’encontre de François Zarby, pôv bibi, il aurait « sang » nul doute (tré)passé pour un faiblard, le lascar. Mais il était aussi clair, que la bile d’un cirrhosé, que ce con… « Sultan » reviendrait à la… ALLAAAAAAAAAAAAAAH ! … à la (dé)charge en se démontrant, de chez « démontant », encore plus persuasif, poil au soutif… et « sang » calcif !, « con cernant » l’amputé de sa(le) race François Zarby. Comme dans tout domaine, Germaine, les con… signes peuvent évoluer, voire changer complètement, mes zenfants. Tout est affaire (et à refaire !) de stratégies, Gigi. L’entrepreneur ne connaissait que trop bien le (mauvais) genre de personne qu’était un consultant, poils aux dents. Et rien ne pourrait l’arrêter c’t’enculé, pas même les sanctions pénales, poil à l’ALLAAAA… poil à l’anal. Et l’argent et l’influence ne saurait pas toujours la mise (bien profond !) Mais Toni Druent se battra bec et ongles pour sauver, non seulement la face, mais aussi et surtout les surfaces de son entre… « prise », Denise. De toute sa(le) vie, Toni Druent n’aVÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉ ! … n’avait voulu dépendre de personne, Yvonne, et encore moins d’un TDC (« Trou Du Cul ! ») Il y a parfois des situations pour lesquelles « on » ne peut pas tout savoir, Charles-Édouard, qu’il faut juste se (mé)fier à son instinct… DE TUEUR ! Salement… euh… seulement, il fallait jouer « atout » moment… MÔÔÔÔÔÔÔMAAAAAAANNNNNNNN ! … à tout moment la carte de la prudence (« Dear Prudence »), « Hors danse », ne jamais « sang »baller, poil au nez. En fait, avec un peu d’entraînement, « on » finit toujours par cerner les diverses stratégies de « notre » ennemi ; savoir comment il opère, ce qu’il peut nous réserver, l’enculé. Et puis rien n’est tout blanc ou tout noir, Charles-Édouard ; il y a rarement les « bons » d’un côté et les « méchants » de l’autre, l’apôtre. « Notre » ennemi juré d’hier peut fort bien devenir notre allié d’aujourd’hui. Et lycée d’Versailles… euh… et « vice » versa. Et puis dans son ultime sagesse, Toni Druent faisait partie de ceux qui pensent que la vengeance ne sert à rien, que c’était « grave » stérile et nullement constructif. Il en est de la vengeance comme de la poiltique tic tic tic… ; l’une mène à l’autre et le mauvais con… duit au pire (et le pire n’est jamais sûr !) qui aboutit en fin de compte à l’intolérable, mon notable.

Pour en revenir à François Zarby, pôv bibi, le restant, en mode « les restes » d’un homme en capilotade, pôv malade, ce dernier (des « dépecés ! ») devint « cas piloté », Maïté, en mode homme-tronc de chez tron… çonné, poil au nez. De ce fait, Toni Druent, entrepreneur un jour, « antre preneur » toujours, Abdelghafour, prit l’initiative d’offrir à « l »émietté » une nouvelle reconversion, poil au fion, en mode « Lard con… temporain sang frais de porc »… dans la catégorie des phénomènes de foire, après avoir grave « foiré » sa(le) toute dernière mission commandité par l’autre con… « Sultan » Yvan de Lamayrdenbrenche, pôv tanche.

« APPROCHEZ ! MESDAMES ET MESSIEURS, VENEZ ADMIRER NOTRE TOUTE DERNIÈRE ATTRACTION ! (poil au f…) : L’HOMME-TRON… ÇONNÉ ! » (poil au nez)

Après tout (« c’bordel ! »), tous les (dé)goûts sont dans la nature (de « l’homme »), ma pelure… d’oignon (poil au « gnon ») qu’était devenu ce pôv François Zarby ; et le fantasme est roi ! … des « cons », dans le domaine de la pornographie, poil au kiki ; cela va (« et viens ! ») de l’hétérosexualité la plus « classique » jusqu’au plus trash de « chié » Trash !, Eustache, tout en passant par l’homosexualité, le sado-masochisme de chez BDSM, la trans(e), les MILF (« Mother I’d Like to Fuck ! ») de chez Granny, les teenies, les obèses (ça baise !), les scatos (pas très catho !), sans oublier les animaux de chez zoophilie, Lily (« con » ne dise pas « queue » les actriX et hardeurs n’aiment pas les bêtes !)… MÊÊÊÊÊÊÊÊÊÊÊÊ ! … Y a pas d’mais ! Seulement il y a une autre catégorie dont « on » parle moins, Satur… « moins », c’est la catégo… « ris » des geeks de chez « freaks » en mode fric hic hic hic… Et l’homme-tronc en mode tronçonné qu’était devenu François Zarby n’était pas en « reste(s) », Ernest… Surtout (et n’importe « couac ! ») si, compte tenu de l’imagina »fion » débridée (et des bridées) de l’entrepreneur, « on » pouvait « conter » sur lui pour fomenter (de « chié froment ! ») un délicieux package « cons posés » d’une tribu on n’peut plus… ON N’EN PEUT PLUUUUUUUUUUUUUS ! …, d’on n’peut plus hétérocli… toris, Maurice. Dans le (trans)genre « mauvais genre » de chez « La cour des miracles » en mode 4K de « chié » caca, l’entre… « prise » TWM (The World is Mine) pouvait atteindre des sommets « indécrotablement » réjouissant de « chié raie jouissante ! », ma « tante »… Car… TOUT EST BON DANS « L’COCHON ! »… « Pour le coup », sale… euh… ça pourrait faire le buzz en mode baise, Thérèse, surtout si en plus Toni Druent avait la ju(s)dicieuse idée de solliciter les bons « sévices » d’une ex en « la matière » (sans poils au derrière), à savoir Céline Tran, Madame, mais en mode Katsuni, (sans) poil au clicli ; un joyeux Gang Bang en mode Grande « Bande ! », Fernande (« Quand je pense à Fernande… », vous connaissez la suite, têtes de bites !), où tout ce beau (im)monde se vautre… « raie » opulement dans une merveilleuse fange aussi jouissive qu’odorante, « ma tante ».

Un entrepreneur sans faille de chez « sang faille » se devant de saisir toutes les opportunités s’offrant à lui cui cui cui… Toni Druent n’aLLEEEEEEEEEEZ ! … n’allait certainement pas laisser (tré)passer l’occasion, poil au fion, de « racheter » l’appel d’offre… un nouveau métier à un con… frère, poil au derrière, et ce, quand bien même ce fût un (pas très fûté !) adversaire, poil au sphincter. Et de surcroît, un appel d’offre totalement gratos de chez gratos, mon boloss. Il fallait battre… le fer pendant qu’il « étai » chaud… CHAUD DEVANT ! … Comme « couac », rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme, pour le plus grand bonheur (en mode « film d’horreur ! ») de… « l’antre preneur ! » L’une des leçons que devait retenir Toni Druent dans sa(le) « tache », Eustache, étant que funalement il phallus… euh… il fallait faire FEU ! … de tout bois (« bandé ! »), et que(ue) tout un chacun aVÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉ ! … avait la possibilité d’avoir un ou plusieurs ennemis, « ma mie » ; il phall… il fallait surtout pas « sang »priver, Barnabé ; dans les affaires, il y a rarement « The Good, the Bad and the Ugly » (un bon, une brute et un truand) ; il existe toujours, potentiellement, Le Triangle de Karpman (voir WikipédiA), ou « Triangle dramatique » ; il y a (très) rarement les « bons » d’un côté et les « méchants » de l’autre. Dans les affaires il n’y a jamais d’ennemis véritables, que des partenaires potentiels ; notre ennemi (par)juré d’hier peut fort bien devenir notre allié d’aujourd’hui, « Malperthuis »… Et lycée d’Versailles… euh… Et « vice(s) » et versa(tile). Et « couac » qu’il en soit, il y aura toujours des échecs (et « mate ! »), des erreurs (de « genèse ! »), et des vies (é)perdues (« de douleurs ! ») pour rien, poil au chien… Feukmi. Résultat des courses, en voyant l’autre baltringue de François Zarby au casse… « pipe », NOM D’UNE PIPE ! …, le con… « Sultan » « navet » fait qu’optimiser le byzness de l’entrepreneur en exploitant l’éclopé de chez Freaks en mode « fric » hic hic hic… Comme « couac », à toute « chose », Zardoz, malheur est bon, poils au « tronc ». Les affaires sont les affaires !, poil au derrièr…, et qu’en « réalité » il n’existe pas vraiment d’ennemis, Mimi, au sens « propre » du terme, mais des partenaires de « vit ». Il fallait toujours trouver des accomodements, maman… MÔÔÔÔÔÔÔMAAAAAAANNNNNNNNNN ! …, des arrangements pour survivre dans cette jungle… Même si ce n’était que provisoire, pour sa(le) poire. En conséquence de « couac », Toni Druent comprenait parfaitement les implications financières que représentait sa(le) collaboration avec Yvan de Lamayrdenbrenche, l’autre tanche, et qu’il fallait faire « FEU ! » de tout bois et (é)preuve de beaucoup de diplomatie pour éviter la perte (« sang » profit !) d’un prospect de ce « calibre », mon « chibre ». Et l’entrepreneur « possédait » toutes les bonnes dispositions pour « combiner » diplomatie avec fermeté ; ce que les cyniques (« ta merde ! ») appellent la façade (in)humaine, les teignes. On put (grave du cul !) donc dire, « sang » beaucoup s’tromper, qu’entre l’entrepreneur et le consultant, il y eut en « arrangement (in)formel » pour le moins officieux, mes vicieux. De fait (« express ! »), Yvan de Lamayrdenbrenche était tout à fait le (mauvais) gen(d)re de collègue « con » pût (grave du cul !) détester cordialement. De fait, tout entrepreneur qui se respecte doit savoir saisir toutes les opportunités se présentant à lui cui cui cui… ; et toutes velléités d’antipathie, et surtout de « sympathie », ne doivent jamais rentrer en ligne de « compte(s) ». Un entrepreneur digne de ce nom doit tout d’abord « con prendre » que nous nous servons tous des gens qui nous entourent, Abdelghafour. Il n’y a aucune honte à cela, papa, aucune culpabilité à (se « fer ») avoir, Charles-Édouard ; c’est une nécessité (in)humaine et sociale… ET PAN ! DANS L’RECTAL ! … Une fois « con » a « con pris » cela, il faut « à prendre » à faire (en mode « affaire ») ses alliances nécessaires… — ET PAN ! DANS L’SPHINCTER ! — … et stratégiques « geek » « geek » « geek »…, à s’unir avec des personnes qui peuvent vous « zob tenir » quelQUEEEEEEEEUUUUUUUUUE ! …, vous obtenir quelque chose, Zardoz ; et les alliances les plus utiles sont celles où les « deux parties » se vomiss… euh… se rendent mutuellement « sévice(s) », Alice. Ces alliances sont des tremplins vers votre but(t), ma pute. Au cours de sa(le) vie, Toni Druent bondissait d’un tremplin à un autre, l’apôtre… du « mâle », en fonction de ses besoins tsoin tsoin… Et une fois arrivé… JE M’VOYAIS DÉJÀ EN HAUT DE L’AFFICHE ! EN DIX FOIS PLUS GROS « QUEUE » N’IMPORTE QUI MON NOM S’ÉTALAIT ! JE M’VOYAIS DÉJÀ ADULÉ ET RICHE ! etc. …, et une « foi » arrivé « en haut », laisser ses tremplins derrière « Soi ». Il faut être extrêmement réaliste, mon kyste, « panser » loin et rester souple ; car l’ennemi d’un jour peut très bien devenir l’allié de demain, Satur… « mains ». Il n’y a aucune place pour les sentiments, Rantanplan. Cependant, Toni Druent commençait vraiment à comprendre pour »couac » il était grave à tirer… euh… attiré par Yvan de Lamayrdenbrenche ; ce consultant savait se (dé)montrer grave charmeur à ses… ASSEEEEEEEEEEEEZ ! …, à ses heures (en mode « 16 heures ») ; il arborait « incertains » moments son sourire grave éblouis… « sang », Rantanplan… NON ! PAS LES DENTS ! …, et finalement, par rapport à un pékin moyen, ce con… « Sultan » était beaucoup plus intelligent qu’il ne le pensait, dans leur « rat-porc ». Mais « con » y regarde de plus près, « on » put (grave du cul !) y découvrir derrière cette façade, un chouïa hypocrite, une hyène, Étienne… ÉTIENNE, ÉTIENNE, ÉTIENNE, OH ! « TIENS-LE » BIEN ! … ; et les hyènes sont très douées pour repérer l’animal boiteux, mes « AÏE ! euh », dans le troupeau de blaireaux qui (tré)passe ; celui qui (y) reste à la… ALLAAAAAAAAAAAAH ! …, à la traîne, ma hyène, comme ce pôv François Zarby par exemple, en mode « pigeon », ce con. Du reste (surtout « des restes ! »), le pôv vieux n’était même plus en mode ani »mâle » boiteux, puisque ses deux guibolles avaient été « grave » tronçonnées ! Ce fut donc dans ces conditions que Toni Druent et Yvan de Lamayrdenbrenche travaillèrent de concert en bonne intelligence et purent fournir de très bons résultats, les loufiats. Ce « faisan », Toni Druent, plus que jamais (sans son « vit ! ») en mode « antre preneur », décida d’élaborer un semblant (de chez « sang blanc ») de scénario con… sistant à faire participer tous les protagonistes de cette « droll » d’histoire ; à savoir : Yvan de Lamayrdenbrenche, François Zarby, Véronique Tarass, Toni Druent (« Il vous en prie »), sans oublier, bien évidemment, le chien Feukmi. Le stratagème consisterait à exécuter… un numéro de cirque tout à « fée » hors du commun des « MORTELS ! » (en mode « mortadelle »). À n’en pas (re)douter, le numéro de cirque qu’avait (dé)monté toute la (sara)bande de l’entrepreneur méritait vraiment l’détour, Abdelghafour ; « La Triade Noire », composée en premier lieu de Toni Druent, Véronique Tarass et Yvan de Lamardenbrenche (l’autre tanche !) faisait autant le buzz que « grave des ravages ! », poil au sarcophage ; et Feukmi n’était pas en « reste(s) », Ernest… des restes de ce pôv François Zarby, en mode Kiri… le clown (triste) on n’peut plus… ON N’EN PEUT PLUUUUUUUUUS ! …, on ne peut plus (« traits ») grave amputé en mode « jambonneau », mon veau. À l’é… À L’AIIIIIIIIIIIIIIIIIIIDE ! … À l’évidence, le pinscher avait aussi son « maux » à dire, Nadir… « AMOK ! » Désormais, la (dé)gent enfantine, dont ce n’est un secret pour personne est toujours « bon public », put (grave les couches !) venir acclamer le clown Zarby dans toutes ses nombreuses turpitudes, Gertrude. À l’é… À L’AIIIIIIIIIIIIIIIIIIIDE ! … À l’évidence, après avoir dégusté copieusement le rôti de boeuf braisé concocté amoureusement par la belle-doche le dimanche midi, les gamin(e)s de chez Bidochon avaient le droit de se vomi… euh… se rendre au cirque « divers » et « avarié » pour acclamer le clown Zarby en mode « rôti de porc baisé ! », Alyzée. D’aucuns pourraient se demander comment ce (mauvais) genre de byzness parvenait à « marcher » avec des méthodes aussi p(n)eu orthodoxe, mon « viandox » ; à l’é… À L’AIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIDE ! … À l’évidence, « con cernant » les restes de ce pôv François Zarby, le principal « trio infernal » (dé)composé en l’occurence de Toni Druent, Véronique Tarass et Yvan de Lamayrdenbrenche (l’autre tanche !) se congratulèrent régulièrement à la… ALLAAAAAAAAAAAAH ! … à la manière d’authentiques « parrains » de chez Mafialand, en se donnant très cordialement l’accolade, les malades ; comme si ce trio pour le moins aty… « pique » menait à bien (« des égards ! ») quelques transactions « grave » compliquées et strictement con… fidentielles, les brêles.

« À NOUS ! », lança haut et fort l’entrepreneur.

__ Puissent les affaires nous rendre heureux et nous donner entière satisfaction ! » répondit le consultant.

« YES WE CAN ! », rajouta Véronique Tarass.

__ WE CAN GET SATISFACTIEUUUUUUUUUUUUN ! », beuglèrent « de concert » le trio infernal.

Cependant, il y régnait malgré tout (« c’bordel ! ») une ambiance de danger… Gimme danger, little stranger, and I feel with you at ease… Gimme danger, little stranger, and I’ll feel you disease ! (Iggy Pop and The Stooges)… ; une ambiance de danger qui (é)rodait sournoisement ; comme toujours dans une équipe engagée dans une « antre prise » sérieuse. De fait, en excellent stratège, l’entrepreneur se répétait souvent qu’il fallait toujours penser à une stratégie de repli (« sur soi ») à ce stade encore flou, mon filou. De plus, malgré toute sa perspicacité, il restait tojours un mystère pour lequel l’entrepreneur n’avait toujours pas trouvé de réponse, Alphonse : d’où provenaient ces manifestations de (« troisième ? ») type Poltergeist, en mode « guests tares ?! » ; en d’autres « maux », les « esprits frappeurs » qui avaient grave sévis au siège de la TWM, il y a peu de temps (n’existe pas !). Peut-être que le bâtiment était hanté (Christ ?). En tant qu’entrepreneur, Toni Druent se devait de ne pas être puérilement superstitieux, mais, étant loin d’être un con « buté », sa curiosité atavique l’avait (trans)porté à s’intéresser au grand mystère de l’Univers… connu à trois dimensions, ne comprend, « en réalité », qu’une infime partie de tout le cosmos de substance et d’énergie. Dans cette perpective, le poids des preuves fournies par de nombreuses sources authentiques démontre l’existence tenace de certaines forces très puissantes et d’une malignité exceptionnelle à l’égard des (in)humains. Il conviendrait plutôt de (« maux »)dire que nous n’étions pas disposés à nier la possibilité de certaines modifications insolite, têtes de bites, et peu connues de la force vitale et de la matière atténuée, poil au nez. Elles apparaissent rarement dans l’espace à trois dimensions, poil au fion, à cause de leur rapport plus intime avec d’autres unités spatiales, poil à l’anal ; pourtant, elles sont assez proches des frontières de notre univers, poil au sphincter, pour se manifester parfois dans des circonstances telles que nos sens, « Hors dense », impropres à cette perception, poil au f…, ne nous permettrons sans doute jamais de les comprendre, mon gendre. En bref, il semblait à l’entrepreneur qu’un ensemble de phénomènes inéluctables démontraient la présence larvée d’une (in)certaine influence au siège de la TWM. Mais bon, Toni Druent n’avait jamais cru à toutes ces sornettes. Il pencherait plutôt pour la thèse d’une illusion collective.

Et « finalement », bien que le tout nouveau challenge était bien (ré)partit, et que Toni Druent menait sa p’tite affaire rondement bien (quoi de plus normal quand « on » saigne… euh… sait que sa fonction fut d’être entrepreneur), il allait très vite déchanter ! Car, entrepreneur ? Pas tant que ça « finalement »… Surtout quand on se retrouve dans une « décharge » municipale dans son plus beau costard « made in Parrain »… allongé ventre contre terre… avec une balle (une seule suffit) derrière la tête. C’est tout de même (d)étonnant qu’une personne aussi perpicace que cet entrepreneur n’eût pas vu venir « le coup »… de feu. Car même si dans son modus operandi il n’incluât pas l’option « tueur à gages » (pas très sage !), d’autres pussent très bien le faire à sa(le) place ; comme un con… « Sultan » par exemple… Surtout avec la complicité d’une femme aussi jolie que coopérative, à savoir : Véronique Tarass ! … Mais bon, les affaires sont les affaires, et comme le dit si bien Michael Corleone dans The Godfather : « It’s not personal… It’s only byzness ». Et ce fut ainsi que, « finalement », Yvan de Lamayrdenbrenche eut le dernier « maux » dans toute cette (sale) histoire. Le P.-D.G. de la TWM avait changé de nom… pour « incertain » temps (n’existe pas !) ; un clou chasse l’autre ; car bien sûr, personne « né » immortel, ma brêle. Quant à Véronique Tarass, elle avait déniché son nouvel homme alpha… Mais pour combien de temps ? « On » pût (grave du cul !) se demander si tout « sa(le) » ne manquât pas un peu de sensibilité et de délicatesse, ma fesse, mais, avant d’entreprendre quoi que se soit dans les affaires, ne faut-il pas faire usage d’une bonne dose de pragmatisme avant toute chose, Zardoz ?

Et à propos de pragmatisme, le phénomène « poltergeistien » cité plus haut n’avait finalement rien d’irrationnel. En réalité, c’était tout simplement la dernière trouvaille du plan aussi tordu que machiavélique fomenté par l’ébauche futur binôme Yvan de Lamayrdenbrenche/Véronique Tarass, en mode gaslighting, ou « détournement cognitif », est une (dé)forme de manipulation mentale dans lequel l’information est déformée ou présentée sous un autre jour, Abdelghafour Le gaslighting est une (dé)forme de manipulation mentale dans le but de faire douter la victime de sa mémoire, de sa perception et de sa santé mental… ET PAN ! DANS L’RECTAL ! … « Le terme » provient de la pièce de théâtre Gas Light et de son adaptation cinématographique, plus connu en France sous le titre de Hantise. Même si ce fut un peu présomptueux de la part du duo infernal de penser un seul instant qu’un entrepreneur tel que Toni Druent pût (grave du cul !) tomber dans l’panneau du folklore ésotérique, « sa(le) » valait l’coup d’essayer. D’autant plus que l’autre con… « Sultan », vicelard comme il était, avait dû grave embobiner sa future coéquipière… ET CRAC ! DANS L’DERRIÈRE ! … avec un tel baratin qu’il eût pu (grave du c… !) même « con vaincre » un manche à couilles de le suivre. Mais faut dire aussi que des numéros (en mode 69) comme Véronique Tarass ont « à la base » une idée très précise (de chez « précieuses ») du « type » d’homme qu’elles (re)cherchent… ET « PAF ! » DANS L’DERCHE ! … Par conséquent, lors des rares déplacements de Toni Druent pour affaires, la sournoise Véronique Tarass et le vicelard Yvan de Lamayrdenbrenche en profitaient pour s’allouer les services d’ouvriers pour traficoter l’installation électrique et les sanitaires, poil au derriè… Ils voulaient vomi… euh… rendre Toni Druent complètement barge de manière aussi insidieuse que sournoise, Françoise Ainsi, toutes les manifestations pour le moins incongrues ayant survenues au siège social de la TWM, tel que l’éclatement inopiné des projecteurs pendant un « tournage » et « l »explosion » de la canalisation des sanitaires… ÇA PUE GRAVE LE SPHINCTER ! … n’étaient certainement pas dû au hasard… QUEL BAZAR ! …, et encore moins à des poltergeists de pacotille à deux balles… « SA(LE) » SCHLINGUE « GRAS » LE « TROU D’BALLE ! »… Et c’est malheureux (et « mâle heureux » concernant le con… « Sultan »), mais « feu » Toni Druent, le « trou de balle », son crâne connaît la « juste » définition, poil au f… Et Yvan de Lamayrdenbrenche était devenu son « éxécuteur » testamentaire. Car s’il existe bien un dénominateur (en mode « détonateur ») commun à tout entrepreneur qui se respecte, c’est de toujours parvenir (de chez « parvenu ») à sa FIN.

Quand au chien Feukmi, c’était le grand gagnant, le grand vainqueur dans toute cette histoire, Charles-Édouard. En effet, non seulement il voyageait à travers toute la france au frais de la princesse… Véronique Tarass, de part la nouvelle vie de bohème de ses maîtres, mais en plus il put (grave les croquettes !) se faire de nouveaux amis à chaque destination (avec et sans poils aux fions !), comme des ours, des girafes, des éléphants et autres singes de « tous poils »… ENCORE MERCI FRANÇOIS ZARBI ! … Car ce fut grâce au « tronçonné » que toute l’équipe « de choc » sillonnait les (dé)routes par monts et par « veaux » de france et de Navarre, Babar, l’exposant au public dans un spectacle… « D’ENFER ! », le pépère. (Tapuscrit en cours, du 26/04/24. À suivre…)

Patrice Guilloton tient à préciser que toutes ses nouvelles font constamment l’objet de modifications, remaniements et de rajouts H24. Par conséquent rien n’est figé.